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Ophélia, ma soeur de coeur

Chapitre 1

Hétéro
Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu des nouvelles d’Ophélia, une amie d’enfance qui m’était très chère et plutôt que de l’appeler je décidai d’aller lui rendre une petite visite, je pris donc le bus.
Tout le long du trajet je pensai à ce que je dirais une fois arrivé tout en contrôlant l’érection dont j’étais pris à l’idée de la revoir car je dois bien l’avouer depuis mes 13ans je ne la voyais plus comme une simple amie mais comme une vraie femme avec tous les atouts. Après 10 minutes j’arrivai devant la grande maison en même temps que Fatou la mère d’Ophélia, une belle femme de 38ans qui portait une magnifique robe rouge moulant ses magnifiques fesses de métisse et qui mettait ses longues jambes en valeur, à peine sortie de sa décapotable rouge elle aussi, Fatou courut me prendre dans ces bras, risquant de m’étouffer avec sa poitrine généreuse pour me dire bonjour et me montrer à quel point je lui avais manqué, après quelques secondes Fatou relâcha son étreinte pour ouvrir la porte, me tenant la main comme une mère tiendrait la main de son enfant.
-Je présume que ce n’est pas pour me revoir que tu es là mon petit tutur, dit-elle en souriant, Ophélia n’est pas encore rentrée de la piscine mais tu peux l’attendre dans sa chambre elle ne va pas tarder.
En poussant la porte, une odeur subtile m’agrippa tandis que je m’installais sur le lit deux places remplit de coussins en velours et de peluches, sa chambre était très grande et bien rangée mais je ne m’attardai pas sur les détails, mon pénis se réveilla au moment où je posai mon regard sur sa corbeille à linge.
-Bon comme je n’ai rien d’autre à faire, dis-je avec un sourire malicieux.
Donc ni une ni deux j’entamai de l’ouvrir et d’y engouffrer ma main pour en ressortir un magnifique string en dentelle bleu et noir qui sentait encore la délicieuse odeur du minou d’Ophélia. Je baissais doucement mon pantalon puis mon boxer dans lequel je me sentais désormais à l’étroit pour libérer mon pénis, malgré mes 1m78 pour seulement 52Kg j’étais monté convenablement, cela faisait bien un quart d’heure que je faisais des allers retours avec ce tout petit bout de tissus que j’avais enroulé autour de mon gland l’excitation ne cessait de monter en moi mais alors que tout se passait bien la porte s’ouvrit de nouveau, sur Ophélia qui cria de joie en me voyant avant de se stopper net dans son trikini léopard se confondant avec sa magnifique couleur de peau caramel.

Voila si ce début d’histoire vous a plut dites le moi
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