Originaire du Vietnam Je suis vietnamienne et suis mariée à un français depuis dix ans; ni beau ni sympa, il était assez gros quand j’ai fait sa connaissance alors qu’il était en voyage au Vietnam; en vérité, il était là-bas pour trouver une épouse asiatique. "Belle, douce et soumise" avait-il précisé à mon agence. Je l’ai été pendant cinq ans de notre mariage. J’ai appris ici à écrire et à lire le Français dans une école pour adultes (je le parlais déjà grâce à mes grand-parents)et j’ai pu enseigner à mon tour à d’autres étrangers.j’ai donné à cet homme deux enfants, un garçon puis une fille. Le"choix du roy" comme vous dites ici. J’ai également subi tous ses caprices sexuels, il m’a obligée à le sucer souvent et longuement bien qu’il soit d’une propreté imparfaite... et ce n’était pas agréable pour moi, seulement pour lui. J’étais sa pute à domicile. Il m’attachait parfois et me violait dans cette position. Un soir il a même invité des amis à lui, et après le repas qui était bien arrosé comme souvent en France... ils m’ont prise à tour de rôle, lui ne m’a pas touchée, je crois que c’est allé plus loin qu’il ne le pensait, mais le mal était fait. Je lui en ai voulu à mort à partir de ce moment. Je comprenais que je n’étais pas sa femme mais une marchandise achetée et dont il avait fait profiter les autres...Pourtant, j’ai continué à le servir avec dévouement! Mais en remerciement de mon dévouement, de ma soumission et de ma douce patience, cet homme m’a trompée, je l’ai découvert ensuite, avec de très nombreuses prostituées à qui il demandait des choses où il était dominé. Pour faire ça, il gaspillait notre argent, et en particulier l’argent qu’il avait promis d’envoyer régulièrement à mes parents, pauvres paysans vietnamiens. J’ai découvert tout ça grâce à une autre vietnamienne à qui payait souvent des services sexuels. Elle a eu de la peine pour moi et nous avons sympathisé. Alors nous lui avons tendu un piège toutes les deux, Suhan l’a reçu et attaché, il s’y attendait avec délices, mais son sourire a disparu... et je suis apparue ! j’ai ouvert mon sac et sorti du matériel pour mettre sur son sexe impur et infidèle, une cage de chasteté avec un cadenas dont je porte la clé autour de mon cou.Maintenant, depuis cinq ans, les choses ont changé. Nous les femmes asiatiques sommes douces et savons nous dominer nous-même pour nous soumettre aux hommes. Mais cela ne veut pas dire que nous sommes des femmes sans âme ni saveur! Nous pouvons aussi faire preuve de ténacité et de cruauté pour obtenir ce que nous voulons; surtout si nous n’avons plus nos scrupules ancestraux. Je les ai perdus ces scrupules, il y a cinq ans et maintenant je vois que c’est une bonne chose. Mon "mari" est devenu la domestique et je suis devenue le Maitre. Bien sur il ne rencontre plus de femmes, mais je fais souvent venir des amies vietnamiennes comme moi qui trouvent sans cesse des tourments nouveau à essayer sur lui. Nous le fouettons à travers des serviettes, ce qui ne laisse pas de traces. Nous faisons des séances d’humiliation ou elles le giflent, le griffent ou lui passent des révulsifs chinois qui brulent comme le feu. Il ne peut pas crier parce que je le muselle comme un porc... Nous nous vengeons sur lui de tous nos malheurs et nos humiliations respectives et nous en avons. Pour le récompenser de ses souffrances, une nourriture spéciale porc l’attend. Les cafards grillés, les queues de lézard en salade et les viscères de poisson cru nous vengent de toutes les bêtises qu’il a pu raconter sur notre cuisine exotique. Avec notre régime trois étoiles, il a perdu son gros ventre et nu, il est presque beau... Coté sexe, sa paresse naturelle s’est aussi arrangée, grâce à un délicieux breuvage! Car, il n’y a que le piment que nous lui faisons boire en sauce très liquide qui fait vraiment partie de notre culture!Après ça il lui arrive des érections qui peuvent durer des heures et dont je ne me lasse pas de profiter moi qui ai été si souvent son objet sexuel! Je le fais coucher sur une table basse de salon et lui attache les poignets et les chevilles aux quatre pieds. alors seulement je libère son oiseau de sa petite cage. Et je passe de délicieux moments assise sur lui, en regardant la télévision. Lorsque des amies viennent, nous en profitons pour nous faire lécher la chatte et l’anus bien à fond, quel plaisir si longtemps attendu.je dédie mon texte à toutes le femmes qui souffrent un homme vulgaire et brutal. Khim, Paris. (Histoire publiée en 2003 sur mon site de l’époque, un joli pied de nez au tourisme sexuel qui est une plaie. A méditer)
