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paiement en nature

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cela faisait plusieurs mois que je n’avais pas payé le loyer et bien dés fois j’avais croisé le propriétaire dans l’escalier, il habitait le rez de chaussée et le 1er et nous le second.C’était un homme de 50 ans, veuf depuis de longues années et selon les dires du quartier très amateur de femmes.Ma femme Céline m’avait des fois raconté quelques familiarités sans intérêts: des mots de compliments du style : tu es encore plus jolie ce matin ou avec ce temps là tu ne montres pas tes jambes etc...Je lui avais dit que s’était un homme et qu’il faisait son bla bla pour entamer la conversation mais qu’elle n’avait pas à s’inquiéter et que s’était quand même notre proprio !Bref un matin alors qu’il était toujours absent car au travail, elle descendit chercher le courrier, se sachant seule avec moi dans l’immeuble, elle était en mini jupe très courte et petit haut décolleté, tenue que j’adorais qu’elle porte car seule façon à moi de profiter d’elle car depuis une maladie j’étais devenu impuissant et me contentai de la regarder et de la faire jouir par masturbation ou à l’aide de sex toys. Alors qu’elle revenait avec le courrier, le proprio sortit de chez lui et se mit en travers de l’escalier pour lui parler du retard de loyers depuis 5 mois, me demandant d’aller le voir pour un arrangement à l’amiable .Durant cette brève conversation, il avait à maintes reprises touché ses bras et ses jambes en lui faisant comprendre que si elle était gentille avec lui, il pouvait trouver un moyen de payer autrement car il cherchait une femme pour faire quelques heures de nettoyage à son domicile.Céline me raconta tout ça, ma femme n’est pas très secrète de part son niveau d’étude peu élevé et à son niveau social peu éducatif, elle était assez innocente et peu pudique.Je lui fis part qu’il n’avait rien fait de mal et que ses propos n’étaient pas gênant car on ne savait pas ce qu’il voulait.Mais moi je le savais, plusieurs fois il m’avait fait des compliments sur Céline, qu’elle était jolie, timide, trop réservée, pas assez féminine et à maintes reprises m’avait proposé de prendre Céline pour faire du ménage chez lui.Je promis à Céline d’aller le voir pour savoir quoi de son arrangement et à 14 heures je descendis et sonnai à sa porte.Il vint m’ouvrir, me fit entrer et m’offrit du café puis sans attendre, me fit part de sa décision de me demander de quitter l’immeuble à la fin du mois et de payer les loyers en retard !J’étais pris de court et ne savait que dire, je lui avouai que je n’avais pas les moyens de payer mes dettes. De ce fait il me proposa un éventuel arrangement et sans hésiter me dit :"Écoute tu n’es pas s’en savoir que je cherche une femme de ménage! Et je ne suis pas sans savoir que tu ne peux plus avoir de relations avec ta femme depuis un moment, vos disputes m’ont mises au courant !"Et je lui répondis:" Ah tu sais ça aussi ! C’est pas facile tu sais pour un homme surtout que Céline est plus jeune que moi et elle est très en demande et j’ai dés fois peur qu’elle n’aille se donner du plaisir ailleurs en me quittant mais malheureusement..."Il me répondit aussitôt:"Justement si je te propose ça c’est qu’elle n’aurait pas besoin d’aller ailleurs, tu comprends? Moi je lui donnerai le plaisir qu’elle n’a plus avec toi en lui faisant croire que tu ne sera pas mis au courant du moment qu’elle vient faire le ménage en tenue sexy comme ce matin voir mieux "On parla longuement et je finis par accepter son offre.De retour avec Céline, je mis la pression, lui avouant qu’il nous mettait dehors à la fin du mois ...Céline pleura et me demanda s’il n’y avait pas un moyen de trouver une solution.Je lui parlai alors des heures de ménages qui viendraient en diminution du loyer voir d’autres petits services.Sans réfléchir, elle accepta en avouant qu’elle se méfiait de lui et avait peur qu’il l’embête un peu.Au soir au lit, je pris de l’avance sur sa crainte qu’il n’abuse d’elle en lui disant que d’être dehors s’était pire qu’une caresse sur ses fesses et que pour moi je préférerai la savoir abusée un peu que dehors à la rue.Et je sentis bien qu’elle n’était pas opposée à ce travail malgré les risques car au bout de trente minutes environ elle me fit:"Pour toi, il pourrait aller jusqu’où sans que se soit mal ?"Et je fis ayant l’air surpris :" C’est à dire ? Au point de vue gestes ou ..."Et elle répondit:" Ben oui, enfin tout quoi, s’il me touche, s’il essaye de m’embrasser, je ne sais pas "je lui dis sans hésiter:"Embrasser c’est pas un crime ! Voir tes jambes ou tes fesses non plus, ni même tes seins! Tu sais depuis mon accident je ne bande plus et je ne t’ai plus fait jouir avec ma queue alors tu sais je serai pas jaloux si tu avais un jour une aventure du moment que tu me le dis...
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