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Pan-pan cucul, c'est mon plaisir

Chapitre 1

La fessée comme celle de papa

Divers
Cet histoire, je ne l’ai pas vécue, j’en suis juste celui qui noirci le papier, lettre par lettre, mot après mot. Elle ne veut pas donner son nom, encore moins son pseudo. Je respecte cela. Tout ce que je peux et veux vous dire sur cette femme, c’est qu’elle a un charme extraordinaire. Je ne suis là que pour vous conter un peu de sa vie. À partir de maintenant, ce n’est plus moi, c’est elle qui raconte à travers mes doigts.
Depuis peu, je ne porte plus de culotte à proprement dit. Je ne porte qu’un harnachement de cuire et de métal. Le cuir en guise de ceinture et la chaine en une sorte de cache-sexe. Cette chaine, je peux la tendre ou pas. Généralement, au travail, elle est tendue à son maximum durant les 8 heures de ma journée. À part une personne dans le secret de mes fantasmes, personne n’est au courant de mes vicieuses petites habitudes. Pour mes seins, là encore, l’ossature est en cuir, le reste est métallique avec de méchantes pinces que je me force à me mettre sur mes tétons toutes les heures pendant l’heure suivante, soit une heure sur deux durant la journée.
Mes nuits sont pratiquement pareilles. Je m’attache à mon lit, solidement menottée, je ne peux qu’attendre le matin pour me libérer avec cette clef qui tombe à 6 heures précise dans le creux de ma main droite. Après, c’est une petite séance de martinet que je m’impose avant d’aller me doucher à l’eau froide et un gant de crin très rêche. Cela, je le fais chaque jour, où que je sois, même en vacances ou en visite chez des amis. Personne ne m’a jamais forcé à le faire, mais il n’y a que ça qui me fasse jouir. J’ai 23 ans, petite, à peine plus d’un mètre cinquante pour à peine quarante kilos. L’ami dans la confidence, vous le connaissez sous le pseudo Charimarien. Mais il faut un début à tout ça, je commence donc par le commencement.
La toute première que j’ai joui en ayant mal, c’est pendant une cruelle fessée que mon père m’administrait cul nu sous les regards de ma mère et ma grande sœur. Le simple fait de me sentir observée, la main de mon père qui laissait ses doigts titiller mon anus et mon sexe avaient fait que j’avais joui devant mes parents et ma grande sœur. Ma mère avait poussé ma punition à son paroxysme en m’obligeant à rejoindre le coin du salon à quatre pattes, le cul à l’air pendant que ma grande sœur m’insultait copieusement. Ce soir-là, je fus encore privée de souper. Ce fut la première fois et loin d’être la dernière.
La dernière fois que mon père me punit, c’était le soir précédent mon anniversaire. Je sais que je n’avais commis aucune faute, aucun oubli. Mon père avait trouvé comme prétexte que j’avais grandi trop vite. Je l’ai pris de court cette fois-là. Je me suis posée sur ses cuisses, abaissant ma culotte et relevant ma jupe. Je l’ai regardé en le suppliant de me fesser aussi fort que possible. Pendant un petit moment, il avait sa main droite levée comme si elle était paralysée. Et puis, il y eu cette claque terrible et un autre et les suivantes. Je regrette juste que ni ma mère, ni ma grande sœur ne fussent présentes. Plus je sentais mon cul prendre feu, plus je suppliais mon père de me fesser encore plus fort. Le summum de cette fessée fut quand son pouce tout entier entra violemment dans mon anus. J’ai senti mon corps se démembrer de plaisir. Le second orgasme surgit droit derrière le premier quand la main de mon père se plaqua contre mon minou en feu. Et le troisième m’acheva quand mon père enfonça son pouce dans mon anus et son index dans ma chatte. J’étais si épuisée que mon père m’emporta et me déposa sur mon lit. Je ne lui laissais aucune chance de m’abandonner en le retenant par sa ceinture. Très vite, je le branlais de mes mains sans expérience, il m’aspergea de son foutre tout mon visage et ma bouche grande ouverte de surprise. Ce fut la seule et unique fois que je fis jouir mon père. Il garde encore ce secret en lui, tout comme moi.
Cela étant, quand je pris mon petit appartement en ville, un petit studio sans prétention, je me rendis vite compte que je n’avais personne pour me fesser. Seule, je ne parvenais pas à me lâcher suffisamment pour me faire réellement mal au cul. Parmi mes amis, je n’en voyais aucun avoir assez de couilles pour me fesser comme j’aime à l’être. Il me fallut tomber sur un reportage dans un magazine pour homme par le plus grand des hasards pour trouver le moyen de satisfaire mon appétit de fessée. Bien que j’y lise bon nombre de connerie, il y avait un paragraphe qui me mit sans-dessus dessous. Je l’ai lu si souvent que je le connaissais par cœur. Un jour de congé, j’allais acheter tout ce dont j’avais besoin. Le soir même, j’expérimentais une première technique à blanc. Ma montre à la main, je surveillais cette ficelle qui allait croiser la flamme d’une longue bougie. Sur un cahier, je reportais les résultats de mes expériences. Après deux mois, je testais sur moi tout ce que j’avais expérimenté.
Sur le sol de mon studio, je me suis menottée dans le dos, juste mes mains, rien d’autre. Au-dessus, pendue à mon plafonnier, la ficelle, la bougie et la clef de mes menottes. La clef tomba dans le creux de ma main après une petite heure, expérience réussie. Et puis, de me sentir à la merci de cette bougie et de cette ficelle m’avait mise en émoi, m’obligeant à me masturber une fois libre.
Mois après mois, je compliquais la chose, m’attachant de manière toujours plus sophistiquée, de plus en plus longtemps aussi. Attachée, je ne pouvais plus bouger. Je pouvais rester ainsi une bonne demi-journée quand tout fut au point. Mais mon irrépressible envie de fessée était la plus forte. Là encore, c’est un instrument de cuisine qui me donna la solution. Sur ce fouet électrique, je fixais ma petite ceinture de cuir clouté. Une fois l’appareil enclenché à la vitesse maximum, sur mon cul, la ceinture venait s’abattre avec assez de force pour que cela ressemble à une bonne petite fessée. Je pouvais maintenant vivre une petite partie de mes fantasmes. Cela étant, je me lassais de cette petite fessée presque insipide. Il m’en fallait plus.
Je savais où les garçons se rendaient pour se rincer l’œil et se branler en regardant des films de Q. Des films qui racontaient des histoires que la plus part ne vivrait jamais autrement qu’en rêve. C’est un immense sexshop aux abords de la ville. Si eux s’enfermaient dans la cabine vidéo et grillaient leurs tunes là-dedans, moi, c’est entre les rayons de ce petit supermarché du sexe que je me perdais. Peu à peu, je m’équipais. Un copain bricoleur, me fit la machine de mes rêves, ma fesseuse. Il n’en sut jamais l’utilisation que j’en fis et c’était mieux ainsi.
Un weekend, après quelques essais pus ou moins fructueux, je m’attachais pour une nuit, réglant ma fesseuse à ce qu’elle m’empêche de dormir. La force réglée sur six, elle allait me fesser plusieurs fois pendant environ une dizaine de seconde avant de s’arrêter et de recommencer une quinzaine de minute plus tard. Attachée en croix sur le sol, la bougie en place, la ficelle et la clef aussi, je m’étais encore muselée l’aide d’un puissant adhésif. Sur le ventre, je fis vite la connaissance de ma machine à fesser. Ma vieille ceinture de cuir endolorit mon cul comme mon père. Ce fut une nuit partagée entre douleurs merveilleuses et orgasmes démoniaques.
Au matin, la clef dans le creux de ma main, je restais encore sur le sol à me faire fesser encore un moment, pensant à mon père. Je restais si longtemps qu’au moment de devoir me soulager au plus vite, je ne suis pas parvenue à me délivrer à temps. Assise sur mes excréments, ma machine me cingla ma poitrine en me redressant. Là encore, ce fut une révélation. Il me fallut un bon moment pour me remettre de cette superbe émotion délicieusement douloureuse.
Un an durant, au minimum une fois par semaine, je m’attachais et me faisait fesser, parfois avec un vibromasseur dans ma chatte ou mon cul et même parfois les deux ensembles. Libre, je me mettais à genou, inclinais ma fesseuse pour qu’elle me fustige ma poitrine. Je prenais des plaisirs immenses, endiablés et particulièrement violent.
Ne pensez pas que je ne voyais aucun garçon, j’avais vingt ans et pour les mecs, il me fallait juste faire un geste et je n’avais que l’embarras du choix pour être baisée de partout pendant une nuit ou plus. Il me fallut croiser celui qui me refusa de coucher avec moi en me traitant de trainée. En fait, il n’avait pas tout tord, j’étais une trainée, pire, j’aurais pu devenir une pute en réclamant de l’argent à tous ces mecs qui me baisaient. Lui, je ne lui faisais aucun effet, il restait de marbre, du moins en apparence. Un soir, très classe, je lui ai sorti tout ce que j’avais en magasin pour le séduire. Autant dire que je me suis prise le râteau de ma vie. Alors qu’il sortait de ce bistrot, je l’ai suivi pour le traiter de tous les noms d’oiseaux et de bien d’autres qui feraient scandale dans sur ce site. Hors de lui, il me poussa dans un recoin à peine éclairé et là, il me fit le plus grand des plaisirs en m’administrant une fessée, celle qu’il me manquait depuis celles de mon père. Plus il me fessait, plus je l’encourageais en le traitant de couille molle et autres mots vulgaires. Très vite, une onde violente envahit mon corps. En larme, mon cul déchiré, en feu, je suppliais mon tortionnaire d’enfoncer ses doigts dans mon cul en force. Il le fit et ce fut le nirvana pour moi. Je crois bien n’avoir cessé de jouir qu’au moment où il me redressa pour me gifler.

— Tu veux une salope docile ? Demain, à cette adresse, tu pourras lui faire ce que tu veux, elle ne pourra rien te refuser. Si tu veux savoir qui elle est, tu viens de lui donner un merveilleux orgasme. À demain !
Dans sa main, griffonnée en toute hâte, je lui laissais mon adresse complète.
Dans mon studio, je regardais mon cul presque bleu de cette violente fessée. Je me caressais ma chatte en le regardant et le caressant de l’autre main. Après avoir joui je ne sais combien de fois encore, je préparais mon piège pour ce bourreau avec le plus grand soin. J’allais vite savoir s’il était un dégonflé ou pas.
Dès mon réveil, pommade pour mes fesses, un café et une tranche de pain pour mon estomac. Puis, sur le sol, je dispose de quoi m’attacher, me faire claquer mon cul en réglant ma fesseuse sur soft. Il n’était pas encore sept heures du matin que j’étais couchée sur le ventre, cul et vagin remplis de leur gode respectif. À l’heure dite, ma machine se mit en marche. La bougie ne devait pas couper la ficelle avant dix-huit heures.
Il a pris son temps pour venir chez moi. Quand il m’a vue, il s’est assis sur mon unique siège. Il est resté un long moment sans me parler ou même me toucher. Il a fait le tour de ma fesseuse pour en comprendre le fonctionnement. Puis, quand la clef est tombée dans ma main, il m’a aidé à me délivrer. Il s’est montré très doux avec mes fesses. Il s’est montré tout aussi doux quand il me baisa longuement, se montrant le plus merveilleux des amants. Ce fut si beau, si jouissif que je décidais de ne plus avoir que lui pour unique amant. Au matin, avec l’envie qui ne me quitte plus, je me suis menottée dans le dos pour venir lui faire ma plus belle fellation. J’y ai mis tout mon cœur, toute mon âme à le sucer et le lécher jusqu’à son anus. J’allais même jusqu’à le lécher sous ses bras, ses pieds, suçant ses orteils comme autant de petites bites. Profitant de mon corps soumis, il m’encula. Ce fut diabolique. À chaque fois que ses cuisses claquaient contre mes fesses, je ressentais les mêmes effets douloureux de la fessée. Il me fit jouir plusieurs fois avant de remplir mon cul de foutre. Et puis, sans faiblir, il me força à une fellation profonde. Je me suis soumise à lui parce que, non seulement je le voulais, mais aussi parce qu’il était le premier à me comprendre et entrer dans mon jeu.
Après quelques semaines, soumise, je quittais mon petit studio avec toutes mes affaires pour m’établir dans la plus petite des chambres de son vaste appartement. Dès lors, je vivais sous son dictat. Il se mit à imposer mes tenues vestimentaires. Il poussa même le vice à me faire démissionner de ma place de travail pour me faire engager comme sa secrétaire. Sa salope allait lui donner tout ce qu’il voulait. C’est lui qui est à l’origine de ma culotte de cuir avec cette chaine qui écrase mon sexe, c’est encore lui pour ce soutien-gorge de cuir et de chaine avec ses pinces. C’est encore lui qui repoussa mes limites. C’est encore lui qui disparut tragiquement dans un banal accident me laissant seule avec ma tristesse.
En plein désarrois, j’ai même pensé mourir avant de tomber sur ce site, Xstory, quelques mois plus tard. Plusieurs personnes suscitèrent vite mon intérêt. Au fil de mes lectures, j’en éliminais certain, en ajoutais d’autre dans mes favoris. Je cherchais The texte, celui qui allait me mettre sur orbite. Pendant des mois, je cherchais celui à qui j’allais donner mon cul à fesser cruellement.
Une nuit, je pris mon courage à deux mains, je me suis inscrite sur le site, j’ai envoyé un court mail à celui que je pensais pouvoir me donner ce qui me manquait. Nous étions au début de cette année 2017 en au début du mois de mai. De plus, chez cet « écrivain », malgré ses fautes, ses maladresses dans ses textes, il y avait quelque chose qui m’attirait vers lui. Peut-être, et je pouvais me tromper, parce qu’il y avait une part de vécu dans chacun de ses chapitres. Parfois c’était assez léger, parfois, cela ne pouvait avoir été écrit sans que cela soit réellement vécu. Il a répondu à mon mail de manière très simple, loin de se la péter, presque en humble, pas comme certain. Après quelques mails, vu que nous n’habitions pas très loin l’un de l’autre, nous nous sommes retrouvés au bord d’un lac, à mi-chemin. Il m’avait brossé un portrait fidèle de sa personne, je n’ai eu aucun mal à le reconnaitre. Il n’a rien d’un apollon, il n’a rien de ces hommes qu’on peut voir dans les magazines. Il est très simple, la mine un peu tristounette. Mais il a ce petit quelque chose qui me poussa contre lui dès notre deuxième rencontre. Là, autour d’une bière, je lui racontais tout de moi et c’est exactement ce que vous venez de lire ou presque. Oui, je n’ai pas voulu tout mettre. Ce n’est que les moments les plus importants de ma courte vie. À notre troisième rencontre, il m’a attachée sous ma machine, sans mettre la ficelle, ni la bougie. Si, il a mis la bougie, elle déversait sa cire sur me croupe pendant que ma machine me fessait. Pendant ce temps, sa queue devant ma bouche, il m’obligea à le sucer. J’avais envie de lui donner satisfaction. Son ordinateur portable sur au-dessus de ma tête, je lui fis ce plaisir. Et c’est ainsi qu’il a écrit un peu de ma vie. Certes, il n’y a pas tout. Avec Charimarien, nous voudrions revenir sur ma vie, revenir de manière plus détaillée et, pourquoi pas, me faire fesser ou baiser en même temps. C’est ma manière à moi de lui payer ses services.
Je n’ai apporté aucune correction à ce qu’il a écrit, je n’y connais rien en écriture. Et puis, je veux qu’on reconnaisse la main de Charimarien.
S’il n’est plus le vaillant amant qu’il était, il a, cependant, cette chose dont beaucoup de femme voudrait avoir, un homme qui écoute, entend, cherche à vous comprendre, et vous baise comme un homme. En plus, il le fait si bien quand il est en forme lors de nos rendez-vous. Ce dernier paragraphe, c’est de ma main, à son insu et si vous êtes très gentil avec moi, peut-être que je demanderais à mon « nègre » de vous écrire cette suite plus détaillée.

P.S. : Pour Charimarien, je cherche une personne qui serait d’accord de lui corriger ses textes. D’avance, merci pour lui. Et oui, il n’aime pas déranger mon fesseur occasionnel.
P. de R.
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