Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 45 J'aime
  • 1 Commentaire

Panpan cucul

Chapitre 4

Inceste
Je viens d’envoyer un message à Gladys et j’ai eu bien du mal à l’écrire.
A mon réveil, ma mère n’était plus là, j’ai trouvé sur la table basse ce petit mot:
« Si tu savais comme je t’aime... ».
Cette nuit je lui ai consciemment offert ce qu’elle voulait. J’ai fouetté, battu, molesté Maman et elle a joui sans relâche jusqu’à l’aube...
Je regarde les clichés que j’ai pris au plus fort de l’action, elle n’a pas protesté, elle s’est laissée prendre en photo avec cette étrange docilité d’une femme qui accepte pleinement sa déchéance. Elle s’est soumise sans retenue, je suis son maître, le détenteur de ses vices les plus abjectes.
Je relis mon courriel, j’espère que ma belle inconnue ne m’en voudra pas et qu’elle comprendra qu’il est peut-être temps de mettre un terme à notre libertinage épistolaire.J’ai pesé chaque mots, je n’ai rien caché, je lui ai tout raconté de cette nuit qui à radicalement changé ma vie.
Hier soir je n’ai pas baisé Maman, je n’ai pas osé et je n’oserais pas aller jusque là.
Je sais à présent qu’il me faudra collectionner les aventures sans lendemain pour étancher ma libido. Je vais segmenter mon existence, je punirai ma mère dès qu’elle en aura le désir, elle sera ma soumise exclusive... et je trouverais des filles désireuses de me satisfaire pour l’ordinaire.
Je ne veux pas que Gladys soit l’une d’entre elle, elle mérite bien mieux que d’être un vagin pour mon plaisir bestial. Il n’y a malheureusement pas de place pour deux dociles alors je fais ce choix difficile...
Elle restera le plus merveilleux des fantasmes... Il faut que je le lui dise, même si c’est déchirant de le faire.
« Gladys,
Il s’est produit cette nuit une chose terrible et excitante à la fois.Maman est venue à moi et ce que je redoutais tout en l’espérant est arrivé.

Je te mets en pièce jointe la vidéo qu’elle m’a montrée, elle ne m’en voudra pas, je le lui dirais et elle l’acceptera avec docilité et soumission.
Tu verras sa déchéance, tu contempleras aussi son désir inéluctable de m’appartenir et tu comprendras que maintenant les choses sont certes un peu plus compliquées mais paradoxalement si délicieusement sereines.
J’ai regardé tout le film une seconde fois et puis je me suis levé. Maman était restée en place, prête à être asservie, alors je l’ai laissé attendre et je suis allé m’équiper.
Je comprends toute la portée de chaque ligne que tu m’as écrit, tu as modelé peu à peu mon esprit pour que je sois prêt pour ce jour. Insidieusement tu m’as conditionné et aujourd’hui je m’en rend parfaitement compte. J’ai acheté sans réfléchir tout le nécessaire pour pouvoir combler ma mère, je l’ai fait inconsciemment et c’était toi dans l’ombre qui me guidait...
Je suis revenu alors à elle avec une étrange sérénité, je serrais dans mes poings le martinet, les spatules en silicone, les cuillères de bois, le battoir en caoutchouc dont tu m’avais vanté les mérites. Je pensais innocemment que ce serait avec toi que j’en aurais l’usage, je ne doutais pas que tu savais bien que non.
J’ai longuement contemplé sa croupe, si tu savais dans l’état pitoyable ou elle se trouvait, mais j’étais déjà résolu à lui donner ce qu’elle voulait.
Alors je me suis lancé...
J’ai ouvert un sachet d’huile pimentée que j’ai eu avec ma pizza et j’en ai enduit toutes mes mains et je l’ai caressé, partout, avec légèreté pour que le gras pénètre bien et qu’il enflamme tout son corps.
Lentement je l’ai graissé et le feu perfide l’a incendié. J’ai caressé tout son corps, d’abord ses épaules, son dos, puis son ventre et lorsque mes pognes s’asséchaient je remettais copieusement dans mes paumes toujours plus de ce lubrifiant incendiaire.
Je pétrissais ses seins, j’en mettais partout, sur les globes tailladés, sur ses aréoles et ses pointes lacérées et Maman n’en finissait plus de geindre.J’ai longuement pétri sa poitrine jusqu’à ce que mes paluches deviennent inexorablement sèches et que tout pénètre profondément dans sa peau écorchée.
Déjà trois ont été utilisés, je vide le quatrième et me graisse avec minutie.Maman se convulse, le feu la dévore mais ce n’est que le début.Elle le sait et elle ne doute plus que je vais aller jusqu’au bout...
Ma main gauche cajole ses fesses, la droite s’est posé sur sa vulve, je la caresse, je fouine en elle. Mes doigts visqueux écartent ses lèvres, je masturbe ce sexe d’où je suis sorti il y a des années, d’autres troussent sa rondelle et oignent son rectum. Mes phalanges fouillent son cul, son vagin et mon odieuse lubrification la fait défaillir pour la toute première fois
Maman vient de lâcher son tout premier cri d’extase.
Les spasmes la secoue, elle tremble, se tord mais elle reste en place, les menottes bien à plat sur la table, je viens de la faire jouir de la plus bestiale des manières.Je reste à la branler, mes deux mains sont enchâssées en elle et continuent à tartiner ses deux conduits. Elle doit atrocement souffrir, mais c’est ce qu’elle souhaitait, elle voulait que je lui fasse mal pour pouvoir venir et c’est ce que je suis en train de faire par amour pour elle...
J’ai dégagé à regret mes poings, elle va dés lors être punie, elle va expier ses vices, elle va payer pour avoir voulu jouir avec d’autres hommes.J’avoue que je suis jaloux qu’elle ait voulu se satisfaire avec des étrangers, même si je comprends les raisons de son geste.
Désormais je suis là pour elle et elle n’en doutera plus jamais.
J’ai attrapé le martinet, je fais glisser mollement les lanières sur son dos. Elle sent les brins de cuir effleurer son échine, elle se cambre, elle est à présent impatiente.Je la chauffe, je la prépare pour la raclée de sa vie et elle va adorer, après cela elle saura sans nul doute que je suis celui qu’elle espérait que je sois.
Je tends mon bras en l’air et le fouet s’abat une première fois sur sa croupe. Elle a essayé péniblement de serrer les dents pour dissimuler son émoi, mais c’était illusoire, elle n’a pu retenir son hurlement d’extase.Je la frappe en toute connaissance de cause et cela accroît son bonheur, elle espérait cet instant depuis si longtemps.
Désormais j’endosse totalement mon statut de dominateur, je suis le souverain de sa libido licencieuse, j’assume chaque violence, chaque coup que je lui assène, chaque plaies que je trace sur son derme.
Je la fustige avec facilité, je m’en croyais pas capable et bien si.Je la bats et elle n’est plus que beuglement de ravissement. Elle jubile à chacune de mes brutalités, je la dresse, je la punie et elle se régale. Je ne retiens pas ma férocité, j’y vais franchement, je vais recouvrir toute ces marques et y apposer les miennes.
Son dos est en sang, son fion est écarlates, bleu, couvert d’ecchymoses et je frappe avec toujours le même enthousiasme.Ma mère sous la flagelle beugle sans discontinuer ses orgasmes et sa jouissance si puissante m’encourage à poursuivre, à lui montrer tout ce que je suis prêt à faire pour la satisfaire.
J’ai arrêté de la tourmenter, il est temps pour elle de voir tout ce qui l’attend .Je graisse le manche, j’écarte sa raie et j’enfonce le martinet dans les tréfonds de son fondement. Je le pousse jusqu’au fond. Les sphincters dilatés ont cédés le passage et maintenant un flot de cuir ruisselle hors de son derrière. Cela lui fait une longue queue qui pendouille mais je pousse encore pour engouffrer le bout, je veux que seules les lanières dépassent de sa lune.
D’une vive claque sur sa fesse je viens de lui ordonner de se retourner. Je lui désigne la table, elle s’y allonge en silence. Ses nichons montent et descendent au rythme de sa respiration, elle est essoufflée, en nage, mais je ne fais que commencer.
« - Attrapes tes jambes ! », mon premier ordre vient de tomber.
Maman a saisit ses guibolles pour les basculer par dessus elle. Ses cuisses sont ouvertes, son minou n’attend plus que d’être châtier.Je tapote sur sa moule avec une cuillère de bois, j’envoie des petites tapes sèches, je tapote sa chatte et peu à peu elle enfle, elle se boursoufle. Sa fente et son clitoris disparaissent dans l’œdème, sa motte est dès lors monstrueusement gonflée.
On dirait le sexe d’une guenon en rut.
Elle voudrait bien y plonger ses doigts, elle voudrait se toucher, que je la regarde se masturber, elle a tenter de le faire, mais j’ai immédiatement cinglé cette main effrontée.Elle ne recommencera pas, du moins pas tant que je l’autoriserais à le faire.
Son intimité ne gonflera plus, mais le résultat est incroyablement excitant. J’aimerai la prendre mais je n’ose pas. J’ai saisi le battoir, j’en teste la souplesse, la gomme est d’une souplesse remarquable, elle va la ravir.
La première frappe a été fulgurante, le choc d’une brusquerie atroce, ma mère s’est cambrée sur le plateau et une plainte aiguë a résonné dans la salle. La lame a décuplé ses sensations, elle vient de passer au palier supérieur de la souffrance, celui qui la comble.Je tabasse son con bouffi, je l’entends geindre, pleurnicher également, mais dès que je marque une pause, elle redresse sa tête et me fixe de son regard suppliant pour que je reprenne.
Alors je frappe, son intimité, sa bedaine, je foudroie ses seins et ils valdinguent dans tout les sens pour mon plus grand régal. J’ai continué, j’ai même fini par perdre la notion du temps, j’ai été intraitable, tyrannique, minutieux dans le supplice et Maman a enfin atteint l’exaltation suprême, dans un long jet de cyprine qui a tout souillé en jaillissant.
Gladys, je confesse qu’emporté par l’euphorie j’ai poursuivi.J’ai tanné son cuir, j’ai couvert d’hématomes la moindre parcelle de sa peau, j’ai rouvert ses coupures et j’en ai fais bien d’autres.
Ma mère n’était plus que bonheur, jouissance innommable, son fils adoré la punissait sans charité elle n’était plus que plaisir pervers.
Je n’en pouvais plus, mes bras me fait terriblement mal, à l’aube elle était à genoux à mes pieds et moi pourtant je la giflais sans vergogne, alors je me suis branlé sous son nez.Ma pogne allait et venait le long de mon manche, ses yeux me suppliait de la laisser faire mais je me le suis défendu. Elle voulait me masturber, elle voulait me sucer pour sceller nos destins et je n’ai pas osé franchir cette étape.
J’ai bien fait, je le crois sincèrement, elle s’est sentie brimée, privée de cette ultime perversion, frustrer par cette humiliation suprême.Je ne suis pas encore prêt pour l’inceste, mais au plus profond de moi je sais qu’inévitablement je dépasserais un jour ce tabou...
Voilà Gladys tout ce qui s’est passé, je t’ai tout dit ou presque...Je me sens bien, je suis en paix et c’est à toi que je le dois... ».
Je relance le diaporama, Maman apparaît à l’écran dans toute son ignominie et elle est merveilleuse. Je déboutonne ma braguette et je sors ma queue. Elle est déjà toute tendue, de relire tout cela lui à redonner toute sa vigueur.
Je me dorlote doucement, je ne suis pas pressé de venir, je vais prendre tout mon temps.Aujourd’hui je suis seul, mais bientôt je retrouverais assurément ma mère.J’accélère le va-et-vient, contrairement à ce que je pensais je ne tiens plus, il faut que je jouisse et ensuite je recommencerai encore et encore... jusqu’à nos retrouvailles.
Je n’ai pas tout dit à Gladys, j’ai tu le plus indécent, le plus intime, le plus inavouable.Je veux venir avec le secret espoir que comme ce matin aux premières lueurs du jour, j’éjaculerais encore une fois sur le visage de Maman.
Diffuse en direct !
Regarder son live