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papa, tu devrais arrêter de fumer

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain soir, alors que nous sommes à table avec mon épouse, nous parlons de choses et d’autres lorsque soudain elle me dit :
— Au fait… Je ne t’ai pas vu fumer, aujourd’hui ; qu’est-ce qui se passe ?— J’essaie d’arrêter.— Quoi ? Tu essaies d’arrêter ? Mais à quoi doit-on ce miracle ? Sophie y serait pour quelque chose que cela ne m’étonnerait pas…
Un peu pris de panique par cette remarque, je m’emballe.
— Pourquoi dis-tu cela ? Elle t’a parlé ?— Non. Pourquoi cette question ? De quoi aurait-elle dû me parler ?
Rassuré, je réponds un peu n’importe quoi.
— Non, de rien, bref…— Oh, tu m’as l’air bizarre, toi… Tu me caches quelque chose !— Mais non, qu’est ce que tu vas chercher ! Elle a réussi à me convaincre, c’est tout.— Ouais, ouais… J’aimerais bien savoir quel argument elle a employé pour te faire ainsi changer d’avis du jour au lendemain.— Rien de spécial : j’en ai eu marre de l’entendre me rabâcher la même chose à chaque fois. Pour couper court, j’ai décidé de l’écouter enfin.— Je me pose quand même la question : comment se fait-il qu’elle a réussi là où moi j’ai échoué ? Surtout après avoir accepté – à ta demande – de partir en vacances au cap d’Agde pour y faire l’amour à trois avec une autre femme puis avec un homme, me promener dans des tenues hyper sexy, pratiquer l’échangisme avec un autre couple… J’ai même accepté la sodomie alors que j’ai horreur de ça ! La seule chose positive dans tout ça aura été le fait de découvrir mon côté bi. Malgré tout ça, tu n’as pas arrêté de fumer ; alors, permets-moi de me poser la question, à savoir ce que notre chère fille a utilisé comme stratagème pour parvenir à ses fins.— Tu m’agaces avec toutes tes questions !
Je me lève et quitte la table, sentant venir le piège. Je ne vais tout de même pas avouer à mon épouse que notre propre fille m’a fait la promesse de coucher avec moi si je stoppe la cigarette…
— Oh ! Monsieur prend la mouche ? Cela me donne raison de penser que tout ça n’est pas bien clair.
Je commence a regretter le marché que j’ai passé avec Sophie : ma femme n’est pas idiote ; j’ai peur qu’elle finisse par découvrir le pot aux roses. Que faire ? D’un côté, j’ai vraiment envie de faire l’amour avec Sophie ; mais d’un autre, je ne voudrais pas mettre mon couple en danger. Les images s’entrechoquent dans ma tête : je vois le corps nu de ma fille, je ressens encore le contact de ses lèvres sur ma verge. J’ai une envie folle de m’enfoncer dans son ventre, de faire glisser mon sexe dans cette conque humide et nacrée.
Soudain, une idée folle germe dans ma tête… Non ! Ça n’ira pas… Mais si ! Qu’est ce que je risque ? Pas grand-chose : juste qu’elle m’envoie balader, et après tout s’arrêtera là. Ma décision est prise ; je vais en parler à mon épouse. Je l’aide à débarrasser la table afin de détendre un peu l’atmosphère. Une fois terminé, nous allons nous installer au salon devant la télé.
— Tu sais, à propos de Sophie, tu as raison.— Je le savais, qu’il y avait un loup dans ton histoire. Alors, vas-y. Je t’écoute.— Alors, voilà : Sophie m’a promis de coucher avec moi si j’arrêtais la cigarette.— QUOI ? Mais tu es fou ! Vous êtes des malades ! Et toi, tu as accepté, on dirait…— Je te jure que j’ai résisté, mais elle a su se montrer si persuasive qu’à la fin j’ai fini par accepter.— Et que comptes-tu faire, maintenant que tu me l’as dit ?— Eh bien, ça dépend de toi.— Comment ça, cela dépend de moi…— Je me suis dit que, comme tu aimes faire l’amour avec une femme, tu pourrais participer.— MAIS JE RÊVE… Tu voudrais que je fasse l’amour avec ma propre fille ? Mais tu es un grand malade, mon pauvre ami !— Je te jure que si tu acceptes, je ne toucherai plus jamais à une cigarette.— Tu es un manipulateur de première ! Donc, si je refuse, tu continueras à fumer. Dis-toi bien que c’est ta santé, et pas la mienne. Il est hors de question que je couche avec ma fille, point barre !
La conversation s’arrêta là. J’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil, cette nuit-là, me disant que j’avais fait la plus grosse connerie de ma vie.Le lendemain matin, j’eus droit à un accueil des plus glacials en pénétrant dans la cuisine.
— J’ai à te parler, me dit-elle.
Je m’assis en face d’elle sans dire un mot.
— Voilà : j’ai réfléchi à toute cette histoire une bonne partie de la nuit, et je suis arrivée à la conclusion suivante : Sophie est majeure et vaccinée, comme on dit. Si elle veut coucher avec toi, c’est son choix. De plus, elle le fait pour une bonne cause ; toi, tu as eu le courage de m’en parler avant. Est-ce que tu m’aurais mise au courant si je ne t’avais pas posé toutes ces questions ? Ça, je ne le saurai jamais. Il est vrai que j’aime faire l’amour avec une autre femme ; pourquoi pas avec ma fille, après tout ? Donc, j’accepte ta demande, mais à une condition : que tu n’en parles pas à Sophie avant. Je veux qu’elle ait cette surprise le jour où cela se passera entre vous.
— Fantastique, ma chérie ! Je ne lui dirai rien ; c’est promis.
Les premiers jours sans tabac furent difficiles, malgré la récompense qui m’attendait au bout de ces trois mois. De temps en temps, Sophie m’appelait ou passait à la maison pour me motiver. Mon épouse jouait le jeu, nous laissant tous les deux lorsqu’elle venait. Je pense que cette situation l’émoustillait à présent presque autant que moi ; j’en veux pour preuve le fait qu’elle m’en parlait de plus en plus souvent. D’ailleurs, son appétit sexuel avait redoublé : nous faisions l’amour presque tous les jours. À croire qu’elle voulait me prouver que je n’aurais rien à gagner en couchant avec notre fille. Un soir, après une énième partie de jambes en l’air, elle me dit :
— Ça se rapproche.— Quoi donc ?— Mais, la grande date où tu vas pouvoir coucher avec ta fille. Ne me dis pas que tu ne l’as pas remarqué ! D’ailleurs, je pense qu’à partir de demain, nous devrions nous abstenir de toute relation sexuelle afin de faire monter le désir. Il faut que tu sois en forme, mon chéri, pour lui faire honneur. Je suis certaine que tu rêves de la faire jouir ; donc, il faut que tu mettes toutes les chances de ton côté. Au fait, je pense que le mieux serait que cela se passe un mercredi, le jour où je fais ma sortie hebdomadaire avec mon amie Julie. Sophie sera rassurée de savoir que je ne risque pas de rentrer ; elle sera plus détendue.— Oui, bonne idée ; mais tu partiras de la maison, ou non ?— Je m’absenterai le temps de vous laisser vous mettre en condition, puis je reviendrai sans faire de bruit. Tu te débrouilleras pour aller avec elle dans notre chambre : autant que vous soyez à l’aise tous les deux.— Tu sais, je te trouve bien prévenante à mon égard : jamais je n’aurais imaginé que tu sois d’accord pour participer.— Je me suis dit que, d’une certaine façon, cela raffermirait encore plus le lien qui nous unit tous les trois. Et en plus, il y va de ta santé, mon chéri, me dit-elle en riant.
"Petite salope…" lui dis-je gentiment en même temps que je posais une main sur sa vulve pour la pénétrer avec deux doigts. Le soupir qu’elle poussa à ce moment-là me prouva bien ce que je pensais : mon épouse avait changé. Jamais auparavant elle n’aurait accepté une caresse aussi brutale.
Les jours suivants passèrent au ralenti ; nous étions aussi excités l’un que l’autre. Ce n’étaient plus que caresses fugaces et phrases égrillardes mais, comme convenu, plus aucun rapport sexuel. La veille du fameux jour, mon épouse vint me voir dans la salle de bain pendant ma toilette et me dit tout de go :
— Tu sais, ça serait bien que tu te rases pour demain.— Mais je me rase tous les jours !— Mais non. Pas la barbe : le sexe.— Quoi ? Tu veux que je me rase le sexe ?— Oui, bien sûr : les jeunes d’aujourd’hui adorent ça. L’époque du mâle dominant poilu comme un orang-outan, c’est fini, mon chéri.— Bon, ok, si tu le dis… Mais c’est toi qui va le faire, dans ce cas.— Pas de problème ; va dans la douche.
Pendant que mon épouse officiait avec le rasoir, et à force de me tripoter mon sexe dans tous les sens, je me mis à bander.
— Monsieur s’énerve, à ce qu’on dirait ? Mais il va falloir que tu attendes jusqu’à demain, mon pauvre ! Regarde comme elle est belle, sans tous ces poils ; elle paraît même plus longue.
Je regardai le résultat dans le miroir, et dus admettre que mon épouse avait raison : je ne reconnaissais plus mon sexe. C’est vrai qu’il paraissait plus grand.
— Si tu veux, tu peux me faire la même chose, me dit-elle.— Oui, je veux bien : je suis curieux à présent de voir à quoi ressemblera ta chatte sans les poils.
Le travail terminé, j’admirai le résultat ; je ne débandais plus… Voir cette vulve imberbe me donnait une envie folle de la pénétrer.
— J’ai très envie de toi, ma chérie ; on est idiot de ne pas l’avoir fait avant. J’adore ton sexe : on dirait celui d’une petite fille.
Je l’attirai dans mes bras, enfonçant ma verge tendue entre ses cuisses qu’elle referma dessus. Je sentais le contact de ses lèvres humides contre ma hampe. Nous sommes restés ainsi un bon moment, nous frottant l’un contre l’autre ; ses tétons étaient aussi durs que mon sexe.
— Arrête… arrête… gémit-elle en me repoussant doucement.
Je la relâchai à contrecœur.
— Oui, tu as raison : on se rattrapera demain.
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