Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 6 Commentaires

Par la fenêtre

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Elle m’attend,assise en tailleur, les genoux coincés sous son pull. Une tasse de Darjeeling brûlant entre les doigts sur lequel elle souffle délicatement.Instants d’éternité, que le thé fumant. De longues chaussettes de laines Laissent apparaître le haut de sa cuisse. Trésor de sensualité, elle pose en déesse. De sa fenêtre elle regarde la rue, Mouvements immuables des badaudsQui montent et redescendent vers la gare,Des couples qui se tiennent par la main, puis s’embrassentSéparation d’un jour ou de trop d’années, partir est toujours un départ. La neige, poussière de cristal ne tient pas au sol Mais constelle le ciel de milliards d’étoiles opalescentes,Lumière magique où les ombres comme les sons s’étouffent.Sur l’immeuble d’en face son regard se fixe, Une lumière allumée au premier dévoile des ombres.Son coeur s’accélère… secret volé… elle franchit la barrièreDe celui ou celle qui ne détourne pas le regard.Elle pose sa tasse, et se rapproche timidement de la fenêtre De là, elle la voit, elle n’a pas fermé les rideaux, La voisine d’en face, inconnue si souvent croisée. Clairement, elle voit sa main, le mouvement de ses cuisses Qui s’agitent sous ses caresses appuyées.
Peut être cherche t’elle à être vu? Une douce chaleur lui monte le long du ventre, Délicatement elle se caresse. Magie du jeu interditOù toute sagesse se dissipe. La voisine accélère son geste et se cabre davantage, de là elle ne perçoit pas les détails mais perçoit l’essentielSes doigts rapides mais subtils jouent en elle une partition de plaisir. Ses mouvements se font plus pressant,Son visage disparait dans l’oreiller, elle ne voit plus que son corps,qui un dernier soubresaut cède au plaisirD’un orgasme solitaire qui la fait tressaillir.Glissant sur le côté quelques instants, La voisine se redresse rapidement et s’engouffreDans la pièce voisine, salle de bain à la fenêtre opaque.Elle se retrouve seule, esseulée, chamboulée, frustration des sens, un peu perdue, le rouge aux jouesEntre frisson du voyeurisme et sentiment d’inachevé.Elle s’assoit, se jeter sur le lit? Elle y pense un instant.Quand la clé pénètre dans la serrure…J’ arrive, elle le sait, l’impatience devient plaisir.je franchis le pas de la porte, La pression de ses pas fait craquer le parquet Elle esquisse un sourire dans ma direction, L’ envie en elle ne fait que décupler. Par la chaleur des sensations qui s’éternisent,Elle pose ses mains contre ses cuisses.La veste jetée au sol, je m’approche Rendez vous amoureux, j’ arrive en terrain conquis je lui pose une main sur l’épaule etla couvre de baisers suavement poséesEntre la courbure de sa nuque et le lobe de son oreille, Elle adore ça, et je le sais.« Je t’ ai manqué ? malicieuses questions que sont celles ,dont on connait les réponses. — Si tu savais à quel point… » me répond t elle. Joueuse et amante. Elle pivote délicatement, et m’enserre entre ses cuisses,Nos lèvres se touchent pendant que me main remonte le long de son pull.et effleure ses seins, durcis par ce chemin d’excitation à laquelle je prends partUn frisson perceptible la traverse,Elle me mordille la lèvre,Et commence à défaire mes vêtements, un par un.Délicatement à mon tour je fais glisser son pull, La laissant nue,Ses chaussettes longues telles des bas pour seule caprice.Du pied entre mes jambes elle remonte délicatementjusqu’à caresser mon sexe,Tandis que je retire le dernier bouton de ma chemise. Recueil secret de jouissance aux parfums enjôleurs. J’aime son regard sur moiA la fois protecteur et sauvage. Elle lit dans mon corps, comme je lis dans le sien.Et elle aime comme je la regarde, Sa poitrine si menue, ses hanches un peu large à ses yeux,Deviennent merveilles sous mes caresses et ses baisers. Mes mains se mettent à onduler le long de son dos, il passe délicatement de ses épaules à la naissance de ses fesses,et redessine de ses doigts, les contours du dragon qui y est tatouéLu,i seul sera témoin de nos ébats.Suivant chaque trait, chaque contour,Son corps sursaute quand je prolonge le traitDu dos de la bête qui se termine sous son bras. Elle étouffe un rire de que j’occulte d’un baiser. Ma main glisse le long de sa hanche et passe entre ses cuisses, Caressant son sexe, mouillé du préambule que lui a fait vivre la voisine. Elle me serre fort contre elle, si fort,que mes doigts pénètrent profondément,Sursaut du désir qui me fait défaillirLes sentiments se mélangent en même temps que nos corps.Je fais glisser mes doigts en elle de plus en plus fort.D’un murmure dans l’oreille, elle me chuchote qu’elle aime ce moment,En me mordillant doucement le nuque, puis plus fort, D’un regard complice je lui fais signe de se retourner. Plus de mots, nos regards prennent le relai. Elle se retourne, pose ses deux mains sur le bureauEt enserre ses cuisses autour de mes épaules.Agenouillé, Ma langue entre et sortait de son sexe en petits mouvements réguliers,Je sens son corps se détendre sous ma bouche,Son sexe laisse apparaître tous ses méandres que je sillonne avidement.Une de me mains s’aventure entre ses fesses, Caressant délicatement son cul, Où j’ amène ma langue qui y pénètre légèrement, facilement. Elle ne peut s’empêcher de se caresser en même temps,

Le va et vient long et rapide l’amène aux frontières des sensationsElle perd pied et se sent défaillir, Elle repousse mon visage de ses deux mainsimplorant une pause, que les choses ralentissent.Elle a envie de mon sexe en elle.D’un mouvement lent et sensuel elle se retourne,Posant ses seins sur le bureau et m’offre ses fessesQue je caresse avidement,J’atteins mon but, mais qui contrôle le jeu réellement ?Mon sexe entre en elle doucement, puis peu à peu accélèreElle pose ses mains sur ses fesses qu’elle écarte doucementMe laissant marquer la rythme de nos ébats.Chaque soubresaut la fait chavirer, une perle de sueur Glisse sur son front. Je suis le gardien de son corps, elle m’offre tout ce qu’elle est Sans pudeur, sans crainte, nous sommes un à cet instant.Je m’égare dans la contrée des sensations interdites. Nos corps sont une mélodie langoureuse, ponctuée de soubresauts Qui s’accélèrent et ralentissent au son de nos soupirsElle sent monter en elle une jouissance sans limite, Un pétillement de délices lui parcourt les tempes tandis que sa vue se trouble.C’est à ce moment précis que je jouis en elle. Nos deux êtres vibrant à l’unisson, nos corps s’unissent.Le plaisir partagé décuple nos émotions. Jusqu’au moment de calme qui clôture les instants de feu intérieur.Allongé contre elle, nos respirations s’apaisent dans un baiser.Ses yeux brillants luisent sous la lumière de l’applique. Le rideau de la fenêtre derrière nous et grand ouvert, Au loin dans l’immeuble d’en face nous percevons des silhouettes
Regarder ou être regarder, Le parfum de l’interdit inonde les instants volés.
Diffuse en direct !
Regarder son live