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Par une nuit noire

Chapitre 1

Inceste
Lorsque j’ouvris les yeux, tout était noir. De ces opacités desquelles rien ne transpire. La porte de la chambre était fermée et même la lumière du couloir n’éclairait pas le cadre de la porte. Je pris conscience de ma situation alors que ma main se referma sur une chaire ferme et chaude. Mes doigts malaxaient ce qui s’avérait être l’une des fesses de Léa. J’entendais clairement le rythme lent de son souffle. Elle devait certainement dormir.
L’un des plaisirs absolus de ma femme consiste à se faire réveiller par l’action de ma langue sur son clitoris. Comme à son habitude, Léa dormait nue. Comme à son habitude, elle dormait sur le ventre. Je me redressai et me plaçai entre ses longues jambes. Ne voyant pas, je me dirigeai à l’aide du toucher.
À genoux au-dessus de son corps, je plongeai mon visage, toute langue dehors, entre ses fesses tièdes. Tout de suite, l’odeur de son entrejambe me fit tourner la tête. J’y étais habitué mais chaque fois, il me semblait la redécouvrir. L’odeur révélait cette fois une touche d’agrume. Du bout de la langue, j’effleurai ses lèvres parfaitement lisses. Pénétrant petit à petit, je laissai son liquide remplir ma bouche de divers arômes. Je buvais son jus et m’en délectais. Comme s’il m’était donné pour la première fois d’en faire la dégustation.
Écartant ses fesses, j’enfonçai un peu plus ma langue en elle. Je pouvais caresser les parois de son vagin à l’aide de ma langue. Léa fut saisie d’un spasme et sembla se réveiller. Elle se retourna, me laissant accéder à son clitoris. Fièrement dressé entre mes lèvres, je le titillai afin qu’il durcisse et prenne une taille plus considérable.
La suite fut brève et fulgurante.
Alors que j’aspirai sans ménagement ce minuscule ilot de plaisir, j’insérai deux doigts dans la fente déjà ouverte de se chatte humide. Je pris conscience de l’état de ma femme. Elle n’allait plus tarder à jouir et à expulser une quantité impressionnante de cyprine.
Enfin, arrivèrent les premières convulsions. Léa attrapa mes mains et enlaça ses doigts aux miens. Elle gémit puis laissa passer un cri clair et aigu. Je sus que quelque chose clochait quand je ne sentis pas le liquide fuir de sa fente.
Un instant plus tard, la lumière du couloir s’alluma éclairant les contours de la porte. Celle-ci s’ouvrit d’un coup. Puis la lumière de la chambre m’aveugla complètement. Le temps que je reprenne mes esprits, je sentis une gifle monumentale s’abattre sur mon visage.
Lorsque je pus voir à nouveau, je découvris une Léa furieuse, les bras croisés sur la poitrine, droite devant le moi. Je dus avoir l’air interloqué puisqu’elle me fit un signe de tête afin que je regarde vers le lit.
Je me trouvai agenouillé devant le corps offert d’Aude, agenouillé entre les jambes écartées de ma belle-sœur, agenouillé la queue tendue vers les lèvres couvertes de jouissance de la sœur jumelle de Léa.
J’étais coupable d’inceste, sans l’avoir voulu. Je ne comprenais pas comment une telle situation était possible. Aude habitant dans le sud de la France. Et s’y trouvant toujours aux dernières nouvelles.
Léa ne m’adressa qu’une seule phrase avant de quitter la chambre : « tu n’es qu’un monstre. » Aude me sourit et ne sembla pas embêtée outre mesure. Elle prit même le temps de recueillir quelques gouttes de cyprine et de les porter à sa bouche.
Je décidai de rejoindre ma femme. Mais ne pouvant réfléchir en l’état actuel des choses, il me fallait un instant de répit. Une douche me ferait le plus grand bien.
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