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Paradoxe et limonade

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
             La famille Caulin, modèle d’harmonie bourgeoise, fait ses courses du samedi après-midi. 32 degrés dehors, l’été est de braise, on est bien mieux dans le magasin. Oh oui.           
    Le cadet des quatre enfants pousse le caddie, une de ses activités préférées. Les trois autres prennent des chemins divergents, seule consigne : se retrouver tous les six au parking dans 30/40 minutes.           Le père de famille, fier de son pitchoune superpilote et de son épouse superciselée, a la mine des jours radieux. Madame Caulin, 34 ans, décide d’essayer un pagne.     - A tout de suite, mes deux chéris. Rendez-vous au rayon boissons fraîches.
Hum...  Elle n’a pas tout dit, la jolie Dame si convenable. Si BCBG. Limite Grace Kelly réincarnée sur un mode parfaite épouse parfaite mère-poule parfaite banquière parfaite tout.
    Voire.
    Cinq minutes plus tôt un jeune baraqué, chef d’une petite bande d’une demi-douzaine de lascars, lui avait glissé dans sa poche un mot. " T’es jolie d’la tête aux pieds, m’dame. On voudrait voir tes seins". Elle l’avait lu ce mot, avait fixé le groupe cinq secondes, immobile. Cinq secondes où son for intérieur sembla déconcerté. Puis, son époux et son cadet côté opposé du rayon yaourts, elle leur avait souri.
    Oui, souri.
    Les cinq minutes où ils les suivirent à distance respectable elle et ses deux "chéris" tout en bandant comme des ânes fut pour elle d’une saveur inégalable. Horribles et fascinantes à la fois. Son sourire signifiait "oui", et ils avaient capté.Elle choisit donc la cabine d’essayage la plus à l’écart. Ils l’y rejoignirent à peine trente secondes plus tard. Comme c’est étroit étroit étroit une cabine d’essayage à six. Si vous saviez.
    -Enlève le haut, salope.
    Catherine s’exécute. A oui, au fait, elle se prénomme Catherine, la belle mère de famille. Mais bof, on s’en fiche un peu, pas vrai ? En tout cas la bande de jeunes s’en fiche, ça c’est sûr. Tous balèzes, 19/20 ans, même quartier, même équipe de handball. Même goût prononcé pour les dragues incongrues, extrêmes. Ouais, ça marche qu’une fois sur dix, et alors ? Mieux que rien, hein ?  Surtout dans ce genre de configuration. Hum... La respectable mère de famille, serrée de près, de plus en plus près seconde après seconde, enlève sa veste en jean puis, comme pétrifiée devant sa propre folie passagère, leur murmure ce bien étrange :    - Bande de petits chenapans.Grisés par son ton sciemment snobinard, ils ont vite fait de lui arracher son soutien-gorge, de lui foutre des petites claques puis de plonger dans ses seins. Ils les mâchouillent tous en même temps, la plaquent contre la paroi en merisier de la cabine.    Madame Caulin, 34 ans, honorable épouse et mère modèle, ne parvient que difficilement à réprimer des gémissements de jouissance à se sentir débordée de toutes parts. Leurs insultes lui plaisent, ils le sentent. La première pénétration, anale, lui arrache les poumons, la scie sur place.     -T’imaginais pas qu’on s’contenterait d’tes nibards, m’dame.Catherine aurait presque l’âge d’être leur mère, pourtant ils la bousculent, la pénètrent soudain à trois queues, une dans la bouche, deux dans le vagin. Les autres malotrus lui tirent les cheveux, les oreilles, lui piquent sa montre de luxe, lui tordent le nez. Quasi-asphyxies, soumission complète. La Dame jouit, est consentante. Jouit d’être consentante. Contexte terrible. Orgasmes paradoxaux mais bien réels. Un corps de femme écrabouillé par cinq jeunes montagnes de muscles, des pénétrations multiples, rapides. Comme autant de coups d’épée.
    -Allez, on s’casse les mecs. T’es trop bonne, m’dame. Rendez-vous jeudi 17 heures 30 aile sud du Parc Descartes, OK ?!
Le tout aura duré dix minutes. Le pagne ? Acheté sans test préalable, trop beau souvenir de ce si fol orage pour la respectable mais trop avenante trop souriante trop belle belle belle épouse parfaite.    -Tiens, te r’voilà, ma biche, le pagne te va, alors ?    -Parfaitement, mon chou. Ah, je vois que vous avez pris trois bouteilles de limonade bien fraîches. Quelle bonne idée. J’ai tellement soif.
    Ah, ne pas oublier les cahiers et les stylos. Une rentrée scolaire, ça se prépare sérieusement pour une mère de famille si impeccable.          
    Si impeccable.

 
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