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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 2

Divers
Bruno et Nathalie étaient partis à quatre heure du matin. Sur la route qui les conduisaient vers les Alpes, ils étaient silencieux et pensaient à la situation de leurs amis. Ils s’inquiétaient pour eux et essayaient d’imaginer dans quel état ils allaient les trouver.
– Quand même, y a pas à dire c’est une belle hécatombe... Dit Nathalie dans un soupir alors que le jour pointait sur l’autoroute.– Ouai, on peu dire ça comme ça... C’est Luc qui m’inquiète le plus.– Ah bon pourquoi ?– Parce que Jérôme et Lucile, l’un et l’autre disaient que ça marchait pas et ils envisageaient déjà de se séparer. En plus, ils continuent à se parler. Mathieu, même si il doit encaisser le coup, c’est lui qu’est parti et vu comme elle essayait de régenter sa vie, j’imagine qu’il ne va pas être fâché de retrouver sa liberté. Mais Luc, il s’est fait jeté et il a découvert qu’en fait s’était lui le trompé dans l’histoire. Pendant un mois et demi pratiquement il a tout fait pour reconquérir Christine et se faire pardonné alors qu’il était déjà condamné depuis longtemps. Expliqua Bruno– Ouai, c’est quand même une belle salope celle-là ! Je te jure que si je la recroise un jour...– Bah, laisse tomber, c’est sûr qu’on la reverra jamais en plus, faut qu’on s’occupe de nos copains.– Je suis sûre qu’une bonne semaine de ski, quelques fondues et raclettes et du bon vin blanc, ça devrait déjà les aider pas mal.– Et bien moi, Je me demandais si on ne devrait pas leur faire une thérapie complète. Ajouta Bruno.– Comment ça ?– Ils ont sans aucun doute besoin de réconfort ; on pourrait peut-être les aider. Depuis le temps qu’on en rêve.– Tu veux dire... Tu veux que... tu veux qu’on baise avec eux ?– Exactement. À nous deux, on a deux bouches et trois orifices à leur offrir ; ça leur laisse du choix et ça comblera nos désirs– Il y a quand même un léger problème... Objecta Nathalie– Ah, oui ? Lequel ?– Ça fait deux mois que je prends plus la pilule et même si ça n’a pas marché jusque là je pourrai me retrouver en cloque sans savoir de qui... Je vais être en pleine ovulation cette semaine.– Encore mieux ! Enceinte d’un de nos potes... ça ferais un beau souvenir de vacances, tu crois pas ?– T’es sérieux là ? Ça te plairait ?– Pour être franc, tout de suite, ça m’excite. J’espère bien qu’ils vont te baiser tous les jours et te remplir la chatte comme il faut.– Oui,... faudrait qu’ils en aient tous envie.– Tu sais très bien qu’ils ont toujours fantasmés sur toi même quand ils étaient en couple alors je ne crois pas que tu auras besoin de les allumer beaucoup pour devenir le trou à bites en chef du groupe. C’est bien ça qui t’excite, non ?– Mmm, c’est vrai que c’est l’occasion ou jamais de devenir votre pute... Et tu crois qu’ils pourraient aussi avoir envie de ton cul ?– C’est plus que probable, tu sais que c’est en fantasmant sur mon cul que Luc et Jérôme se sont retrouver à se tailler des pipes et se branler dans les chiottes chez Mathieu.– C’est vrai, j’avais oublié ce détail... Reprit Nath avec un sourire alors qu’elle défaisait les boutons de son jean. Et Mathieu, il t’a déjà enculé ?
– Non, mais la première fois que Luc m’a enculé, il a enculé Jérôme... Mais ? Qu’est-ce que tu fais ? Tu te branle ?– Mmm, oui... ça m’excite trop ces trucs... mmmm. Tu bandes pas toi ?– Si, mais je conduis alors je peux pas me branler mais vas y toi, je m’arrêterais sur une aire de repos dès que je pourrais– Raconte-moi cette histoire quand vous avez niqué tous les quatre et que Luc t’a enculé la première fois.– Si tu veux...
Tout en conduisant, Bruno entreprit de raconter son souvenir de cette soirée où ils s’étaient retrouvé tous les quatre dans la chambre d’internat de Mathieu pour une partie de belote.
– C’était un samedi soir et, comme tous les week-end, la plupart des internes étaient rentrés chez eux, il n’y avait plus que eux à leur étage. On avait quelques bières et discutait cul et gonzesses. La discussion dériva sur la bisexualité, Jérôme et moi, on prétendait que plutôt que de se branler seul dans son coin, c’était plus agréable de se rendre service entre copains. Luc et Mathieu commencèrent d’abord à dire que eux ne toucheraient jamais à ça et qu’ils ne seraient jamais pédés. Alors j’ai dit qu’il ne s’agissait pas d’être pédé et que une bouche était toujours une bouche et un cul toujours un cul et que finalement pour certaines pratiques, le sexe du partenaire n’avait pas beaucoup d’importance. Ils finirent par en convenir, mais ils disaient que eux ne banderaient jamais pour un mec alors Jérôme à proposé un pari. Il a proposé qu’on les suce et que si on arrivait à les faire bander, ils devraient nous enculer. On a tiré au sort Jérôme et moi pour savoir qui sucerait qui et le sort m’a désigné Luc... Tu devrais enlever ton futal, tu serais plus à l’aise pour te branler ma chérie.– Oui, t’as raison, continue, raconte moi.– Donc, avec Jérôme on s’est foutu à poil et on s’est approché chacun de notre proie. Luc nous a demandé pourquoi on s’était déshabillé et j’ai répondu que pour baiser c’était mieux. Alors, on s’est collé à eux et on a déshabillé chacun notre partenaire. On y a mis beaucoup de sensualité l’un comme l’autre. On a embrassé leur poitrine, leurs tétons, leur ventre et quand on a attaqué de défaire leurs pantalons, on caressait leurs sexes au travers avant de baisser leur braguette. À ce moment, j’ai regardé Jérôme et on s’est fait un clin d’oeil. On avait déjà gagné le pari avant même de les avoir sucé. Luc bandait comme un âne quand j’ai baissé son caleçon et je me rappelle que la taille de son engin m’a fait un peu peur, mais je n’ai rien laissé paraître. Je l’ai sucé du mieux que je pouvais pendant plusieurs minutes. Luc gémissait en disant que jamais on lui avait fait un truc pareil. Il me caressait les cheveux et me regardait faire en souriant et en me complimentant. Mathieu et Jérôme avaient déjà interrompu la fellation et ils s’embrassaient à pleine bouche alors Luc m’a relevé et m’a embrassé. Ensuite, je me suis retrouvé à quatre pattes par terre tandis que Jérôme et Mathieu étaient sur le lit au-dessus de nous. Luc m’a à peine préparé puis il a présenté son gland contre mon cul. Comme il a vraiment une grosse bite, je lui ai dit d’y aller doucement ce qu’il a fait très bien. Je me suis vite détendu et il a pu me baiser à fond. Jamais j’avais ressenti un truc pareil. Sa bite me remplissait le cul et j’ai joui comme jamais encore je n’avais joui du cul. J’étais une vraie salope en chaleur. À côté de nous, le lit de Mathieu grinçait et Jérôme couinait comme une chienne. Il faut dire que Mathieu a une bite assez longue et qu’elle devait aller bien au fond de son cul. Et puis, Luc a éjaculé dans mon cul en beuglant comme un ours et quand j’ai repris mes esprits, j’ai vu que Mathieu aussi s’était vidé dans le cul de Jérôme. On a fini la soirée à poil. Luc m’embrassait et me caressait comme une fille alors que Mathieu faisait de même avec Jérôme. À force de m’embrasser et de me peloter, il s’est remit à bander alors je lui ai suggéré de laisser Mathieu et Jérôme tranquille et on est allé se coucher dans sa piaule. Après, jusqu’à ce que l’on sorte ensemble, je devenait son amant du week-end et il me baisait toute les semaines.– Et toi, tu ne l’a jamais enculé ?– Non, il n’y a que Jérôme que j’ai enculé parfois mais autrement je préfère qu’on m’encule et ni Luc ni Mathieu ne sont attirés par le rôle du « passif ». Ah voilà une aire de repos.
Il firent une pose au fond de cette petite aire d’autoroute déserte à cette heure matinale et baisèrent comme des sauvages sans sortir de la voiture. Nathalie avait déjà joui en se masturbant pendant que Bruno racontait son histoire et elle voulait qu’il l’encule. Son chéri ne se fit pas prier. Elle ne fut pas longue à grimper aux rideaux ce qui était mieux car Bruno ne tenait plus quand il la pénétra et il déchargea très vite. Un quart d’heure à peine après s’être arrêtés, ils reprenaient la route.
Ils arrivèrent comme convenu pour déjeuner chez la grand-mère de Bruno où ils retrouvèrent ses parents qui leur donnèrent les clés et leur firent quelques recommandations d’usage. Ensuite, ils allèrent ouvrir la maison avant l’arrivée des trois garçons, prévue dans le milieu d’après-midi. Ils préparèrent les quatre chambres et installèrent leurs affaires dans celle des parents de Bruno. Quand les trois garçons arrivèrent, le programme s’accéléra. Luc et Mathieu devaient aller louer des skis et Il y avait des courses à faire. Nathalie les accompagna dans la boutique de Laura pendant que Jérôme et Bruno allaient acheter de quoi manger à la supérette. Laura est une jolie femme blonde, les cheveux plats mi-longs, de 35 ans environ, plutôt grande est toujours habillée, en hiver, de pulls à col roulé, en grosse laine, très moulants et de pantalon de ski ajustés qui mettaient parfaitement en valeur la forme de ses fesses. Bruno et Jérôme l’ont toujours considérée comme une sorte de grande sœur et depuis qu’elles se connaissaient avec Nathalie, les deux femmes s’étaient prises d’affection. Les courses à la supérette furent vites faites et les deux amis allèrent retrouver leurs autres au magasin de sport. Bruno voulait regarder de nouveaux skis pour Nathalie et lui. Quand elle vit sa « belle-cousine » entourée de ces quatre hommes, Laura ne pût s’empêcher de lui faire une remarque amusée en aparté.
– Et bien dit donc ma chérie, te voilà bien entourée à ce que je vois... Dit Laura en souriant– T’as vu ça ! Ça te fait envie, hein ? Répondit Nath sur le même ton– Quatre beaux mecs pour toi toute seule, ça fait rêver tu veux dire Haha ! Enfin si je me souviens bien d’une discussion qu’on a eu y a deux ans, ça ne doit pas franchement t’effrayer. Je me trompe ?– À part beaucoup de plaisir, je ne vois pas franchement ce que j’aurais à craindre effectivement. Répondit Nathalie avec une légère pointe de fierté– Il va falloir que t’assure, quand même et surtout tu vas devoir les mener à la baguette si tu veux pas être totalement esclave.– À la baguette ? Entre nous, je préférerais les mener par la braguette. Haha !– Gourmande ! Si t’as besoin d’aide t’hésite pas, je trouverais bien le moyen pour me libérer un peu. Haha !– Compte là-dessus ma belle. Toi, ton mari, il t’emmène dans des clubs mais nous c’est pas notre truc alors pour une fois qu’on a ce qu’il nous faut sous la main... et puis il n’ y encore rien de fait.– Oh, pour ça je te fais confiance, tu devrais arriver assez vite à les convaincre... t’as les arguments qu’il faut où il faut. Dit Laura en tâtant les seins de sa belle-cousine. Bon, et à part ça, on aura le temps de se voir ? Vous restez combien de temps ?– Les gars restent une semaine mais Bruno et moi on est là les quinze jours, histoire de passer aussi du temps en famille.– Super, on aura du temps à ce moment-là. Dommage que « Super-Jé » ne reste pas plus, ils formaient une sacrée paire avec Bruno.– Écoute, je verrai avec eux, on devrait bien trouver le temps de se faire une soirée avec toi et Lionel avant qu’ils ne partent ; Bruno semble être dans une dynamique d’ouverture, autant en profiter si tu vois ce que je veux dire.– Génial ! Je me fais le porte parole de mon homme, n’importe quel soir nous ira bien.
De retour au chalet, la soirée s’engageait et la nuit était tombée sur la petite station. Mathieu, Luc et Jérôme devaient encore choisir leurs chambres et y ranger leurs affaires pendant que Bruno et Nath s’occupèrent de ranger les courses et de préparer le dîner. Ce fut un repas très simple, du genre pizzas surgelées salade, juste arrosé d’un petit Combe de Savoie rouge très apprécié. Les discussions tournèrent uniquement sur le ski, l’étendue du domaine, la réelle difficulté des pistes, les appréhensions de Mathieu qui n’avait été au ski que trois fois dans sa vie et la faiblesse de l’enneigement. Bruno les rassura sur ce dernier point en leur apprenant que de fortes chutes de neiges étaient prévues dans la nuit et toute la journée suivante et que le risque était plutôt que la station soit fermée pour intempéries. À la fin du repas, Nathalie et Bruno commençaient à accuser le coup de leur longue journée et ne souhaitaient rien d’autre que d’aller dormir assez vite. Une fois couchés, ils se firent juste un câlin et s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Quand ils se réveillèrent, le jour était sans doute levé, mais il faisait un vrai sale temps. La neige tombait en gros flocons et formait un rideau gris clair, très dense, on ne voyait pas à dix mètres et la journée de ski semblait compromise.
– Un temps parfait pour traîner en caleçon toute la journée, dit Bruno en ouvrant les volets.– Pour toi, peut-être, mais moi, je n’ai pas de caleçon. Fit remarquer Nath en s’étirant– T’as qu’à mettre un string, ça sera plus agréable à regarder.– Et tu crois que les autres sont en slip ou qu’ils sont déjà habillés.– Je n’en sais rien, on verra bien. Conclut Bruno en enfilant un caleçon et un t-shirt.
Quand ils arrivèrent dans la cuisine, ils découvrirent Luc habillé seulement d’un pyjama, mais Mathieu semblait près à attaquer les pistes. Il portait un pantalon de ski et un sous-pull à col roulé. À la demande de Bruno, Nathalie avait mis un string en dentelle blanche, très ajouré qui laissait entrevoir la fente de son sexe glabre et un t-shirt à peine assez long pour cacher ses fesses. De fait, les occasions données aux garçons d’admirer son entrecuisse se multipliaient. Jérôme arriva quelques temps après dans la même tenue que Bruno.
– C’est la fête du slip, on dirait ! Dit Jérôme enjoué en entrant dans la cuisine.– Parle pour vous trois, Luc et moi on a su garder un certaine décence ! Répondit Mathieu en souriant.– Parce que tu me trouves indécente ? Questionna Nathalie l’air un peu mutin.– Ben, je sais pas trop, c’est...– Moi je la trouve très belle. Interrompit Luc.– T’es choqué ? Demanda Nathalie à Mathieu. Si tu veux je vais m’habiller.– Non,... non je suis pas choqué. Tu peux rester comme ça en fait, je m’en moque et puis Luc à raison t’es ravissante de toute façon. Répondit le rouquin.– Tu sais Mathieu, c’est ce que je dis toujours... Dit Jérôme en se servant un café. C’est la violence et l’horreur qui sont indécentes pas la beauté.– En plus, vu le temps, on n’est pas près de sortir. Dit Bruno. Alors quitte à traîner à la maison autant être à l’aise. Si tu veux rester en slip comme nous ou en pyjama comme Luc, rien ne t’en empêche.– Tu crois qu’on pourra pas skier ? Demanda Mathieu l’air ennuyé– Pour ce matin, c’est sûr ! Répondit Bruno, et je doute que ça s’améliore avant la fin d’après-midi.– Hier on disait qu’il n’y avait pas assez de neige et bien là, on est servi. On va se régaler demain vous allez voir ça ! Dit Jérôme avec le sourire.– Et pour aujourd’hui, on trouvera d’autres occupations, t’en fait pas ! Conclut Nathalie en souriant.
Mathieu retourna donc dans sa chambre pour retirer ses vêtements de ski et revint en slip moulant et t-shirt. Après le petit déjeuner, ils passèrent les uns après les autres sous la douche mais les tenues restèrent les mêmes. Il régnait dans le chalet une douce chaleur qui contrastait avec le temps extérieur et qui justifiait de ne pas s’habiller davantage. Pour s’occuper, ils firent quelques tours de tarot avant de préparer le déjeuner. Bruno prépara un plat régional à base de saucisses cuites au vin blanc accompagnées de petites pâtes de sarrasins au fromage de Beaufort. Luc prépara une salade, Mathieu un dessert et Nath, aidée de Jérôme, des petits canapés et autres mignardises pour l’apéritif. Ils furent tous occupés en cuisine et la pièce étant relativement exiguë, les corps se frôlaient, les mains se touchaient et un trouble grandissait dans les esprits. La jeune femme ne perdait pas une occasion pour exhiber son joli petit cul rebondit et se félicitait de l’effet de son manège dans les slips des mâles. Sans être franchement dressés, aucun sexe n’était au repos et elle constatait avec amusement que le slip serré de Mathieu risquait de ne plus contenir le long manche qu’il cachait encore. À l’apéritif, Bruno et Jérôme s’assirent dans des fauteuils tandis que Nath se retrouvait encadrée par Luc et Mathieu dans le canapé. Les uns tournaient au whisky, d’autres préféraient le vin blanc. L’alcool détendait les nerfs et donnait de l’audace. Par deux fois, la main de Mathieu se posa sur la cuisse de sa voisine. S’il l’avait retirée très vite la première fois, il la laissa la deuxième en considérant que l’absence de réaction de son amie valait acceptation. En voyant cela, Luc fit de même, « l’air de rien » et Nath le laissa faire. Les discussions étaient banales, mais l’atmosphère s’électrisait. Pour faciliter leurs caresses sur l’intérieur de ses cuisses, elle les écarta un peu, dévoilant au regard de Jérôme son string qui ne cachait rien de sa fente humide. Bruno contemplait la scène et se demandait quand la situation allait réellement basculer. Il redoutait cet instant qu’il savait maintenant inévitable mais son sexe lui disait à quel point il le désirait également. C’est le compte minute des pâtes qui tira tout le monde de ce moment magique et, sans rien dire, ils passèrent à table. Les quatre garçons bandaient sérieusement maintenant et Nathalie se disait en regardant Mathieu qu’elle n’aurait qu’à soulever le bas de son t-shirt pour voir la tête de son gland.
Le repas calma un peu les esprits et ils abordèrent les sujets douloureux. Jérôme avoua que de toute façon, il ne s’attendait pas à vivre longtemps avec Lucile.
– On ne s’aimait plus vraiment et on avait déjà évoqué la séparation. L’incident avec Luc n’a fait qu’accélérer le mouvement mais en vrai c’est le scandale qu’a provoqué Christine qui l’a le plus mise en colère ce soir là. Dit Jérôme en jetant un regard vers Luc.– En tout cas, elle, elle m’a appelé pour s’excuser de ne pas venir avec nous au ski. Précisa Bruno– Et d’après ce qu’elle m’a dit vous êtes toujours en contact, c’est vrai ? Interrogea Nathalie– Bien sûr, on reste amis, on s’appelle au moins une fois par semaine et on échange des mails presque tous les jours. Finalement, c’est bizarre mais je crois qu’on est content de ne plus vivre ensemble même si pour le cul, en ce qui me concerne c’est main droite depuis deux mois. Répondit Jérôme en forçant un sourire– Je sais pas comment t’arrive à penser au cul, Mec. Moi, franchement, après tout ce que j’ai fait pour elle et la manière avec laquelle elle m’a jeté... j’en reviens toujours pas ! Intervint Luc au bord des larmes. Je l’aimais ! J’étais prêt à tout pour elle et, cette salope ! elle m’a trahit, trompé ; elle guettait le moindre faux pas pour m’humilier et me jeter comme une merde ! Mais qu’est-ce que j’ai fait de mal, bon sang ! Pourquoi ? Tu peux me le dire ?– Sans doute parce que toi comme moi, on s’est trompé de cheval. Dit Mathieu. Christine est apparue au grand jour comme une salope calculatrice qui, sans doute, préférait te quitter en t’humiliant pour que tu paraisses moins bien à ses yeux et Véronique comme une grosse conne. Moi, je lui dois une fière chandelle à Christine : dans sa volonté de te nuire, elle m’a révélé la vraie Véro, celle qui me bouffait petit à petit, qui avait tous les jours un peu plus d’emprise sur moi, sur ce que je faisais et qui je voyais. Je lui dois ma liberté ! J’ai vécu quinze jours terribles, un truc de dingue ! Mais là, tu vois, depuis trois jours je me rends compte que je respire à nouveau. Regarde le monde autour de toi Luc ! Fais comme moi, respire ! Pourquoi voudrais tu continuer à vivre avec Christine ? Moi la seule chose que je ressens encore pour Véro, c’est de la colère. Une colère énorme qui se calmera peut être avec le temps mais, en fait ça n’a même pas d’importance puisque je ne compte même pas la revoir.
Sur la proposition de Nathalie, ils prirent le café au salon. Mathieu et Jérôme s’installèrent dans le canapé, Bruno et Luc s’assirent dans les deux fauteuils et Nath surprit tout le monde en demandant à Luc si elle pouvait s’asseoir sur ses genoux. Elle était très touchée par l’état de détresse de leur ami et voulait lui faire un câlin, le dorloter. Il se retrouva vite le nez posé sur sa chaude poitrine libre sous son t-shirt pendant qu’elle lui faisait de douces caresses dans les cheveux et lui embrassait le front. Luc se serrait contre elle et calmait sa tristesse au rythme des battements de cœur de la jeune femme. Il sentait ses cuisses fermes et ses fesses tendres sur les siennes et sur son ventre, il sentait son parfum, l’odeur de sa poitrine ronde et généreuse contre laquelle il s’écrasait et laissait son esprit se reposer sous la magie des doux baisers qui lui couvraient le front. En face d’eux, Jérôme et Mathieu se disait que leur copain avait bien de la chance de faire l’objet d’autant de tendresse. L’étreinte de Luc sur le corps de Nathalie se desserra un peu et une main glissa vers sa fesse, glissa sur le haut de la cuisse. Tout en lui, lui disait de ne pas faire ça, que c’était Nathalie, la copine de Bruno, son amie mais sa main semblait mue par son désir propre, tout comme son sexe qui s’était dressé et se trouvait comprimé entre son ventre et la hanche de la belle. « Elle le sent, c’est obligé » pensait il alors que sa main glissait maintenant sous le t-shirt pour remonter sur le ventre chaud. Nathalie n’entrava pas le mouvement, elle le laissa faire et se dégageant un peu, elle releva son visage et posa ses lèvres sur celles du colosse qui ne tardèrent pas à s’ouvrirent.
– La température monte. Murmura Mathieu à l’attention de Jérôme, mais trop fort pour ne pas être entendu des autres.– Depuis le temps qu’elle en rêve... précisa Bruno sur le même ton.– Parce qu’elle rêve de Luc ? Chuchota Jérôme surpris– Pas exactement... En fait elle rêve de vous trois et plus précisément de nous et vous trois... Mais là je crois que c’est Luc qui aura la primeur. Il en a bien besoin.– Tu veux dire qu’ils vont... Commença Mathieu incrédule.– Tu sais Mathieu, généralement, quand un mec et une nana se roulent des pelles en se pelotant les nibars et en se caressant partout, il est bien rare que ça ne se termine pas en une grosse partie de baise. Fit remarquer Jérôme un peu moqueur.– Mais vous avez fini tous les trois ! S’exclama Nathalie dans une fausse colère. T’entends ça Luc ? Si on reste là on va pas pouvoir être tranquilles.– C’est que... Je t’avoue que moi-même, je ne suis pas trop sûr de ce qu’on est en train de faire... Dit Luc en regardant Nathalie– Ne réfléchit pas Luc, profite de ce que ma chérie te donne, ça ne peut que te faire du bien. Dit Bruno à son ami. Mais j’avoue que le spectacle commence à être assez chaud.– Et bien vous attendrez votre tour car moi, maintenant ! j’emmène Luc dans notre chambre. Précisa Nath avec autorité. Le suivant montera quand il redescendra.
Le couple disparut, dehors la neige tombait encore plus fort. Un silence se fit dans le salon. Bruno se resservit un café et en proposa un autre à ses deux amis restés là comme lui.
– C’est une blague ? Demanda Mathieu abasourdi– Apparemment pas, dit Jérôme alors que des gémissements sans équivoque se faisaient entendre depuis la chambre au dessus. Mais j’avoue que ça appelle quelques explications.– Ok les gars, je vais vous expliquer... commença Bruno.
Bruno détailla la nature exacte des fantasmes de Nathalie et le temps qu’il avait mis pour les faire siens également. Il parla aussi bien du fantasme de pluralité masculine de Nath que de celui de rapports homosexuels passifs pour lui et de l’envie de sa chérie de le voir faire l’amour avec un homme. Il précisa que, pour elle comme pour lui, les seuls partenaires envisagés et envisageables étaient eux, leurs trois amis proches mais que tant qu’ils étaient en couples, ils n’auraient rien tenté. Le fait qu’ils se retrouvent si subitement célibataires et en vacances ensembles tous les cinq avait fait resurgir ces envies. Au dessus, les gémissements de Nathalie étaient encore plus forts et le lit semblait grincer de toutes ses jointures. Les trois garçons que ces confidences de Bruno n’avaient pas calmées, bandaient comme des bêtes.
– Et pratiquement, comment on fait ? Demanda Mathieu pragmatique. Qui c’est qui prend le second round ?– Moi de toute facon, je passerai en dernier, précisa Bruno, alors vous pouvez tirer à pile ou face si je peux me permettre. Hahaha !– Ça va être vachement long d’attendre pour le troisième, fit remarquer Jérôme.– Et bien, je peux m’occuper du troisième le temps que Luc finisse et que le second prenne sa place. Ce sera un plaisir pour moi.– Alors, si tu veux bien, Jérôme, je passerai en troisième. J’ai toujours eu envie de faire l’amour avec Bruno depuis l’époque où il niquait toutes les semaines avec Luc... Déclara Mathieu– Je vous en prie les gars, j’irai retrouver Nath après Luc, mais si vous m’excitez trop, ça risque d’être rapide. Conclut Jérôme.
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