Bruno et Mathieu se rapprochèrent et se prirent dans les bras. Leurs bouches se trouvèrent, se soudèrent. Leurs langues s’engagèrent dans une étrange lutte tournant l’une autour de l’autre, tantôt s’enfonçant profondément dans la bouche de l’amant ou laissant la place à l’autre pour investir sa bouche. Mathieu avait retiré le t-shirt de Bruno et ses mains lui pinçaient les tétons, lui arrachait de petits gémissements. Bientôt les deux hommes se retrouvèrent nus au milieu du salon sous le regard de Jérôme qui avait quitté le canapé pour un fauteuil. Au-dessus, un râle puisant de Luc lui fit penser que son tour n’allait pas tarder. Bruno était maintenant à genoux aux pieds de Mathieu et avalait son sexe circoncis aussi long que lisse. Le rouquin lui avait attrapé la tête et accompagnait la fellation de mouvement du bassin, cherchant à rentrer encore plus profondément dans sa gorge. Ils en étaient là quand Luc arriva et que Jérôme s’éclipsa. Bruno, avec quelques efforts arriva à avaler complètement son partenaire qui n’en revenait pas. – Oh putain ! Bruno, tu suces trop bien. Ouèèè, c’est ça ! J’vais te la mettre. Tu veux ?– Oui Mathieu, encule-moi. Baise-moi comme une chienne. J’ai envie... Bruno se retrouva à quatre patte sur le canapé et Mathieu appuya son gros gland sur son anus détendu par le désir et par une pratique régulière imposée par Nathalie qui n’hésitait plus à utiliser des godes de grandes tailles. La pénétration fut rapide et sans contrainte. Bruno retrouvait enfin la sensation d’une vraie bite dans son cul. Et quelle bite ! Elle allait jusqu’au fond de son rectum, elle le remplissait bien. Quand son amant s’activa, il ne tarda pas à ressentir les premières vagues d’un plaisir immense et quasi oublié. Tout son bassin répondait aux assauts de son ami, son sexe suintait, il gémissait de plaisir. Mathieu se régalait de la douceur de ce trou du cul et son excitation était telle qu’il ne tarda pas à jouir dans les entrailles de son ami. Au-dessus Nathalie couinait comme une folle et Bruno se demanda si Jérôme n’avait pas choisi la voie étroite pour la baiser. – Ben mon cochon, t’avais pas le cul très propre. Remarqua Mathieu en déculant– C’est bien possible, mais attends, tu vas pas monter comme ça. Dit Bruno en se tournant vers la bite qui venait de l’enculer. Je vais te nettoyer. Et sous les yeux de Luc dont le sexe reprenait de l’ampleur, Bruno repris la bite de Mathieu en bouche. Il accomplit sa tâche avec beaucoup d’attention, n’oublia aucun centimètre de hampe, il alla jusqu’à sucer les poils du pubis, lécher les couilles avant de revenir sur la jolie queue circoncise que ce traitement avait revigorée. C’est à ce moment que Luc se présenta derrière lui et que Jérôme redescendit. Bruno abandonna le sexe qu’il avait en bouche pour faire la « toilette » de celui de Jérôme qui sortait effectivement du cul de Nathalie. Mathieu monta l’escalier, la bite fièrement dressée devant lui. La porte de la chambre était ouverte, Nathalie était allongée sur le ventre, les jambes écartées, un filet de sperme s’échappait de son anus et coulait vers sa vulves brillante. Le spectacle était aussi obscène qu’excitant. En l’entendant arriver, elle se tourna sur le côté et lui tendit les bras. L’instant d’après ils s’enlaçaient. – Bruno ne t’as pas trop épuisé à ce que je vois. Dit-elle radieuse.– Il a très bien œuvré pour ranimer la bête et je suis tout prêt– Laisse-moi voir si c’est propre, laisse moi goûter à ta jolie bite. Elle plongea sur la pinne de Mathieu qu’elle goba d’un coup. Sa technique différait de celle de son mari, mais elle n’en était pas moins efficace. Du salon venait les gémissements de Bruno sodomisé par Luc mais ils n’y prêtaient pas vraiment attention. Mathieu bascula sous sa partenaire, écarta ses cuisses et commença à fouiller sa fente, à sucer son clitoris, à mordiller ses lèvres intimes pour ensuite plonger sa langue dans sa grotte chaude et gluante tandis que son nez appuyait sur sa rosette poisseuse. Prise par la force de ce cunnilingus, Nath avait plus de mal à le sucer et se contentait de le masturber. Il la besogna ainsi pendant quelques minutes puis il la retourna. Il lui remonta les genoux bien haut pour écarter au maximum sa chatte trempée et y engouffra sa bite d’un seul coup. Nath émit un gémissement strident à cette intrusion et il se mit en mouvement. Il rentrait profondément en elle puis ressortait presque entièrement. Ses longues allées et venues se faisaient progressivement plus rapides. La jeune femme couinait, hurlait, criait. Elle lui demandait de la baiser plus fort de lui remplir la chatte. Elle enchaînait les orgasmes et Mathieu qui s’était déjà vidé les couilles une fois tenait le coup et la besogna sans relâche encore quelques minutes avant de satisfaire à ses suppliques et de lui remplir copieusement la chatte de son foutre chaud. Nath et Mathieu descendirent ensembles. Bruno était allongé sur le canapé, son cul portait les traces des assauts de ses trois copains et débordait de foutre. Il venait juste de terminer le second nettoyage de la bite de Jérôme. – Eh bien mon chéri, j’ai bien fait de ne pas t’attendre la haut... tu n’as pas eu le temps de t’ennuyer apparemment. Lui dit Nath en caressant son cul et en y enfonçant un doigt– Oh ma chérie, viens ! Viens là. Bruno fit asseoir sa femme dans le canapé et lui lécha sa chatte pleine de foutre. De la sentir gorgée du sperme de ses amis ranima son érection ; il se glissa entre ses cuisses et la pénétra devant ses amis. Il la prit au départ avec beaucoup de douceur et de sensualité mais la belle en voulu davantage alors qu’elle sentait monter en elle un « premier » orgasme. Elle se mit à geindre, à dire qu’elle n’était qu’une pute, un garage à bite, qu’elle voulait de la bite. Luc et Mathieu se rapprochèrent, lui caressèrent les seins et présentèrent leurs queues qu’elle suça alternativement. Jérôme se plaça à côté de Bruno en se masturbant alors son ami modifia la position. Il s’assit sur le canapé et Nathalie vint s’empaler le cul sur la bite tendue de son mari, laissant libre sa porte de devant pour Jérôme. Luc et Mathieu s’étaient placé de part et d’autre du trio et Bruno suçait Mathieu pendant que Nath essayait de sucer Luc. Jérôme ne tarda pas à jouir et il fut remplacé par Mathieu qui la besogna avec force. Il sentait le sexe de Bruno immobile dans le conduit voisin. La chatte en était plus serrée et son plaisir vint vite. Il se vida les couilles pour la troisième fois de l’après-midi et laissa la place au monstre de Luc qui palpitait d’impatience. Comme les deux autres, le géant brun ne tint pas longtemps, mais Nath ne s’en rendait plus compte, elle n’était plus qu’un râle de plaisir et avait perdu toute notion extérieure, transportée dans un orgasme qui lui paraissait sans fin. Les grosses couilles du colosse firent encore leur office et son énorme bite, tendue à l’extrême, animée de secousses, déversa son flot de semence dans le ventre déjà bien plein. La jouissance de Luc provoqua celle de Bruno qui déchargea en même temps dans le cul de sa femme. L’après midi touchait à sa fin, il ne neigeait plus et on entendait, dehors, le ballet des dameuses qui œuvraient sur les pistes. Nathalie se dégagea de Bruno et se retourna pour l’embrasser en lui disant combien elle l’aimait. ils restèrent enlacés encore un petit moment en attendant que la douche se libère.
Ils avaient tous remis un slip et un t-shirt et se retrouvèrent dans la cuisine. c’était l’heure de préparer un dîner et de prendre l’apéro. Ils n’évoquèrent pas tout de suite les événements de leur folle après midi. C’est Luc qui, après le repas, aborda le sujet en constatant qu’il ne s’était pas sentit aussi bien depuis longtemps. – Y a pas à dire mais se vider les couilles, ça fait du bien... Dit ils en attrapant le jeu de tarot.– J’te l’fais pas dire, confirma Jérôme, fallait qu’on remette à jour le carnet de tirs... Hahaha !– Je suis toute à votre service pour ça les gars, répondit Nath , maintenant que vous avez repéré la cible...– Vous nous faites un sacré cadeau de Noël, tous les deux. Dit Mathieu au couple enlacé dans un fauteuil. J’en reviens pas... Si on continue comme aujourd’hui, je crois que je vais passer les vacances les plus chaudes de ma vie.– J’espère bien que vous n’allez pas vous arrêter en si bon chemin et que vous me niquerez comme une pute tous les jours de la semaine !– C’est vraiment trop bon ! Nathalie, putain du groupe ! T’es vraiment une fille super. Dit Jérôme en rigolant franchement. Je pense que ta chatte va déborder... et on fera comment ? Tu prévois un système de tickets ?– Non, je suis plutôt favorable à la liberté et qui veut me baiser me baise, si je ne suis pas déjà prise bien sûr.– Ça va devenir un sacré bordel cette affaire ! S’exclama Luc joyeux.– Peut-être qu’on pourrait établir des règles, proposa Bruno, une sorte de règlement du cul au chalet qui dise explicitement comment chacun peut abuser du corps de Nathalie.– Et du tien, mon chéri, car j’ai bien vu ton jeu cet après-midi, ils t’ont bien enculé aussi. L’idée d’établir des « règles » plut à tous et ils délirèrent vite sur les articles que ce règlement devrait contenir. Ce fut l’occasion à tous de dévoiler un peu de leurs fantasmes ou de leurs désirs inassouvis. Ils convinrent de l’appeler : « Le Grand Règlement du Cul ». C’est Jérôme qui avait la plus belle écriture qui se chargea de noter l’ensemble des articles. Article 1. Au chalet, Nathalie doit être toujours disponible pour se faire sauter. En conséquence de quoi, elle ne doit pas porter de culotte. Une tolérance est accordée au port du string ouvert et à celui du t-shirt. Sa disponibilité sera pleine et entière à toute heure du jour et de la nuit et elle pourra être réveillée par quiconque voudrait la baiser.Article 2. Pour maintenir l’appétit sexuel de la gent masculine, Nathalie devra conserver tant que possible son odeur naturelle et celle de ses ébats sexuels. En conséquence de quoi elle ne se lavera qu’une fois par jour, le matin, avant d’aller skier.Article 3. Aucune violence physique ne sera tolérée et les dérives sado-maso sont proscrites. Tout contrevenant se verra instantanément privée de son droit d’us et d’abus sur Nathalie.Article 4. Nathalie acceptera tous les désirs sexuels et fantasmes de chacun, à l’exception, bien sûr, du SM exclu par l’Article 3.Article 5. Chacun garde sa chambre et pour baiser avec Nathalie dans un lit, il conviendra de la rejoindre dans le sien, que Bruno y soit ou non.Article 6. Nathalie accepte le statut de « Grande Putain » du groupe et reçois en compensation de n’avoir jamais à faire ni la lessive, ni le ménage, ni les courses, ni la cuisine. Toutes les tâches ménagères seront à l’exclusivité de la gent masculine.Article 7. Au cas où Nathalie serait déjà occupée et ne serait pas disponible pour satisfaire le besoin de l’un d’entre nous, ou simplement parce qu’il souhaite baiser avec lui, ce dernier pourra demander à Bruno de le satisfaire.Article 8. L’homosexualité masculine est admise et encouragée. Quiconque aurait envie d’avoir des rapports homosexuels, en particulier avec Bruno, est libre de le faire. En conséquence de quoi, Bruno devra également garder son cul disponible pour ses camarades en ne portant pas de caleçon et ne pourra pas non plus se laver plus d’une fois dans la journée.Article 9. Bruno qui a montré de grandes aptitudes dans l’utilisation de sa bouche sera toujours disponible pour tailler une pipe ou nettoyer un pénis.Article 10. Tous les signataires du présent règlement se rouleront des pelles pour se saluer le matin, se souhaiter bonne nuit, se signaler leur accord sur quelque sujet que ce soit ou simplement par plaisir. Les articles 7, 8 et 9 avaient été rédigés à la demande de Nathalie qui trouvait très excitant de voir son chéri sucer ses copains et leur offrir son cul mais, les autres garçons qui admettaient leur bisexualité, avaient tenu à lui rendre un caractère un peu plus général. À la surprise générale, Bruno avait demandé la rédaction de l’article 11 Article 11. Bruno revendique les titres de Cocu et d’Enculé et demande à ce qu’il soit désormais appelé ainsi dans leur cercle privé.Article 12. Le présent règlement prend effet dès sa ratification par l’ensemble des membres du groupeArticle 13. Une révision de ce règlement sera effectuée en fin de semaine qui pourra donner lieu à la création d’une convention de partage à plus long terme ou pérenne. Bien entendu, le texte fut vite ratifiée par les cinq amis et aussitôt Nathalie et Bruno retirèrent leurs slips. Nathalie se vit retirer son t-shirt par Mathieu et Jérôme qui la conduisirent sur le canapé. Luc, quant à lui s’intéressa à Bruno qu’il fit mettre à genoux devant lui. Pendant quelques minutes Bruno le suça avec beaucoup de plaisir. Il mit son point d’honneur à avaler complètement son gros chibre. Luc trouvait qu’il s’y prennait bien et eut envie de l’enculer. Ils décidèrent d’un « jeu » : Nathalie et Bruno furent placés côte à côte, accoudés sur le canapé et les trois autres passèrent successivement d’un cul à l’autre en allant, de temps en temps visiter la bouche de leur copain. Mathieu fini par s’exciter dans le cul de Nath qu’il traita abondamment de putain et de salope alors que Luc labourait celui de Bruno en le traitant de pédé et d’enculé. Jérôme, placé devant leurs visages, se faisait sucer par leurs deux bouches. Mathieu ne tarda pas à éjaculer et quitta sa place. Jérôme en profita pour passer derrière la jeune femme et s’engouffrer dans sa chatte trempée. Il la besogna rapidement avant de se vider les couilles au fond de son vagin délicieux. À côté de lui, Luc remplit le cul de Bruno en émettant un long râle. Tous avaient bien joui, mais Bruno devait encore respecter l’article 9 et nettoyer les bites salles de Luc et Mathieu sous le regard attendri de sa chérie. Le lendemain matin, Bruno fut réveillé de bonne heure par les mouvements de son lit et les gémissements de Nathalie. Il ouvrit les yeux et se retourna pour voir Mathieu en train de bouriner sa compagne – Aah ! Putain ! Si tu savais toutes les fois où j’me suis masturbé en pensant à ton cul !– Aaah ! Baise-moi salaud, remplis-ma chatte ! Aaah !– Oui, j’te baise à côté de Bruno ! Ooh putain ! J’y crois pas ! Vous m’excitez salops ! Tu m’excites putain !– Aah ! Oui, vas-y ! Baise-moi bien fort pendant qu’il nous regarde, ce cocu ! Aaah ! Bruno regardait la scène, il approcha ses lèvres de celles de sa femme qu’il embrassa avec fougue et les présenta ensuite à Mathieu qui répondit à son baiser avec enthousiasme avant de reprendre sa cavalcade dans le ventre de Nathalie qu’il ne tarda pas à inonder. Il resta un moment affalé sur elle puis abandonna le couple pour aller se doucher et préparer le café. Une fois tous les deux Bruno et Nathalie s’enlacèrent puis se mirent tête-bêche dans un tendre soixante-neuf. La belle était au-dessus de son mari et quand Luc entra dans la chambre il avait une vue imprenable sur sa croupe. Il s’approcha du couple, embrassa Nathalie puis Bruno et sans se faire attendre davantage, il planta son mandrin dans la chatte ouverte de la jeune femme, sous le nez de son copain. Le cocu continuait à exciter de sa langue le clitoris gonflé de sa tendre épouse et léchait les couilles et la base du sexe de son ami qui ne tarda pas à jouir sous ce traitement. Nathalie n’avait pas cessé de sucer Bruno qui déchargea en même temps que le géant et lui remplit la bouche. Ils restèrent cinq minutes enlacés tous les trois et quand Jérôme vint les rejoindre. Luc et Bruno les laissèrent pour aller prendre leur douche ensemble. Arrivé dans la salle de bain, Luc se plaqua dans le dos de son ami et lui attrapa les tétons. Il le caressa et le retourna pour échanger un long baiser. – Tu sais que tu m’as manqué, toutes ces années depuis l’internat. Avoua le grand brun. C’est vraiment bon de pouvoir te toucher à nouveau.– C’est vrai ? Toi aussi tu m’as manqué, même quand elle me gode, Nathalie ne me procure pas ce que je ressens avec ton gros machin. J’ai été content que tu m’encules hier.– J’en ai encore envie tu sais. J’ai encore envie de toi,... souvent.– Moi aussi, j’ai envie de toi, mais là, je crois qu’on va devoir attendre un peu, elle est toute raplapla la grosse bête.– Ben, je viens de baiser et j’ai super envie de pisser, c’est un peu normal.– Viens dans la douche ! Dit Bruno en le tirant fermement par la main et en s’agenouillant devant son ami.– Qu’est ce que tu fais ?– Je vais te sucer et tu vas te soulager– Hein ! Mais...– Chut ! Laisse-toi aller, détend-toi et soulage ta vessie. Luc ferma les yeux, les lèvres de son ami s’étaient de nouveau refermées sur sa bite ramollie, il ne pensa plus à rien et relâcha sa vessie prête à exploser. Quand il réalisa que le flot était libéré et qu’il arrivait directement dans la bouche de Bruno, il ouvrit les yeux et croisa son regard chargé de tendresse et d’amour. Le flot ne semblait pas tarir et le petit savoyard avalait au fur et à mesure que sa bouche se remplissait. La miction de son ami était chaude et forte, c’était la première urine du matin. Elle était chargée et salée, affreusement odorante et si différentes de celles qu’il avait bues à la source de sa femme les rares fois où elle lui avait accordé ce plaisir. Quand le flot s’interrompit, Luc ouvrit le robinet de la douche et releva son amant. Ils échangèrent un baiser au goût de chiottes qui acheva de l’exciter. Quand leur corps furent bien mouillés, ils s’enduisirent de gels douche, la mousse recouvraient leurs corps, les mains de Luc glissaient entre les fesses de Bruno qui lui astiquait sa bite fringante, il ne tenait plus. Il retourna son ami qui prit appui contre le mur de la douche en tendant son cul savonneux et le pénétra d’une traite. Les gémissements de Bruno s’accordaient à ceux de Nathalie dans la chambre voisine, mais Luc n’y prêtait pas attention. Il chuchotait des mots d’amour à l’oreille de son amant en l’enculant avec beaucoup de douceur. Bruno était aux anges, il en voulait plus et lui demanda de le défoncer de lui remplir le cul ce que fit le colosse sans hésiter.
