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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 5

Trash
(merci de ne pas tenir compte du chapitre 4 ; un problème lors du copier coller a supprimé le début... Le chapitre 5 correspond donc au chapitre 4 entier et comme il n’est pas possible de corriger son texte, je n’ai pas eu d’autre possibilité que de le remettre entier)
Jérôme venait de se vider les couilles dans son ventre et Nathalie écoutait les claquements sonores du bassin de Luc sur le fessier de son mari et les « Haa ! » de plaisir qu’ils lui arrachaient.
– Luc a vraiment la santé, dit Jérôme amusé. Toi d’abord puis Bruno dans la foulée.– Mmm, c’est vrai qu’il est colossal à plus d’un titre. Mon petit chéri en prend plein le cul j’ai l’impression.– Tu veux aller vérifier ?– Non, quelque chose me dit qu’ils avaient besoin d’être tous les deux. Ça fait si longtemps qu’ils n’avaient plus niqué ensemble. J’ai toujours pensé que ça manquait à Bruno.– Ce que je peux te dire c’est que ça manquait à Luc. Quand je l’ai sucé chez Mathieu, on parlait justement de ça...– Je sais... mais il t’a dit que Bruno lui manquait ?– Ben,... c’est pour ça que je l’ai sucé en fait. Il en pouvait plus de mater ton mec bouger du cul et il m’a demandé si je voulais bien lui rendre ce service pendant qu’il penserait à lui– Wao ! C’est plus chaud que je ne le pensais... Ils risquent de finir la semaine en vrai couple de pédés si je comprends bien.– C’est pas sûr mais il y a un risque– C’est pas un risque, c’est plutôt mignon ; je sais que Bruno m’aime et ça ne me fait pas peur de le partager un peu avec des mecs et encore moins avec Luc.– Pourquoi encore moins avec Luc ? Interrogea Jérôme surpris– Parce que, vu la taille de son engin, je préfère le prendre dans la chatte que dans le cul alors du coup, Bruno et moi on est vraiment complémentaire pour lui.– Je comprends,... c’est assez vrai. Ah ! L’eau coule à nouveau, la salle de bain devrait être bientôt libre.– Ça ne t’ennuie pas si j’y vais maintenant comme ils ont fini de niquer, tu iras après moi.– Pas de problème beauté, je peux rester dans votre lit en attendant ?– Bien sûr. Dit Nathalie en se levant.
Nathalie rejoignit Bruno et Luc dans la salle de bain. Ils s’essuyaient et étaient en pleine discussion.
– C’est pas que je ne veux pas, mais je veux d’abord demander à Nath ce qu’elle en pense. Disait Bruno– Qu’est ce que tu dois me demander d’abord mon chéri ? Demanda celle-ci en refermant la porte derrière elle.
– Luc aimerait que je fasse sauter tous mes poils, je ne suis pas contre, mais je disais que tu as ton mot à dire.– Tout tes poils ? Mmm, mais alors vraiment tous, c’est à ça que tu penses Luc ?– Ben je pensais d’abord au sexe et aux fesses. Répondit le géant un peu gêné– Moi, si tu me dis tous les poils, je suis d’accord mais ça veut dire que Bruno doit s’épiler aussi les jambes, les bras et les aisselles. Là je suis d’accord. Dit Nathalie en jugeant son mari de la tête aux pieds. Qu’est-ce que tu en penses chéri.– Si vous y tenez tous les deux, je vais le faire. Affirma Bruno.– T’as qu’à le faire maintenant, pendant que je prends ma douche, je pourrais te donner des conseils et t’aider. Dit-elle en s’approchant de lui pour l’embrasser à pleine bouche. Mmm ! Quelle haleine ! Vous êtes de vrai cochons tous les deux !
Elle lui sortit tout ce qu’elle avait pour l’entretien de sa propre épilation et lui expliqua ce qui servait pour où. Luc qui n’était intéressé que par le résultat les laissa pour aller se préparer et rejoindre Mathieu dans la cuisine. Nathalie s’amusa comme une petite folle à coacher l’épilation de son homme. Elle le voulait parfait. Quand ils sortirent de la salle de bain, le corps de Bruno était aussi lisse que celui d’un nouveau-né et Nathalie avait hâte de le faire admirer ainsi. Luc avait eu une bonne idée ; cette nudité lui allait bien. Jérôme, Mathieu et Luc prirent beaucoup de plaisir à caresser ce « nouveau » corps et à en commenter la douceur. Luc ne put se retenir de lui prodiguer un anulingus tandis que les deux autres lui caressaient les tétons et l’embrassaient à pleine bouche devant Nathalie amusée. Ils le laissèrent après quelques minutes et il fila se mettre en tenue. La matinée était déjà avancée et ils avaient tous envie d’aller skier. Quand ils arrivèrent au pied des pistes et de la première remontée mécanique, Luc et Mathieu découvrirent que Jérôme et Bruno étaient des stars. Tout le monde les connaissaient et les appelaient par leurs surnoms locaux de « Super-Jé » pour Jérôme et de « Burn the snow » ou « Burn » pour Bruno que les vieux appelaient aussi « Tête brûlée » ou « Casse Cou ». Ils avaient du mal à prendre une seule remontée sans passer un quart d’heure à discuter avec le perchiste ou le surveillant du télésiège ou du télécabine. Du coup, ils étaient obligés de rattraper les autres, mais ce n’était pas trop grave pour eux car comme Mathieu et Luc n’étaient pas très à l’aise sur des skis pour n’avoir pas beaucoup pratiqué, le programme de la matinée ne comportait que des pistes bleues. Nathalie ne les lâchait pas sachant que les deux fondus les rattraperaient rapidement. Elle en profitait pour leur donner des conseils, leur montrer comment se tenir et comment utiliser les bâtons, comment s’arrêter. Son cours était repris par Jérôme et Bruno qui imposaient à leurs deux amis, dès qu’ils arrivaient, tout un tas d’exercices dignes des meilleures écoles de ski françaises.
– Oh les gars ! Vous voulez nous tuer où quoi ? Demanda soudain Mathieu exténué.– Et quoi Mathieu ? Tu veux skier oui ou non. Tu te payes un cours particulier avec trois profs super cool et tu te plains ? Rétorqua Bruno– Ben, des profs super cool, j’en doute pas mais les cours de Nath sont plus tranquilles que les vôtres. Intervint Luc– Peut-être mais je suis beaucoup moins bonne qu’eux et tout ce que je sais c’est Bruno qui me l’a appris avec les même tortures que vous endurez. Dit Nathalie au géant. Et en moins d’une semaine je pouvais prendre toutes les pistes avec lui.– Moi je ne vois pas l’intérêt d’aller se casser la gueule sur une piste rouge ou noire. Dit Mathieu sur un ton excédé.– Si on te fait faire tout ça ce matin, c’est justement pour t’emmener skier sur une rouge sympa cet après-midi sans que personne ne prenne de risque. Dit Jérôme avec une pointe d’agacement.– Si vous n’avez pas le niveau, on ne le fera pas, dit Bruno plus calmement, on a tous envie de se faire plaisir pendant ces vacances alors ni Jérôme ni moi on ne vous fera prendre de risques mais ce que l’on voit maintenant c’est qu’avec un peu de travail technique ce matin, cet après midi on prend des rouges et dès demain, on va partout.– Et c’est quoi le plaisir ? Vous regarder skier ? Demanda Mathieu.– Non Mathieu, le plaisir, c’est de skier ensemble et de se dépasser un peu plus chaque jour. Intervint Nathalie. Je peux te garantir que eux s’en foutent royalement et que si ils se font trop chier, ils iront faire les descentes qui les branchent réellement dans lesquelles ni toi ni moi n’irons jamais.– Ooh, Putain ! C’est pas vrai ! « Super-Jé » et « Burn the snow » ! Putain vous êtes pas en train de me piquer des élèves j’espère ! Dit un moniteur de ski en s’arrêtant près d’eux dans un grand éclat de poudreuse.– Wooh ! Francky ! Comment ça va ?! Dirent en cœur Jérôme et Bruno.– Super ! Laura m’avait dit que tu venais avec des copains. Ça m’fait plaisir de vous voir les gars !– Nous aussi, je t’assure faudrait qu’on trouve un moment pour ce voir vraiment, tu m’as l’air occupé. Dit Jérôme en montrant de la tête le groupe de gamin qui suivait de loin en chasse neige.– Ouai, t’as raison,... ça vous dirait une belle descente ?– Vas-y c’est quoi ton plan ? Demanda Bruno.– Un mur de la mort, 800 mètres de dénivelées sur un peu plus de 1000 mètres de piste, avec près d’un mètre de poudreuse toute fraîche qu’il faut tester avant d’ouvrir la piste. Répondit le jeune moniteur avec un grand sourire.– Ça m’a tout l’air d’être le mur de la Cretz ça.... Je me trompe ?– Non Bruno, c’est bien ça. Réglementairement, il nous faut six pisteurs-secouristes pour des raisons de sécurité. Il nous manque deux personnes et je sais que vous avez votre diplôme. Si ça vous branche, on peut faire ça à 14 heures.– Ok, moi je suis partant, dit Bruno, on se retrouve en haut ?– Non, à l’office, pour prendre une combinaison d’ouvreur. Tu viendras Jérôme ?– Plutôt deux fois qu’une !– Alors rendez vous à 13h30 pour les instructions et les combies réglementaires et on part après. Allez les enfants, on y va ! et vous n’oubliez pas de planter le bâton avant de tourner et de rabattre vote ski après ! Comme moi ! Cria Frank en emmenant son groupe de gamins.– Alors vous nous plantez cet après midi ! Dit Mathieu, presque en colère.– Pas du tout, répondit Bruno, tu veux faire de la piste bleue et nous on va se faire au grand maximum une demi heure de ski. Après, on vous rejoint, il n’y a pas de problème.– Tu vois ce que je te disais Mathieu, renchérit Nathalie, Frank n’est pas venu les chercher par hasard et cet après-midi, il vont aller dans un endroit où nous n’irons jamais, au moins pas dans les conditions dans lesquelles ils iront. Tu ne les verras donc pas skier.– À moins que vous preniez la bleue de la combe et que vous vous arrêtiez sur la zone plate à mi-parcours. Précisa Jérôme, il y a un point de vue intéressant. Mais sans jumelles, je ne crois pas que vous pourrez savoir qui est qui parmi les six descendeurs.– On aura qu’à mettre des bonnets fluo, Dit Bruno en rigolant, je crois qu’ils nous en reste un vert et un jaune de la descente nocturne d’il y a cinq ans.– Oh, Mathieu, j’oubliait, dit Nathalie avec un sourire de hyène, si tu penses que moi même je vais me taper de la bleue toute la semaine parce que tu as peur d’aller plus loin, tu te trompes lourdement. Dès que mon chéri aura fait sa grande descente de l’après-midi, je skierai avec lui.– Mmm ! Fit Mathieu découvert
Le reste de la matinée se passa bien, Luc et Mathieu suivirent les leçons et conseils de leurs amis. Ils progressaient vites. Pour s’en assurer, Bruno les emmena , pour la dernière descente de la matinée, sur une piste rouge qui ne devait son classement qu’à la présence d’un petit « mur » en plein milieu et que leurs amis passèrent sans problèmes. Une fois en bas il s’arrêta devant le plan des pistes.
– Alors Mathieu, tu l’as trouvée comment cette descente ? Demanda Bruno à son ami.– Super ! J’ai un peu flippé quand c’est devenu vachement raide mais finalement, en suivant tes conseils, ça s’est bien passé ! En tout cas j’imagine même pas ce que peut être une rouge à côté de ça !– C’était une rouge, dit Nathalie en rigolant.– Non ?!– Si regarde, on est parti de là et on a pris cette piste rouge pour arriver ici, au pied du chalet ! C’est pas beau ça ? Termina Bruno goguenard.
Une fois au chalet, Bruno et Nathalie suivirent scrupuleusement le règlement et se mirent nus intégralement. Aussitôt, leurs amis les caressèrent, savourant la douceur de leurs corps épilés. Jérôme fit remarquer à Bruno qu’ils avaient à peine une heure et demie pour manger et rejoindre l’office alors ce dernier proposa aussitôt d’aller faire la cuisine en laissant libres les autres de leurs occupations. Luc proposa aussitôt de l’aider. Bruno avait prévu des trucs vite faits du genre plats surgelés cuits au four en un quart d’heure, salade en sachet et fromage. Il alluma le four pour le préchauffer et se mit à genoux devant Luc dont il baissa le froc et le caleçon et il le prit en bouche. Sa langue parcourais le sexe de son ami, l’humidifiait du mieux qu’il pouvait et quand sa bouche fut remplie de salive, il reprit la grosse verge en bouche et avala le tout. Le gland et la hampe dépassèrent sa glotte sans problème et sa gorge était gonflée par la grosseur de l’engin qu’elle venait de gober. Luc n’en revenait pas ; son copain lui faisait une « gorge profonde ». Bruno recommença l’expérience deux ou trois fois puis il se dégagea et mit dans le four les plats à réchauffer. Il régla le minuteur avant de s’appuyer sur la table et de présenter son cul bien haut à son amant. Luc s’accroupit derrière lui et commença à lui lécher la rondelle. Sa langue forçait le passage et le pénétrait. Bruno gémissait, il avait envie de plus.
– Oooh ! Oh oui, c’est trop bon Luc, baise-moi, baise mon cul !– T’es vraiment une petite salope Bruno si tu savait comment tu m’excites...– Baise-moi, Luc, baise mon cul...– Oui ma cochonne ! Je vais te baiser ! T’es ma pute à moi, Bruno, j’ai plus envie de baiser ton cul que la chatte de Nath ; j’ai envie de ton cul !– Je suis ta pute Luc, baise-moi, baise ta petite pute.– Tu sens ma grosse bite qui te pénètre ?– Oooh, ouiii,... C’est trop bon ! Si tu savais comment j’aime ta bite ! Bourre moi le cul salop !
Dans le salon, Nathalie était prise en sandwich par Jérôme et Mathieu et gémissait de plaisir. Elle entendait maintenant les douces plaintes de son mari que Luc besognait dans la cuisine. Ça l’excitait terriblement. Ce chalet de venait un bordel et Bruno et elle en étaient les putes. Elle espérait simplement que la grosse bite de Luc n’oublie pas complètement le chemin de sa chatte. Elle écoutait ces gémissement avec beaucoup de plaisir et d’attention et cela participait à la montée de son orgasme. Mathieu lui remplissait le cul et Jérôme la chatte. Ses deux amants étaient aussi très excités, le rouquin jouit rapidement dans ses entrailles et Jérôme ne tarda pas à le suivre en inondant sa matrice. Dans la cuisine Luc enculait encore Bruno qui couinait et gémissait de plaisir. Nathalie et se amants allèrent regarder un moment avant que Jérôme ne s’occupe de mettre la table. Mathieu décida de s’approcher du couple en pleine action pour présenter sa queue pleine de merde à la bouche de Bruno. La vision de son amant engouffrant la bite souillée de son ami provoqua la jouissance de Luc qui se répandit abondamment dans ses entrailles. Luc se retira du cul de Bruno et comme la minuterie du four sonnait la fin de a cuisson, il retira également les plats que Bruno avaient enfournés. Son amant s’apprêtait à lui nettoyer également la bite mais le géant lui dit : « Tu le feras plus tard mon chéri, là il est temps de manger. ».
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