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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 6

Trash
Jérôme et Bruno quittèrent vite le repas pour aller aux bureaux de la station ou ils retrouvèrent Frank, Louise, sa copine, membre de l’équipe de France féminine de ski, Jérémy, un jeune secouriste, et Lionel, parrain de Bruno, maire du village et mari de Laura. Bruno était ravi de le trouver là, c’était lui qui lui avait appris à skier et l’avait toujours conseillé dans ses choix. Ils se tombèrent dans les bras et s’étreignirent fortement. Lionel avait 20 ans de plus que sa femme, s’était un homme de 55 ans, pas plus grand que Bruno au cheveux bruns et aux tempes et à la moustache grisonnante, il avait une forte carrure de paysan et de montagnard. Lionel était également le meilleur ami du père du jeune homme et leur relation était aussi forte que celle que lui entretenait avec Jérôme.
– Oh, parrain ! T’es là ?! Moi qui pensait ne pas pouvoir te voir avant la semaine prochaine !– Et moi donc, Gamin ! T’aurais vu ma tête quand Frank m’a appelé pour me dire qu’il avait trouvé les deux pisteurs manquant et qu’il s’agissait de vous deux ! Aaah, mon dieu ! Ce que ça me fait plaisir de te voir !
Lionel donna les instructions, c’était lui qui dirigeait les opérations. Il fallait s’assurer de la bonne tenue de la neige avant et faire les premières traces. En fait, il semblait qu’il n’y avait pas grands risques et que c’était juste un prétexte sécuritaire pour se faire en primeur, et en petit comité, l’une des plus belles descentes du domaine. On leur remit les combinaisons jaune et grise des pisteurs-secouristes de la station. Ils arrivèrent en haut des pistes où leurs amis les attendaient déjà. Nathalie avait pris son appareil et photographiait de cette équipe. Lionel fut très content de la revoir et lui rappela la promesse faite à Laura de les inviter dans la semaine. Bruno lui présenta ses amis dont sa jeune épouse lui avait déjà parlé. Puis Nathalie, Luc et Mathieu prirent vite le chemin de la bleue et du point de vue pour regarder la descente de la noire. Ils avaient convenu de se retrouver ensuite en bas des pistes. « On y sera avant vous » avait précisé Jérôme narquois. Quand ils arrivèrent à l’endroit souhaité, ils pouvaient distinguer les cinq silhouettes espacées en ligne tout en haut du mur de neige. Apparemment, ils avaient attendu avant de s’élancer, mais dès que les trois observateurs furent en place, une première silhouette se jeta dans la piste. Nathalie avait sorti son téléobjectif et suivait la descente en prenant des clichés tandis que Luc et Mathieu avaient les deux paires de jumelles du chalet. Malgré ça, ils n’arrivaient pas vraiment à savoir qui était qui jusqu’à la moitié de la descente où l’un d’eux fit un saut acrobatique.
– Non mais, t’as vu c’malade ! Cria Mathieu.– C’est Bruno a mon avis, Dit Nathalie– Putain ! Et l’autre là, il vient de faire un salto !! Fit remarquer Luc– C’est Jérôme. La neige doit être bonne. Ils vont prendre leur pied.– Tu m’étonnes, ça n’arrête pas ! Et voilà, encore un !– Si on était pas au ski, je te dirais que c’est des dauphins ! Et les autres s’y mettent aussi !– Ouai, y en a un sur la droite qui s’éclate aussi ! T’as vu comme il les enchaîne !– Je pense que c’est Frank, il est champion de freestyle.– Bon et bien le spectacle se termine, ils sont déjà en bas.– Allons les rejoindre
Ils retrouvèrent Bruno, Jérôme et Lionel qui les attendaient en bas de la piste bleue. Les trois hommes étaient en pleine discussion, sans doute encore ivres de leur descente, l’hilarité se lisait sur leurs visages. La piste était rouverte et quelques skieurs s’élançaient maintenant dans leurs traces, ce qui ne posait pas de problème sur la première partie mais s’avérait plus chaotique sur la deuxième.
– Alors les jeunes, le spectacle vous a plu ? Demanda Lionel au trois jeunes gens qui arrivaient– Je dois dire que j’ai été impressionné, j’en suis pas encore là. Dit Mathieu.– Tu sais garçon, c’est pas important. Ce qu’il faut, c’est s’amuser. Ces deux fondus, y sont nés ici et c’est Laurent, le père de Bruno, et moi qui leur avons appris à skier. C’est normal qu’ils aient un niveau que peu de gens atteignent.– Et pourquoi vous gardez ces vestes grises ? Demanda Nathalie à Bruno.– Oh, c’est parce qu’ils manquent de pisteurs-secouristes alors on a bénévolement accepté cette charge qui ne nous empêche pas de skier avec vous mais qui nous abstient de poireauter aux remontées mécaniques. Du coup, on aura le temps de se faire des descentes pendant que vous faites la queue ! C’est cool, non ?
– Vous êtes des malins ! Dit Luc en rigolant.– Ils ont quand même quelques obligations comme veiller à l’état des pistes, les ouvrir, prévenir la station de tout incident et rester en haut des pistes après l’arrêt des remontées mécaniques pour repérer d’éventuels skieurs en difficulté et accompagner les retardataires jusqu’à la station et fermer les pistes. Mais rien n’interdit que vous les accompagniez.
La discussion continua un petit moment puis les cinq jeunes gens reprirent le chemin des pistes. Jérôme et Bruno tirèrent tout de suite les avantages liés à leur nouvelle fonction et cela fonctionnait assez bien. Du coup, ils arrivèrent à skier à leur rythme et avec leurs amis. Ils étaient ravis. Mathieu avait arrêté de râler et ses appréhensions avaient totalement disparues. Il faisait de vrais progrès si bien qu’à la fin de la journée, il ne voulait plus prendre de pistes bleues et s’amusait sincèrement sur ses skis à la grande satisfaction de tous et particulièrement de Nathalie et Bruno. La dernière descente se fit alors que la station étaient déjà fermée et Mathieu éprouva alors une véritable sensation de liberté. Quand ils arrivèrent au chalet, la nuit tombait et ils se réfugièrent bien vite au chaud. Ils étaient tous fatigués de cette première journée. Mathieu, Luc et Jérôme se succédèrent à la douche tandis que Nath et Bruno se câlinaient dans le canapé du salon. En redescendant, les trois garçons s’occupèrent de l’apéro et du dîner en laissant le couple jouir de cet instant d’intimité. Bruno embrassait sa femme, lui demandait si elle était heureuse et lui disait combien il l’aimait. Sa bouche descendit vers sa gorge, ses seins si ronds, son ventre encore plat qu’il espérait voir s’arrondir.
– Tu crois qu’on va avoir un bébé ? Demanda-t-il en déposant un bisou sur le nombril de sa compagne.– Avec les litres de spermes que j’ai pris dans le ventre depuis hier, c’est probable... Je ne sais pas si tu seras le géniteurs de cet enfant mon amour, vos semences sont tellement mélangées.– Pas la mienne ma chérie, tu n’as pas remarqué ?– Pourquoi ? Qu’est-ce que j’aurais du voir ?– Je n’ai pas éjaculé une seule fois dans ta chatte depuis près de trois jours et si j’en crois mes vieux cours, mes spermatozoïdes ne vivrons pas jusqu’à ton ovulation. Précisa Bruno en embrassant son pubis.– Ooh ! Putain, tu... Mais,... oh mon dieu Bruno...– Mmm, ta chatte est encore pleine de foutre de ce midi... Luc et Mathieu t’ont baisée après notre départ ?– Oui, l’un après l’autre... mmm, salaud, tu m’excites, avec ce truc... baise-moi mon amour.– Oui ma chérie, j’vais te remplir ta chattoune avec ma grosse bite...– Aaah, Bruno comme je t’aime ! Baise-moi fort ! Oui ! Oh oui ! Comme ça, oui !
Bruno se démenait dans la chatte poisseuse de sa femme, il lui maintenait les jambes bien écartée, sa bite allait loin et la remplissait bien. Du bout des doigts, elle caressait la poitrine de son mari et admirait son corps athlétique aux muscles si fins et saillants qui semblaient tous s’activer quand il la prenait ainsi. Elle se régalait de la vue de ce corps fraîchement imberbe, si parfaitement esthétique à ses yeux. Il était beau, fort et tendre à la foi, il était tout ce qu’elle attendait d’un homme, elle l’aimait, elle jouissait. Bruno lâcha le compas de ses jambes pour se coucher sur elle et l’embrasser sans cesser ses mouvements rapides et profonds. Elle s’agrippa à lui en gémissant de plaisir, son orgasme était puissant et elle en tremblait de tout son corps. Bruno sortit de son ventre et sa semence se répandit sur elle. Il la regarda en souriant, heureux de l’avoir fait jouir ainsi, heureux d’avoir joui avec elle et étala son sperme sur le ventre blanc et la poitrine laiteuse de sa compagne.
– Joli spectacle, dit Jérôme, en posant des verres et des bouteilles sur la table basse.– Y a pas à dire, il n’y a rien de plus beau et de plus érotique que l’amour véritable. Rajouta Mathieu qui apportait des crackers.– Ça ne laisse personne indifférent, Ajouta Luc en s’asseyant près de Nathalie avec un grand sourire.– C’est ce que je constate, Dit-elle en passant sa main sur l’énorme bosse qui déformait le caleçon du géant, et j’me demande si j’vais pas déguster quelques saucissons avant la fin de l’apéro...– Si tu veux y goûter à mon salami... faut pas te gêner ma jolie.– C’est que mon mari m’a un peu laisser sur ma faim en éjaculant sur mon ventre. Ma chatte réclame de la bonne crème, elle compte sur vous trois pour bien la remplir, si le dîner peut attendre.– Pas de souci pour ça, Nathalie, déclara Jérôme, on a préparé une potée savoyarde qui peut rester sans problème à mijoter doucement pendant qu’on nourrit ta minette.
Pour toute réponse, Nathalie s’allongea sur le dos en posant sa tête sur le torse de son mari et en présentant la fourche de ses jambes à Luc qui s’était déshabillé. Il lui souleva le bassin et présenta son gourdin à aux lèvres de son sexe humide de jouissance et de désirs. Son épais mandrin trouva le conduit baveux et s’y engouffra d’un coup. Il tenait de ses mains puissantes les jambes de Nathalie par le dessous des genoux, et se couilles frappaient le cul de la belle qui s’agrippait au torse de Bruno. Le rythme était soutenu et les claquements de ses burnes étaient accompagnés des gémissement de la jeune femme aux quels Luc ajoutait des râles bestiaux. La scène était bien différente de la précédente mais pas moins excitante et Mathieu et Jérôme la regardaient en se masturbant doucement. Nathalie encourageait son amant en lui demandant d’aller plus vite, plus fort encore, de lui farcir la chatte de sa crème. Elle jouissait sous ces assauts et sous les caresses que Bruno prodiguait sur ses seins. Puis, dans un dernier râle, son étalon se cabra, son long sexe calé au fond de sa matrice se raidit, gonfla et expulsa sa semence fertile en de multiples jets saccadés. Luc se retira, Jérôme jeta un regard vers Mathieu et pris le relais. Nathalie ne changea pas de position, elle était offerte et disponible, tellement putain. Jérôme pénétra sans efforts dans le conduit déjà poisseux, il l’investissait, ressortait, faisait courir son gland sur les lèvres chaudes avant de replonger dans la cavité gluante, puis il entama des vas-et-viens rapides qui déclenchèrent un nouvelle orgasme de la belle qui dans son délire dévoila sa fécondité.
– Oh vas-y Jérôme ! Baise moi fort ! Balance ta sauce ! Aaah.– T’inquiète ma belle, on va te la garnir ta chatte !– Aaah ! Baise-moi ! Salaud ! Fécondez moi vous trois ! Aaah, oui ! Faites moi un môme, bordel !– Aah ! Putain ! Mais... Oh, la vache ! Salope ! On va t’l’arrondir ton ventre ! Aaah j’tiens plus ! Prends la ta sauce, prends tout, putain !
Jérôme se retira de Nathalie après l’avoir embrassée et avoir embrassé Bruno et Mathieu prit sa place. De toute évidence il était déjà très excité et il la besogna instantanément avec force et entrain. Nathalie regrimpa au rideau et repartit dans ses élucubrations. Elle s’adressait maintenant à son mari qu’elle tenait toujours.
– Oh Bruno ! T’as vu comme ils me baisent les salauds ! Aaah ! Ah oui !– Oui ma chérie, y t’remplissent bien ta chatte ! T’aime ça te faire remplir ta chatte par leurs grosses bites ? T’aimes leur grosses bites ?– Ouih ! Aaah ! J’adore ! J’adore leur bites, j’adore leur foutre ! Aaah j’suis qu’une putain, Bruno ! Une grosse putain ! Aaah !– Oui, t’es une belle pute qui m’fait cocu avec mes potes et qui va s’retrouver en cloque bientôt !– Aaah ! Oui ! J’vais être grosse de tout leur foutre, cocu ! Aaah ! T’en bande, salaud ! T’aimes ça d’être cocu, hein ? T’aimes quand ils me font un môme sur tes genoux ?– Oui, j’adore ça, trompe-moi, fais de moi le plus grand des cocus
Cette dernière phrase de Bruno fut accompagnée d’un gémissement de Mathieu qui explosait dans la matrice de Nathalie, rajoutant son sperme à celui des deux autres. Leur soif de sexe momentanément étanchée, ils se servirent de quoi combler celle de leur gosiers. Jérôme avait débouché une bouteille de vin blanc qui convenait à tous et il trinquèrent à cette première journée de ski. Bruno précisa que le temps devait rester au beau toute la semaine et que les journées suivantes seraient sans doute encore plus agréables notamment du fait des progrès rapides de Mathieu et de Luc. Mathieu crut un instant que le calvaire vécu le matin ne se renouvellerait pas mais cet espoir fut de courte durée.
– Je crois que l’option technique le matin et fun l’après-midi est la meilleure, dit Jérôme.– C’est vrai, poursuivit Nathalie, vos exercices m’ont bien remis en jambes.– Ça m’a rappelé les cours que j’ai eu quand j’allais en colo de ski gamin, dit Luc, mais en mieux. C’est un rythme qui me va bien mais c’est peut-être un peu chiant pour vous, non ?– Pas vraiment, répondit Bruno, en vrai ça nous fait travailler aussi. Ça impose de faire exactement les bons mouvements pour donner le bon exemple et de faire attention à chacun de nos propres défauts pour les corriger.– Au fond, ça nous amuse aussi, précisa Jérôme.
Le repas fut délicieux et largement apprécié. Ils parlèrent du reste des vacances et notamment de Noël et de l’invitation de Laura et Lionel dont Bruno n’était pas vraiment ravi. Il savait que Lionel était un grand libertin, depuis longtemps attiré par son cul et il se demandait ce que les deux femmes s’étaient dite et si Laura pouvait imaginer que Nath couchait avec leurs copains. Elle lui apprit que Laura avait des vues sur elle et sur Jérôme et qu’effectivement, elle avait toutes les informations nécessaires pour comprendre que cette semaine elle était la femme d’eux quatre.
– Tu sais où ça va mener de les inviter, Nathalie ? Demanda Bruno à sa femme.– Ben, à une bonne partie de baise avec cinq mâles pour deux femelles en chaleurs, je vois vraiment pas ce qui pourrait te gêner compte tenu de notre sexualité actuelle.– Il va m’enculer, je pourrais pas lui refuser. Ça fait plus de dix ans que je lui refuse mais si on partouze avec eux cette semaine, je ne pourrais pas.– Mais t’as jamais été clair avec ça Bruno, fit remarquer Jérôme. Quand on allait baiser chez lui, tu me disais après que t’avait envie de sa bite. Tu t’es mis une barrière mentale parce que c’est ton parrain alors il ne devait pas t’enculer mais te balancer son foutre à la gueule, ça posait pas de problème...– Parce que vous alliez baiser chez lui ?! Dit Nathalie surprise.– Oui, enfin c’est une longue histoire mais bon il nous avaient surpris un jour dans une grange chez mes parents et au lieu de nous balancer, ce qu’on craignait, ils nous à proposé de le faire chez lui à l’abris des regards indiscrets. Expliqua Bruno un peu honteux. Du coup, on allait chez lui et il se masturbait en nous regardant et en me caressant. C’est bon Nath, tu peux les inviter. On a qu’à dire vendredi ou samedi soir.– Sauf que nous on part dimanche, précisa Jérôme et j’aime bien Laura mais j’aurais préféré une soirée plus intime avec vous.– Et nous aussi, dirent en cœur Luc et Mathieu– Et pourquoi pas Jeudi, le soir de Noël, Laura m’a dit que n’importe quel soir leur irait c’est qu’ils n’ont rien de prévu.– Merveilleux ! Dit Mathieu enthousiaste, j’ai jamais fait de partouze à Noël !
Nathalie décrocha le téléphone et appela Laura et Lionel pour leur demander s’ils étaient ok pour passer le réveillon de Noël au chalet. Elle ne s’était pas trompée, ils n’avaient rien de prévu et étaient ravis de cette proposition. Après ce coup de fil, les discussions reprirent entre les cinq amis et notamment au sujet de Noël. Luc voulait aller acheter un sapin. Mathieu s’inquiéta parce qu’il n’avait rien prévu et souhaitait aller faire quelques courses à Chambéry et il fut bientôt décidé que Nathalie les y emmène le mercredi en laissant Jérôme et Bruno s’étaient engagé vis à vis de la station pour jouer les pisteurs-secouristes.
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