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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 7

Trash
– Et, à propos de mettre le petit jésus dans la crèche, demanda Mathieu, c’est quoi le délire que vous nous avez fait tout à l’heure ? On nique vraiment en live ?– Ben, sans capote, t’as dû le remarquer déjà, mais je ne prends plus la pilule depuis deux mois, si c’est ça ce que tu veux savoir.– J’hallucine ! S’écria Jérôme, tu peux te retrouver en cloque sans savoir qui de nous quatre sera le père ?– Euh, le père sera moi, précisa Bruno, mais le géniteur sera un de vous trois...– Comment ça ? Demanda Luc, pourquoi un de nous trois ?– Parce que mon pervers de mari n’a pas éjaculé dans ma chatte depuis vendredi dernier, expliqua Nathalie, et ma période de fertilité commençait hier. Alors, depuis deux jours, vous me garnissez la chatte et me fécondez peut-être.– Putain ! Vous auriez pu le dire, c’est carrément limite votre truc ! Dit Mathieu incrédule. Vous êtes vraiment barrés tous les deux.– T’inquiète pas Nathalie, on va te le faire ton môme. Dit enfin Luc. Et je te promets de me vider les couilles au moins deux fois par jour dans ta chatte et de l’avoir fait au moins une fois avant d’enculer Bruno.– Je promets de ne plus te la mettre dans le cul ! Ajouta Jérôme avec un grand sourire.– T’y arriveras pas, lui répondit Nathalie, t’aimes trop mon cul !– On devrait rajouter des articles au règlement du cul, suggéra Mathieu, notamment pour qu’ils ne nous cachent plus rien, pour interdire à Bruno de mettre sa bite dans la chatte de Nathalie et pour préciser que, quand on baise avec Nathalie, on doit obligatoirement éjaculer dans sa chatte.– Il faudrait aussi envisager des punitions, dit Jérôme avec un regard vicieux, parce que c’est quand même un acte de traîtrise. Je serais favorable à une révision de l’article deux.– Non ! Dit Luc autoritaire, le SM c’est le SM et ça ne branche pas tout le monde ici et surtout pas Nathalie, par contre appliquer une contravention ou une punition pour une faute ou un délit commis envers le règlement, c’est autre chose.– Oui, mais on fait comment ? Demanda Mathieu pragmatique, Parce que une punition, c’est pas fait pour faire plaisir et celle qui est prévue pour toute déviance SM, si elle devait être appliquée à Nath ou Bruno, pour d’autres fautes, serait une punition pour tout le monde et si s’est pas sexuel c’est pas drôle.– C’est vrai, dit Jérôme, faut que ce soit sexuel.– Si on condamnait à une interdiction totale de se laver pour plusieurs jours, qu’ils gardent leurs tracent de sperme sur le visage et leur odeur de bouc, Suggéra Mathieu– Sauf qu’on vient de dire qu’on devait éjaculer dans la chatte de Nath quand on baisait avec elle.– Y a qu’à leur pisser dessus, dit Luc, Bruno à montré ce matin avec moi de bonne disposition pour servir de chiotte, autant en profiter, j’suis sûr qui pourrait même servir de PQ l’enculé. Si on leur pisse dessus et qu’on leur impose de se le faire aussi, en leur interdisant de se laver, j’imagine qu’ils vont puer très rapidement.– Et pour la durée, demanda Jérôme.– On a qu’a faire un lancé de dé, dit Mathieu.
Le règlement du cul fut complété et contresigné de tous et Nathalie et Bruno furent condamné pour « haute trahison » du fait de n’avoir pas dévoilé, dès le départ, la fertilité de Nathalie. Au lancé de dé, elle eut de la chance et fit un as, elle resterait donc une seule journée sans se laver et à se faire pisser dessus. Bruno n’eut pas autant de chance car il fit un quatre et serait sans doute franchement puant le soir de Noël. Comme sa punition n’était que d’une journée, Nathalie fut tout de suite sollicitée par Mathieu et Jérôme qui l’emmenèrent dans la salle d’eau pour l’arroser de leurs mictions. Bruno ne servit d’urinoir qu’à sa femme ce soir-là, elle lui pissa sur la tête en lui frottant les cheveux pour mieux les imprégner. Il fut également convenu que la culpabilité de Bruno était plus importante et qu’il devait faire l’objet d’une autre punition mais que celle-ci devait être différente. Il fut donc décidé unanimement qu’il servirait de torche-cul à tous pendant la durée d’un jeté de dé ; il fit un six et était condamné à servir de papier toilette pour le restant de la semaine.
La soirée avait bien échauffé les esprits. Après avoir douché Nathalie et l’avoir vue vider sa vessie sur la tête de son mari, Jérôme bandait sérieusement aussi, il demanda à la jeune fille de s’appuyer sur la table et de lui tendre son cul. En bonne pute, elle fit ce qu’il lui demandait et il la pénétra sans aucun préliminaire. Nath était de toute façon suffisamment excitée pour que cela ne pose aucune difficulté. Toute cette situation la chauffait, ils étaient soumis à tous les désirs pervers de leurs amis et plus elle se faisait niquer et plus elle en avait envie. Jérôme la tringlait sans retenue devant les autres et devant son mari qui était dorénavant interdit de sa chatte.
– Putain ! T’aimes vraiment la bite, salope ! Dit Jérôme. J’vais t’en foutre plein la chatte encore. Aaah !– Aaah ! Oui, vide toi les couilles ! T’as vu chéri comme il me baise, aah ! T’aime me voir baisée ? Aah !– Bien sûr qu’il aime ça le cocu, regarde comme il bande, cet enculé... Et toi t’es une vraie grosse pute !– Oui, j’suis votre pute, aah ! Votre vide couilles, aaah ! Baise-moi fort salaud ! Aah oui ! Encore ! Aaah !– Oh oui Nath, t’es la reine des putes ! Oh putain, j’vais pas tarder ! Aaah !– Vas-y, salaud ! Envoie ta sauce ! Aaah ! Aaah oui ! Plus fort ! Aaaah !– Aaah, Oui ! Salope ! Tiens ! Aaah prend ça ! Aaah ! Aaaaaah ! Oh la vache...
Une fois sorti, Jérôme donna sa bite à lécher à Bruno tandis que Luc prenait la place encore chaude. Il avait retourné Nathalie qui était maintenant complètement allongée sur la table au milieu des restes du repas. Bruno donnait un coup de main en maintenant bien écartées les jambes de sa femme. Il prenait de plus en plus de plaisir à la voir baiser avec ses amis et sentait vraiment naître en lui l’âme d’un cocu. Il se rendait compte aussi que leur rythme de baise risquait de rendre monotone un retours à la « normale » et que Nathalie ne se satisferait sans doute plus jamais de son seul sexe. Luc éjacula et laissa la place à Mathieu qui la mena vers le canapé pour la prendre en levrette. Pendant que les autres apportaient café et tisanes sur la table basse. Bruno s’était rapproché du couple en action, la bite tendue et se masturbait doucement. Alors Luc s’approcha de lui et l’embrassa avant de s’agenouiller.
– J’ai envie d’essayer, Dit le géant à son ami, tu veux bien ?– Avec plaisir, répondit Bruno, je suis à ta disposition pour ce que tu veux. Mmm, oui, comme ça, c’est bien.
Luc l’avait pris en bouche et le suçait en essayant de reproduire ce qu’il aimait recevoir. Bruno était content de son initiative, le félicitait et l’encourageait. Pour une première pipe, Luc s’y prenait bien aussi il demanda à son amant ce qu’il voulait exactement.
– Tu veux juste sucer ou tu veux aussi que je t’encule ?– Mmm, j’ai envie d’essayer tout. Tu feras doucement, j’ai pas ton entraînement.– Promis, je serais très doux, tu peux me faire confiance, mais arrête de me sucer sinon j’vais pas tenir.
Bruno mit son ami à quatre pattes et commença à lui préparer l’anus. Il lui léchait le cul en écartant bien ses fesses. Sa langue dardait sur le petit trou qui s’ouvrait sous la douceur de cette sensation. Bruno salivait abondamment sur ce trou du cul encore vierge puis il y introduit un doigt en demandant à son ami si ça allait. Il revenait avec sa langue puis réengageait son doigt qui bientôt fut accompagné d’un second. L’anneau se dilatait, se décontractait. Luc avait de plus en plus envi de sentir sa bite en lui, alors Bruno lui refit lécher un peu sa bite en lui demandant de bien l’enduire de bave puis il vint l’appuyer sur la rondelle serrée qu’il avait encore enduite de sa salive. Il força un peu en demandant à Luc de se détendre et de pousser un peu. Son gland dépassa les sphincters, il attendit un petit peu et dans une seconde poussée très lente fit pénétrer le reste de son sexe fin et bien tendu.
– Oooooooh ! Ça y est ? Demanda Luc, T’es dedans ?– Oui mon grand, ton cul s’est ouvert comme une fleur. Ça va ? T’as pas eut mal ?– Non,... c’est bizarre comme sensation mais ça fait pas mal... Tu peux bouger si tu veux.– Mmm, s’était prévu. Oh oui ! T’es bien serré... Mmm c’est bon, il est bon ton cul.– Oooh, putain, tu m’ramones le cul,... Oooooh ! Mmmm !– T’aime ça ? C’est bon, hein ? Une bonne bite dans le cul.– Ooh, oui, je... j’aurais jamais cru... c’est... j’ai jamais senti un truc pareil avant.
Nathalie et Mathieu avaient joui depuis longtemps et trois paires d’yeux regardait la scène qui se déroulait sur le tapis. L’envie de Luc d’essayer un rapport passif avait surpris tout le monde. Bruno le besognait avec douceur et demandait régulièrement à son amant si ça allait ou s’il aimait ce qu’il ressentait, visiblement soucieux de son plaisir. La tendresse de cet accouplement, le rendait très érotique. Nathalie qui se masturbait doucement, réalisa à quel point ça l’excitait de voir deux hommes faire l’amour et elle trouva son mari très beau à cet instant. Le cul de Luc était plus détendu et Bruno accélérait progressivement ses allées et venues. Son amant gémissait de bonheur et l’encourageait à jouir dans son cul ce qui ne tarda pas. Quand la bite ressortit de son anus dilaté, Luc ressentit un vide étrange et aurait presque eut envie qu’elle revienne instantanément. Jérôme qui bandait de nouveau s’était approché dans l’espoir de prendre la place de Bruno. mais ce dernier l’en dissuada et proposa son cul en échange. Jérôme ne se fit pas prié et pénétra son ami. Nathalie que la situation excitait de plus en plus, alla chercher dans sa chambre son harnais qu’elle équipa d’un gode réaliste vraiment hors-normes qu’elle présenta, une fois arnachée, à la bouche de son mari. Bruno, la surprise passée, commença à sucer et lécher le sexe de latex qui s’enfonçait dans sa gorge chaque fois que Jérôme s’enfonçait dans son cul. La situation était réellement humiliante pour lui, mais aussi terriblement excitante. Bien que Nathalie l’avait déjà enculé trois ou quatre fois avec, la taille de l’objet lui faisait un peu peur. Sa femme, excitée comme elle l’était, allait lui défoncer le cul devant leurs copains. Jérôme déchargea assez vite et laissa sa place à la belle qui introduisit l’engin sans préparation et sans ménagement. La pénétration de Jérôme n’avait pas suffi et le cri de douleur de son mari fit réaliser à Nathalie qu’elle n’avait vraiment pas pris de gants. Elle allait se retirer en s’excusant, mais il lui demanda simplement de ne pas bouger. Il laissa ses nerfs se calmer, la douleur s’estompa peu à peu.
– Putain, Nath ! Ouh, tu m’as cassé le cul ! Arriva enfin à articuler Bruno.– Je... je suis désolée mon amour, je ne sais pas ce qui m’a pris.– C’est bon, ça passe... Tu peux y aller maintenant. Commence doucement, je te dirai.
Nathalie entama de lentes allées-et-venues que Bruno appréciait, aussi il donna le feu vert à sa femme pour qu’elle lui défonce le cul. Elle fit avec un plaisir renouvelé ce qu’il lui demandait. Nathalie aimait beaucoup enculer son mari, c’était un plaisir mental de domination et d’humiliation dont elle ne se passait plus depuis près de six ans et de le faire là devant les autres décuplait ce plaisir. Elle le pilonnait bientôt avec un rythme soutenu en le traitant de putain, de pédale et d’enculé et le gode qui lui remplissait la chatte vibrait au tempo de ses assauts. Elle jouissait en baisant son mari. Mathieu était excité par le spectacle et présenta sa bite à sucer à Bruno qui se retrouva en apnée, le nez enfoui dans la toison rousse et la gorge remplie. Il n’arrivait plus à respirer. Heureusement, sa femme, qui venait d’atteindre l’orgasme, stoppa son ramonage ce qui lui permit de reprendre son souffle un instant, mais Mathieu avait une furieuse envie de jouir dans la bouche de son copain et ne tarda pas à y replonger son long sexe. Bruno le goba entièrement et le rouquin, très heureux de cette prouesse, en profita. Lui tenant la tête, il lui baisait la bouche rapidement et largua son foutre chaud dans la gorge accueillante ; Bruno avala le flot de semence avant de s’effondrer épuisé sur le tapis.
– C’est un peu l’escalade, les gars, dit Jérôme perplexe en voyant l’anus défoncé de son copain. Ça devient franchement hard. Vous êtes sûr qu’on doit continuer avec ce délire de règlement du cul et d’avilissement.– C’est vrai que ça va de plus en plus loin, dit Mathieu qui comprenait le sentiment de Jérôme.– On est en train de vous traiter comme des merdes, rajouta Luc, on devrait pas faire ça...
Bruno et Nathalie se regardèrent un instant et s’excusant auprès de leurs amis tinrent un conciliabule dans la cuisine. Ils revinrent après quelques minutes en se tenant par la taille et en s’embrassant.
– Bruno et moi, après discussion, on est d’accord,... Commença Nathalie sérieusement.– Vous voulez qu’on calme le jeu ? Demanda Jérôme avec empressement.– Tant que ça reste un jeu, non. Répondit la jeune femme. Et vous en restez les maîtres.– Tant que tout le monde prend du plaisir, il n’y a pas de raison d’arrêter, poursuivit Bruno. Si on a tout accepté même les pires insultes et les plus basses humiliations, c’est qu’on était d’accord et que ça nous excitait.– Mais si ça vous plaît pas, rien ne vous empêche d’y mettre moins de contrainte et plus de douceur. Continua Nathalie. Dès la rédaction du règlement, on a accepté de se soumettre à vos désirs, c’est à vous de savoir ce que vous voulez et si on joue ou pas.– Je crois qu’on doit se mettre d’accord tous les trois, fit remarquer Luc à Jérôme et Mathieu.– Oui, allons discuter, répondit aussitôt Jérôme.
Les trois garçons se rendirent dans la cuisine pendant que Bruno et Nathalie attendait leur décision enlacés dans le canapé.
– Bon, voilà ce qu’on pense, on est rentré vachement vite dans un jeu un peu chaud et on voulait s’excuser parce qu’on a dit des choses qu’on pensait pas et qu’on en a fait qui nous gênent un peu. Commença Jérôme.– On s’est laissé aller et y a des trucs sur lesquels on voudrait revenir, ajouta Mathieu.– Mais c’est quoi qui vous gêne, demanda Bruno.– Ben, tu vois Bruno, quand on vous insulte, qu’on te traite de pédé ou d’enculé, qu’on traite Nath de salope et de grosse pute, c’est pas vrai. C’est pas ce que vous êtes pour nous et même si ça a été dit, dans le feu de l’action, moi ça me met mal à l’aise... t’es mon meilleur ami et je t’ai jamais insulté comme ça. Et en plus on vous impose des trucs dégueulasses, on vous traite comme de vulgaires trous à bites et on arrête pas de t’humilier. Je... j’ai honte Bruno.– Vous n’avez pas pris de plaisir pendant ces deux jours, demanda Nathalie.– Si, beaucoup, c’est ça le problème... répondit Mathieu. On pense que c’est parce qu’on sort tous les trois d’une histoire de couple malheureuse et peut-être qu’inconsciemment on est en train de se « venger » sur vous...– En fait, vous êtes en train de nous dire que vous avez un besoin vital de vous lâcher, que vous vous maîtrisez qu’à moitié et que vous avez peur de nous faire du mal ou d’y prendre trop de plaisir ? Questionna Bruno en pensant qu’il touchait peut-être le fond du problème.– Ben, on a un peu peur que vous nous preniez pour des salops, dit Luc un peu penaud– Et on voudrait pas non plus ne plus voir qu’en vous une grosse pute et un petit cocu pédé tout juste bons à se faire défoncer la chatte ou le trou du cul et à se faire humilier et insulter. Rajouta Mathieu embarrassé.– On vous aime beaucoup et ce serait pas sain de s’habituer à ce genre de rapports, termina Jérôme.– Et si, au fond, je n’étais effectivement qu’une grosse pute, bonne à farcir devant son mari cocu ? Demanda Nathalie, Qu’est-ce que t’en pense chéri ?– Je crois que t’en rêve depuis longtemps et je ne pourrais sans doute plus me passer de te voir baiser avec d’autres hommes. Je dois être fait pour porter des cornes sans doute. Répondit Bruno avec un grand sourire. Et moi, tu crois que je suis un petit pédé bon à enculer et à humilier ?– J’en suis certaine mon amour, il n’y a qu’à voir comment tu suces une bite ou comme tu jouis du cul... une vraie petite salope ! Répondit Nathalie avant de l’embrasser.– En somme, vous êtes en train de nous donner carte blanche pour continuer ? Demanda Jérôme au couple enlacé.– C’est les vacances, faut se lâcher. Nous restons soumis à vos désirs pour toute la semaine, Jérôme, dit Bruno. On a juste exposé notre point de vue et, jusqu’à présent, on a pris du plaisir. Si c’était pas le cas, on l’aurait dit.– Bon, mais y a un truc sur lequel on était d’accord et qu’on voudrait supprimer, c’est l’interdiction de vous laver et les punitions aussi, c’est vraiment dégueulasse... Dit Mathieu.– Ça t’a pourtant excité salaud de me pisser dessus, fit remarquer Nath, si on a le droit de se laver, les punitions sont moins sales, non ? Et puis, apparemment c’est des trucs qui t’excitent l’uro et le scato, je me trompe ?– En ce qui me concerne, tu me forces beaucoup moins que tu ne le penses. Je prends plaisir à nettoyer vos bites chaque fois qu’elles sortent d’un cul et plus c’est sale, plus j’aime, précisa Bruno en rougissant.– Et bien, l’affaire est entendue, je crois, conclut Jérôme. Hormis le fait que vous pourrez vous laver tant que vous voudrez, on va continuer à se lâcher... puisque c’est ce que vous voulez.
La soirée ne s’éternisa pas tellement plus longtemps, ils étaient tous bien fatigués et allèrent se coucher. Le lendemain matin, c’est Jérôme qui vint le premier prendre Nathalie au réveil. Il la besogna sous le regard attentif de Bruno à qui il demanda, après s’être bien vidé les couilles, de l’accompagner aux toilettes.
– T’es sûr de vouloir nous servir de papier ?– Certain, Jérôme, mais si tu veux pas rien ne t’oblige.– Je me suis posé la question sincèrement depuis hier soir, mais quand t’as dit que tu nettoyais toujours les queues qui t’avaient enculé, j’ai réalisé que c’était vrai. Alors je me suis demandé si s’était vraiment une punition...– En vérité ? Non, s’en n’est pas une. C’est humiliant sans doute, mais ça m’excite et pour être très franc, je serais sans doute capable d’aller plus loin mais je crois que y a que Mathieu qui pourra me suivre sur ce terrain boueux.– J’ose même pas y penser. Comment on fait ? Tu me regardes faire mes besoins ou je te fais signe quand c’est fini ?– À moins que ça te dégoûte, je me mettrais bien entre tes jambes avec ta bite dans la bouche.Mais, je vais te pisser dans la bouche !– C’est certain, mais, rassure toi, y aura rien de perdu.– C’est dégueulasse, Bruno, comment tu peux avoir envie de trucs comme ça ?– Tu sais, Jérôme, il n’y a pas que vous qui vous lâchiez depuis trois jours. Tu me demandes ce qui me fait envie, je te le dis, mais si tu veux pas, on le fait pas. Il faut que t’en ai envie aussi pour qu’on y prenne du plaisir tous les deux.– Non, Bruno, tu vas juste me lécher le cul, pour le reste, on verra demain peut-être,... je ne sais pas trop, faut que je me fasse à l’idée. C’est pas mon truc, je...– Pas de souci, on est tous là pour prendre notre pied, sans contrainte. Ça te bloque si je regarde ?– Non, ça tu peux...
Jérôme fit son affaire et tendit son cul à son ami qui lui demanda de l’insulter avant de lui écarter la raie des fesses et d’y fourrer sa langue avide. L’anulingus fit son effet et Jérôme se mit à bander en traitant son ami de lavette et de pédé. Bruno se retrouva vite à quatre pattes en appui sur la cuvette des wc qui n’avait pas été vidangée et Jérôme le besogna sans ménagement sous le regard de Luc qui venait de prendre Nathalie et qui attendait que les toilettes se libèrent. Quand se fut son tour, il ne fit aucune objection pour que Bruno prenne son sexe en bouche et, comme la porte était ouverte, tout le monde pu le voir boire sa pisse et lécher son cul merdeux. Nathalie qui avait déjà reçu le foutre des trois lascars entra à sa suite et se fit lécher la chatte pendant qu’elle urinait et le cul ensuite. L’excitation de Bruno était à son comble et il présenta sa bite au cul tendu de sa femme qui l’accueillit avec plaisir. Il la pilonnait avec entrain et ne fut pas long à jouir dans ses entrailles. Alors Mathieu s’approcha de Bruno et lui dit quelque chose à l’oreille que personne n’entendit et les deux hommes s’enfermèrent dans la salle de bain. Ils y restèrent vingt bonnes minutes avant que l’on entende l’eau de la douche couler. Personne ne leur fit de commentaires quand ils rejoignirent les autres au petit déjeuner. Jérôme se dépêcha d’aller se laver car Bruno et lui risquaient être en retard sur les pistes.
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