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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 8

Trash
La journée de ski se passa bien et Mathieu trouva les cours imposés par ses amis plus agréables. Ils ne rentrèrent pas au chalet le midi et déjeunèrent en haut des pistes dans un restaurant d’altitude tenu par Jacques, un ami d’enfance de Jérôme et Bruno. Ils furent gracieusement invités et royalement servis.
– Moi qui croyais connaître tous vos potes ici, vous me l’aviez caché celui-là. Dit Nathalie au milieu du repas. Il est plutôt beau gosse !– C’est déjà ce que disaient les filles au collège. Rétorqua Jérôme. J’ai jamais compris ce qu’elles lui trouvaient.– Il transpire la bête de sexe, répondit Nathalie. Je suis certaine que c’est un super coup !– Il te branche ? Demanda Bruno avec un intérêt certain. Apparemment, tu dois lui plaire aussi quand on voit comment il t’a matée.– Ben, cette semaine, j’ai déjà un emploi du temps un peu chargé. Répondit la belle coquine, mais la semaine prochaine, pourquoi pas...– Si je comprends bien je vais vraiment être cocu, tu vas te taper tous les mecs à qui tu plais.– Tu sais aussi bien que moi que ta bite ne me suffira plus et t’aime ça, alors je vois pas pourquoi je me priverais.– T’as raison chérie, vous êtes témoins, les gars, dit il en regardant leurs amis, dorénavant tu es libre de niquer avec qui tu veux et quand tu veux, je veux juste, à défaut de le voir, le savoir.– T’inquiète pas vieux frère, dit Jérôme, je te rappellerai ce que tu viens de dire si jamais tu oublis.
L’après-midi ski détente fut perturbée par deux accidents de skieurs qui nécessitèrent l’intervention de Bruno et Jérôme, mais les descentes qu’ils firent ensemble leur procurèrent beaucoup de plaisir, notamment la dernière sur une piste désertée par les skieurs où Jérôme et Bruno se livrèrent à de multiples acrobaties et en apprirent trois faciles à leurs amis. « En vrai, c’est à la porté de tout le monde, avait dit Bruno, mais ça bluffe bien... » et ils rentrèrent tous en rigolant.
Ils évoluaient tous nus maintenant puisque l’activité principale était de baiser. En regardant Bruno enlever sa combinaison de ski, Luc se rappela leurs week-ends à l’internat, quand Bruno passait ses nuits dans son lit.
– Nath, je... j’ai un service à te demander. Demanda le grand brun nostalgique.– Je t’écoute, Luc. Qu’est c’qui t’arrive ?– J’ai envie de dormir avec Bruno dans mon lit... avoua-t-il un peu gêné– C’est que... la nuit, c’est un peu notre moment d’intimité mais... on avait jamais envisagé cette question. Dit Bruno avant que Nathalie ouvre la bouche.– Je crois comprendre ce que tu ressens, dit la jeune femme en le regardant avec compassion, tu l’aimes et tu n’as jamais cessé de l’aimer. Tu aimerais l’avoir pour toi ? Le câliner, l’enlacer et l’embrasser comme une femme ? Tu aimerais que je te le laisse à ce doux plaisir jusqu’à la fin de la semaine ?– Oui, s’il te plaît, ce serait mon plus beau cadeau de Noël, répondit Luc en regardant ses pieds.– Bruno, tu veux bien devenir la « femme » de Luc jusqu’à la fin de la semaine ? Je vous trouve tellement beaux quand vous faites l’amour ensemble et il ne vous reste que quatre jours pour vivre pleinement vos sentiments...– Tu... Je t’aime de tout mon cœur, ma chérie, dit Bruno en la prenant dans ses bras.– Je sais, mon amour, et je sais que les sentiments que t’éprouves pour Luc ont à peut-être la même intensité que ceux que tu ressens pour moi. C’est évident pour tout le monde, et je n’en suis pas jalouse. Mais, je vais pas te prêter, je vais te louer !
– Le louer ? Combien ? Demanda Luc surpris– Deux éjaculations par jour dans ma chatte, une le matin et une le soir, en rentrant des pistes, et au moins deux heures d’intimité conjugale pour Bruno et moi dans la journée ! Répondit la jeune femme.– Ça veut dire qu’on est concernés ? Demanda Mathieu– Y a des fois où t’es vraiment crétin, Mathieu, dit Jérôme presque excédé par la naïveté de son ami. Mois je suis d’accord, deux heures pour vous et vingt-deux pour nous, c’est correcte!Vous n’aurez qu’à dire que vous prenez un temps pour vous et on fera le décompte... Haha !– Alors c’est bon, dit Nathalie enjouée, tu me baises tout de suite et Bruno t’appartient jusqu’à la fin de la semaine si tu n’oublies pas des me remplir la chatte matin et soir, bien sûr.– Allons-y tout de suite, mais dans ton lit, sans les autres autours, Dit Luc.– Avec plaisir, répondit la jeune femme en prenant l’Apollon par la main.
Une fois dans la chambre, Luc referma la porte et la prit dans ses grands bras musclés pour l’enlacer. Il était visiblement ému et ses gestes étaient très tendre. Il la remerciait de ce qu’elle avait accepté et d’être telle qu’elle était et fini par lui avouer des sentiments aussi forts que ceux qu’il avait pour Bruno et qui datait de l’époque où les quatre garçons lui couraient après. Ces vacances tous les cinq les avaient fait resurgir avec une force encore plus grande. Il lui fit l’amour avec beaucoup de tendresse et de passion et leur premier orgasme n’enleva rien à sa vigueur si bien qu’il put l’honorer une seconde fois. Après avoir bien joui tous les deux, ils échangèrent un long baiser avant de se décider à redescendre. Quand Nathalie et Luc revinrent de la chambre, elle réclama leurs deux heures d’intimité et ils purent, avec son mari, se câliner et se dirent des mots doux tout le temps de ce début de soirée, de l’apéro à la fin du repas. C’était aussi le moment des confidences.
– Tu m’en veux pas de t’avoir donné à Luc ? Demanda Nathalie, je n’t’ai pas laissé beaucoup de choix...– C’était pas utiles, tu as très bien analysé les choses... il m’aime et je l’aime comme je t’aime... t’as agi par pitié pour lui... et pour moi, aussi.– À chaque fois que je t’ai enculé ou presque, tu m’as parlé de lui et quand on vous voit ensemble on sent bien qu’il y a un petit truc en plus...– Quand on s’est mis ensemble toi et moi, j’ai rompu avec lui, je ne voulais plus penser à ça et tu t’es mise à m’enculer en me parlant de ma vie homosexuelle avec Lui.– Tu sais mon amour, tu m’as tout de suite avoué ta bisexualité et les relations que tu avais eu avec Jérôme et lui et j’ai tout de suite su que tu aimais encore Luc, mais j’ai aussi compris que ça n’interférait pas avec tes sentiments pour moi, alors j’ai essayée, du mieux que je pouvais, de compenser en t’enculant pour que tu acceptes ton côté homo, mais en fait, tu pouvais pas car il était pas libre... J’aimerai que Luc devienne ton amant régulier.– Je... T’es sérieuse ? je...– Tu sais pas quoi dire, ne dis rien. Rend le heureux et reste mon mari pour la vie, mon amoureux comme depuis sept ans.– Je te le promets ma chérie, je ne veux vivre avec personne d’autre que toi...– Que moi et Luc ! Insista Nathalie, je veux que tu lui appartiennes aussi... et que tu me le prêtes de temps en temps.
Les deux heures d’intimité conjugale arrivèrent à leur fin et Bruno se retrouva aussitôt sur les genoux et dans les bras de Luc dont le visage resplendissait de bonheur. Les deux hommes s’embrassaient et se caressaient devant leurs trois amis eux-même occupés au même genre d’activité. Luc et Bruno avaient, cependant, besoin de se retrouver tous les deux, cela faisait si longtemps. Ils souhaitèrent donc une bonne nuit à tout le monde dans de grands échanges de baisers langoureux et de caresses coquines sur les sexes tendus et montèrent dans la chambre de Luc. Une fois tous les deux sous la couette, le ballet de leurs mains et de leurs bouchent reprit de plus belle. Maintenant qu’il y avait goûté une première fois, Luc n’hésita pas à prendre en bouche le sexe de son bel amant et Bruno lui rendit la politesse. Le grand brun était heureux de pouvoir procurer se genre de plaisirs, d’avoir franchit enfin ses réticences. Ils se suçaient l’un l’autre avec délectation puis Luc demanda à Bruno de le prendre. Le petit éphèbe se plaça derrière lui et humecta sa rondelle de sa salive. Luc gémissait, il adorait la façon avec laquelle son amant lui léchait le cul et la douceur avec laquelle il préparait l’ouverture de son anus encore novice. Puis, il vint appuyer le gland de son sexe fin sur l’anneau qui s’ouvrit de désir. La pénétration se fit d’un coup, dans une lente poussée et Luc retrouva le plaisir d’être de nouveau rempli. Bruno commença de lentes allées et venues dans le fondement de son ami puis il ressortit pour voir l’anneau ouvert et s’y replonger avant qu’il ne se referme. Il renouvela plusieurs fois ce petit jeu mais son amant était au supplice, il voulait le sentir s’activer en lui, il voulait qu’il le prenne à fond. Alors Bruno s’accrocha bien à ses hanches et le baisa puissamment. Luc gémissait et jouissait. Son sexe bandait mou, mais un long filet de sperme s’en écoulait et quand il sentit la pinne de Bruno se tendre et cracher son foutre dans ses entrailles, il succomba à un véritable orgasme annal. Ils se retrouvèrent dans les bras l’un de l’autre pour un tendre câlin. Le grand sexe épais de Luc ne semblait pas prêt à durcir, mais ce n’était pas important car ils avaient bien joui l’un comme l’autre et ils s’endormirent ainsi. C’est plus tard dans la nuit que le géant se réveilla avec une trique d’enfer qu’il présenta au fessier de son amant endormi. C’est le contact du gros gland sur son anus qui réveilla Bruno, alors il attrapa la verge de sa main et la guida lui-même dans son cul. Le souvenir cuisant du gode de Nathalie se faisait sentir mais sa rondelle n’opposa aucune résistance au passage de l’énorme mandrin. La bite de Luc était maintenant totalement entrée et il l’encouragea à le baiser. Il essayait de ne pas trop gémir pour ne pas réveiller tout le chalet, mais la force avec laquelle il se faisait prendre rendait l’opération impossible. Luc aussi râlait à chaque poussée et quand il le sentit lui remplir le cul de sa chaude semence, il jouit avec lui. Même mollissante, la longue bite de Luc semblait capable de rester dans son cul et c’est ainsi qu’ils se rendormirent.
Le lendemain matin, Luc alla payer son loyer en honorant la chatte de Nathalie. Il trouvait cet arrangement délicieux et avait passé une excellente nuit. Bruno l’accompagna, il avait envie de retrouver sa femme et de l’admirer en pleine action. Il ne fut pas déçu car, en entrant dans la chambre, ils la trouvèrent déjà très occupée, prise en sandwich entre Jérôme et Mathieu. Bruno se demanda s’ils ne pourraient pas la prendre ainsi et fit par de son envie à Luc qui acquiesça. Cet accord, et le spectacle auquel ils assistaient, les avaient rendu totalement opérationnels et ils s’astiquaient doucement leurs chibres impatients. Sur le lit, les deux garçons se déchaînaient et Nathalie semblait vraiment apprécier le traitement. Ils jouirent tous les trois à l’unisson et la belle se retrouva disponible pour les suivants. Elle était contente de retrouver son mari et ils s’embrassèrent avec beaucoup d’amour et de tendresse. Luc s’était allongé sur le lit et son sexe épais pointait fièrement vers le plafond. Bruno guida sa femme sur ce membre colossal qu’il plaça lui-même dans son con baveux alors qu’elle enfourchait ce nouvel amant. Les désirs de la jeune femme étaient les même que ceux de son mari et quand elle se retrouva complètement empalée sur Luc, elle demanda à Bruno de la prendre par derrière. La porte était encore grande ouverte du passage de Jérôme et largement lubrifiée par sa semence. La fine tige de son mari n’eut aucune difficulté à rentrer et elle se retrouva complètement remplie et écartelée pour la deuxième fois de la journée. Si le premier sandwich avait été un peu violent celui-ci était pratiqué avec une grande douceur, mais il n’en était pas moins intense en plaisir. Les deux hommes la cajolaient en même temps et Bruno lui disait des mots d’amour. Leur rythme s’accélérait peu à peu, mais la tendresse restait et la jouissance de Nathalie monta encore d’un cran. Elle se sentait vraiment bien baisée, elle jouissait et les encourageait en déclarant le plaisir qu’elle prenait. L’endurance de Bruno fut mise rudement à l’épreuve. Les frottements sur sa bite, provoqués par l’énorme engin de Luc qui s’activait dans la chatte de sa femme, eurent finalement raison de lui et il fut le premier à partir inondant le cul déjà bien rempli. Son orgasme provoqua celui de Luc qui avait senti sur sa bite tendue les secousses explosives de la queue de son ami. Il se raidit à son tour et son éjaculation déclencha un énième orgasme de Nathalie qui s’écroula coincée entre ces deux mâles si tendres. Elle aimait beaucoup Luc dont la carrure si impressionnante cachait une âme délicate et elle trouvait que s’était vraiment l’amant idéal pour son mari, elle en était à chaque instant un peu plus convaincue. Ils prirent leur douche tous les trois avant de rejoindre Jérôme et Mathieu qui préparaient le petit déjeuner. La journée s’annonçait légèrement différente puisque seul Jérôme et Bruno allaient skier et elle et les deux autres garçons se préparaient pour partir en ville faire quelques courses en prévision de Noël.
– C’est quoi le plus rapide ? Annecy ou Chambéry ? Demanda Nathalie à Bruno– En distance c’est Annecy, mais en temps, avec l’autoroute pour Chambéry, c’est pratiquement pareil. Je serais vous j’irai plutôt à Annecy– Et Genève ? Demanda Mathieu, c’est loin ?– Si tu veux ruiner tes économies, non, avec l’autoroute tu mets une heure vingt environ pour rejoindre le centre ville.– Tout dépend de ce que vous cherchez, mais vous trouverez tout à Annecy sans problème, compléta Jérôme de l’avis de Bruno, et en plus c’est une belle ville et il y a sans doute un marché quelque part.– Je ne suis pas encore sûre, je devrais peut-être trouver un sex-shop avoua Nathalie.– Alors Annecy c’est mieux je crois, dit Bruno, je sais qu’il y en a un grand dans le centre mais vérifie sur internet avant de partir– Mmm, t’as raison ce sera plus prudent que de partir à l’aveuglette...
Sur ces bonnes paroles, les deux pisteurs-secouristes prirent leurs skis et quittèrent le chalet. Nathalie vérifia tout de suite la présence d’un sex-shop à Annecy et nota l’adresse puis ils partirent tous les trois avec la voiture de Bruno. N’étant que tous les deux, Jérôme et Bruno accomplirent leur mission sécuritaire avec un peu plus de zèle que le jour précédent, parcourant plus de pistes et remettant systématiquement en place chaque balise ou barrière tombée. Le midi, ils rentraient tous les deux au chalet. Quand ils croisèrent Lionel.
– Ah ! Les jeunes, je vous cherchais. Dit Lionel en s’approchant. Avec Laura, on se posait quelques questions. Vous avez du temps ? On peu manger ensemble.– Viens à la maison dit Bruno, on est que tous les deux, les autres sont partis à Annecy faire deux ou trois courses.– Oui, on a plein de restes, dit Jérôme. On sera mieux qu’au restaurant.– Bon et bien je vous suis !– Et Laura, elle veut pas venir ? Demanda Bruno prévenant.– Non, elle mange pas le midi en ce moment, en prévision des fêtes ! Haha ! C’est qu’elle surveille sa ligne... et puis, je crois qu’elle a prévu de se taper son petit vendeur, Jérémy. Elle n’a pas besoin de nous, c’est sûr.– Dans ce cas, répondit Bruno en ouvrant la porte, bienvenue à la maison.– Tu ne seras pas choqué si Bruno reste à poil ? Demanda Jérôme à Lionel– Euh... non, mais pourquoi ? Tu te fous à poil tout le temps, Bruno ?– C’est le règlement, répondit le jeune homme en envoyant un regard noir à son copain et en se déshabillant.– Le règlement ? J’espère que vous allez m’expliquer ça ?! Ça a l’air très intéressant... Mmm, Bruno, ton corps épilé est vraiment très mignon.– C’est vrai qu’il est vraiment bandant comme ça, Rajouta Jérôme en mettant une main au cul de son ami, et c’est si doux à caresser.
Lionel n’attendit pas qu’on l’y invite pour constater sous ses doigts la douceur de la peau glabre de son filleul. Puis les trois hommes se rendirent dans la cuisine pour sortir les restes de potée du frigo. Il y avait largement pour eux trois en complétant de fromages et de charcuterie, c’était un vrai gueuleton qui se préparait. Les deux garçons expliquèrent à Lionel le principe communautaire qui régissait la vie sexuelle des occupants du chalet et lui montrèrent le règlement auquel Nathalie et Bruno étaient soumis. Lionel avait passé ses bras autour de son filleul et lui pinçait le tétons.
– Alors comme ça, mon petit chéri, toi et ta ravissante femme, vous êtes les putes du groupe ?– Oui parrain, on est leurs putains même si ils baisent plus avec Nath, bien sûr, ils nous baisent tous les trois. Avoua Bruno que les caresses et les pincements de son parrain commençaient à exciter.– Et ça vous plaît ? T’aime la voir baiser avec eux ? Elle aime quand ils t’enculent ?– On adore ça, j’adore la voir niquer avec eux et elle adore qu’ils m’enculent.– Mmm, petit salopiaud, si tu savais comme tu m’excites... Sors ma bite ! Suce-moi, mon garçon, te fais pas prier.
Bruno obtempéra sans rechigner et défit la fermeture du pantalon de son parrain qui souleva les fesses pour l’aider à ôter son vêtement complètement. Il fit ensuite glisser le slip pendant que Lionel retirait la partie haute. Son sexe épais et noueux, surmonté d’une épaisse toison grisonnante semblait piaffer d’impatience. Bruno le prit en bouche, saliva bien sur le gland et la hampe puis l’engouffra et l’avala. Bruno avait honte de ce qu’il faisait, il ne pouvait plus y échapper, il allait baiser avec son parrain, se faire enculer devant le regard amusé de Jérôme. Ce dernier s’était déshabillé, lui aussi, et s’était approché en se masturbant du cul relevé de Bruno.
– Vas-y Jérôme encule le pendant qu’il me suce un peu et puis on alternera, dit Lionel au blondinet– Oh putain, Bruno ! T’as le cul tellement ouvert à force de te faire défoncer ! C’est rentré tout seul ! Dit Jérôme surpris– Qu’est-ce que tu suces bien, mon garçon, on voit que t’as de l’expérience. Putain, mais t’arrives à tout avaler bordel ! Quelle bouche ! C’est trop bon !– Tu vas voir son cul Lionel, c’est un vrai régal ! Dit Jérôme qui s’activait avec beaucoup d’entrain.– On échange de place ? Demanda Lionel à son co-baiseur, j’ai tellement rêvé de son cul...– Vas-y, je te le laisse, j’y reviendrais quand t’auras fini.– Putain c’est vrai qu’on rentre tout seul ! Remarqua Lionel, tu dois t’en prendre plein le cul, j’me trompe ?– Non, aaah ! J’me fais enculé par Nath très souvent et,... et depuis dimanche, aaah ! C’est leurs trois bites... Répondit Bruno bousculé par son parrain. Vas-y Parrain, baise-moi, encule-moi fort ! Aaah ! Ah oui !– Oh putain ! J’en reviens pas ! J’suis en train de baiser mon filleul, j’te baise Bruno, j’te baise !
Bruno s’envolait, la honte était passée, il savourait simplement l’effet du passage de cette grosse bite dans son rectum. Il avait redouté ce moment, il avait tout fait pour l’éviter et finalement il jouissait. Quand la grosse bite de son parrain se tendit, il se sentit envahi par le flot de sa semence poisseuse et jouit encore en émettant un râle de plaisir. Son parrain se dégagea et il sentit aussitôt les mains de Jérôme se poser sur ses hanches et son pénis pénétrer son conduit bien ouvert. Son ami était chaud et le prit sans ménagement, mais c’est ce que Bruno attendait. il avait envie de ça, envie d’être baisé comme une pute. Lionel lui mit sa bite mole et odorante sous le nez et il la lécha, la suça et la goba encore une fois jusqu’à ce qu’elle soit propre. Puis Jérôme lâcha sa purée et lui demanda la même faveur.
– Putain mon cochon, quelle baise ! Dit Lionel ravi de cette petite aventure, j’étais pas venu exactement pour ça et si on m’avais dit ce matin que je t’enculerai à midi...– Moi aussi, je ne l’aurai pas cru, l’interrompit Bruno, mais je regrette pas.– T’en avais envie ? Moi j’en ai rêvé pendant des années... précisa Lionel en prenant son filleul dans ses bras– J’en ai toujours eu envie, mais je voulais pas... Dit le jeune homme avant d’embrasser son parrain.
Il passèrent à table rapidement et Lionel leur dit qu’avec Laura, ils prévoyaient d’apporter des huîtres et une bûche au chocolat. Il leur fit savoir que Laura s’inquiétait de savoir comment s’habiller mais qu’elle serait sans doute ravie que la soirée soit déshabillée. « Elle fait ça très bien ! » ajouta-t-il en rigolant. Il était temps pour eux de retourner à la surveillance des pistes et de la station et après avoir tout rangé ils filèrent à leurs occupations réciproques.
Nathalie et ses deux compagnons étaient arrivés à Annecy sans problème et avaient rapidement fait quelques courses de bouche au marché. Luc tenait à acheter un sapin mais Nathalie lui fit remarqué que vu la place que ça prenait autant que ce soit la dernière chose faite. Il n’était pas encore midi et ils se promenèrent à pied dans la ville et flânèrent dans les marchés de Noël, passèrent dans une galerie marchande et finirent dans les rayons livres et cd d’un grand distributeur, chacun achetant ça et là, avec plus ou moins de discrétion, quelque chose, ils se retrouvèrent avec des sacs plein de cadeaux emballés et il était largement temps de manger un morceau. Il trouvèrent une petite brasserie où ils mangèrent rapidement et en sortant Nathalie fit un crochet par le sex-shop ou elle acheta des bijoux de peau pour ses seins, un plug anal bijou pour elle et un autre presque identique pour Laura, et une série de trois jockstraps en dentelle pour son chéri. Tout cela fut vite acheté et il pouvait penser au retours. Juste avant de partir, Luc acheta un sapin, qu’ils fixèrent sur le toit du véhicule, et quelques décorations au cas où il n’y en ait pas chez Bruno et il reprirent la route du chalet. Ils arrivèrent en milieu d’après-midi et commencèrent par ranger les courses. C’est à ce moment que Nathalie avoua ouvertement qu’elle avait besoin qu’on s’occupe de sa chatte. Luc la prit d’abord dans le canapé et une fois qu’il eut bien fourré la petite moule de sa crème baveuse, Mathieu prit le relais. Le temps que le rouquin jouisse, Luc avait retrouvé la forme et il se présenta pour un second service. Comme il venait de jouir une fois, il était encore plus endurant et Nathalie était vraiment aux anges. Elle eut un troisième orgasme quand il déchargea de nouveau une grande quantité de foutre dans le vagin fécond de la jeune femme. Il resta un moment fiché en elle, le temps de reprendre conscience te laissa une nouvelle fois la place à Mathieu. Quand ce dernier eut joui pour la deuxième fois et se fut dégagé du con crémeux, Nathalie porta une main à sa chatte farcie, y plongea un doigt qui ressortit couvert de semence et qu’elle porta à sa bouche en disant « mon bébé... » puis elle s’endormit. Quand Jérôme et Bruno rentrèrent des pistes elle était toujours dans la même position, affalée sur le canapé et un long filet de sperme s’échappait de sa chatte ouverte. Jérôme la trouva tellement excitante qu’il ne put résister à l’envie de la prendre ainsi alanguie. Elle eut un sursaut en se sentant soudainement pénétrée mais Jérôme s’activait déjà en elle et une fois que le blondinet eut apporté sa contribution au remplissage de sa chatte, elle décréta le début de leur temps d’intimité pour Bruno et elle. Elle commença par lui faire des caresses puis elle le prit en bouche. Elle voulait le faire jouir et lui procura une fellation très efficace. Bruno éjacula abondamment, lui remplissant la bouche, mais elle n’avala pas et se redressa pour l’embrasser et échanger avec lui cette semence. Il parlèrent ensuite de leur journée et Bruno lui raconta la venue de Lionel. La jeune femme n’en revenait pas, mais cette aventure présageait une bonne soirée de Noël. Le reste de la soirée fut très calme sexuellement, mais très euphorique par ailleurs et entièrement consacrée au rangement et à la décoration de la maison et du sapin. Cette activité de décoration semblait plaire particulièrement à Luc ; Bruno fit donc un effort pour aller chercher le carton de décorations qui traînait dans un coin du sellier. Ils discutèrent ensuite du repas, de ce qu’il fallait préparer et de combien de temps ça prendrait pour que tout soit prêt quand leurs invités viendraient. Une fois leur plan d’action établi, Luc et Bruno allèrent se coucher ensemble dans une chambre tandis que Nathalie s’en allait dans la sienne en compagnie de Jérôme et de Mathieu et leurs nuits furent semblables à celle de la veille.
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