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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 13

Trash
Pendant que Laura, Arnaud et Luc remettaient un peu d’ordre dans le salon et dressaient la table, Bruno aidait sa mère à faire la cuisine. Elle était assise et découpait des morceaux de fromage à raclette tandis que son fils lavait les pommes de terre et la salade à l’évier. Son joli cul bougeait avec grâce et elle repensait à ce qu’elle avait vu l’après-midi.
– Tu sais, mon lapin, dit Josiane à son fils. Lionel m’a fait une remarque intéressante cet après-midi.– Ah bon laquelle ?– Et bien tu ressembles à ton père physiquement mais pour le cul, de toute évidence t’as pris quelque chose de moi...– Tiens donc, et c’est quoi exactement qui l’a amené à cette brillante déduction ? Demanda Bruno amusé, ma façon de sucer Luc ou la facilité avec laquelle je lui tends mon cul ?– Oh, les deux ! Ton goût évident pour la bite, dont je n’ai eu qu’un modeste aperçu, mais dont il m’a parlé avec beaucoup d’admiration, et ce que tu as fait après... Lionel dit qu’il t’a toujours vu le faire et …, moi aussi, je l’ai toujours fait.– Quoi donc, nettoyer ? Oui, je sais pas, la première fois que Jérôme m’a enculé, je l’ai fait. Je crois que je voulais qu’il rebande pour m’enculer une deuxième fois, mais finalement, c’est comme une sorte de besoin et j’avoue que j’aime ça...– Tu trouves pas ça bizarre qu’on ait tous ces goût en commun, cette même attirance pour la bite et pour la sodomie ? Demanda Josiane à son fils.– Remarque maman, que j’aurai du mal à prendre une bite ailleurs que dans le cul, je suis un homme, mais c’est vrai que j’aime la bite, ça faisait des années que je résistait à cette passion, surtout grâce à Nathalie qui aime me sodomiser, mais depuis dimanche, c’est le festival... Je crois que je ne pourrais plus m’en passer. Tu sais, y a des fois ou je me demande si je ne serais pas capable de tendre mon cul instinctivement à la première bite qui viendrait s’y coller, sans même regarder qui est derrière.– C’est pas très raisonnable mais je peux comprendre, moi c’est pareil, j’ai même fais le test en club une fois, Avoua Josiane avec un sourire de nostalgie.
Arnaud s’était arrêté devant la porte de la cuisine. Sa femme et son fils lui tournaient le dos et ne l’avaient pas remarqué, trop absorbé par leur conversation. Il matait le cul de Bruno tout en les écoutant et son désir de l’enculer, comme Luc l’avait fait devant eux l’après-midi, resurgit. Nathalie s’approcha de lui et remarqua qu’il bandait.
– Et bien beau-papa, c’est le dos de Josiane ou le cul de Bruno qui vous fait bander comme ça ? Lui souffla-t-elle en lui prenant la queue.– Je... je crains que se soit le cul de Bruno, avoua-t-il tout bas. Il m’excite, surtout depuis que je l’ai vu en action.– Vous êtes un cochon et un pervers, mon beau-papa, Dit doucement la jeune fille en le masturbant. Vous fantasmez sur le cul de votre fils, vous aimeriez y planter votre dard, n’est-ce pas ? Vous voudriez le sodomiser comme un soudard, c’est ça ? Lui défoncer son joli petit cul ? Le prendre comme une putain, par derrière, ça vous excite ?– Oh, ne vous arrêtez pas Nathalie, chuchota-t-il à sa belle-fille– Non, j’arrête, je n’vais pas vous masturber pendant que vous fantasmez sur le cul de Bruno, lui souffla-t-elle, si vous le voulez, il faudra le conquérir. En vous y prenant bien, je suis sûr qu’il vaincra ses barrières et vous l’offrira de lui même, peut-être ce soir qui sait ?– C’est quoi ces messes basses ? Demanda Josiane en se retournant.– Oh rien du tout, Chérie, s’empressa de dire Arnaud– Ben c’est un rien du tout qu’à l’air super efficace quand on voit comme tu bandes, ne va pas me l’épuiser Nathalie, j’en ai encore besoin tu sais...– Oh, mais ce n’est pas moi qui le met dans cet état, je vous l’jure, se défendit la jeune femme narquoise. Je l’ai juste surpris en pleine contemplation...– C’est quand même pas la vue de mon dos planté sur une chaise qui te fait cet effet ? Depuis vingt-huit ans, je m’en serais rendue compte.– Ça doit-être mon cul, fit remarquer Bruno en se retournant, il n’y a plus que ça...
– Démasqué ! Fit Nathalie goguenarde avant de lui faire un bisou. C’est drôle, non ?– Quel famille ! Mon pauvre Luc, dit Bruno à l’adresse de son copain qui arrivait derrière Nathalie, tu dois vraiment te dire que t’es chez des fous. Mon père bande pour mon cul, ça amuse ma femme et ça excite tout le monde, même-moi, reconnut-il en désignant son sexe dressé.– Que veux-tu que je te dise, Bruno, dit le géant en souriant, je ne trouve pas que vous soyez fous, ni les uns ni les autres et ton cul est vraiment bandant, depuis dimanche, j’ai pas vu grand monde y résister et en plus t’adore ça, avoue-le.– C’est vrai, mais bon, c’était vous... Dit Bruno songeur.– Enfin, mon Chéri, dit Josiane à son fils, tu me disais tout à l’heure que tu serais capable de tendre ton cul à une bite sans regarder qui est derrière, non ?– Merci, maman, ça m’aide beaucoup, alors j’ai qu’a me retourner fermer les yeux et tendre mon cul à papa, c’est ça ?– Si ça peut t’aider mon chéri, dit Nathalie en se collant à son mari, tu peux faire comme ça, mais t’as aussi le droit de le regarder, on est entre nous, ça ne choquera personne. Et puis moi je trouve ça super excitant quand tu te fais enculer, rajouta-t-elle en caressant sa bite tendue.– Je vois que toi aussi tu m’aides vachement... Dit Bruno désespéré.– Je t’aide peut-être pas beaucoup à résister, c’est vrai, mais je t’aide à accepter tes envies, et peut-être que vous devriez commencer par vous les avouer et vous les exposer clairement entre vous, non ?.– Tu devrais laisser la salade et aller avec ton père dans le salon, ajouta Josiane, pour ce qui reste, ça va aller vite.– On peut vous aider, Josiane, dit Luc, je ne pense pas qu’ils aient besoin de nous.– Oh oui, il faut juste faire cuire les patates, faire une vinaigrette pour la salade et emmener le fromage et la charcuterie sur la table du salon, mais on va attendre un peu.– Oh, je veux bien jouer les petites souris, avoua Nathalie.
Bruno et son père étaient assis dans le canapé, côte à côte, et cherchaient un peu leurs mots pour s’expliquer. Finalement, c’est Bruno qui se lanca.
– Tu sais, papa, dès que j’ai su qu’on risquait de se retrouver avec vous chez Lionel jeudi prochain, j’ai pensé qu’il y avait un risque pour que t’ai envie et j’ai tout de suite pensé que si ça arrivait et bien je serais incapable de résister... ça m’a torturé une bonne partie de la journée et puis, cet après midi quand je te regardais avec Nath, j’ai pensé que je pourrais me retrouver à sa place, surtout après tout ce dont on a parlé dans le garage. Après, ce soir, dans la cuisine, avec maman on a parlé de notre goût commun pour la bite et le plaisir qu’on prend, elle et moi, à être enculés, c’est vrai que c’est bizarre, apparemment, on est pareil sur ce sujet et cette envie est revenue, mais pas comme avant.– Comment ça, pas comme avant ? Demanda Arnaud à son fils– Et bien avant, je me disais que c’était intolérable, excitant, mais intolérable et je la repoussait, toute la matinée, elle me revenait sans cesse, mais je la repoussait et quand Luc m’enculait, le désir était plus précis, mais je faisait des efforts pour le rejeter, mais ce soir, c’est l’envie qui est sans doute la plus forte... avoua le garçon en baissant les yeux– C’est parce que t’avais envie que tu nous as demandé si on avait des relation homosexuelles ta mère et moi ? Demanda Arnaud– Oui, papa, c’est pour ça– C’est ce qui a fait naître en moi le désir de toi. Au début, je me disais que c’était pas possible, surtout après la crise que nous venions de traverser, mais plus je te voyait jouir avec ton ami et plus j’avais envie d’être à sa place. Quand je t’ai vu de dos dans la cuisine, avec ton joli corps sans poil et ton derrière délicieux, j’ai sentit monter un désir très fort... je suis désolé de le reconnaître, je suis sans doute vraiment malade, mais j’ai envie de toi.– Oh papa, dit simplement Bruno en enlaçant son père sous le regard discret de Nathalie.
Les deux hommes se serrèrent dans leur bras et leurs bouches se joignirent. leur baiser avait le goût de l’interdit transgressé et rien que ça suffisait à faire renaître leur désir. Une main de Bruno était descendu entre les cuisses de son père et s’était saisie timidement de son pénis érigé. Il avait resserré ses doigts dessus et le masturbait doucement. Arnaud s’occupait de ses tétons, les titillaient, les pinçaient et il sourit en voyant comment son fils réagissait à ces caresses. Bruno semblait apprécier et il gémissait doucement en fermant les yeux.
– T’aime ça, qu’on te pince les seins, constata Arnaud, t’es sensible.– Oooh oui papa, je... résiste pas, ça m’donne envie...– Mmm, ça te donne envie de quoi ? Demanda son père qui s’occupait à deux mains de ses pointes durcies– Ça m’donne envie d’être à toi, papa, de faire c’que tu veux, de te sentir jouir en moi, oooh !
Arnaud avait une envie terrible de baiser, il n’avait pas la patience de supporter des préliminaire quelconques et surtout pas une fellation qui pourrait le faire jouir trop tôt. Il voulait profiter du petit cul rebondit qui s’offrait à lui. Il allongea Bruno sur le canapé et lui écarta les jambes en lui remontant le bassin pour rendre accessible l’objet de ses fantasmes. Nathalie regardait la scène figée, en extase devant la beauté de ce couple qui s’apprêtait à franchir la barrière de l’inceste. Devant son attitude, Josiane et Luc, curieux de savoir ce qu’il se passait dans le salon, la rejoignirent sur la pointe des pieds. Bruno s’écartait les fesses, une jambe posée haute sur le dossier du canapé et l’autre toujours maintenue par son Père. Arnaud positionna l’extrémité de sa bite au centre de sa cible et appuya doucement. Son sexe non lubrifié sur l’anneau non préparé forçait l’entrée. Bruno ferma les yeux, écarta encore d’avantage ses fesses et se concentra sur le relâchement de son sphincter qui céda. La longue bite de son père se fraya dans l’ouverture étroite et s’enfonça jusqu’au bout, tirant une légère grimace au garçon qui aurait sans doute préféré bien humidifier de sa salive la pinne paternelle. Sa douleur était toutefois bien moindre que le plaisir qu’il ressentait de cette situation. Il encouragea son père à continuer et à le baiser. Arnaud s’activa rapidement et Bruno gémissait de plaisir. Il tenait maintenant lui même ses jambes écartées et son père pouvait se coucher sur lui pour l’embrasser.
– Il vient de l’enculer à sec, précisa Nathalie à Josiane.– On dirait pas, c’est rentré tout seul, comme papa... répondit celle-ci en interrompant sa phrase– Dans fiston, poursuivit Luc... Ils sont beaux, vous trouvez pas ?– Ils m’excitent à mort, dit Nathalie, si j’avais mon gode-ceinture, j’l’enculerais dans la foulée, ajouta-t-elle en plongeant deux doigts dans sa chatte trempée.– S’il n’y a que ça, je peux te dépanner, j’en ai un que j’utilise souvent avec Laura, Lui confia sa belle-mère, il est rangé avec d’autres jouets dans le tiroir de gauche du buffet.– Moi aussi, ils m’excitent, avoua Luc en se masturbant.– Si t’as pas peur des vieilles, je peux t’offrir mon cul avec plaisir, mon grand, lui susurra Josiane en lui caressant les couilles, mais pas à sec, par contre, je préfère lécher d’abord...– Vous n’êtes pas vieille, Josiane et je serai heureux de pouvoir vous faire plaisir, répondit le géant en posant une main sur le derrière de la mère de Bruno.– Alors laisse toi faire mon grand et arrête les « vous » et les « Josiane », ça va pas avec la baise ! Traite moi comme une pute, ça me va mieux, ok ? Lui signifia la quinquagénaire excitée.– Ok, Josy, bouffe-moi bien la bite avec ta bouche de pouffiasse avant que j’te la mettes bien profond dans ton cul, c’est bon comme ça ?– C’est pas mal, répondit Josiane en s’accroupissant devant son pieu tendu, continue, ne te prive pas j’adore ça.– Et ben lèche, grosse pute, au lieu bavasser !... Ouai, salope bouffe moi bien, c’est ça.– T’as de la chance, j’ai jamais parlé comme ça à ma belle-mère, lui dit Nathalie qui revenait harnachée.
Sur le canapé, le spectacle continuait, mais les deux protagonistes avaient changé de position et Bruno offrait son cul en levrette. Il avait le visage tourné vers son père et l’encourageait à « l’enculer bien profond » et à lui « péter le derche ». Arnaud soufflait comme un bœuf et traitait son fils de petite pute, de salope et d’enculé, ses couilles claquaient avec un rythme soutenu et Nathalie s’échauffait en les regardant.
– Vas-y Papa ! Encule-moi fort ! Baise ton fils ! Salaud ! Baise-moi, Papa !– T’es qu’un p’tit pédé, fiston ! Mon p’tit enculé d’fils ! Han ! J’te défonce le cul et t’en r’demandes ! Salope !– Ah oui, Papa, rempli moi l’cul ! Aah ! Aaah ! Tapisse moi l’cul ! Baise-moi fort !– Oh qu’il est bon ton cul ! Grosse salope ! P’tite pute ! j’vais t’le faire déborder d’foutre, han !– Oh ouii, Papa, j’suis ton vide couilles ! Aaaah ! Ta pute ! Baise-moi ! Défonce-moi ! Aaaah !
Arnaud avait atteint le point de non retour, ses mouvements saccadés se firent plus désordonnés. Enfin, il se cabra, sa bite profondément plantée dans les entrailles de son fils, il lui tapissait le fondement en émettant un râle puissant, à la hauteur du plaisir qu’il venait de prendre. La jouissance de son père déclencha l’orgasme de Bruno qui éjacula sur le canapé. En reprenant ses esprits, Arnaud aperçut sa belle-fille équipée et comprit que son fils n’avait pas fini de se faire ramoner. Josiane était maintenant cramponnée au dossier d’un fauteuil et se faisait défoncer le cul par Luc qui l’insultait copieusement. Alors, pendant que Nathalie plantait un gros gode réaliste dans le cul de son mari, Arnaud se présenta devant son fils.
– Tiens, lèche ça comme il faut, dit il à Bruno, normalement, j’suis pas fan, mais tu mérite que j’te gâte un peu.– Aaah ! Aaaah ! Merci, Papa. Parvint à articuler son fils dont le cul était vraiment malmené par Nathalie.
L’ambiance de baise de la pièce, la vision de sa femme empalée par le sexe énorme de Luc et de sa belle-fille enculant son mari, ainsi que le léchage appliqué de Bruno sur sa bite poisseuse, redonnèrent à Arnaud une solide érection et c’est naturellement que sa bite se retrouva enfoncée dans le gosier de son fils. À chaque poussée violente de Nath, Bruno était projeté vers l’avant et sa gorge distendue branlait le membre paternel. Josiane était au premières loges et elle ressentit un premier orgasme, lié tant à l’obscénité du spectacle de Bruno baisé sauvagement, qu’à l’action de la bite monstrueuse qui lui ramonait le cul. Elle n’en avait jamais vue une aussi grosse. Même celle de Ruddy, son gendre, était plus petite. Pour pouvoir respirer, Bruno était obligé de devancer les assauts de sa femme afin de désencombrer sa gorge. À chaque fois, il se retrouvait sodomisé encore plus profondément et plus violemment encore. De se montrer dans cette position si humiliante devant ses parents l’excitait et le faisait se sentir vraiment « pute ». La bite de son père lui ramonait la gorge et Nathalie attendait de le voir jouir dans sa bouche. Elle espérait ce moment, même si elle jouissait déjà de la situation et des caresses provoquées par le gode qu’elle avait enfoncé dans sa chatte. À côté, Josy prenait vraiment son pied, et quand Luc lui remplit les entrailles de son sperme abondant, elle hurla littéralement de bonheur. Arnaud n’avait jamais vu sa femme jouir autant du cul, avec une telle intensité et le spectacle de son orgasme eut raison de sa résistance. Il attrapa la tête de son fils, dont il maintint le visage collé contre son pubis grisonnant, et déchargea dans le fond de sa gorge. Alors, Nathalie donna quelques derniers coups profonds, rapides et violents, jusqu’à se bloquer dans le cul défoncé de son chéri qui s’écroula ivre de cette débauche.
– Ça va ? Chaton chéri, demanda Josiane à son fils avant de rajouter à l’adresse de sa belle-fille, non mais t’as vu comment tu lui a défoncé le cul ? Tu peux lui faire mal ! Et toi ! J’ai bien crue que tu allais l’étouffer ! Non mais vous vous rendez compte !– Oooh, c’est bon, Maman, j’aime quand Nathalie m’éclate l’anus, ça fait mal mais après ça passe, c’est rien... il était pas si gros, en plus... Dit le garçon étendu et sans force.– Pas si gros ?! J’sais pas c’qu’il te faut ! Laisse moi voir si t’as rien, faut pas jouer avec ça !– Non, Maman, c’te plaît... J’te dis qu’ça va...– Laisse moi voir, dit Josiane d’autorité, je suis ta mère et je suis infirmière, alors tu peux me laisser voir si ton cul n’a rien, maltraité comme il l’a été...– Euh... Josiane, il prend beaucoup plus gros d’habitude... avoua Nathalie un peu honteuse.– Ah bien, bravo ! J’vois bien comment est mon fils. C’est pas parce qu’il aime se faire enculer qu’il faut y aller comme ça ! Il est incapable de dire non, ça ce voit ! Il est comme moi, et même si un jour ça passe, un autre jour ça casse, quelque soit la taille ! Alors, faites moi de la place et toi tu lèves bien haut ton cul que je regarde si tout va bien !– Maman !... non, s’il te plaît !– Y a pas à discuter ! Ne fais pas l’enfant, t’as passé l’âge ! Et toi, va m’chercher ma pommade au lieu de rester planté là, dit elle sévèrement à son mari.
Bruno se retrouva donc à genou sur le canapé, les épaules baissées contre l’assise et le derrière levé devant le nez de sa mère qui l’auscultait sous le regard des autres. Il ne s’était, pour le coup jamais sentit aussi humilié. Il avait des lésions qu’elle montra bien aux autres et lui badigeonna sa rosette meurtrie de pommade avant de glisser, avec un plaisir évident, deux doigts crémeux dans son anus pour enduire, par acquis de conscience, ce qu’elle pouvait de l’intérieur.
– Faut que t’ailles voir demain le docteur, François Gaudron et qu’il regarde ça plus en détail et en attendant, pas de sodomie.– Mais j’vais pas montrer mon trou du cul au docteur Gaudron quand même ? S’insurgea Bruno ennuyé.– Bien sûr que si tu vas y aller et je vais même l’appeler maintenant pour te prendre rendez-vous, répondit sa mère, si t’y va pas, tu risques de souffrir trop pour profiter du réveillon et il en serait sans doute attristé, il raffole des jeunes hommes musclés et imberbes...– Tu veux dire que... ?– Oui, François est un habitué de nos soirée dès lors qu’il y a des hommes passifs et de moins de trente ans de préférence, c’est son truc.– Je ne l’ai jamais vu prendre une femme, ajouta Arnaud, pourtant il aurait ce qu’il faut pour plaire aux dames et les satisfaire a priori...– Tu devrais aller voir ce docteur, mon Chérie, dit Nathalie en le prenant dans ses bras, il pourra te dire si c’est pas trop grave et il te prescrira ce qu’il te faut... Pourquoi tu nous dis pas quand on te fait du mal ?– Je sais pas... c’est pas toujours que j’ai aussi mal et puis je... j’éprouve d’autre plaisirs alors j’y pense pas.– Et bien sache, mon chaton que se faire défoncer le cul est une chose qui n’impose pas de souffrir le martyr, dit Josiane doctement, et, à mon avis, tu as dû rentrer trop vite dans un rythme intensif qui a mis ton anus à rude épreuve. Il faut que tu apprennes à doser. Un break te feras sans doute réfléchir.– Écoute ta mère, Bruno, dit Luc en se serrant contre Lui et Nathalie et Bruno, Tant pis pour les jours qui restent, on se procurera du plaisir autrement tous les deux... je suis pas obligé de t’enculer tout le temps...
La soirée fut donc plus calme, ils mangèrent une raclette avant de se rhabiller et de rentrer, raccompagnés par Arnaud. Le lendemain, Bruno avait rendez-vous à dix heures du matin et dit à sa femme et son amant qu’il les rejoindrait sur les pistes après. Avant de partir skier avec Luc, Nathalie embrassa son chéri en lui demandant de l’appeler dés qu’il sortirait du cabinet médical. Elle lui rappela surtout de bien se laver pour ne pas présenter un rectum dégoûtant.
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