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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 15

Trash
Jérôme et Mathieu partirent de bonne heure le lendemain. Le règlement avait pris fin et Bruno et Nathalie avait repris des tenues plus décentes, ils n’allèrent pas skier ce matin-là et discutèrent longuement avec Luc. C’est une véritable déclaration d’amour qu’ils firent au grand gaillard lui demandant de vivre avec eux en trio et de venir s’installer dans leur maison. Luc en fut très ému et ne pu retenir des larmes de bonheur. Les parents de Bruno arrivèrent en fin de matinée, Josiane était ravie de se retrouver enfin chez elle et très satisfaite de l’état de la maison. Stéphanie et Ruddy débarquèrent en fin d’après-midi, très heureux d’être enfin en vacances et de se retrouver en famille. Luc découvrit donc le fameux beau-frère de Bruno. Ruddy était un grand métis de près de quarante ans, très élégant, habillé comme un dandy. Il était le fils d’un haut diplomate jamaïcain et d’une femme d’affaire à la fois suisse et française et avait donc les trois nationalités. Il travaillait dans la haute finance pour la gestion de crédits de développement alloués aux états issus des anciennes colonies anglaises et à différentes ONG. Pour s’amuser, il gérait également, en France, une petite société spécialisée dans la promotion de groupes de reggae, raga et rap de la région Rhône-Alpes. Il était pratiquement aussi grand que Luc, il avait un corps assez fin mais visiblement musclé et un sourire très large d’une blancheur éclatante.Luc fut présenté comme le compagnon commun de Bruno et Nathalie, ce qui surprit Ruddy, mais plut beaucoup à Stéphanie, qui connaissait le passé homosexuel de son frère et qui l’accueillit tout de suite comme son « beau-frère ». Pour la première fois de sa vie, Bruno vit sa sœur embrasser son père sur la bouche et sa mère faire de même avec son gendre. La soirée commença très calmement et les sujets « cul » ne furent pas abordés avant la fin du dîner, même si des gestes ou des regards sans équivoque échappaient parfois au uns ou aux autres. Il n’y avait aucune gêne puisque tout le monde était au courant des relations que Stéphanie et Ruddy entretenaient avec Arnaud et Josiane. Stéphanie était toutefois un peu inquiète de savoir ce qu’en pensait vraiment son frère et elle profita d’un moment où ils étaient tous les deux dans la cuisine pour aborder le sujet.
– Nono, je... j’peux te poser une question ? Demanda Stéphanie un peu embarrassée.– Bien sûr, sœurette, qu’est-ce que tu veux savoir ?– J’voudrais qu’tu me dises comment tu l’as pris quand tu as su pour papa et moi et... ce que t’en pense vraiment.– Sur le coup, super mal. Je... j’ai jamais été aussi dégoûté de ma vie. Sur le coup, je leur en ai voulu à mort, à Papa pour niquer avec toi et à Maman pour être complice... et je vous en ai voulu aussi à vous. Je comprenais pas comment vous pouviez faire une chose pareille et puis, Nathalie m’a aidé à me calmer et Lionel aussi après et on a parlé, Papa, Maman et moi. J’ai fait des efforts pour comprendre et pour accepter et après on a fait ce qu’on fait le mieux dans cette famille de tarés, on a joué aux chimpanzés bonobos et on a niqué avec Lionel, Laura, Papa, Maman et nos copains et le soir, on était plus que tous les trois chez les parents et Papa et moi on a niqué ensemble... Alors je ne pense plus rien de mal de votre histoire.– Et avec Papa, c’était bien ? Demanda Stéphanie en souriant.– Mmm, j’ai bien joui, mais il m’a un peu défoncé l’cul, il était trop excité et Nath en a remis une couche derrière avec le gode ceinture de Maman alors maintenant, j’suis en convalescence...– Déconnes ? Ils t’ont vraiment défoncé ?– Ils m’ont déchiré l’cul en vrai. François ma filé un traitement de choc pour me remettre en état d’ici jeudi, mais là c’est interdit de me mettre ne serait-ce qu’un petit doigt...– Mon pauvre, Nono, dit-elle en se serrant contre son frère, j’me souviens du plaisir que tu prenais quand Jéjé t’enculait...– Comment tu peux savoir ça, toi ? Demanda Bruno surpris– Ben, vous étiez pas discrets et j’vous ai espionnés souvent, ça m’excitait... Avoua Stéphanie avec un petit rire. Il faut dire qu’à l’époque, je fantasmais vachement sur vous deux...– Ah ouai ? Et maintenant ? Tu fantasmes encore sur nous ?– Sur vous, non, mais à toi je ne pourrais pas dire non...
Bruno rougit à cette réflexion. Depuis qu’il savait qu’elle couchait avec leur père, sa sœur lui faisait de plus en plus envie, tout comme sa mère d’ailleurs. Stéphanie s’aperçut de son trouble et l’embrassa sur la bouche en lui disant : « tiens mon Nono, un avant goût ». Bruno lui rendit son baiser et leurs langues se mélangèrent. Leurs bouchent étaient collées et le sexe de Bruno se tendait. Ils mirent cependant fin à cette première étreinte et prirent le café et les tasses qu’ils portèrent au salon où l’ambiance était très détendue. Nathalie était sur le canapé entre Luc et son beau-père qui l’embrassaient à tour de rôle. Son t-shirt avait disparu et le géant lui pelotait la poitrine alors qu’une main d’Arnaud s’était infiltrée dans son pantalon et lui fouillait l’entre jambe. À côté, Ruddy était assis nu dans un fauteuil et se faisait sucer par sa belle-mère nue également.
– On a mis tant de temps que ça ou ils sont allés très vite ? Demanda Bruno à sa sœur.– Je crois qu’ils sont allés vite, mais peut-être qu’on a pris un peu de temps à s’embrasser... Répondit Stéphanie.– Posons tout ça sur la table et reprenons là où nous en étions.– Ok, mais on se déshabille en même temps. Répondit la jeune femme en faisant passer son pull par dessus sa tête.
Bruno et sa sœur reprirent vite leur baiser, leurs mains glissaient sur leurs corps, dégrafaient un pantalon ou un soutien gorge, descendait un caleçon ou un string, puis Stéphanie se retrouva assise dans un fauteuil, les jambes très écartées en appui sur les accoudoirs. Bruno lui léchait la chatte avec une grande précision, sa langue en écartait les replis, montait jusqu’à son petit bouton qui durcissait sous les caresses ou s’insinuait dans son antre de plus en plus humide. Il glissa un doigt qui vint excité ses parois vaginale et en particulier sa petite zone la plus sensible. Son frère s’y prenait vraiment bien et Stéphanie sentit monter en elle un premier orgasme, fulgurant, foudroyant. Quand il la submergea, Stéphanie agrippa les cheveux de Bruno pour le maintenir en place et elle éjacula sur son visage et sa bouche. Seule Laura lui avait fait vivre quelque chose de semblable jusqu’à présent. Bruno se releva, le visage et les cheveux trempés, il bandait comme un taureau et il n’avait plus qu’une envie : la baiser. Il ne voyait que sa sœur et ne s’occupait pas de ce qui se passait autours d’eux, il n’entendait ni les gémissements de sa femme prise en double par Luc et son père, ni ceux de sa mère enculée par son beau-frère. Il attrapa les cuisses de sa sœur pour remonter son bassin jusqu’à son sexe dure comme du bois et la pénétra d’une traite. Stéphanie était aux anges, depuis le temps qu’elle en rêvait, elle allait enfin s’accoupler à son frère chéri. Son excitation était telle et l’orgasme qu’elle venait d’avoir si bon, qu’elle jouit de nouveau avec la même intensité. Pour plus de confort, ils glissèrent sur l’épais tapis, les mouvements de Bruno étaient rapides, sa bite s’activait avec des bruits de clapotis tellement la chatte était mouillée et ses couilles venaient frapper lourdement le cul de sa sœur. Ils s’encourageaient mutuellement et s’avouaient la force des sentiments incestueux qu’ils avaient su retenir jusqu’à là. Puis Stéphanie sentit son frère se tendre en en elle et lui remplir la chatte de son sperme chaud. Elle le rejoint instantanément dans un ultime orgasme et ils s’écroulèrent tendrement enlacés. Ils s’embrassaient et se caressaient le visage en pleurant de bonheur sous les yeux des autres qui avaient jouis depuis longtemps. Nathalie comprit tout de suite que ce qui unissait Bruno à sa sœur était très important et du même ordre que ce qui l’unissait à elle ou à Luc ou que ce qui l’unissait elle à Luc et Bruno. Elle n’en ressentit donc aucune jalousie, elle commençait à s’habituer à ces partages sentimentaux, par contre, dans son fauteuil, Ruddy était inquiet. Bruno et sa sœur s’étaient rassis dans le même fauteuil et se tenaient enlacés comme des amoureux en s’embrassant avec passion, un grand sourire aux lèvres et des larmes plein les yeux.

Ruddy avait l’habitude de voir sa compagne baiser avec d’autres hommes et lui ne se privait pas non plus, mais c’était la première fois qu’il la voyait si amoureuse après, et pour la première fois de sa vie, il en ressentit une jalousie terrible. Il avait le cœur percé de part en part. Il se leva du fauteuil sur lequel il était assis et alla se réfugier dans la cuisine. Nathalie, à qui rien n’échappe jamais, s’en appercut aussitôt et se précipita derrière lui.
– Eh, Ruddy, ça va pas, qu’est-ce qu’il t’arrive ? Demanda Nathalie à son beau-frère, c’est de les voir prendre leur pied qui te met dans cet état ?– Putain, Nath ! Tu vois pas que c’est plus que ça ? Ils atterrissent pas, répondit Ruddy en larmes, ils se bécotent, ils voient plus personne, ils s’aiment...– Bien sûr qu’ils s’aiment Ruddy, ça crève les yeux et ils s’aimaient déjà avant, depuis longtemps... Ils sont frère et sœur, ajouta-t-elle en espérant atténuer l’angoisse de son beau-frère.– C’est plus que ça, c’est pas un truc de frère et sœur là. J’ai jamais vu Stephanie niquer avec quelqu’un en y mettant autant de sentiments, en fait ils ont pas niqué, ils ont fait l’amour avec un grand A.– C’est vrai, c’était très beau. Tu sais, Ruddy, parfois les gens peuvent aimer une personne de tout leur cœur et une autre également, c’est ce qui nous arrive à Bruno, Luc et moi. On s’aime tous les trois et quand ils font l’amour tous les deux ou quand je fais l’amour avec l’un ou l’autre, c’est toujours avec les mêmes sentiments. C’est très intense, comme ce qu’on vient de voir.– Vous... vous êtes vraiment en trio, c’est pas des conneries ? Vous enfin tu baises avec Luc et Bruno, ok, mais eux ils baisent ensemble aussi ?– Ils ne baisent pas, ils font l’amour, Ruddy et quand les petits soucis de Bruno seront guéris, t’auras sans doute l’occasion de les voir, ils sont très beaux tous les deux... Mais là, faut pas que tu le prennes comme ça pour Steph. Elle aime son frère, c’est évident, mais ça n’enlève rien à ses sentiments pour toi, j’en suis certaine...
Dans le salon, Josiane sortit ses enfants de leur idylle incestueuse et signala à sa fille que Ruddy avait l’air de pleurer dans la cuisine. Stéphanie se leva aussitôt pour voir ce qu’avait son chéri et comme Bruno allait la suivre, Josiane le retint et lui expliqua ce qu’elle comprenait du problème. Arnaud était surpris de la réaction de son gendre qui n’avait jamais affiché de jalousie jusque-là mais Josiane lui fit remarquer que le spectacle auquel ils venaient d’assister dépassait largement celui d’une simple baise. Ils se servirent un café en attendant la suite. C’est Nathalie qui revint la première pour donner des nouvelles positives du couple en crise. Ruddy s’était calmé et Stéphanie lui expliquait en détail la nature de ce qu’elle éprouvait pour lui et de ce qu’elle ressentait pour son frère en illustrant ses propos de souvenirs et d’anecdotes de toutes sortes et susceptibles de le faire rire. Elle y parvint après quelques efforts et ils s’embrassèrent tendrement.
– Si tu veux, je ne ferais plus l’amour avec mon frère, dit Stéphanie à son mari, je... je ne veux pas te faire de mal tu sais.– Non, j’ai pas le droit de t’en empêcher, répondit Ruddy, en plus, si vous avez des sentiments aussi fort l’un pour l’autre, tu te sentirais vite frustrée et tu m’en voudrais de ma jalousie alors fais le si tu veux et quand tu veux.– On peut éviter de le faire devant toi si ça peut te soulager...– Le temps que je m’y habitue, je veux bien... si ça ne t’ennuie pas... faut que je dompte cette jalousie. Je sais pas comment fait Nathalie, ça a l’air si simple pour elle.– C’est à cause de leur relation avec Luc, peut-être, expliqua Stéphanie. Chacun est amoureux des deux autres, c’est bizarre, mais c’est comme ça. En plus, ils ont d’emblée accepté que l’un ou l’autre puisse avoir des rapports avec quelqu’un d’autre encore, alors ils voient les choses d’une manière bien différente. Nous on est des partouzeurs, on a des amants ou des maîtresses mais c’est que sexuel...– Enfin pas là, justement ! C’est plus que sexuel.– Oui, mais ce qu’il faut que tu comprennes c’est que ça ne remet pas en cause mon amour pour toi. Je fantasme sur mon frère depuis que j’ai onze ou douze ans. Ce que je viens de vivre ce soir, ça faisait au moins dix ans que j’en rêvais. C’est normal que ça ne soit pas comme quand je baise avec n’importe qui en boîte, c’est normal que ce soit un peu comme avec toi. Tu comprends ?– Oui, je comprends... Je pourrais pas t’empêcher de l’aimer, alors prends du plaisir avec lui, c’est ça qui m’importe le plus, que tu sois heureuse...– Tu sais Ruddy, je t’aime de tout mon cœur. Tu es l’homme de ma vie et c’est avec toi que je prends le plus de plaisir, tu es vraiment l’homme le plus merveilleux que je connaisse.– Et toi t’es une petite cochonne... j’ai juste une faveur à te demander.– Tout ce que tu veux mon amour.– Ce soir, même si quelqu’un propose de pratiquer des échanges de partenaires pour la nuit, nous on dort ensemble.– Promis, mon doudou, je ne voyais pas les choses autrement de toute façon. Mais pourquoi tu dis ça ? Y a quelque chose dans l’air ?– Je crois que ton père poursuivrait volontiers son trio avec Nathalie.– Oh ben alors mon frère risque de se retrouver dans le lit de Maman, enfin s’ils en ont envie
Ils retournèrent enlacés vers les autres qui furent contents de les retrouver amoureux. Bruno s’était assis sur l’accoudoir du fauteuil occupé par sa mère alors que Nathalie était de nouveau entre son beau-père et son amant.
– Je m’excuse de m’être comporté comme ça, dit timidement Ruddy, je... je ne suis pas jaloux d’habitude, je...– Ne t’excuses pas Ruddy, le coupa Bruno, c’est parfaitement naturel... Tout le monde sait ce que tu as pu ou que tu peux ressentir... c’est sans doute moi qui te dois des excuses. Tu veux bien qu’on fasse la paix, dit il en se dirigeant vers son beau-frère.– Il n’y a pas de guerre entre nous Bruno, répondit Ruddy en l’étreignant.
Les deux hommes se serraient fort et Ruddy fut impressionné par la douceur et la chaleur du corps de Bruno. Instinctivement ses mains descendirent vers les fesses dont elles caressèrent la rondeur et son sexe d’ébène se redressa.
– P’tit con, tu me ferais presque bander, dit le grand noir en rigolant.– Là, cher beau-frère, c’est pas presque, répondit Bruno sans se dégager des bras musclés qui l’entouraient. Mais tu sais, c’est plutôt flatteur, par contre, mon cul est hors service... Mais je peux te sucer si ça te dit, ajouta-t-il en chuchotant.– T’as envie ? Lui demanda Ruddy sur le même ton.
Pour toute réponse, Bruno s’agenouilla devant son beau-frère et sorti le grand jeu. Ruddy n’en revenait pas. Il regardait Bruno l’avaler jusqu’aux couilles comme personne ne lui avait encore fait. Il avait placé ses mains derrière la tête de son beau-frère et le félicitait pour sa technique. Bientôt son excitation était telle qu’il commença à faire des allers et retours timides dans la bouche pour accompagner le travail de Bruno. Alors Stéphanie vint se coller à son mari et lui souffla à l’oreille : « D’après Luc et Nathalie, tu peux lui baiser la bouche vraiment... baise-le, baise sa bouche chéri, c’est ce qu’il attend, je crois ». Alors, Ruddy fit ce que sa femme lui disait tout en regardant Bruno pour sonder sa réaction. Son beau-frère le regardait en souriant comme il pouvait, mais son regard seul suffisait pour comprendre que c’était bien ce qu’il voulait. Ruddy accéléra ses mouvements, mais son excitation était si forte qu’il ne résista pas. Il chercha à se dégager pour éjaculer, mais Bruno le retint fermement et pris toute son éjaculation au fond de son gosier avant de le libérer sous les applaudissements des spectateurs.
– Dis-moi frangin, demanda Stéphanie impressionnée, tu suces toutes les bites comme ça ? En gorge profonde ?– Oui, jusqu’à présent, j’ai toujours fait comme ça, Répondit Bruno souriant. Enfin, depuis que j’ai trouvé comment y arriver bien sûr.– Même Luc ? Demanda la jeune femme incrédule, va falloir que tu m’apprennes...– Quand tu veux, sœurette, mais c’est pas sûr que ma technique marche pour tout le monde, plein de gens ont des problèmes de renvois mais moi non. Je pourrais pas te dire pourquoi.– Tu veux bien me montrer, tu suces Luc et j’essaye de faire la même chose à Papa.– Si tu veux, et s’ils sont chauds.– Pas de problème pour moi Chéri, dit Luc en se levant.– Ce sera un plaisir de te servir de cobaye, ma fille, ajouta Arnaud en rejoignant ses enfants.
Bruno commença donc ses explications en détaillant bien comment il couvrait la bite de salive et comment il remplissait également sa bouche de salive. Pour lui s’était la seule condition pour pouvoir avaler, et, sans aucune difficulté, il fit la démonstration sur son amant dont l’énorme bite pénétra entièrement sa bouche et son gosier. Ruddy demanda s’il pouvait filmer la leçon et comme Bruno et sa sœur acceptèrent, Bruno recommença ses explications et sa démonstration. Il garda quelques secondes la longue bite plantée dans sa gorge avant de se dégager. C’était au tour de steph de s’essayer et Bruno la regarda reproduire sa méthode sur leur père, mais elle bloquait au moment d’avaler. Bruno insista sur la nécessité d’avoir vraiment la bouche pleine de salive. Il lui demandait de se remplir la bouche et de lui montrer et quand ça lui paraissait suffisant, il l’encourageait à recommencer. Après cinq ou six essais, Stéphanie réussit à faire une gorge profonde à son père, mais dû retenir plusieurs renvois. Comme ça lui brûlait un peu la gorge, elle prit un grand verre d’eau. Bruno se rappela que c’était un problème qu’il avait connu au début et qu’il avait, à force d’exercices et d’expérience, réussi à maîtriser. Ce détail encouragea sa sœur qui recommença l’expérience en essayant de se concentrer sur le blocage de son réflexe et réussit à le dominer tant bien que mal. La troisième fois qu’elle réussit à avaler entièrement la bite de son père, Arnaud voulu bouger lui-même dans sa bouche, mais Bruno qui veillait lui interdit. Il expliqua que c’était quelque chose de possible après une certaine pratique et qu’elle devrait d’abord maîtriser parfaitement ses réflexes et apprendre à apprécier les sensations d’un sexe dans sa gorge. Stéphanie était de l’avis de son frère et recommença une quatrième tentative réussie, avant de sucer son père de manière plus conventionnelle tandis que Luc baisait la bouche de Bruno devant l’oeil de la caméra de Ruddy.
– J’espère que vous ne me les avez pas complètement vidés, Dit Nathalie à Bruno et sa sœur, Arnaud souhaitait passer la nuit avec moi et Luc, mais s’il sont à sec, ça m’intéresse pas...– Vous avez prévu un échange de partenaires ? S’étonna Bruno. Qui va avec qui alors ?– Tout le monde n’est pas concerné, dit Josiane à son fils en se collant dans son dos, Steph et Ruddy ne souhaitent pas se séparer cette nuit alors c’est toi et moi d’un côté et ta femme, Luc et ton père de l’autre.
Sans laisser à Bruno le temps de répondre, Josiane retourna son fils et l’embrassa à pleine bouche. La surprise passée, Bruno rendit à sa mère le baiser qu’elle venait de lui donner. Ils savouraient visiblement l’un et l’autre cette étreinte puis ils se dégagèrent. Le café fut réchauffé, Arnaud sortit des liqueurs, Steph et Ruddy étaient blottis l’un contre l’autre dans un même fauteuil, Bruno était collé à sa mère et Nathalie bien encadrée par Luc et son beau-père. Les discussions repartirent sur des sujets plus éloignés du sexe, la tension était tombée. Les uns et les autres se réservaient pour leur nuit. Josiane et son fils dirent bonne nuit aux autres avant de se retirer. Très naturellement, Bruno embrassa Luc, sa femme, son père et sa sœur sur la bouche, mais il se trouva bête au moment de souhaiter bonne nuit à Ruddy.
– Tu fais l’amour à ma femme et tu suces ma bite, alors je crois qu’on peu se rouler une pelle beau brun, dit Ruddy simplement avant d’embrasser son beau-frère.– Putain ! Ça t’fais bander Doudou ! S’exclama Stéphanie en sentant la bite de son homme durcir contre son cul. Je crois que nous aussi on va aller se coucher.
Ils se levèrent pour aller embrasser Nathalie, Arnaud et Luc. Stéphanie embrassa son père sur la bouche et fit de même avec Luc et sa belle-sœur. Ruddy, que cette situation excitait finalement, embrassa sans hésiter Nathalie sur la bouche et la coquine lui rendit son baiser
– J’espère que tu n’me feras pas languir trop longtemps pour me faire goûter à ta barre de chocolat, dit elle en se séparant de Ruddy.– Promis ma belle, t’as qu’à demander, mais pas ce soir, c’est déjà réservé.
Puis il se tourna vers son beau-père qui le devança en l’embrassant de lui-même sur la bouche, à la russe, sans y mettre la langue.
– Tu couches avec ma femme, tu vis avec ma fille et tu te fais sucer par mon fils, les trois personnes que j’aime le plus au monde, alors on peut bien s’embrasser comme ça... Précisa Arnaud après son baiser.– On aurait pu faire ça mieux alors, répondit Ruddy avant de rouler une pelle à son beau-père.
Puis, il se tourna vers Luc sans trop savoir comment faire, et comme c’est ce qu’il avait fait avec les autres, il lui roula un patin. Ils avaient pratiquement la même taille tous les deux et leur baiser dura assez longtemps. Luc bandait autant que Ruddy et sa bite dressée pointait sur le sternum du jamaïcain.
– Putain, j’ai franchement jamais vu un engin pareil... Dit Ruddy en regardant la bite qui lui touchait le ventre. Je sais pas comment fait Bruno pour avaler ça...
Sans demander son avis à Luc, Ruddy ne put s’empêcher de branler un peu ce sexe hors norme pour essayer d’imaginer ce que c’était.
– Dire que j’ai toujours cru que les blacks avaient les plus grosses bites... Dit-il en relâchant la colonne de chair.– Faut pas faire cette tête mon Doudou... Dit Stéphanie en le prenant par la main. La tienne est déjà énorme tu sais, mais peut-être que c’est d’avoir embrassé des garçons sur la bouche et d’avoir touché une grosse bite qui te met dans cet état ? Ajouta-t-elle en rigolant.
Bruno avait suivi sa mère jusqu’à sa chambre et une fois la porte fermée, ils reprirent leurs baisers et leurs caresses en se dirigeant vers le lit.
– Quel dommage qu’on ait pas de pilules de Marcel, dit Josiane, j’aurais aimé que tu me baises toute la nuit...– J’en ai une, répondit Bruno, c’est Lionel qui nous en a offert à Noël mais j’ai pas pris la mienne car je voulais juste être un trou à bite.
Bruno partit vite dans sa chambre prendre la pilule et ils reprirent aussitôt leurs préliminaires. Rapidement le médicament fit son effet. Lionel avait conseillé de n’en prendre qu’une demie, mais Bruno ne s’en rappelait plus, il avait pris le cachet entier et bandait comme un âne. Il n’avait jamais eu la bite aussi tendue, mais il voulait d’abord goûter à la chatte poilue de sa mère. Sa touffe velue et grisonnante sentait fort la pisse et le sperme de ses baises précédentes et son trou du cul n’était pas plus propre. En fait, tout son corps était sale et odorant. Elle avait des traces de sperme séchées sur la poitrine, le ventre et les fesses, les poils de sa chatte était collés de foutre et de mouille. Il arrivait parfois à Josiane de vouloir être sale. Alors, pendant plusieurs jours, elle ne se lavait plus et ne s’essuyait plus lorsqu’elle allait aux toilettes. C’était une lubie qu’Arnaud tolérait assez bien, même s’il ne la léchait plus pendant ces périodes de crasses.
– Oh Maman ! Qu’est-ce que c’est bon... Tu pues, t’es crade, tu m’excites... Mmm ! Dit Bruno avant de lécher les traces brunâtres qui entouraient le trou du cul de sa mère– Oh mon Bébé, tu aime ça ? Vas-y, lèche ta Maman crasseuse, Oh oui... Lèche mon cul, lèche ma chatte, mon petit cochon.
Bruno nettoya le cul et la chatte de sa mère, puis il la lécha avec la même précision qu’il l’avait fait pour sa sœur un peu plus tôt et amena Josiane vers un premier orgasme incestueux. Elle poussa un cri de bonheur en éjaculant sur son fils. Son plaisir retentit dans tout le chalet. Satisfait de se retrouver couvert de mouille, Bruno se redressa et pénétra la chatte maternelle.
– Oh Ouii ! Bruno baise-moi fort ! Baise la chatte de ta Maman...– Ah, Maman tu m’excites, t’es une grosse cochonne Maman.
Bruno baisait sa mère comme un damné, il était couché sur elle et lui bouffait les mamelons. Il la tétait comme un bébé et Josiane jouissait. Depuis que son mari baisait avec leur fille, elle avait eu envie de baiser avec son fils et c’est avec un plaisir encore plus grand qu’elle le sentit se vider les couilles dans sa matrice. Ils restèrent enchâssés un moment l’un dans l’autre à reprendre leur souffle et à s’embrasser. Bruno ne débandait pas. Alors son fils sortit son sexe de la chatte maternelle et la retourna. Josiane se mit à quatre pattes et Bruno lui lécha le cul. Sa langue s’insérait dans l’ouverture étroite, en humidifiait les contours dont il vérifia la souplesse avec un puis deux doigts. Le cul de sa mère s’ouvrait de désir alors il présenta son pénis tendu, appuyant son gland sur la rosette brunâtre et son chibre s’engouffra dans le sombre cloaque.
– Oh putain ! J’encule ma mère... je t’encule Maman, aaah !– Oh oui, mon trésor, baise le cul de Maman, baise le fort, aaah ! Je suis une salope ! Aaah !– Oh oui Maman, t’es une grosse pute ! Ooh ! Une grosse truie qui baise avec son fils ; t’as l’cul plein d’merde Maman ! C’est trop bon... Tu m’excites Maman ! T’es une vraie grosse salope !– Oh oui mon Bébé, je suis une grosse salope, défonce mon cul, chéri ; défonce le cul de Maman !
Bruno se déchaîna dans les entrailles de sa mère, ils jouissaient l’un et l’autre. De temps en temps, il ressortait complètement pour admirer l’anus ouvert de Josiane avant d’y replonger son dard. Josiane avait envie de pisser et à chaque fois que son fils ressortait de son cul, elle peinait à se retenir et quelques gouttes perlaient au milieu de ses plis. Plus ça allait et plus il était difficile pour elle de se retenir et quand l’orgasme les prit tous les deux, alors que Bruno lui tapissait l’intérieur du cul de sa semence poisseuse, elle relâcha tous ses sphincters et se mit à pisser en riant et pleurant tout à la fois. Jamais de sa vie elle n’avait joui du cul de cette manière, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais elle était heureuse. Bruno avait joui deux fois, mais sa bite restait tendue et plantée dans le cul maternel.
– Maman ? Ça va ? Demanda Bruno à sa mère tremblante.– Oh oui mon chéri, j’ai jamais été aussi heureuse je crois,... même avec ton père... je... je suis désolée, je... j’ai pas pu me retenir.– C’est pas grave Maman, j’aime bien quand on fait des choses sales, ta pisse était si bonne à recevoir sur les couilles, tu peux même pas imaginer à quel point moi aussi je suis heureux...– T’aimes quand c’est sale, mon bébé ? J’ai l’impression que ça t’excite autant que moi... peut-être même plus...– Si tu savais à quel point... Si tu savais c’qu’on a fait avec Mathieu et Laura... Si tu savais c’que j’ai envie de faire maintenant– Ne dis rien, je... j’aime aussi les choses très sales... C’est Lionel et ton père qui n’aiment pas...– Oh Maman... Dit simplement Bruno en vidant sa vessie dans le rectum de Josiane. Je peux pas me retenir...– Oooooooh ! Oh oui ! Cochon ! Tu m’pisses dans l’cul putain ! Oh mon dieu ! Oooooooo...– Serre bien les fesses, Maman, retiens toi, Dit Bruno en se retirant et en se glissant sous sa mère.
Quand il fut sous elle, la tête derrière son cul, il se mit à lui lécher le trou qui s’ouvrit pour libérer une cataracte infâme. Josiane jouissait en se vidant le rectum. Elle avait sous son nez sa bite sale, et toujours aussi raide, qu’elle goba et lécha sous toute les coutures. Le lit était dans un état immonde et dégueulasse, mais cela ne lui suffisait pas. Elle en voulait plus encore, alors elle poussa de toute ses forces et chia sur le visage de Bruno qui continuait son anulingus. Encouragé par tant de débauche et de saleté, Bruno fit comme sa mère, il poussa et chia sur les draps et l’oreiller. Josiane récupérait l’étron avec ses mains et l’étalait sur la bite de son fils avant de la remettre en bouche ou s’en couvrait le visage et les seins. Puis Bruno la retourna, elle avait la tête posée sur ses déjections odorantes et il replongea sa bite dégueulasse dans son vagin inondé de désir. Ils baisèrent une troisième fois comme des bêtes sauvages, Bruno explosa rapidement le con maternel et son sexe s’accorda enfin un moment de repos.
– Ça va mon bébé ? T’as pas débandé pendant près de deux heures...– Je... je crois que j’en ai pris trop. Je savais plus c’qu’il nous avait dit alors j’ai pris la pilule entière...– Et bien on est pas près de dormir, je pense, dit-elle enjouée. Mais je vais pas me plaindre, ça fait des années que j’avais pas fait caca dans un lit...– Ouai, j’avais encore jamais fait dans un vrai lit... Mmm Maman, on est plein de pisse et de merde. On est vraiment dégoûtant je crois– Oui, mon chaton, on est des porcs immondes et on va encore baiser dans notre merde et même, quand on sera bien fatigués de baiser, on dormira dans ces draps trempés et dégueulasses.– J’espère que ni Papa ni Nathalie n’aura la mauvaise idée de venir nous réveiller... Remarqua Bruno, ça doit vraiment puer dans notre chambre.– Oui, ton père déteste me voir comme ça, généralement il me fait la gueule toute la journée après. Et Luc, il en pense quoi ?– Il voudrait essayer pour me faire plaisir, mais du coup je lui ai dit que je voulais pas avec lui tant qu’il ne le ferait pas pour lui. En fait, il me pisse dans la bouche presque tous les matins et je lui sers volontiers de papier toilette.– Il peut donner alors... Fit remarquer Josiane. Certaines personnes sont comme ça, elles jouissent de pisser ou chier sur les autres, mais pas de recevoir.– Je crois qu’effectivement il aime me pisser dans la bouche et peut-être qu’il pourrait me chier dessus mais il aurait sans doute du mal à m’embrasser après...
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