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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 17

Trash
Bruno attendit un quart d’heure dans la salle d’attente du médecin avant que le docteur Gaudron ne vienne le chercher. Il l’accompagna dans son cabinet, lui demanda comment il se sentait et le fit se déshabiller. Bruno ôta ses vêtements avec une sensualité naturelle que François apprécia en silence. « Ce garçon est vraiment superbe », pensa-t-il en l’observant. Il en ressentait un début d’excitation et se mit à espérer que le traitement ait bien agit. Bruno s’installa, sans qu’il le lui demande, sur la table d’auscultation et prit la pose qui convenait. Le docteur s’assit derrière lui et observa son anus. Ce qu’il voyait le réjouit, les lésions avaient disparues, cette pommade était vraiment très efficace. Il introduisit un doigt ganté dans cet anus si tentant pour vérifier l’état de souplesse des sphincters, il bandait sérieusement et il n’avait pas envie de se contenter, cette fois ci d’une simple fellation.
— Mon ami, j’ai une bonne nouvelle. Votre anus a retrouvé un aspect normal. Dit le docteur en insinuant un deuxième doigt bien lubrifié.— Ce... ça veut dire que je peux à nouveau faire l’amour avec mon compagnon ? Demanda Bruno en pensant à Luc.— S’il ne te prend pas comme un sauvage, bien sûr, mais évite encore les rapports avec plusieurs hommes et les sodomies sans préparation. Précisa le docteur en continuant son travail d’assouplissement.— Co... comme ce que vous me faites là, par exemple ?— Oui, comme je fais, il faut que je m’assure qu’une bite puisse rentrer sans difficulté avant de vous donner mon feu vert.— Oooo... Vous allez m’enculer maintenant, alors ?— Je vais vous ouvrir et vous ausculter en profondeur avec un instrument adapté, par contre vous allez changer de position.
Le docteur modifia sa table pour en faire une table de gynécologie en relevant l’assise et en plaçant des étrillés assez écartés dans lesquels Bruno cala ses pieds. Puis, il retira ses habits et se couvrit le sexe d’un préservatif avant de le diriger vers l’anus assoupli et bien lubrifié du jeune homme. Son sexe raide pénétra avec beaucoup de douceur dans le conduit étroit. Il ne fit aucun mouvement, ressorti complètement et vérifia que tout allait bien avant que l’anneau ne se referme.
— C’est parfait, vous êtes très souple et parfaitement guéri... vous allez pouvoir faire l’amour avec votre amant ce soir si vous le souhaitez.— Et... et vous ? Revenez en moi s’il vous plaît.— Puisque tu m’y invites...
Le docteur replongea son dard dans le cul de son patient avec la même douceur que précédemment et bougea d’abord assez lentement. Quand il sentit que le jeune homme était bien assoupli et qu’il ne craignait plus rien, il s’activa avec plus de vigueur. Le plaisir de son patient était visible, le visage de Bruno rayonnait de bonheur. Le docteur était vraiment endurant, le jeune homme gémissait d’aise et son plaisir fut complet quand il le sentit remplir sa capote en lui. Le docteur lui demanda de poursuivre quand même le traitement jusqu’à jeudi et comme Bruno le lui demanda, il ne modifia pas le rendez-vous du lendemain, mais il décida d’en faire une séance « éducative ».
— Venez accompagné de votre amant et de votre femme, qu’elle vienne avec son gode-ceinture, je veux voir la taille de cet engin et qu’elle apprenne à s’en servir. Nous ferons un cours de sodomie pratique.— Pour un cours ? Entendu docteur, je vais leur demander de m’accompagner.
Bruno rentra au chalet et annonça d’abord la bonne nouvelle à sa femme et son amant qui se précipitèrent vers lui dès son arrivée. Il en profita pour leur préciser aussi le souhait du docteur de les voir également. Ce projet plut à Nathalie qui promit de venir et Luc s’inquiéta de savoir s’ils pourraient quand même faire l’amour tous les deux d’ici là. Bruno le rassura sur ce point et les deux hommes s’embrassèrent.
— Voilà qui va pas faire mon affaire, dit Nathalie en faisant la moue. Si je vous vois faire l’amour je sais que j’aurais vraiment envie de t’enculer... j’ai pas envie d’être frustrée mais je veux pas non plus vous empêcher de vous retrouver.— Il vaut mieux pas que tu m’encules ce soir, ma Chérie, j’aimerai pas être à nouveau à la diète. Tu comprends ?
— Oui je comprends, vous n’aurez qu’à dormir tous les deux ensemble, il y a assez de chambres et de lits dans cette maison...— Oh, ma chérie, on peut toujours s’isoler un temps avec Luc et te retrouver après... Je...— Ne t’inquiètes pas mon amour, j’ai déjà bien baisé aujourd’hui et puis qui sait... allons retrouver ton père j’ai l’impression qu’il s’emmerde un peu tout seul.— Pourquoi ? Où son les autres ?Ils avaient envie d’essayer la nouvelle literie de la maison. Expliqua Luc à son amant.
Ils retrouvèrent donc Arnaud qui était plongé dans la lecture du journal local et qui fut ravi d’apprendre que les problèmes de son fils étaient résolus. Il leur fit part de son souhait de préparer le repas, mais Bruno l’en dissuada ; il connaissait le manque de compétences culinaires de son père et proposa de s’en charger. Luc décida d’aider son ami et Nathalie choisit de rester avec son beau-père. Arnaud en était ravi et il avoua à sa belle-fille que ses escapades de la journée et la façon avec laquelle elle avait traité Bruno de cocu, l’avait autant surpris qu’excité. La jeune fille vérifia très vite cette affirmation en allant tâter la bosse qui déformait son pantalon et embrassa aussitôt son beau-père. Luc et Bruno officiaient en cuisine et même s’ils ne perdaient aucune occasion pour s’embrasser, ils contenaient leurs désirs. Le grand brun était assez intéressé par ce qui s’était passé au cabinet médical et voulait savoir comment le docteur avait enculé Bruno. Ce dernier lui donnait des détails en lui demandant s’il n’était pas trop jaloux, mais Luc avoua que ça l’excitait.
— Mais, comment ça se passe, il arrive à voir quelque chose malgré la... la merde ? Demanda Luc curieux— J’avais fait un lavement avant, qu’est-ce-que tu crois ? Répondit Bruno en rougissant, j’allait pas lui montrer un cul poisseux ; ça s’fait pas.— Alors là t’as le cul tout propre ?— Ça a l’air de t’ennuyer, tu préfères quand c’est plein ?— Je... je me demandait si tu voudrais qu’on dorme dans la chambre chiottes, juste toi et moi ? Avoua Luc penaud.— Ooh, mon chéri, je... je sais pas, tu veux ? Demanda Bruno surpris. Tu sais, ça va sans doute être dégueulasse après le passage des trois autres...— Quand ils y sont allé, juste après que tu sois parti, je... j’ai eu envie de renouveler l’expérience. J’ai rien dit à Nath, mais je crois qu’il y a qu’avec toi que je peux faire une première expérience de nuit scato... si tu veux bien.— Oh mon amour, bien sûr que je veux bien... et si c’est trop insoutenable pour toi, on se douchera et on ira dans un autre lit, rien que toi et moi, je te le promets. Dit Bruno en serrant fort son amant dans ses bras.
Quand ils eurent fini de préparer le repas, ils retournèrent au salon où Arnaud et Nathalie faisaient l’amour. En se faisant le plus discrets possibles, ils dressèrent la table et disposèrent des verres pour l’apéritif. Ruddy arriva à ce moment, juste habillé d’un peignoir de bain qu’il avait enfilé en sortant de sa douche. Il demanda à Bruno des nouvelles de son trou du cul et s’assit dans un fauteuil en regardant son beau-père et sa belle-sœur faire l’amour. Ils furent vite rejoint par Josiane et sa fille qui se tenaient enlacées et s’embrassaient à pleine bouche. Elles étaient toutes deux lavées et parfumées, Josiane, comme son gendre avait enfilé une sortie de bain mais Stéphanie était nue. Finalement, Arnaud et Nathalie jouirent devant cette assemblée ou seuls Luc et Bruno étaient encore habillés mais de plus en plus excités. Ils se donnèrent en spectacle durant l’apéritif en s’embrassant et se déshabillant l’un et l’autre. Leur désir de faire l’amour ensemble était de plus en plus grand, mais Bruno ne voulait pas éveiller chez sa femme une trop forte envie de l’enculer. Elle même leur demanda de calmer le jeu en faisant part ouvertement de la frustration qu’elle risquait de ressentir et de la difficulté qu’elle aurait à se retenir. Les deux hommes, conscients des risques, firent donc les efforts nécessaires le temps de l’apéritif et du repas. Durant tout le diner, Josiane et sa fille ne se lâchèrent pas tandis que Ruddy et Arnaud s’occupaient ensemble de lutiner et caresser Nathalie. Luc et Bruno annoncèrent, après le dessert, qu’ils avaient besoin de se retirer et annoncèrent qu’ils allaient dans la « chambre-chiottes », ce qui en étonna plus d’un.
— Je... j’ai envie d’essayer, mais juste avec Bruno d’abord, avoua Luc avec une érection monstrueuse.— Vous n’allez pas être déçu, dit Ruddy en rigolant, le lit est vrai champ de merde.— Si Luc ne supportait pas, dit Josiane prévoyante à son fils, vous n’aurez qu’à vous rapatrier dans ma chambre, je serais dans celle de Stéphanie et Ruddy et ton père seront avec ta femme, je pense.— Merci, Maman, mais je crois que ça va bien se passer, répondit Bruno en cajolant la bite tendue de Luc.— Je pourrais venir vous voir demain matin ? Leur demanda Nathalie amoureuse.Bien sûr ma Chérie, on t’attendra avant de se lever, lui dit Bruno avant de l’embrasser.
Ils souhaitèrent une bonne soirée et une bonne nuit à tous et montèrent vers la chambre. En ouvrant la porte, une sauvage odeur de merde se fit sentir et ils découvrirent ensemble l’état de la pièce. Le lit était défait et le drap était couvert d’un mélange de pisse et de merde. Il y en avait aussi au sol et sur les murs, c’était immonde et pourtant cette horreur les excita encore davantage. Luc pris Bruno dans ses bras comme une jeune mariée et le déposa sur le lit merdeux avant de s’y allonger à son tour. Ils s’enlacèrent, s’embrassèrent et roulèrent d’un côté à l’autre du lit gigantesque, s’étalant sur leurs corps et leur visages ce qu’ils pouvaient récupérer des restes des déjections de Josiane, Stéphanie et Ruddy.
— Ooo, Bruno, mon amour, qu’est-ce-que c’est bon de te sentir dans mes bras, si tu savais comme j’ai envie de chier...— Oui mon amour, tu vas chier, et tu vas me baiser dans toute cette merde, j’ai tellement envie de toi. Donne moi ton cul, vide toi dans ma bouche.
Luc s’accroupit au dessus du visage de Bruno qui se mit à lui lécher le cul. L’étron était là, Luc avait le chocolat au bord des lèvres et la douce caresse de la langue lui retira toute retenue. Il poussa et un caca monstrueux commença à pointer son nez. Bruno succomba au désir de le prendre en bouche et de le sucer au fur-et-à-mesure de sa sortie. Il avait la bouche pleine et il utilisait ce qui ne pouvait rentrer pour se barbouiller avec et en étaler ce qu’il pouvait du corps de son amant. Luc pissait en même temps sur le corps étendu, l’arrosait de son onde chaude et il n’en finissait pas de chier. Bruno s’étalait toute la merde sur le corps, la mélangeant avec la pisse qui le couvrait, se branlait avec. Quand il eut fini, Luc s’allongea contre son amant et ils échangèrent un baiser d’un goût particulier en faisant passer le morceau d’étron que Bruno avait gardé d’une bouche à l’autre, se l’étalant dans les dents, le suçant tour à tour, le mélangeant avec leurs salives jusqu’à le rendre liquide et qu’il disparaisse complètement.
Leurs deux corps étaient maintenant couverts de caca et la bite de Luc avait repris toutes ses proportions utiles. Il s’attaqua à la préparation de l’anus de son ami en le léchant et en le branlant délicatement avec un puis deux doigts. Il assouplissait la rondelle avec beaucoup de patience pendant que Bruno le léchait et humectait son chibre tendu d’un mélange de salive et de merde. Il voulait que Luc l’encule, il n’en pouvait plus d’attendre et le géant ne se fit pas prier. Il le pénétra avec une grande douceur et remplit, de son énorme bite, son rectum profond. Luc prit Bruno longuement en alternant les positions ventrales et dorsales son rythme était soutenu, mais il ne défonçait pas sauvagement son partenaire comme il l’avait fait parfois. Les deux hommes jouissaient à l’unisson et l’orgasme de Luc déclencha celui de Bruno qui libéra sa vessie en même temps. La situation avait quelque chose de terriblement érotique pour Luc qui ne tarda pas à bander de nouveau et qui put reprendre une seconde fois son amoureux.
Les gémissements de Bruno remplissaient le chalet et tout le monde sut à quel point les deux hommes jouissaient. Ils somnolèrent un peu et Bruno suça son ami, il en voulait encore, il fallait combler le manque de ces trois derniers jours et la verge splendide répondit présente. Ce troisième round fut bien plus long que les précédents et quand, enfin, Luc fut gagné par un troisième orgasme, ils s’écroulèrent l’un contre l’autre et s’endormirent paisiblement après avoir tiré la couette sur eux.
C’est encore endormis et enlacés que Nathalie trouva ses hommes. Elle était déjà réveillée depuis quelques temps et avait en elle les foutres chaud d’Arnaud et de Ruddy qui l’avaient baisée à tour de rôle jusque tard dans la nuit et encore une fois le matin avant de se lever. Elle fut surprise par l’état de puanteur et de saleté de la pièce, mais la candeur du couple enlacé et l’amour qu’elle éprouvait pour eux étaient plus fort. Elle s’avança doucement vers le lit et se glissa sous la couette pour se coller à son mari endormi. Elle avait une terrible envie de pisser et de chier qu’elle avait contenue jusque là et qu’elle s’efforçait à retenir encore tant qu’ils dormaient encore. Elle embrassait tendrement le visage de Bruno que sa présence finit par réveiller. Quand il la vit contre lui, il lui sourit, il avait la bouche sale, l’haleine puante et les dents marrons, mais elle l’embrassa quand même. Leur étreinte réveilla Luc qui s’y joint et ils s’enlacèrent et s’embrassèrent tous les trois. Elle s’accroupit sur le visage de Bruno et pissa dans sa bouche ouverte avant de pousser pour expulser de son cul un étron pâteux et jaunâtre que Luc vint lécher et récupérer en partie dans sa bouche, laissant le reste tomber sur le torse du petit brun. Il se redressa, la bouche pleine de merde et fit avec Nathalie ce qu’il avait fait la veille avec Bruno. Ce dernier récupérait cette merde et l’étalait sur le con plein de foutre de sa femme et sur sa bite tendue. Il avait envie de la prendre et la guida pour qu’elle s’empale sur lui. Elle se laissa faire et savoura les délices de cette pénétration pâteuse. Elle jouit rapidement et Bruno aussi. Luc avait couvert sa bite de merde et attendait allongé à côté. Nathalie se mit sur lui et le chevaucha de la même manière alors que Bruno s’accroupissait au dessus du visage de son amant. Il pissa et chia tout en même temps et couvrit d’une merde mole le visage du géant qui en bouffait et en étalait sur son dos.
Josiane, Arnaud, Stéphanie et Ruddy étaient levés et prêt pour aller skier depuis quelques temps déjà, mais le trio n’était toujours pas apparu, alors la mère de Bruno décida d’aller leur dire qu’ils partaient. Elle frappa à la porte et entendit Luc répondre « oui » si bien qu’elle ouvrit pour leur signaler ce que son mari, sa fille, son gendre et elle comptaient faire pour qu’ils se retrouvent plus tard. Luc se tenait debout au milieu de la pièce, Bruno était agenouillé devant lui, le sexe mou du colosse planté dans sa bouche et Nathalie, dans la même position que son mari lui léchait le cul. La pièce avait encore gagnée en crasse et l’odeur y était presque insoutenable. Elle observa avec attention et quand elle entendit Bruno déglutir rapidement et en saccades, elle compris que Luc lui pissait dans la bouche et que son fils n’en perdrait pas une goutte. Elle n’osa rien dire, ne voulant pas interrompre la scène et attendit la fin. Luc semblait faire un effort, il poussait et bientôt, de la bouche de Nathalie s’échappait une merde monstrueuse qui lui tapissait le visage. Quand il eut fini, elle leur annonça le programme et resta un instant à regarder le baiser merdeux que son fils échangeait avec sa femme. Elle referma la porte rouge de honte et de confusion d’avoir assisté à ça, mais aussi terriblement excitée et désolée de n’avoir pu y participer.
— Alors ? Demanda Stéphanie impatiente. T’en as mis du temps pour leur dire qu’on partait.— C’est qu’ils étaient encore un peu occupé, vois-tu, je ne voulais pas déranger. Répondit Josiane laconique.— C’était très sale ? Raconte !— Pas maintenant ma Chérie, attends qu’on soit sur le télésiège, je te dirais ce que j’ai vu. Dit Josiane à sa fille.
Bruno, Luc et Nathalie eurent pas mal de boulot pour redevenir parfaitement propres, mais quand ils sortirent du chalet il n’y avait plus aucune trace olfactive de leurs ébats merdiques. Ils mirent une bonne demie heure avant de retrouver les parents, la sœur et le beau-frère de Bruno et c’est donc au milieu d’une piste qu’ils s’embrassèrent tous sur la bouche, le plus naturellement du monde. Ils déjeunèrent au chalet et en début d’après-midi, Nathalie croisa son amant de la veille et abandonna tout le monde pour aller avec lui. Elle les retrouva deux heures plus tard et ils finirent tous ensemble cette journée de ski.
En rentrant, Bruno se prépara pour son rendez-vous médical et ils s’y rendirent tous les trois, Nathalie emportant dans un petit sac à dos son gode-ceinture aux proportions gigantesques. Le docteur les fit rentrer tous les trois et Bruno se déshabilla tout de suite pendant que le docteur observait en détail le gode de Nathalie.
— Vous enculez votre mari avec ça ? Je comprends mieux certaines choses, dit le docteur en manipulant l’engin. Bruno a des cicatrices de lésions anciennes qui ne correspondent pas à ce qu’il m’a dit de sa sexualité récente et aux événements qui l’ont amenés ici. Vous allez devoir apprendre à vous en servir si vous ne voulez pas l’abîmer. Déshabillez vous et enfilez ce harnais. Quand à vous jeune homme, dit il à Luc, j’ai cru comprendre que vous aviez un engin de belle taille pourriez vous me le montrer ?— Bien sûr docteur, répondit Luc en commençant à retirer ses vêtements.
Le docteur lui même s’était mis à poil et fut impressionné par la taille du sexe au repos de Luc. Il fit mettre Bruno en position pour une auscultation classique et montra à Nathalie et Luc les cicatrices laissées par ses lésions anciennes. Ils leur dévoila les risques qu’une sodomie trop violente pouvait engendrer et leur expliqua la nécessité de toujours préparer le terrain et de vérifier la souplesse de l’anus. Il prit un lubrifiant et fit une démonstration d’assouplissement. Il demanda à Luc puis à Nathalie de reproduire son geste en faisant attention à ce qu’ils sentaient en le décrivant. Il leur demanda de s’attacher plus particulièrement à ce qu’ils percevaient de l’évolution de la souplesse des sphincters et aux sensations qu’ils pouvaient apporter à Bruno.
— Qu’est-ce-que tu ressens Bruno, t’aimes ce qu’ils te font ? Demanda le docteur au jeune homme.— Mmm, c’est bon... ça me donne vraiment envie d’être enculé. Répondit Bruno dans un début d’extase— Vous voyez vous êtes en train de préparer le terrain, vous lui donnez envie et c’est indispensable pour que la sodomie se passe bien. Les hommes qui aiment vraiment se faire enculer, les vrais trous à bites, si vous me passez l’expression, sont rares. Vous avez la chance Nathalie et Luc d’en partager un alors pour l’amour du ciel, prenez en soin ! Votre plaisir est important mais le sien aussi !— Vous avez raison docteur, répondit Nathalie un peu honteuse, j’ai pas toujours été très douce avec son cul, loin de là... ça m’excite tellement quand il se fait enculer que... Sans terminer sa phrase elle ajouta en pleurant, mais j’ai jamais voulu lui faire du mal docteur ! J’vous jure que j’voulais pas...— Allons, Madame, ne vous mettez pas dans cet état, votre mari n’a rien eu de grave, fort heureusement tout est rentré dans l’ordre. Je vais vous apprendre à le préparer comme il faut pour que vous puissiez lui ramoner le cul à votre guise sans le déchirer. D’accord ?— Oui docteur...
Le médecin continua son cours d’assouplissement et considérant la petite taille de main et les ongles courts de Nathalie, il lui fit mettre deux, puis trois doigts dans le cul de Bruno. Comme tout se passait bien, il lui montra comment mettre sa main pour en ajouter un quatrième. Nathalie n’en revenait pas et le sourire lui revint. Elle faisait très attention aux réactions du cul de son mari qui, de toute évidence appréciait le traitement. Le médecin modifia la position de Bruno et comme la veille la transforma en table gynécologique. Bruno crut qu’il allait enfin se faire enculer, mais le docteur demanda à la jeune femme de reprendre ses caresses en repartant du début avec un, puis deux et enfin trois doigts. La rosette assouplie permettait de brûler un peu les étapes. Elle replongea quatre doigts dans le cul de son mari, François la conseillait encore sur les mouvements et lui montra comment en rajouter le pouce et quels mouvements donner à la main pour la faire rentrer entièrement. Nathalie était attentive et c’est sous les regards effarés de Bruno et de Luc que sa main pénétra en douceur dans le cul largement ouvert de son mari.
— C’est... c’est extraordinaire ! Chéri, j’te fist ! Tu... tu sens mon poing dans ton cul ?— Oooooooh... oh putain ouii... Aaaaaaaah...— Vous voyez ma chère qu’on peut faire rentrer ce qu’on veut quand c’est bien préparé. Regardez comme il jouit. Son sexe suinte comme une petite fontaine. Par contre, vous allez faire très attention et très doucement pour ressortir car vous pourriez lui faire mal à ce moment là.
Il lui donna les conseils qu’il fallait et elle ressortit sa main en douceur et sans faire de mal à son mari qui gémissait de contentement. L’anus resta ouvert suffisamment longtemps et largement pour que Luc y introduise sa bite tendue, pratiquement sans toucher les bords de l’anus. Il attendit sans bouger que le sphincter se resserre sur sa queue qu’il activa en douceur, mais tellement excité par ce qu’il venait de voir, il ne tint pas longtemps et éjacula. Le docteur s’était équipé d’un préservatif. Il attendit un peu et demanda à Bruno comment il se sentait. Il jeta un coup d’œil médical à l’anus qui venait de subir deux belles pénétrations et montra à Nathalie que même s’il avait été très ouvert, il n’était pas inutile, ni très long, de vérifier que le trou ait bien gardé sa souplesse. Il reprit du gel et en graissa le pourtour de l’anus qu’il convoitait. Il pénétra son « cobaye » dans une lente poussée et s’enfonça jusqu’aux couilles dans le cul de Bruno qui n’en finissait pas de jouir. Il mit en pratique ses explications et le laboura sans crainte jusqu’à remplir sa capote. Nathalie enduisit son gode de gel, elle voulait que le médecin la voit faire et la corrige éventuellement. Elle fit ce qu’il avait dit, demanda l’autorisation à Bruno de l’enculer, ce qu’il accepta avec plaisir et après avoir vérifier la souplesse de son anus, elle appuya fermement le gland de latex lubrifié. Il s’y enfonça sans peine et toute la hampe suivit à sa suite dans une lente et douce pénétration. Elle demanda à son mari si ça allait et commença à s’activer. Jamais elle ne l’avait enculé aussi bien et cette pensée faisait jouir Bruno. Luc l’embrassait en lui pinçant les tétons. Le plaisir intense que prenait son mari déclencha l’orgasme de Nathalie qui réalisa qu’elle n’avait jamais pris autant son pied en l’enculant. Quand elle décula, la vessie de Bruno le trahit ; il ne put se retenir de pisser et en fut submergé de honte.
— Ce n’est rien, Bruno, lui dit le docteur hilare, ça arrive parfois. Tu as joui et comme ta prostate et ta vessie ont été largement sollicitées avec tout ce que tu as pris dans le cul, quand elle est sortie de ton rectum, tous tes sphincters se sont relâchés.— Je... je suis vraiment confus, dit le jeune homme qui malgré l’explication ne comprenait pas.— Ne le sois pas, mais je crois qu’on va bien s’amuser demain soir... si tu veux bien que je te chaperonne bien sûr. Je ne voudrais pas que tu ressortes de chez ton parrain avec le cul explosé...— Euh, bien je sais pas ? Vous en pensez quoi vous ? Demanda Bruno à Nathalie et Bruno— Tu sais chéri, les femmes seront très minoritaires, alors je risque de pas avoir vraiment le temps ni la capacité de surveiller qui t’encule et comment. Dit Nathalie à son mari. Si le docteur te surveille, comme j’ai cru comprendre que les femmes ne l’intéressaient pas et que tu dois être le seul vrai passif, vaut mieux que ce soit lui qui veille à ta sécurité...— Mmm... Et toi, Luc ?— Bien moi,... je n’sais pas trop, Nathalie m’a demandé d’être son chaperon et de veiller sur elle autant que possible, mais je sais pas si j’aurai les moyens de l’acheter... Répondit Luc gêné.— C’est quoi ces histoires de chaperons et pourquoi tu dis qu’tu sais pas si tu pourra l’acheter ? Demanda Bruno suspicieux.— Parce que tu n’connais pas le principe de la soirée ? Demanda François incrédule, personne ne lui a rien dit ?— Euh... non pas encore, avouèrent penauds Luc et Nathalie.
François expliqua donc à Bruno qu’une trentaine de personnes au moins étaient attendues avec seulement cinq femmes, qu’il devait y avoir un jeune homme passif qui ne viendrait finalement pas et que Bruno était arrivé à point nommé pour le remplacer. Avec son goût pour la bite, sa passivité assumée, sa capacité surprenante de se prendre de gros gabarits et de se faire enculer par plusieurs partenaires à la suite, il était le candidat idéal. Que grâce à sa présence un certain nombre d’hommes qui hésitaient encore à venir, seraient là uniquement pour son cul. La soirée n’était pas simplement une fête pour le plaisir, Lionel et Ruddy en profitaient pour récupérer des financements pour des projets humanitaires et de petites associations menant des missions éducatives ou sanitaires.
— En début de soirée, les « salopes », c’est à dire les femmes et toi, sont vendues aux enchères et les acheteurs s’engagent à les chaperonner durant toute la soirée, à veiller à ce que personne n’en pénètre une sans capote, ne lui fasse mal, etc.. Demain, vous serez six salopes, finit par expliquer François, et j’espère bien t’acheter.— Pourquoi vous m’avez rien dit ? Demanda Bruno atterré.— On savait pas comment faire, mon chéri, répondit Nathalie honteuse, c’est pas évident d’annoncer à celui qu’on aime qu’il va être vendu comme trou à bites pour toute une soirée,... même si je sais que t’aime les situations humiliantes et te faire enculer, c’est pas facile... On estimait que c’était à Lionel de te le dire, mais il l’a pas fait. Pardon...— Et bien j’espère seulement que je ne serais pas bradé, Conclut Bruno dont le visage s’éclairait d’un large sourire, et qu’il y aura des gens pour filmer quelques scènes parce que si je passe la nuit à me faire sauter, je risque de pas voir grand chose...— C’est prévu, répondit François satisfait de la réaction du jeune homme, c’est pour ça que Marcel vient, il paye 5000 francs suisses pour un droit de filmer, plus encore 500 francs par hardeur qu’il amène et verse, en cours d’année 2% des recettes des vidéos de la soirée. Quand à ton prix de vente, je pense que les enchères vont monté très haut, tant pour toi que pour ta femme d’ailleurs, car vous êtes jeunes, nouveaux et toi t’es le seul passif, alors depuis samedi, je sais que tu vas me coûter un max mais rassures toi, j’ai les moyens. Haha !
Bruno, sa femme et leur amant quittèrent le docteur, ils étaient restés deux heures et Josiane commençait à s’inquiéter. Elle fut contente de les voir arriver, le dîner n’attendait plus qu’eux.
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