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Le partage de Nath et Bruno

Chapitre 18

Trash
À table, ils parlèrent largement du cours particulier de sodomie qu’ils avaient eu et Nathalie était très fière d’annoncer qu’elle avait réussi à fister son mari. Josiane insista auprès d’elle pour qu’elle n’oublie pas d’emmener son harnais chez Lionel en disant qu’il pourrait peut être servir. Ils parlèrent ensuite de la soirée du lendemain. Bruno reprocha aux « habitués » de ne rien lui avoir dit sur le sort qui l’attendait et remerciait finalement son petit souci passé de lésions anales. Il ajouta que finalement ça ne lui déplaisait pas de passer une nuit complète à s’en prendre plein le cul et à vider des couilles, mais regrettait qu’ils n’aient pas acheté une nouvelle cage de chasteté à sa taille. Josiane et Stéphanie étaient très intriguées par cette histoire si bien que Bruno alla chercher l’outil de torture que ses amis lui avaient offert.
— C’est trop tard maintenant pour en commander une qui soit livrée avant demain soir, c’est dommage. Dit Bruno avec un sourire de déception. Même en envoi express on ne l’aura pas avant samedi...— C’est vrai qu’avec tes problème de trou du cul, on y a plus pensé, constata Luc compatissant.— Il y a peut-être une solution, dit Ruddy avec une étincelle dans les yeux.— T’as une idée, mon Doudou ? Demanda Stéphanie enthousiaste à son mari.— Oui, mais y a rien de sûr... faut que je passe un coup de fil. Elle mesure combien ta bite, tu sais ?— Ben, je l’ai jamais mesurée, tu sais... répondit Bruno amusé. Mais on peut le faire maintenant.— Ok, alors j’appelle Marcel, ce serait bien le diable qu’il ne puisse pas nous trouver ça. Répondit Ruddy en attrapant son portable.
Bruno se retrouva le froc baissé aux chevilles et tout le monde autours avec un double décimètre pour mesurer sa bite mole puis raide. Ruddy transmettait les mesures à Marcel qui trouvait que le fait que Bruno porte une cage pendant la soirée constituait un élément de mise en scène intéressant. Il demanda la marque de l’ancienne cage et annonça à Ruddy que le problème était vraisemblablement réglé. Il connaissait un artisan, prénommé Daniel, à Genève qui travaillait avec cette marque pour fabriquer des cages sur mesure en inox chirurgical et ajouta qu’il l’appelait tout de suite. C’est Daniel qui rappela et il demanda quel modèle de cage il souhaitait exactement, et demanda quelques précisions sur les mensurations du pénis à enfermer. Même si son sexe était un peu au dessus de la moyenne, les dimensions restaient assez standard et il en avait une qui convenait au pénis de Bruno. Il promit de la donner tout de suite à Marcel qui servirait également de relais pour le règlement. Bruno était content et les discussions repartirent sur les sujets touchant à la soirée du nouvel an qui s’annonçait chaude.Nathalie, Bruno et Luc partirent se coucher les premiers, rapidement suivit par Arnaud et Josiane. Tout le monde souhaitait s’économiser et aspirait à une nuit intime.
Le lendemain, ils étaient tous réveillés de bonne heure, la famille skia le matin et l’après-midi, ils se rendirent tous chez Laura et Lionel pour aider à préparer la salle des réjouissances.Lionel avait réaménagé une ancienne grange et l’avait transformée en une vaste salle de réception chaude et accueillante. Ruddy s’occupait de la sonorisation et avait fait venir deux dj qui avaient pour mission d’assurer l’ambiance musicale de la première partie de soirée. Un buffet était installé à une extrémité de la pièce et confié à l’expertise de Jacques et de son cuistot. De l’autre côté de la salle se trouvait une petite estrade, un écran géant, un grand paravent et un pupitre. Marcel arriva assez tôt avec son matériel vidéo et commença par vérifier les éclairages, il voulut ensuite faire la connaissance de Bruno et de sa femme et leur demanda s’ils acceptaient de faire une petite mise en scène pour la pose de la cage de Bruno. Le jeune couple accepta et il leur présenta l’objet qu’il avait apporté.
— Il faut qu’on vous la paye, dit Bruno au cinéaste, combien a-t-elle coûté ? Elle est superbe !— Mon jeune ami, si je m’en réfère à mon expérience des soirées de charité de Lionel et à ce qu’on m’a dit de vous, votre cul va me rapporter largement de quoi vous offrir ce petit bijou. Je suis heureux de vous en faire cadeau.
Les premières personnes arrivèrent vers 18 heures et la salle se remplissait peu à peu. Bruno faisait remarquer à Nathalie que le nombre d’arrivants semblait déjà dépasser la trentaine quand Lionel vint les trouver.
— Il est temps pour les salopes de filer derrière le paravent et de se mettre en tenue. Je ne sais pas qui à fait la pub, mais depuis ce matin on à eu quinze confirmations tardives... Je crois que c’est grâce à vous les enfants, les gens aiment bien la chair fraîche, haha ! Dit Lionel en les poussant vers l’estrade— Du coup, il y a combien de participants ? Demanda Nathalie intriguée.— Notre association reçoit ce soir 48 personnes donc avec les salopes, le reste des organisateurs, Luc, les deux dj et les trois hardeurs de Marcel, on frise la soixantaine... les enchères risquent d’être élevées surtout qu’il y a du beau monde.
Derrière le paravent, ils retrouvèrent Josiane, Laura et Stéphanie qui étaient déjà en train de se déshabiller. Bruno s’inquiéta de la sixième salope et Josiane lui expliqua que Louise n’allait pas tarder, mais qu’elle avait dû aider sa mère, Geneviève, aux entrées et au vestiaire à cause du nombre plus important de participants.
— Parce que Geneviève participe ? Fit Bruno surpris.— Geneviève est la trésorière de l’association ,alors elle peut pas faire la salope dans ce genre de soirée car elle tient la caisse. Du coup elle gère les entrées, fait payer les vestiaires et vend les capotes, mais t’en fait pas pour elle, elle trouve aussi le temps de s’amuser.— Et son mari et là aussi ?— Denis, bien sûr qu’il est là, qu’est-ce-que tu crois ? Répondit Josiane.— Mon père ne raterait jamais une bonne occasion pour me sauter... Dit Louise qui arrivait justement. Comment ça va beau brun depuis l’autre jour ?— Super content de te voir, tu ne connais pas Nathalie, ma femme.— J’en ai déjà beaucoup entendue parlé, enchanté, mois c’est Louise ou simplement Lou pour les intimes, dit la jeune femme en faisant la bise à Nathalie.
Louise avait des cheveux très blonds, presque blancs, des yeux bleus très clairs, une peau d’albâtre, de petits seins en poires, une chatte épilée et sa toison taillée en forme de cœur et réduite au pubis était teinte en bleu. Dans le lot des salopes, Bruno était unique et savait déjà qu’il avait un lot d’amateurs important, Josiane était la femme mature et nature, et beaucoup d’hommes aimaient ça aussi, Louise et Stéphanie étaient les plus jeunes et faisaient un peu penser aux sœur jumelles des demoiselles de Rochefort, elles attiraient sans doute les vieux cochons à la recherche de nymphettes, Laura avait le charme des femmes à l’approche de la quarantaine et transpirait la salope, son potentiel ne faisait aucun doute, aussi Nathalie se demanda quels étaient ses atouts face à ces créatures sublimes et commençait à se poser des questions sur ce qu’allait être son prix de vente.
— Qu’est-ce-qu’il t’arrive ma toute belle ? T’as le trac ? Demanda Josiane à sa belle fille.— Je... oui, un peu, c’est ridicule, mais vous êtes si belles toutes les cinq, cette salle est pleine de mecs qui n’attendent que vous, alors je me demandais si quelqu’un allait vraiment vouloir payer pour moi...— Tu rigoles, s’esclaffa Louise, nous on espère bien que, Bruno et toi, vous allez faire péter les records !— Louise à raison, renchérit Laura, si y en a qui doivent se faire du mouron, c’est plutôt nous quatre, pour vous deux ça risque d’être vraiment sportif.— T’es nouvelle, Lui dit Josiane gentiment.— T’es magnifique, t’as un corps de déesse, avec des seins splendides, capable de faire bander une statue de marbre, rajouta Stéphanie avec force.— Et en plus, tout le monde sait que t’es une vraie pute. Renchérit Louise. Tout le monde t’a vu en compagnie de ton mari et trois autres hommes toute la semaine dernière et tes aventures avec Jacques, ses potes et le père d’un élève de Franck on déjà fait le tour de la station, alors avec tout ça... si tu dépasse pas les quatre milles, j’me rase la tête !— Quatre milles... euros ? Répéta Nathalie incrédule.— Mais qu’est-ce-que tu crois, c’est plein de banquiers, d’avocats et d’industriels fortunés, ils n’hésitent pas à allonger la tune. Expliqua Laura. Et avec votre petit spectacle, vous allez faire monter la température.— Quel spectacle ? Demanda Stéphanie.— Ils nous ont préparé une mise en scène pour la mise en cage de Bruno et la présentation de ses talents, dans le but de faire grimper son prix au maximum, mais c’est sûr que ça profitera à Nath également. Expliqua Laura sur un ton de confidence.
Sur l’écran apparu les photos des six salopes et une musique se fit entendre. Damien, le cuistot de Jacques, leur porta des plateaux chargés de nourriture et des coupes de champagne et quitta la « loge » avec une belle bosse à l’avant de son pantalon. Lionel prit un micro, et accueilli les invités comme il se doit en annonçant le programme connu de tous et surtout, la présence de deux nouvelles salopes. Il rappela les principes de la soirée et ses objectifs humanitaires. Un petit film présenta les projets qui seraient financés avec les bénéfices de la soirée et appela à la générosité de tous en expliquant que, à défaut de pouvoir acheter une salope, tous les dons étaient les bienvenues. Pour enfoncer le clou, il rappela le montant des dons de l’année précédente et un second film montra ce qu’ils avaient permis de réaliser. Toute cette présentation permis aux salopes de manger tranquillement. Puis vint enfin le moment de les présenter les une après les autres. Cette présentation débuta par Josiane qui rejoignit Lionel sur le plateau. À l’écran, on la voyait en pleine action dans différentes situations tandis que Lionel, faisant comme s’il ne la connaissait pas, lui posait des questions précises sur ses goûts en matière de sexe. Bruno remarqua que toute cette mise en scène faisait penser à une émission de télé, alors Laura lui expliqua que toute la première partie était retransmise en direct sur une chaîne de télé porno du net dont Marcel était propriétaire. Après Josiane, ce fut au tour, dans l’ordre de Laura, de Louise, de Stéphanie et enfin de Nathalie et de Bruno qui passèrent en dernier.
— Je suis heureux de vous présenter, ce soir, nos deux révélations de cette fin d’année, il s’agit d’un jeune couple marié ; je vous demande d’accueillir Nathalie et Bruno ! Bonsoir Nathalie, Bonsoir Bruno. Dit Lionel en les embrassant.— Bonsoir Lionel. Répondirent Nathalie et Bruno en cœur.— Nathalie, je me suis laissé dire que votre couple n’est devenu libertin que très récemment ; pourrais tu nous raconter ça ?— Oui, bien sûr, Répondit Nathalie, nous sommes de vrais libertins depuis seulement un peu plus de 10 jours. Avant, nous avions une sexualité très active, mais uniquement entre nous même si l’envie d’ouvrir notre couple à d’autres partenaires était présente depuis longtemps. Nous attendions juste les bonnes conditions qui se sont trouvées réunies par hasard le 21 décembre dernier.
Nathalie fit un récit assez détaillé de leur première semaine alors qu’à l’écran passait des images d’elle avec ses trois amants, prises par Bruno ou Laura, à la dérobée lors de leur soirée de Noël.
— On voit bien sur ces images que tu aimes baiser et que le nombre ne te fait pas peur... Et depuis, tu as eu d’autres partenaires ?— Oui, j’ai eu des rapports avec mon beau-père, mon beau-frère et aussi avec Jacques, notre restaurateur favori, avec deux de ses amis et avec un touriste à qui j’ai tapé dans l’œil.— Voilà ce qu’on pourrait appeler une jeune femme active ! Répondit Lionel avec enthousiasme. Et toi Bruno, tu n’es pas jaloux de voir ta femme dans les bras d’autres hommes ?— Pas du tout, répondit le jeune homme. C’est une envie qu’elle avait depuis longtemps et c’est vrai qu’il m’a fallu du temps pour me faire à cette idée, mais ça fait au moins deux ans que j’espérais que ça se réalise. Maintenant que c’est effectif et j’y prends beaucoup de plaisir. En plus de ça je ne suis pas non plus frustré et je peux vivre pleinement ma sexualité et mon attirance pour les hommes.— Splendide ! On te vois d’ailleurs en action ici, tu es en train de faire une fellation et apparemment tu as tout avalé. Oh mon dieu ! Regardez la taille de l’engin qui sort de sa bouche ! Mais cette bite n’en finit pas ; elle est monstrueuse ! C’est images sont truquées c’est pas possible. Qui a filmé ça ?— C’est moi ou notre amie Laura, intervint Nathalie, et ces images sont bien réelles, c’est la bite de notre amant commun, Luc.— J’avoue que j’ai du mal a y croire ! Je ne sais pas ce qu’en pense le publique mais moi je crois qu’il y a un truc. Est-ce qu’on peut revoir ces images et faire un arrêt juste quand le gland sort de la bouche, s’il-vous-plaît ?... Merci... Lionel resta quelques secondes à regarder l’écran avant de reposer sa question à l’assistance. Alors, est ce que vous aussi, vous pensez que c’est truqué ? Qui veut intervenir à ce sujet ? Monsieur ?— Oui, bonsoir, dit un grand gaillard au crâne rasé, je m’appelle John Lagross, je suis acteur de porno professionnel et je travaille souvent pour Marcel. J’ai donc l’habitude de me faire sucer par des pros et je n’ai jamais vu ça, pas avec des sexes de cette dimension. Je crois que ces images sont effectivement trafiquées. D’abord, la taille de ce sexe me parait bien grosse ; même dans mon milieu, on en voit pas souvent des pareilles, et si elle est bien comme ça, ça voudrait dire qu’elle descend bien en dessous de la luette, carrément dans le fond de la gorge et là, j’y crois pas. Voilà.— Merci, John pour cet avis de professionnel du hard, reprit Lionel, alors trucage ou pas trucage ? Levez la main ceux qui croient qu’il y a un truc ?... Et ceux qui croient que c’est vrai ? Il n’y a pas photo, pour une grande majorité de l’assistance ces images sont bel et bien trafiquées. Moi j’aimerai bien le voir en vrai, alors si Luc est dans cette salle, pourrait il nous rejoindre ?
Le grand brun s’avança sur la scène pour rejoindre le couple qu’il embrassa avant de saluer Lionel. Il répondit à quelques questions et à la demande de Lionel, se déshabilla. Son sexe, qui pendait mollement le long de sa cuisse, était déjà impressionnant. Bruno eut pour mission de le faire bander et de le sucer. Il se mit à genoux devant son amant, lui dit d’oublier le publique et les caméras et il commença à le masturber et à le lécher. Le sexe de Luc enfla vite et atteignit ses dimensions normales. Marcel, derrière ses caméras n’en revenait pas ; l’engin était digne des plus grands hardeurs internationaux et il ne voyait pas comment le petit Bruno allait faire pour l’avaler. Il filma la progression du pénis dans la bouche du jeune homme qui n’en était encore qu’à l’humecter convenablement et à la stupeur générale, quand la pinne fut bien humide, il l’avala d’un coup, entièrement et força encore pour bien écraser son nez dans la toison pubienne de Luc en mettant une petite tape sur sa fesse. C’était pour son amant un signal qu’il connaissait bien et qui voulait dire « Vas-y, baise-moi la bouche ». Luc fit ce qu’il lui demandait et devant les caméra, il s’activa dans la gorge de Bruno quelques instants avant de le laisser se dégager pour respirer.
— Incroyable ! Il le fait vraiment ! Il est capable d’avaler cette bite entièrement, c’est surréaliste ! S’exclama Lionel joyeux. Nathalie, vous n’êtes pas gênée de voir votre mari sucer des bites ?— Oh non, répondit la jeune femme. J’adore le voir sucer un homme, ça m’excite et quand il se fait enculer, c’est encore pire ! J’adore ça, c’est un vrai vide couille, vous savez. Il aime tellement ça que je suis certaine qu’il pourrait se passer de sa bite par moment. Il suffit qu’il y ait assez de bites pour lui remplir le cul et la bouche.— C’est pour cette raison que vous avez prévu de lui faire ce soir cadeau d’un bijou d’un genre un peu particulier ?— Oui, je vais lui mettre sa bite en cage ; c’est pour bien montrer que ce soir Bruno n’est qu’une salope à baiser et que sa bite ne sert à rien.
Alors que Luc, ayant fini sa démonstration, se rhabillait, Nathalie montrait à Lionel et à l’assistance la magnifique cage en inox qui allait bientôt emprisonner la bite de son mari. Bruno s’était relevé et il bandait alors sa femme lui demanda de se branler jusqu’au bout pour pouvoir lui mettre la cage et c’est ce qu’il fit devant toute l’assistance. Une fois qu’il eut joui, ce qui ne fut pas très long, elle s’accroupit devant lui et enferma sa queue dans la cage. Elle se fermait grâce à un anneau qui prenait les testicules et se verrouillait à l’aide d’un petit cadenas. Leur show était fini et ils retournèrent derrière le paravent avec les autres salopes. La vente aux enchères allait commencer.
Après y avoir longuement réfléchit, Lionel avait décidé de tirer au sort l’ordre de passage pour les ventes. C’est donc Louise qui eut l’honneur de faire l’objet de la première enchère. Elle était déjà bien connue d’une partie de l’assistance et la mise à prix à 500 euros fut vite oubliée. En voyant comment les enchères grimpaient, Luc en était malade. Il comprit qu’il n’aurait jamais les moyens d’acheter Nathalie, on en était déjà à 2 600 euros et ça grimpait encore. Finalement, la blonde Louise fut adjugée à 3 400 euros. Son acheteur lui passa autour du coup un collier fourni par Lionel et la mena en laisse dans la salle où elle fut vite entourée par ceux qui avaient également souhaité l’acheter. Le sort désigna ensuite Josiane qu’un gros banquier paya 3 200 euros et ce fut au tours de Bruno d’être mis en vente.
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