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Partie de Campagne

Chapitre 1

Zoophilie
Octobre devenait roux, le soleil se glissait entre les ombrages…notre carrosse roulait…les bords de Loire nous offraient leurs douceur infinie…nous partions pour une partie de campagne…où l’Amour et le plaisir seraient intimement liés…
    Nous roulions donc, les vitres des portières du carrosse baissées et goûtions à une douce brise de fin d’été, glissant tan tôt sous les ombrages, tantôt sous un soleil chaud en suivant la Loire et devisions de gente humeur, nos rires fusant par intervalle. Seul le trot régulier des chevaux conduits par le vieil et fidèle cocher, un peu « homme à tout faire » dans la propriété de nos bons Amis d’Engerrey.
    « Uranus » le beau lévrier de nos Amis était de la partie et semblait tout heureux, voire même excité, allant de l’une à l’autre des portières, pour voir et humer les senteurs chaudes de la campagne. La brune Nicole d’Engerrey aimait beaucoup ce très bel animal, fin et racé ressemblant, si j’ose dire, à ses Maîtres et ne déparant pas la Maison de ces Aristocrates de très bonne Lignée. Elle l’aimait tendrement et le lui prouvait, si bien que ce dernier savait se montrer très tendre et très attentif en vers sa Maîtresse, guettant le moindre de ses gestes, l’œil complice, vif. En fait, ils s’aimaient tous les deux et se le prouvaient maintes fois, la Maîtresse et le chien ayant des relations très étroites, très intimes, dont les démonstrations cachées auraient pu être scandaleuses aux yeux de gens enclins à commérages… Mais, ces inclinations amoureuses demeuraient secrètes et nous n’étions qu’un petit nombre d’initiés à les connaître et à en partager les élans et ardeurs, comme vous avez d’ailleurs pu en juger en lisant les récits précédents…
    Le chien allait et venait dans le carrosse, quémandant des caresses à Françoise, puis revenant vers Nicole, sa chère Maîtresse, pour en obtenir tout autant…« Oui, mon bon « Uranus », je sais ce que tu voudrais, j’en ai tout aussi envie que toi, mais il faut patienter…tout à l’heure, quand nous serons arrivés en notre « pré d’Amour », je te promets, que je me laisserai faire, tu m’auras toute à toi…oui, mon chien … » Ces échanges en notre présence se voulant apaisants à l’égard de ce bel Amant exigeant, n’en étaient pas moins terriblement excitants pour nous, qui imaginions déjà les beaux ébats de Nicole et du lévrier sous nos yeux…« Uranus » s’était dressé et pattes appuyées sur le rebord de la portière, élancé et fier, museau au vent, regardait défiler le paysage… Dans cette position, son beau corps élancé ravissait le regard de Nicole qui se mit à le caresser fiévreusement autant qu’amoureusement, parcourant de ses longs doigts blancs et fins, le ventre, le bas-ventre de l’animal qui commença à bander sous la caresse… Enfin, sa Maîtresse le comprenait et allait peut-être lui donner ce qu’il attendait : une belle et longue saillie… Il regarda Nicole, couina un peu et tendit le museau pour la lécher, puis appuya sa truffe sur la bouche de la femme, ils eurent un long baiser, presque d’humain à humain et mêlèrent leurs langues… Françoise, Albin et moi-même regardions la scène, troublés, excités, car nous savions qu’une fois encore, Nicole ne saurait rien lui refuser et céderait à son désir de la prendre…La Marquise troublée caressait à présent le beau vit canin, lentement, langoureusement, pinçant délicatement le sexe dardé entre pouce et index, le branlinant légèrement, glissant la paume de sa main sous les fines bourses bien gonflées…Le chien couina encore et se tendit, tout raidi sous la main indiscrète le venant là troubler…« Je veux bien, dit Nicole, mais alors juste une petite lichée, n’est-ce pas ? » Et, se tournant vers nous : « Je ne sais décidément rien lui refuser…il est si amoureux…si cajoleur et toujours prêt…il fut un temps, il me montait jusqu’à trois fois par jour, mes Chéris…Albin le sait…j’étais littéralement épuisée, mais j’ai dû mettre un terme à tant d’ardeurs rapprochées…Albin a ses droits d’époux et je devais le satisfaire, lui aussi… ». Nous acquiesçâmes… Tandis que Nicole nous expliquait tout cela, elle s’était promptement retroussée et, écartant l’ouverture de sa belle culotte de soie blanche, elle entrouvrit de deux doigts sa jolie fente et se cambrant, la tendit à son bel Amant canin…La longue langue élastique et humide du chien s’engouffra dans le tabernacle rose, s’y incrusta et licha au plus profond des tissus sensibles à une telle caresse… Nicole gémit et murmura : « Ouiiii, làààà, mon chien chéri, vas-y, lààà, devant eux, cela les excite tu sais et ils aiment… ». Le chien dans son ardeur, se dressa et voulu la couvrir séant… Son vit à présent à hauteur du bel as brun fendu de rose palpitait, bandait, se dressait, retombait un peu au rythme des halètements du chien… Nicole perdait la tête et se disposant un peu plus confortablement sur les coussins, vint se mettre à la hauteur de l’enfilougneur… Le vit la pénétra et « Uranus » la prit avec ardeur…Entre temps, Françoise nous avait débraguettés et s’employait à nous sucer à tour de rôle, en branlant nos vits comme une folle, excitée à la vue de la saillie de son Amie par l’animal… Bandés à l’extrême, Albin et moi-même accueillions cette bouche divine, fine, terriblement felleuse qui nous menait aux nues…Puis, je m’approchai de Nicole et de son bel Amant et, queue en main, me branlai à la hauteur de son visage en lui murmurant : « Nicole, ma douce Chérie, ma Belle Amie, comme vous jouissez et nous mettez en joie ! ». J’encourageai le chien : « Allez, mon chien, vite, bien profond, ouiiiii…. » Ma queue rouge, dilatée au prépuce écarlat aurait bien voulu cracher son foutrin dans le beau décolleté et le sillon des seins blancs qui tremblaient sous les assauts répétés du chien…je me retins…et tendis à Nicole cette queue qui n’en pouvait mais… elle la prit jusqu’en gorge, fritouilla mes bourses et, sous les tremblements répétés des coups de vit du chien dans la Marquise, tout autant que des cahots du chemin, ma queue fut bellement engoulée, mon foutre n’était plus loin… je me retins cependant autant que je le pus, mais en dépit de tous mes efforts, un fin filet blanc tout chaud parvint à s’écouler entre les lèvres de Nicole et tomba en gouttes d’albâtre sur un sein de ma dive Amie. Le chien avait joui et restait ainsi sur sa Maîtresse, essayant de se hisser pour lécher ma foutrine dans le sillon coquin de sa poitrine…Albin forniquait en ma femme qui, cuisses en l’air, jouissait à tout va et je pus voir le gros vit noueux de mon Ami aller et venir entre les lèvres dilatées de son beau con …
Mais, nous étions arrivés. Le carrosse s’arrêta. Nous n’eûmes que le temps de remettre un peu d’ordre dans nos habits. Le vieux cocher descendit de son perchoir et vint nous ouvrir la porte et tendre la main à nos Dames pour les aider à descendre.
Notre « Pré d’Amour » était là. C’était un endroit charmant, petit écrin de verdure, descendant en pente douce vers la Loire qui scintillait dans le dernier soleil. Nicole avait ainsi appelé cet endroit, parce que c’était là qu’elle avait pour la première fois fait l’amour avec ma femme, à l’abri des regards, loin de tout, sous les ombrages de vieux saules.
Le vieux cocher, comme à son habitude lorsqu’il conduisait en un endroit ses Maîtres, s’esquivait aussitôt de son côté, nanti d’un petit panier renfermant une collation et une bonne bouteille de vin de Loire. Ensuite, il s’étendait en un pré et, tricorne sur les yeux, s’en- dormait mi à l’ombre, mi au soleil… Nous nous installâmes, étendîmes un grand drap, tirâmes une panière du coffre du carrosseet débouchâmes une bonne bouteille. Un petit en-cas avait été préparé par la femme du cocher, friandises, fruits… Nous trinquâmes dans la bonne humeur et après la route et nos…fatigues amoureuses au long du trajet, appréciâmes, je l’avoue, ce petit festin.La femme du cocher savait généralement –par son mari – ce qui se passait dans le carrosse lors de semblables déplacements et sans doute, pensait-elle que nous avions besoin de reprendre des forces ! Et c’était judicieux.
Nicole intima à Albin : Etendez-vous, mon Cher, sur le dos, dans l’herbe, là…je viendrai à califourchas sur votre épieu que je vois là bien dressé, grâce aux gracieuses fellées de ma bonne Amie Françoise ! Vous, Armand chéri, bien en cul viendrez me prendre…il y a longtemps que je n’ai eu le plaisir de vous recevoir en mon…siégeoir… » C’était bien envoyé et fort bien présenté, nous nous exécutâmes…
Et malicieuse, elle fredonna :
« A chevauchis, à chevauchas,Albin En conin, Armand En séant,De derrière comme de devant, Te voici prise, belle Enfant !! »
Albin dit : « Ma Mie, comme vous êtes mouillée ! Le bon foutre d’ « Uranus » va donc me favoriser l’intromission… ». Nous rîmes. Effectivement, Il fut rapidement en elle et Nicole murmura : « Mon très Cher, il n’y a pas que le foutrin de mon bon « Uranus », mais votre queue n’est-elle pas elle-même enduite des bonnes humeurs cyprinisées de notre chère Amie Françoise ? ». Et c’était vrai.
Le trio ainsi formé, nous prîmes notre trot et tout fut orchestré, douces notes, cris étouffés ; je vis les blanches et noueuses mains d’Albin qui, par en dessous, venaient étreindre les fesses de Nicole que j’enfignoulais, il semblait même diriger le postérieur dans ses mouvements ascendants et descendants qu’il exécutait au long de mon cambrelin… Nous allions à notre mesure, pas trop tôt dans le trot, voulant ici goûter à la montée en verdeur de nos frottis-frottas, nos chairs voulant se marier, s’accorder et, au bout de quelques instants, nous accélérâmes l’allure et partîmes grand train, cul et conin furent bellement enfilés, gémissements, cris mourants, quelques jurons de luxure couronnèrent nos accouplements… Il faisait beau et doux, une petite brise se glissait sous nos chemises et rafraîchissaient un peu nos chaleurs… Quelles ardeurs, mes bons Amis ! Quels coups de bites, quels coups de culs, la Marquise Nicole était littéralement empalée, serrée entre nos ventres, fouignée en con comme en cul… Nous jouîmes superbement.« Uranus » montait gaillardement Françoise et ce depuis plusieurs minutes, l’ardeur de ce chien semblant n’avoir plus de limites et ce devait être la troisième fois, qu’il jouissait en elle, l’échine en action, la trique comme un piston la besognant… Elle haletait, serrait le canidé sur son ventre, se tendait, se donnait à lui en toute indécence, troussée, bas griffés (elle rompit même une jarretelle !), essoufflée, pâle, défaite, je vis ma femme jouir comme une possédée ! Ce chien avait décidément une façon de baiser nos épouses qui tenait du prodige, de la virtuosité et de l’endurance la plus absolue. Un « Casanova » réincarné en canidé.Albin et moi-même étions restés dans notre position de bête à trois dos ( !), le vit bien soudé aux tissus intimes de notre divine Nicole ; je sentais pour ma part, ses belles fesses blanches écrasées sous mon ventre et mon vit profondément enfilé dans ce petit trou du cul qu’elle serrait par instant, comme pour mieux s’assurer que je ne m’échapperais point… Albin la baisait en bouche et donnait par moment de petits coups de ventre à ce petit sexe entièrement pris par sa queue et nous faisions ainsi gémir notre belle perverse… Je la baisai dans la nuque, lui fis un suçon prolongé à la base du coup, juste en dessous du chignon, lui murmurai que je l’aimais, comme la femme de mon cher Ami, elle gémit et me donna un coup de son fionin qui fit redresser ma queue dans son analien conduit… Je déculai d’elle et retombai sur le dos dans l’herbe à côté de mes deux Amis toujours accouplés. Albin passa un médius inquisiteur dans le petit trou de Nicole qui remua gentement sous le doigt fouineur…il en retira un peu de mon foutre qu’il donna à lécher à sa femme… Cela m’excitait de les voir ainsi…allais-je rebander ? Nicole leva haut le séant et je vis sa belle chatte brune perlée de foutre blanc, comme des perles tressées dans les fins poils bouclés… Elle s’étendit à mes côtés. Il faisait bon. Nous lui baisâmes amoureusement les lèvres. Ah, mes tendres Chéris !Le lévrier avait en fin quitté le fendin de ma femme, lequel débordait de foutre dû à l’abondance des chevauchées du canidé qui, à présent, étendu tout de son long dans les herbes, se reposait à l’ombre, les flancs encore battants, passant une langue fine sur ses babines retroussées, gueule entrouverte…Nicole se leva et vint caresser Françoise, d’abord les seins que celle-ci avait sortis de son corsage pour les pétrir à volonté, pendant que le chien la couvrait… Puis, la brune Marquise d’Engerrey, coquine à souhait, glissa un doigt dans le fendin, ce qui tira un gémissement à Française qui tendit le ventre vers ce nouvel intrus la venant fouiller…Nicole fit aller et venir son doigt dans le sexe tout humide, le faisant tourner, ondoyer entre les lèvres fines et roses toutes distendues par le beau membre canin suprêmement bandé qui l’avait possédée. Le clitoris se redressait et sortait une tête ronde et rose, petit vit superbe et délicat, que bientôt Nicole entreprit de licher du bout d’une langue pointue comme un aspic… Certainement, là-bas, dans les hautes herbes, le vieux cocher voyeur devait-il se branler et raconterait-il plus tard à sa femme Mariette tout ce qu’il avait vu et, excités tous les deux par ce récit, il la baiserait en faisant craquer le grand lit de la remise jouxtant une aile du château… Combien de fois déjà, Nicole n’avait-elle pas l’attention attirée par ces bruits évocateurs, lorsque, par exemple elle se promenait ou cueillait des fleurs en cette allée toute proche ! Cela l’excitait et, silencieuse, elle tendait l’oreille, suivant les ébats et entendant les cris répétés de la vieille servante. Nicole aurait sûrement aimé que ce vieux Justin fut parmi nous…une autre fois peut-être…Nos deux femmes, jamais rassasiées, revenaient maintenant à des plaisirs lesbiens qui satisfaisaient nos yeux.Aucun doute, j’allais rebander et Albin de même qui astiquait son membre en contemplant avec attention ces deux corps féminins qui se frôlaient. Nous vînmes de part et d’autre de nos deux lesbiennes et, tout contre elles, pressés contre leurs fesses, bandâmes joliment en leur murmurant des insanités qui leur faisaient pousser des « Oooohhh, aaaahhh » étouffés…tant leurs bouches se retrouvaient soudées aux portes de Lesbos…
Nous nous assoupîmes, puis rajustant notre tenue, nous montâmes en carrosse et quittâmes ce petit lieu de paradis où nous nous promîmes de revenir folâtrer librement. Dans le carrosse, sur le chemin du retour, « Uranus » avait encore quelque velléité de galanterie, mais cette fois-ci, Nicole épuisée ne céda point, dormant sur l’épaule d’Albin… Françoise me donnait des baisers et me murmurait à l’oreille des folies en me mordillant suavement, ce qui me faisait frissonner…
Nous rentrâmes avec le dernier soleil, en longeant une Loire aussi profonde qu’un miroir, le miroir de l’Absolu, pour les sens et la beauté et le plaisir de s’aimer en toute connivence...
Nous passâmes la nuit chez nos bons Amis, à la Gentilhommière et ce fut, une fois de plus, les délices de l’Amour…
PS- Comme je vous l’ai laissé entendre plus haut, Nicole et Albin nous ont confié à l’issue de nos ébats champêtres que, sans doute, le vieux cocher avait dû, quelques pas plus loin nous regarder dans les hautes herbes en satisfaisant, selon son habitude, des plaisirs solitaires autant que contemplatifs… mais nos Amis n’en laissaient jamais rien paraître à ce vieil homme qu’au demeurant, ils aimaient et ce silence n’en était que plus excitant… Le raconterait-il à sa femme ? Et Ninon, la jeune domestique, en serait-elle informée ? Que feraient-ils alors à trois dans le Pavillon des Communs où Nicole et Albin les hébergeait ?! Nicole, à ce sujet, devait avoir là quelque idée en tête…
Mais je vous conterai peut-être cela un peu plus tard…
De me lire, me faites grand plaisir, en suis-je digne par mes mots ? Mes plaisirs sont les vôtres… Vous servirai-je un peu de vin ? Trinquons, chers lectrices et lecteurs…
Bien à vous,Le Marquis de Chair

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