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Partie à trois à l'hôtel

Chapitre 1

Gay
Me voici de retour à Paris. J’essaie de me concentrer sur mon boulot, mais avec beaucoup de mal. Je n’ai qu’une chose en tête, me retrouver à l’hôtel avec mes deux superbes amants blacks. Je quitte de bonne heure avec l’intention de démarrer au plus tôt le lendemain pour récupérer. Dix-sept heures, je suis à l’hôtel. Je jette un coup d’œil dans le hall, et je vois mes deux complices installés au salon devant un verre. Je passe à l’accueil, puis je m’avance vers l’ascenseur en leur adressant un clin d’œil.Je suis dans ma chambre et me déshabille sans attendre, espérant leur venue. Je suis tout juste nu et commence à me tripoter la bite, que la porte s’ouvre. On se dit bonjour puis ils se défroquent à leur tour. Ils sont à poil, exhibent leurs gros et longs boudins, mous et pendants. Je me sens un appétit d’ogre et je m’agenouille devant euxJe prend un sexe dans chaque main, puis je me penche à droite et à gauche pour les prendre en bouche à tour de rôle. Je suce goulument, je pompe, je les gobe tout entier. Je lève les yeux pour voir s’ils apprécient mes services, et je les vois se caresser et s’embrasser à pleine bouche. Ils me laissent m’amuser avec leurs sexes, puis l’un deux me rejoint à genoux et me fait lever. Il nous suce à son tour, et on se roule des pelles avec son copain. Puis c’est au tour du troisième de s’occuper de nos manches tandis qu’on se bouffe la poire. On renouvelle plusieurs fois cette petite mise en forme et on va sur le lit.On est allongé en triangle, pour un 69 à trois, avec la ferme intention de se faire jouir rapidement une première fois. On se turlutte voracement, on s’attend, et on décharge les uns dans les autres. On bouffe tout et on continue à sucer pour maintenir nos bites bien raides.Celui qui me suce abandonne ma queue pour s’intéresser à mon cul. Il écarte mes fesse et je sens avec délice sa langue explorer ma raie, s’attarder sur ma rondelle. Je relève la tête pour regarder celui que je suce, et je le vois lui aussi brouter le fion de son copain. Du coup je m’y mets moi aussi. Il a un cul magnifique ce salaud, bien en chair, musclé, poilu, et je me vautre la gueule dans sa fente. On se lèche, on se fouille, on se prépare à recevoir.On va maintenant s’enculer dans toutes les positions, tour à tour actif et passif, et chacun pourra proposer son plan. Mon préféré, et que je leur suggère, est de se faire un 69 à deux, sur le côté, tandis que le troisième nous enfile, nous insulte au féminin, balance des obscénités. C’est dans cette position que je me fais saillir et injurier:— Tu es une bonne pute toi, une grosse cochonne. Tu aimes la queue, vicieuse, les grosses queues de blacks. Pompe salope, pompe bien mon ami pendant que je t’encule. Oui, prend la toute, cette putain de suceuse que tu es, tu as une gorge aussi profonde que ton cul. Tu la sens ma bite qui te ramone. Je vais te casser le cul, ton cul de chienne.................................On inverse les rôles, on se fait prendre en 69 par chacun des deux autres, on fait toutes les combinaisons possibles. Puis on se fait d’autres plans, à quatre pattes, sur le dos, sur le ventre, debout, et enfin on se baiser par les deux autres, un par la bouche l’autre par le cul. On est chauds bouillants, on va jouir, et on se termine dans la bouche, chacun sa dose.
Ca fait près de deux heures que l’on baise, et on s’offre une pause. On est allongé sur le lit, moi au milieu d’eux, et je caresse distraitement leur belles saucisses fatiguées. Je m’émerveille devant leurs engins que je tiens en main, leur fais part de mon regret de ne pas avoir la même. Plus jeune j’arrivais à me sucer, mais je ne peux plus. J’aimerais avoir leurs bites pour le faire encore. Ils me confirment qu’ils arrivent effectivement à se pomper, et vont me faire une démonstration, à ma demande.L’un deux se glisse au milieu du lit, sur le dos, et relève ses jambes pour poser ses pieds loin derrière sa tête: sa longue queue pendante tombe dans sa bouche ouverte. Il se suce, se lèche le gland, et je le regarde avec envie. Son copain me demande si je me suis déjà mis la bite dans le cul, et je réponds que non, que ça m’est impossible. Il me dit alors de bien regarder.Il se colle contre son pote, son ventre contre son dos, et il écarte ses fesses pour le bouffer comme un gros porc affamé. Il le dévore, le doigte, le fiste. Sa main disparait entièrement dans son cul, et lorsqu’il la ressort il plonge sa langue dans cet anus béant. Il lui a bien dilaté l’œillet, et il s’empare se sa queue. Il la relève, la ramène au dessus du trou, enfonce le gland et le pousse au maximum avec ses doigts qu’il enfonce aussi. Il caresse la queue de son pote à l’intérieur de son cul, la ressort pour la sucer, la remet, la ressort pour la laisser tomber dans la bouche de son propriétaire, lui bouffe et lui fouille le cul, et recommence.Il laisse maintenant son copain s’amuser tout seul, et je peux le voir faire aller son gland de sa bouche dans son cul, de son cul dans sa bouche.L’autre black s’allonge comme son copain, se suce la queue, et m’invite à m’occuper de son cul, comme il m’a vu faire, à le brouter, le fouiller, lui mettre sa queue. J’hésite à le fister de peur de lui faire mal, mais il insiste disant qu’il a l’habitude. Je prends un pied inouï à enfouir son bout tout mou dans son anus, puis à le déguster avec gourmandise.Ils s’amusent maintenant seuls, et je les mâte en me branlant quand ils se sucent, en me fouillant le cul quand ils se la mettent entre les fesses. La position est fatigante, et ils stoppent sans avoir rebandé. Ils me demandent si j’ai déjà vu deux mecs s’enculer en même temps, l’un l’autre. Je leur dis que c’est impossible, et ils vont me prouver le contraire.
Un des deux s’allonge sur le côté, les cuisses puis les jambes repliées à 90°, comme assis, mais couché. L’autre se met comme lui, dans son prolongement, tourné de l’autre côté. Ils sont collés l’un à l’autre, cul contre cul, ou plus exactement cul contre cuisses. Ils glissent une main entre leurs cuisses pour accéder à l’objet de leur désir, le trou de l’autre, et je commence à voir la faisabilité de la chose.Je voudrais les voir faire tous les deux en même temps, mais je me concentre sur un seul pour mieux apprécier, sachant que l’autre en fera autant. Ils allonge le bras et je vois sa main s’enfouir dans l’anus accueillant de son partenaire. Il le fiste sans ménagement, s’enfonce jusqu’au poignet, se retire le poing fermé et replonge aussitôt. Il s’empare maintenant de son sexe, toujours mou, toujours long, et il le pousse dans ce fourreau à bites qui n’attend que ça. Sa longue bite lui permet d’en introduire un bon morceau, mais comme si ça ne suffisait pas il glisse à nouveau ses doigts, et se caresse la hampe et le gland à l’intérieur du fion de l’autre. Il grogne de plaisir, celui de faire ça à son pote, mais surtout celui que lui donne son pote en faisant pareil. J’ai les yeux écarquillés, je salive, je m’astique le manche, je bande à mort. Il retire sa main et me propose de participer. Je glisse mes doigts, le caresse, ressort sa queue, la suce, fiste l’autre, remet la bite en place, bien au chaud. Je joue un petit moment avec lui, puis je vais m’occuper de son cul et de la queue de l’autre. Ce petit jeu m’excite au plus haut point. Je trique comme un âne, mais eux aussi commencent à bander dur. On a de plus en de plus de mal à sortir et remettre leur trique dans le cul de l’autre, jusqu’au moment où il est impossible de la retirer tellement ils bandent. Ils sont emboités l’un dans l’autre, bloqués l’un dans l’autre, et ne pourront se séparer qu’après avoir joui et débandé, comme des chiens qui se montent et restent coincés. Ils bougent leur bassin, gigotent en parfaite harmonie pour mieux coulisser dans leur intimité. Ils gémissent, râlent, grognent, et me supplient pour leur offrir ma bite à sucer. Je ne leur refuse pas ce plaisir supplémentaire et m’enfonce dans leur gorge à tour de rôle.Ils s’attendent pour exploser, et éjaculent à quelques secondes d’intervalle. Leur chibre se ramollit, et on va pouvoir les retirer. Ils ont l’habitude de cet exercice, et terminent par un 69 où chacun bouffe son sperme. Mais pour cette fois ils me laissent faire. Je retire une queue, je la suce, la réintroduit lorsque je vois le foutre s’écouler, la retire encore toute nappée de crème appétissante, la suce à nouveau, et recommence encore et encore. Je fais ça avec l’un et l’autre, jusqu’à tout avaler. Je me tiens une trique béton et ils s’agenouillent tous les deux pour me sucer, l’un le gland, l’autre les couilles. Je ne résiste pas longtemps et je vais décharger moi aussi. Je me branle au ras de leurs visages et je leur gicle à la gueule, les macule de ma sauce épaisse et généreuse. Un des deux m’aspire le bout pour finir de me dégorger le poireau, puis ils se lèchent, se bouffent la poire, se roulent des telles au sperme pour se nettoyer. On est tous épuisés, et on se repose un peu en parlant des jours à venir. On se propose déjà de remettre ça dès le lendemain, et d’y rajouter un petit exercice: une double sodomie, non pas comme celle qu’ils viennent de faire, mais deux bites dans le même orifice. Je refuse en ce qui me concerne et ils ne me forcent pas. Eux par contre sont demandeurs et vont se faire prendre par les deux autres. Ils me parlent d’un ami à eux, black lui aussi, avec qui ils se font d’énormes doubles pénétrations. Je dois revenir à l’hôtel durant de nombreuses semaines, et on envisage une rencontre à quatre.Ce n’est pas charitable, mais j’espère que mon collègue va mettre du temps à se remettre, que je le remplace le plus longtemps possible.
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