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pas un simple dépucelage

Chapitre 1

Travesti / Trans
bonjour, après vous avoir raconté mon fantasme sous le pseudo de Eva06110 !! j’ai perdus mon mdp. Me voilà pour vous raconter ma première fois et oui !!. depuis plusieurs années je vis ma vie de travestie en cachette, jamais de rencontre juste des plans cam.Changement de travail moins de possibilités d’assouvir mes pulsions. Mais voilà, cette année depuis le début de cette semaine un créneau c’est ouvert. dès le lundi je suis allée acheter ma crème épilatoire,faux cils, bas résilles...les miens étaient fichus. J’ai refais un plan cam, ça ma vite énervée.le lendemain, par amusement, j’ai regardé des tutos de maquillage sur un site bien connu par des jeunes femmes très plaisantes...c’est bon j’ai compris, je reproduis les gestes et que ne fut pas ma surprise en découvrant mon visage changer radicalement, méconnaissable. je m’extasiais de me voir, une sensation magnifique m’envahissait » tu est belle ma chérie ». l’idée alors de sortir prit doucement son chemin. je revêtais alors ma petite robe de soirée, mes bas, mes escarpins et bien sûr mon string, après avoir inséré mon plug. Il fallait passer la porte, ne pas rencontrer de voisin. j’attendis que la nuit tombe, pris mon courage à deux mains et passais la porte. Mes talons claquaient sur le sol, mon coeur battait la chamade. j’arrivais à ma voiture, m’engouffrais dedans et démarrais. Ca y’est je roule, les lumières de la ville me rendaient plus jolie encore je me sentais femme, pute!
je me dirigeais alors vers une pharmacie afin de prendre des préservatifs, car j’avais la ferme intention de me faire dépuceler par une vraie bite pas une en plastique. je me garais devant, sortie du véhicule et me dirigeais vers le distributeur. c’est bon !! la rue était déserte. je me dirigeais ensuite vers un lieu bien connue des fréjusiens pour des rencontres sans lendemain. Arrivée sur place, je garais ma voiture et m’enfonçais dans le chemin bordé de roseaux. Un homme un peu bedonnant était là au coin. je continuais sur le chemin, toujours en talons, bonjours les chevilles !! je m’arrêtais au bout de quelque mètres. J’avais l’impression d’être une pute attendant le client. le petit vent de la mer passait sous ma robe. Au bout d’un moment, un homme d’environ 35 ans, il se plaçait derrière moi, me malaxait la fesse avec douceur mais aussi avec un certaine fermeté. ni une ni deux je mis mon cul en arrière et écartais les jambes, il passait sa main entre et m’agrippa les bourses, remonta jusqu’à mon trou qu’il titilla. je commençais à pousser des petits gémissements et ma main se dirigeâtvers sa bosse. Elle était de bonne taille. il déboutonnât son pantalon et me demandât de le sucer. A c’est mots je le fit pas attendre je plongeais sur sa bite comme une enragée, l’avalant dans son intégralité, même à me faire vomir quand il m’appuyait sur ma tête! Quelle délice je le pompais comme une cochonne, il appréciait. il me demandât si il pouvait éjaculer dans ma bouche, je lui fis un signe de la tête tout en continuant mon va et vient buccale. Au bout de quelques secondes, un jet chaud et amère envahissait ma gorge, ne me laissant plus que le choix d’avaler. il me relevât et m’embrassât en me disant merci !, mais moi j’en voulais plus !!! et bien non pas pour cette fois. Contente mais dépitée je regagnais ma voiture en me disant que la prochaine fois serait la bonne.
Le lendemain soir, même séance de maquillage, plus d’expérience donc, j’affinais les traits «  superbe » !! aller Go. je m’en viche des voisins. je descends et en route ma belle. Arrivée sur place je remarque une moto qui se gare à proximité. je m’engouffre dans le chemin. Au bout de quelques mètres un pas derrière moi, une main sur ma fesse.« enfonce toi dans le chemin ne reste pas vers l’entrée chérie »«  merci »Je m’avance plus profondément dans le chemin, je perds de vu mon cavalier et toune à droite. je sens alors une main sur ma croupe mais pas la même voie.« bonsoir ma belle »« Bonsoir »« ça te dis ? « « on est là pour ça.. » à peine ai je fini ma phrase que mon cavalier sort su fourré. Je me retrouve avec deux gars en train de me peloter.«  deux en même temps »«  Et pourquoi pas ? » me fit me motard tout en sortant sa bite de son fourreau, suivit du second.je me retrouvais donc accroupies devant deux bites . je commençais donc a sucer mon motard, sa bite était douce et longue et je la voyait bien dans ma petite chatte de travelo. le second était plus modeste mais bonne aussi. voyant que je préférais la première, il se plaçât derrière et moi et introduisit un doigt dans mon orifice qu’il agitât sans ménagement.des petits cris sortaient de ma bouche tout en suçants mon cavalier. N’y tenant plus je sortie les préservatifs. celui de derrière se chargeât d’ouvrir le paquet. Mon motard s’allongeât, je continuais à lui pomper le dard, sa main appuyait sur ma tête pour l’enfoncer encore plus profond dans ma gorges. A genoux le cul en l’air, je sentis un gland taper sur mon orifice, il le plaçât devant l’entrée er poussât de toute cette force m’arrachant un cri au passage. Il s’agitait vigoureusement, ses couilles tapaient sur mes fesses, je haletais sous ses coups de buttoir, tout en suçants. ça y’est j’en ai une vraie dans mon cul, elle me défonce, mais je rêvais de celle que j’avait dans la bouche. Des claques sur mes fesses j’adore!! Mon colocataire du cul ne tardât pas jouir, il se retirât. j’arrêtais de pomper et levais les yeux vers le second. il se levât et se plaça; il fit glisser son membre du haut de ma raie vers mon petit trou et y plongea avec facilité. qu’elle délice d’être prise comme comme un chienne. il me limait le fion, ses couilles aussi tapaient. Je sentais ses mains fermes me tenants les hanches, je vacillais. au bout d’un moment, il plongea plus loin et plus fort, je sentais ses contractions, je serais mon anus pour bien le sentir et il éjaculât. Son emprise se relâchât et se retirât tout doucement. je me relevais péniblement les jambes tremblantes mais heureuse. ce n’était pas un simple dépucelage, mais un double !! Gentleman, il attendit que je me rende présentable et m’accompagnât jusqu’a la voiture. il me roulât une pelle en me disant bonsoir.
Je suis rentrée, le sourire au lèvres toute heureuse, je couchais avec ma petite nuisette comme toutes les femmes et m’endormie des souvenirs pleins la tête.
Cette histoire est véridique, bises à vous et portez vous bien.
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