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Pascale, de femme fidèle à dévergondée.

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Assise à l’arrière de ma voiture Pascale est cul nu. Jambes écartées, je lui doigte la chatte avec deux doigts. elle mouille les yeux fermés dégustant la caresse.Cela fait deux mois que je n’ai pas eu accès à son entrejambe soyeux et épilé.Après l’épisode du trio à l’hotel, elle a pris un peu peur. Son mari de son côté a rompu avec sa maitresse et revenu penaud demander pardon et jurer fidélité.S’estimant bien vengée, Pascale a cédé a ses demandes et lui a pardonné sans difficulté. Notre relation est devenue ambigüe: elle n’a pas rompu, mais se dérobe et se cache de moi. Bizarre.De mon côté, elle me manque et je le lui fait savoir par une cour assidue, des caresses dans les couloirs et des messages chauds. Elle aime ça, mais me fait languir, et fuit mes avances.Un jour je l’invite a déjeuner dans un restau sympa en campagne.Le repas se passe bien mais elle reste insensible a mes demandes et si elle laisse mes mains saisir les siennes ou caresser ses cuisses en souriant, elle n’est plus l’amante torride qui réclamait l’amour.A la fin je lui demande directement: ’’Pourquoi as-tu changé? Pourquoi ne fait-on plus l’amour? Tu me manques tant!’’.Elle commence a me parler de son mari, ses enfants. Je la coupe: ’’Viens parler dans ma voiture, ici il y trop de monde.’’Nous nous retrouvons a l’avant, elle gênée, cherche a me faire comprendre qu’après un moment difficile, son couple, sa famille reprennent leur droits. Je la questionne: ’’Ton mari, tu refais l’amour avec lui?— ... Oui— Et c’est bien?— oh ... bien sûr ... oui— Aussi bien qu’avec moi? — C’est ... différent.— Différent?— Oui différent, il est très tendre ces jours-ci. Ca me fait du bien après son infidélité. Et puis tu sais, je suis la femme d’un seul homme en fait ...— Ah bon ... et Pascal?— Ah tu es cruel! C’était un moment de folie, mais dans mon coeur je n’aime qu’un seul homme a la fois.— Mais sois sincère: as-tu autant de jouissance dans les bras de ton mari? T’envoie-t-il au 7e ciel comme moi?’’Je lui ai saisi les deux mains et la regarde dans les yeux de très près. Elle hésite, balbutie:’’Il n’y a pas que ça dans la vie!— Mais dans la vie il y a cela aussi. Ca ne te manque pas: ma bouche sur ta chatte? Il ne te sodomise pas, et ma bite dans ton cul? Quant tu criais de bonheur ... Nos après-midi interminables?— Oh mon Dieu ...’’ répond-elle, partagée, indécise, je sens qu’elle chavire et je l’embrasse, pressant nos mains sur sa poitrine. elle répond à mon baiser timidement puis avec ferveur sa langue cherchant la mienne. Je bande et elle frémit quand je pose sa main sur mon bas ventre durci. Elle lâche un : ’’Après tout...’’ qui est une reddition. Je caresse ses seins, envoie une main entre ses jambes, mais nous sommes mal placés et je lui propose de passer à l’arrière, elle accepte sans mot dire.
Une fois la, je glisse mes deux mains sous sa robe et ôte autoritairement son tanga blanc bordé de dentelle fine. Elle regarde le plafond en silence, se mordant la lèvre inférieure. Il fait chaud, la vitre entrouverte peine a laisser assez d’air frais pour nous rafraichir.J’adore ses longues jambes musclées, interminables, les embrasser, les lécher puis remonter jusqu’en haut, nicher mon nez dans le creux de ses cuisses pour enfin humer sa chatte embaumée ... le bonheur complet. Elle a écarté sa jambe droite, genou appuyé sur le dossier du siège avant, bien ouverte, robe relevée sur le ventre nu. Adossée a la portière, elle me sourit, tandis que mes lèvres courent sur ses cuisses. Je croise ses yeux : ils sont dans le vague, paupières à demi baissées, bouche entrouverte, elle se laisse faire, savourant son plaisir. Elle a cédé.Je lèche, je suce, elle respire plus fort quand je passe sur le bouton érigé. Je pers mon temps à reconnaitre ses replis, aspirant, passant la langue soufflant sur et dans la vulve. Au bout d’un moment, elle vient, donnant son jus dans un grand soupir et se rejette en arrière, puis lentement se relâche. Je prends alors ses chevilles et les remonte très haut, ses genoux touchant ses épaules. Son anus humidifié par la mouille de sa chatte et ma salive est offert a mes regards. Je l’embouche et l’explore de la langue, tentant d’y pénétrer de la pointe. Elle feulle dans un long souffle: ’’ Hoooooo ... Oooouuuiiii ... Haaaa’’! Yeux fermés elle se mord le poignet, pour étouffer son cri. Elle a glissé sur le siège, sa tête plus basse que les fesses maintenant, elle laisse échapper des onomatopées désordonnées. C’est la que je m’aperçois que ses cris ont attiré l’attention du conducteur du véhicule voisin. Alors que je continue mon annilingus, je peux voir qu’il nous contemple avec intérêt par la vitre. Son sourire, démontre son intérêt narquois. Je lui fais un clin d’oeil et continue mon ouvrage avec ardeur. Pascale se pâme en soupirs et cris inarticulés.Puis soudain elle demande: ’’Prends-moi, oh prends-moi!— Ici, la?— Oh oui, Viens, viens ...— Comment ca?— Dans mon cul, je te veux dans mon cul! Ca m’a trop manqué! Viens encule-moi!’’Placée comme elle est, elle ne peut voir notre voyeur qui se réjouit de l’entendre et encouragé par mes clins d’yeux s’est approché a frôler le portière, souriant a pleines dents.Je m’amuse: ’’ mais Chérie, on pourrait nous apercevoir ...— Je m’en fous, viens viens ... vite.— On n’a pas de capote ...— Je m’en fous, encule-moi ... vite.’’Le voyeur est hilare, les yeux écarquillés, il ne quitte pas le bassin de Pascale du regard.J’enjoins a Pascale; ’’ S’il te plait, montre moi tes seins!’’ Tandis qu’elle se dépoitraille avec frénésie, le voyeur me montre son pouce dressé. Il peut la voir ôter son soutien gorge et le jeter à l’avant sans ménagement. Je lui dis: ’’Suce-moi, pour que ça glisse’’ et je passe au dessus d’elle pour chevaucher son ventre et apporter ma bite a ses lèvres. Je tiens sa tête contre mon ventre pour l,empêcher de voir notre invité. Elle s’active un minute puis s’écarte et me supplie: ’’Viens ... maintenant, viens, encule-moi! vite!’’Je m’exécute, enfilant ma verge dans son anus. Elle rejetée en arrière yeux fermés poussant un grand souffle hors de sa bouche ouverte en me fixant, yeux hagards. tandis que je progresse lentement comme elle aime, je lui sussure: ’’Et si on nous surprenait?— Je m’en fous, encule-moi salaud, que c’est bon que c’est bon!— Tu aimes?— J’adore, j’adore!— Ca t’a manqué?— Oh oui, oh que oui!— Comment?— J’y pensais tout le temps ...— Tout le temps? Excitée?— Tout le temps excitée! Chez moi, en ville partout! Je voyais tous ces hommes et je voulais ... ça!— Et ton mari?— Il me fait pas ... ça !’’Je lui fais maintenant des aller et retours en douceur. Elle gémit sourdement son approbation: ’’Oui, oui, oooouii , oh oui oui oui!— Tu pensais a ma bite? — Oui, oui, oooouii , je la ... voulais, là ... oh oui oui oui! viens viens met la ... profond viens!— Tu aimes la sentir passer ... dans ton cul?— Oh que oui, oui, oooouii , oh oui, je pourrais faire ça tout le temps ...— Tout le temps? Mais je serais épuisé!— Il m’en faudrait d’autres ... alors ... ’’ Hoquète-t-elle. Par la portière je vois notre spectateur éberlué et ravi.’’D’autres bites?— D’autre bites, oui!’’Je vais maintenant fort et vite lui ramonant la cheminée avec la vigueur d’un piston de moteur diesel.’’D’autres bites, a sucer?— Oui, oui, oui ...— Et aussi dans ton cul? A la suite l’une de l’autre? Et ton mari alors que dirait-il?— Oh oui ... oui ... salaud ...salaud! — ...— Oh c’est bon! Boooonn!— Maintenant? De suite? Des bites d’inconnus?— Oh oui ... oui ... salaud ... dans mon cul de suite ... les bites ... d’inconnus ...— Tu les veux la tout de suite?— Oh oui ... oui ... astique salaud ... dans mon cul de suite — Des bites d’inconnus? Pour de vrai? Dis-le que tu le veux qu’il t’enculent!— Oui ... oui ... oui pour de vrai je veux je veux je veux !— Tu veux quoi?— Oh oh qu’ils m’enculent ... tous ... tous ... ’’Je lâche une série de giclées dans son rectum qui se contracte autour de ma queue.’’Ahh aaah aaaaAAAHHHHH! ’’ Jouit-elle en perdant la tête complètement. Sous moi, elle reprend ses esprit lentement: ’’oh que c’était bon!-Tu as aimé alors?— Adoré, encore, encore, sourit-elle,— Un peu de patience, je suis vidé!— Au diable la patience s’amuse-t-elle J’en veux encore!— Il me faudra de l’aide ...— Eh bien appelle à l’aide alors!— Vraiment?— Vraiment!— Pour de vrai? Tu veux d’autres bites dans ton cul?— Si je te le dis!’’On ne reconnait plus du tout la femme insoupçonnable, la mère de famille fidèle et attentionnée qu’elle prétendait être midi, une heure auparavant à peine.Je jette un oeil par la fenêtre et vois que notre complice discret a sorti un gourdin de bon calibre et se masturbe allègrement, n’en croyant pas ses oreilles.Je me jette a l’eau et affirme à Pascale: ’’ Je vois une queue énorme et bien bandée par la fenêtre!— Si seulement!— Et qui veut te satisfaire!— Il faudrait ça, car tu est tout mou maintenant, dit-elle d’un air dégoûté.— Eh bien, tire la chevillère et la bobinette verras!’’Incrédule, rigolarde, ma bite ramollie toujours dans son cul, ses genoux aux épaules, pieds en l’air des deux cotés de sa tête, elle lance une main et actionne la poignée de la porte. Et là, tendue comme un étendard, à trente centimètres, le bâton de berger la fixe de son oeil unique.’’Ca par exemple, sursaute-t-elle, les yeux exhorbités. C’est une embuscade?— Non madame c’est un cadeau du Père Noël!’’ Ose notre comparse. Elle glousse: ’’ Mais ce n’est pas Noël! — Pour une heure seulement, en votre faveur ... et pour votre plaisir.— C’est vrai qu’elle est belle, avoue Pascale, le rose au joues, tandis que je quitte ses reins.’’Il fera le Père Noël, je ferais le lutin des neiges et ton mari mari aura les cornes des rennes’’, renchéris-je.Elle éclate de rire. ses regards allant de la queue au visage de l’impétrant. Elle semble admettre la candidature, ou en tout cas ne disant mot consent.’’J’ai apporté des éclairs ... au chocolat ...’’ Insiste le gaillard qui a maintenant approché sa verge de la bouche la Pascale. Celle-ci accoudée pendant que je me relève, entrouvre les lèvres dans un sourire prometteur. Inéluctablement la convergence se transforme en conjonction, et le gland somptueux rencontre les lèvres gonflées de ma maitresse ravie. Naturellement l’amarrage oncteux s’engrenne et se met en mouvement. Je contemple Pascale qui suce le jonc de l’inconnu, ses pattes toujours obcénement écartées et humides de jus mélés et suspects. Cela dure un peu, puis il lui demande: ’’ Met-toi à genoux, s’il te plait!’’Comme elle me lance un regard hésitant, il rassure: ’’J’ai une capote’’. En effet dans sa main, sortie de nulle part, une capote recouvre bien vite le saucisson magique. Pascale s’est retournée et me fixe dans les yeux. Il approche son bassin et annonce tranquillement: ’’Je vais t’enculer , Comme tu veux ... Salope!’’D’un seul mouvement il pénètre son orifice mouillé et abutte au fond toute la longueur de son braquemard. Puis, enchaine par de grands mouvements de reins, cherchant son seul plaisir sans ménagement et sans souci de celui de Pascale. Toutes les deux ou trois fois il lui claque fortement les fesses. ’’Ca te fait quoi de te faire enculer dans une auto par un inconnu, hein ma Salope?’’Comme elle ne dit rien, il récidive: ’’ Ca te fait quoi Salope? Réponds!— J’aime ça, J’aime ça!— Te faire enfiler par deux mecs à la suite c’est ça que tu aimes?— Oui oui ouiii — Les Belles Bourgeoises sont toujours les plus salopes! reconnais-le! — Oui oui ouiii — et toi tu es la plus belle des Salopes, hein?— oui ... la ... laaa ... plus ... belle des ... ss ... Sale ... Salooopes’’ Avoue Pascale dans un cri de joie qui porte au bout du parking et dure une bonne minute.Son amant continue de la baiser sans faiblir et tandis qu’elle gémit en continu sur un mode suraigu, finit par se crisper et lacher sa semence dans le condom.
Il s’est rhabillé, Pascale se relève en titubant, cherchant son équilibre. elle est debout sur le parking, les fesses à moitié à l’air, seins hors de la robe, à la vue de tous. Comme elle tire sur sa robe et ferme son corsage, ll lui dit: ’’ Ma poule, va nous chercher à boire. De la bière, veux-tu?Elle hébétée: ’’ Euh, oui je crois ...— Excellent, va vite’’ dit-il en lui tendant un billet.— Il faut que je me nettoie ...— Pas la peine vas-y comme ça ordonne-t-il, et balance ton cul qu’on voit que tu viens de te faire mettre ...— Mais ... mais ...— Que crains-tu? Tu crois que tu as été discrète? Ils ont tout entendu ma salope!’’Pascale est écarlate même ses épaules sont marbrées de rouge. C’est qu’elle est connue dans cet établissement ou nous mangeons une ou deux fois par mois entre professionnels. Il se radoucit et lui affirme; ’’ tu dois y aller fièrement, et rendre les autres mal baisées jalouses de toi: tu est la reine!’’Alors menton dressé, cul nu sous la robe, des trainées indécises attirant le regard sur ses cuisses, les seins pointés travers l’étoffe fine, Pascale s’en va puis revient un moment plus tard, les yeux brillants avec nos bières.’’C’était comment?— Hot, très hot!’’Nous buvons en silence, je ne l’ai jamais autant trouvé bandante.’’Au fait, moi c’est Jean-Charles, faut que j’y aille, à la revoyure.’’Et il nous laisse, elle le regard flou, moi la queue dure.
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