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Pascale, de femme fidèle à dévergondée.

Chapitre 7

Erotique
Pascale: Anniversaire bien soigné.A ce moment-là, je lève la tête et je vois l’avantageux Karl devant notre table, tout sourire il complimente Pascale : "Encore plus belle en pleine lumière!" Elle est ravie et c’est vrai qu’elle est belle: elle irradie la sensualité!"On danse?" ajoute-t-il. Elle est déjà debout dans un grand sourire silencieux.Ils s’enlacent et se mêlent aux couples. Je bois mon champagne seul à ma table. Tout le monde les suit, on me lance des regards narquois. Leur bonheur est évident leur danse collée-serrée si sensuelle si envolée. Et soudain, oui, c’est ça, ils sont envolés: je ne les vois plus. Après deux minutes je me lève vais aux toilettes: ils n’y sont pas, je me glisse dans le couloir rejoins les coulisses désertes maintenant. aucun bruit. Je longe les couloirs et j’y entends un murmure: le jeune homme brun tenant sa compagne de spectacle par la hanche, regarde dans une loge ouverte. Ils sont rhabillés aussi et quand ils me voient, avec un sourire, font un signe de tête indiquant l’intérieur. Je m’approche our jeter un oeil.Une loge avec tablette, miroir et maquillage, sur le côté à droite un petit divan permet le repos. Le couple est là enlacé. Pascale sur le dos, embrasse Karl avec passion, elle est nue, sauf ses jarettelles et ses bas noirs, lui est assis au bord du lit, elle est écartelée, cuisses ouvertes, pieds de chaque côté de Karl. De la main droite, il la fourage de tous ses doigts, elle geint et tord son bassin pour chercher la caresse. Lui: "Oh Putain, Oh putain! Putain!— Ah Ahh! Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii!— Saaalooooôope! Saaalooooôope! Saaalooooôope! — Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii!"Il redouble ses mouvements, elle râle continûment. exhorbitée elle jette un regard vers la porte, nous regarde sans nous voir. Gémit: "Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii! Oh prends-moi! Prends-moi!— Ok, je viens, tu vas aimer!"La fille glisse à mon oreille: "Elle va la sentir passer!", La garçon brun me fait un clin d’oeil ravi. Karl s’est allongé sur Pascale, il a pris ses deux chevilles, les écarte et les remonte, les genoux de ma belle sont à ses épaules. Je vois qu’il va la prendre sans capote! D’un mouvement précis du bassin il place son pénis à la chatte, elle, les yeux exhorbités, contemple son énorme engin de hardeur qui la pénètre pourtant sans difficulté, il se glisse en elle d’un mouvement appuyé. Ca rentre aisément mais elle crie: "Ahh c’est fooort! Aaah! Ah ah ah Ooooh!" Karl s’arrête quelques secondes puis lentement mais vigoureusement, entame un ramonage profond et régulier. Elle souffle très fort. Secoue la tête de droite à gauche. "Oh non , nooon! c’est Fooort! trop fooort oh ahh ha arrête!— Laisse-toi aller tu vas aimer!— J’aime, j’aime, mais tu me remplis, c’est fort, siii fooort!— Laisse-toi aller — Ouiiii Oh Oooh Oho! Que c’est gros"!Il prolonge un moment, Pascale s’y est fait: elle gémit mais de plaisir, l’encourage: "Viens, viens viens! Oh viens viens viens!" Il a lâché ses jambes et elle a plus de liberté. Son bassin est pris de secousses et viens battre à la rencontre de la bite de Karl. . Il l’embrasse goulûment, la mordant dans le cou , lui triturant et lui pinçant les seins, lui tirant des cris. Régulier comme un métronome, il abat l’ouvrage allant et venant dans son con. Elle a enroulé ses jambes autour de ses reins à lui. C’est long. A un moment, elle pousse un cri plus aigu, je réalise qu’il lui a mis un ou deux doigts au cul. Elle crie son plaisir au plafond. Cela porte loin sans doute. Mais nous sommes seul tous les cinq. il fait jouer son bras rapidement et encore une fois:"Oh Putain, Oh putain! Que t’es bonne! Je savais que tu serais boooonne!— Ah Ahh! Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii!— Saaalooooôope! Saaalooooôope! Saaalooooôope! Tu jouis du cul!— Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii!
— Faut que je t’encule! — Oh Oui! Oh oui! Oh Oui, oui!— Demande le-moi!— Oh oui! Oh Oui oui ouiii! fais çà!— Ca quoi?— Encule-moi! Encule-moi! oh ouiii! AAAH! "Avec fascination, je le vois se retirer de sa chatte. Sa bite parait encore plus énorme! On dirait un beau saucisson avec un capuchon violet. Il a repris les cheville de Pascale, relevées bien haut et sans l’aide des mains, s’appuie sur son anus découvert et pressse en avant. Ses doigts ont bien dilaté le passage: le gland se fait un chemin parmi les chairs si tendres, et soudain il est entré. Elle lance un long feulement de panthère, je vois sa peau hérissée, que je connais bien, quand on la sodomise. Elle est magnifique.Il est immobile, elle gémit, sanglotte, soupire, le pince, le griffe.Lui: " Ca va?— Oui ... c’est booon , je suis ... remplie ... Attend .. un peu ... attend!"Mais il reprend sa poussée. Elle: " Ho Aaah! Oho! AHa Ha ha ahaaaiiin! Oh!" Il est abuté tout au fond. sa large bite qui fait bien vingt cinq centimètres, tout est entré, elle halète vite, une vraie chienne!Un instant tout s’arrête, on n’entend que la respiration forte de Pascale, bouche ouverte. Et puis c’est elle qui donne de petits coups de reins, cherchant les sensations. "Oooooh Mon Dieu! moooon Diiiieu! Que c’est gros! Queueeeeuh c’est boooon! ooooh Mon Dieu, vas-y! oh vas-y ! oooh Encule moi! Vas-y ... Astique! Astique!"Karl ne se le fait pas redire, il se lance dans un labour percutant qui fait claquer son pubis sur les fesses de Pascale. Elle gémit sans arrêt, il la secoue en profondeur, vient encastrer son pubis contre le bassin de Pascale, et la remontant de toute sa force en tenant ses deux chevilles en l’air. Elle jouit et crie maintenant son plaisir; "Encore ! Encore! Encore"! Il va de plus en plus vite donnant des coups de bassin rapides, comme un chien baisant sa chienne. Il dure encore plusieurs minutes ainsi et se joint aux cris de Pascale: "Oh Putain, Oh putain!— Ah Ahh! Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii!— Saaalooooôope! Saaalooooôope! Ma Saaalooooôope! — Oh Ahh! Oh oui! Oh Oui oui ouiii! Encule-moi! — Oh Putain, Oh putain! C’est pas tous les jours que tu te fais baiser comme ça!— Oooh Noon ! — Ton mari, il fait ça?— Oooh nooon! Pas luii! Il ... il ... fait ... jamais ... çà! Encore ! Encore! Encore"! Pour finir par de longs et violents coups de reins où il décule entièrement pour replonger à fond d’un seul coup. La première fois elle est déçue de sa sortie et grimace, pis quand il réintroduit toute sa longueur d’un coup, elle hurle quand le gland la perfore de nouveau. Après plusieurs fois, il hurle lui aussi. Il finit par éjaculer plusieurs secousses et se vider en elle. Elle clame: "OOOOH Oui Oooh Oui! Encore ! Encore! Encore"! Le garçon et la fille applaudissent. Je reste coi. Karl lâche enfin les chevilles de sa conquête. Les jambes retombent sans force des deux cotés.Ils ont fini, Karl est affalé sur elle, après une minute il prend appui sur ses coudes, et se retirelentement, son serpentin coulisse une dernière fois dans l’anneau de ma tendre. Il décule avec un bruit humide de succion, un floc, qui est suivi par un chapelet de pets que Pascale ne peut retenir, déclenchant l’hilarité des deux autres. Sa bite bien longue même amollie pend au dessus du ventre de Pascale, il se redresse vient au côté d’elle et la présente à son visage: "Nettoie çà"! Elle, aftiguée ne dit mot et embouche le membre gluant encore gros et long, et s’applique à le lécher, le nettoyer entièrement. Je la trouve bien souriante et détendue. Sur ses seins, son ventre, son cou, les marques des ardeurs de Karl sont nombreuses, des pinçons bien rouges qui donneront des bleus longs à s’effacer. Que dira son mari?Sans que j’y fasse attention, le garçon et la fille se sont approchés, tandis qu’elle s’occupe de la bite de Karl, ils ont entrepris de la caresser sur tout le corps, à 4 mains. Le garçon baise son corps, son cou, son visage, la fille agenouillée sur le divan enfouit sa bouche entre les cuisses et lui fait une minette. Maintenant Karl s’est éloigné de bout au pied du divan et, le jeune assis à coté de Pascale, applique la main de celle-ci sur sa verge raidie. Bien tendue elle est longue et plus fine que celle de Karl. Elle réagit aux caresses, sourit au jeune homme: "Comment t’appelles-tu?— Max et elle c’est Karine!— Oooh c’est Cooool!" Il approche son gland de ses lèvres et elle le suce doucement à son tour. La fille la lèche, la doigte, la fait soupirer, enfin se spasmer. Elle s’est bien réveillée et soudain, au garçon: " Viens, enfile-moi toi aussi! Je la veux, je veux ta queue en moi! Viens viens!" Il s’éxecute, lui aussi la pénètre et peu aprés comme elle donne des coups de reins, la chevauche bellement, la fait couiner sous lui. Il est ardent et ses déhanchements sont puissants, il la martèle bientôt elle soupire en continue avec des petits cris quand il abute au fond. Lui aussi est endurant, ils transpirent et cela continue, Pascale geint et pleure de joie. Nous les contemplons, Karl et moi, Karine lui tient la main et titille son sein gauche. Max la fait se retourner, elle s’agenouille en me regardant les yeux mouillés, semble voir que je suis là pour la première fois. Il la pénètre en levrette, part dans quelques aller-retours, puis remonte sur l’anus et la pénètre doucement, s’introduisant dans son rectum. Son gland est passé, la bouche de Pascale forme un "O" et elle souffle fort pendant qu’il se glisse dans son fondement. "Tu aimes?— Ouiii! C’est booon!— J’aime ton cul, il est serré, c’est bon, Tu ... Tu es bonne, Karl avait raison ... J’adore t’enculer.— Oh Oui Encule-moi! Baise-moi, Baise mon cul ... vas-y! vas-y! Oh j’adore!— Il aime toutes les queues ton cul, on dirait!— Oh ouiii! Les queues ... toutes ... les queues ... Toutes! Vas-y ... fort fort foooort"!Il la tient aux hanches et plaqué tout au fond, fait tourner son bassin dilatant l’orifice, parfois il introduit un doigt en le long de sa bite, elle sursaute et gémit. Sa voix rauque d’avoir tant crié: "Oooooh Mon Dieu! moooon Diiiieu! Que c’est booOm! C’est épais, c’est si gros! Tu me déchires! Queueeeeuh c’est boooon! Remet-le! Ooooh Mon Dieu, Encore, encore! Vas-y! oh vas-y ! oooh Encule moi! Vas-y ... Astique! Astique! J’adore, j’adore!" Infatigable, encouragé par ses clameurs, Max la besogne en force, dans les grandes longueurs, coulisse en elle avec un bruit de succion, claque son pubis sur ses fesses. Pour la seconde fois ce soir elle se fait ramoner la cheminée par un inconnu, et elle ne cesse de crier sa joie, en redemandant sans cesse. Je la trouve splendide et bande comme un cerf.Soudain c’est le paroxysme, il accélère son rythme toujours approfondi, sortant presque pour regagner le fond de son antre et visiblement largue une série de jets puissants qu’elle reçoit avec bonheur: "Remplis-moi! Ooh! C’est chaud, c’est chaud!, aahhh ! oooh moon cul!" Il donne encore quelques coups de reins qui la propulsent en avant contre l’oreiller, elle est à plat ventre couinant dans le coussin et lui se termine à grand coups puis restant planté, s’allonge sur elle épuisé.Hagarde, elle me regarde, en pleurs, dans un brouillard de larmes de joie.
Un long moment se passe dans le silence et elle reprend son souffle. Puis: " Viens, viens toi aussi mon Amour!" Je me dévêts, et m’approche nu, Max se retire avec ce bruit mouillé caractéristique, elle reste inerte pantelante. Je ne sais que faire je m’allonge à côté d’elle, contre sa peau et commence à lui embrasser le cou. Elle: "Encule-moi! Toi aussi! Encule-moi! vas-y! oooh"!Je l’enjambe et guidant ma queue, l’introduit dans son rectum détrempé des spermes des deux autres. "Vas-y! Baise-moi salaud! Mon chéri, mon salaud, c’est toi qui a fait ça! Je suis sale! Souillée! C’est ta faute! Tu l’as bien cherché! Salaud! Encule-moi, maintenant, Encule-moi"! Je n’ai aucun mal à y aller depuis toute la soirée que j’attend cela. Je vais et je viens entre ses reins. Elle gémit et se laisse faire, ça glisse comme ça veut, je fais mon job et laisse aller mon excitation en dix minutes. Elle se spasme silencieusement sous ma décharge. Je ne sais pas si elle a bien joui. Je ressors et m’éloigne un peu cherchant les toilettes pour pisser. Quand je reviens, elle est sur le dos: la Karine la chevauche en 69 lui léchant la chatte et se faisant lécher par Pascale.Les deux gars ont rebandé et se tiennent près du lit la queue à la main, prêts à recommencer. Ce n’est que le début de la nuit après tout!
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