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Le pasteur pervers

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Le Pasteur se fait maquereau
Pastor’s a Pimp
Coulybaca / Black Demon


Cette histoire se suffit en elle-même,
cependant elle est aussi la suite logique de
Violée et subjuguée en vacances
(Victim’s Violated Vacation)


Alors que Le Pasteur Richard Knowlton assis dans son bureau préparait son sermon pour le dimanche à venir, il jeta un oil au travers du chemin dans la cuisine où sa ravissante femme, Nell préparait le repas.
Elle paraissait si belle, si naïve, si pure si innocente, à sa vue Rich (comme il aimait qu’on l’appelle) se reporta quelques semaines plus tôt alors que Nell et son fils embarquaient avec ses parents sur le petit yacht.
Il était prévu que Richard prenne l’avion pour les rejoindre sur l’une de leurs escales dans les îles.


Leur faisant de grands signes il avait pris des photos de leur départ, le soir même assis devant son ordinateur Rich avait transféré les photos et les avaient imprimées.
Puis il regarda mieux le cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l’arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.
Sur le dernier cliché, au premier plan sa femme et son fils lui faisaient leurs adieux, mais, dans l’arrière plan, on voyait le matelot bite en main, révélant clairement ses intentions.


Dès qu’il les eut rejoint, Rich apprit que ses rêves les plus salaces et ses fantasmes les plus lubriques concernant sa ravissante femme s’étaient réalisés.
Alors que femme et enfant nageaient à proximité, ses parents faisant la sieste sur le pont supérieur, Rich avait fouillé le sac à main de Nell à la recherche de son journal intime, et y avait trouvé la terrifiante relation de l’asservissement auquel elle avait du se plier jour après jour.
Nell y avait consigné les moindres détails de son viol sur le pont supérieur dans l’obscurité de la nuit, puis les progrès de sa soumission aux désirs du pervers matelot.
La bite palpitant dans son short, Rich lut cette dégradante relation de l’épreuve subie par sa femme.
— "C’est ABOMINABLE : Il a fait ce qu’il voulait de mon corps ..... Il a juté dans mon ventre ...... Que vais-je faire ? .......Je ne peux pas prendre une douche vaginale ......Je ne dispose d’aucune poire ....." écrivait-elle relatant les détails de ce qu’elle avait subi., et plus loin :
— "Il me fit agenouiller entre ses cuisses, pressant son gland contre mes lèvres, me maintenant la tête en place doigts rivés dans ma chevelure...... Comme c’était humiliant .... Il me baisait en bouche ...... Mon Dieu c’était horrible ..... Comment des hommes peuvent-ils dégrader des femmes au point de leur imposer ces caresses lubriques ....."


Et cela reprenait de plus belle :
— "Et vers la fin ...... Il me tira la tête en arrière ...... Et commença à retirer sa bite de ma bouche ! ....Je pensais qu’il allait se retirer entièrement de ma bouche ..... Mais il arrêta laissant le gland entre mes lèvres .... Puis il gicla à gros bouillon dans ma bouche .... Sa semence était si grasse qu’elle ne pouvait suinter de ma bouche ...... Il n’y avait aucune voie de sortie ..... J’étouffais, je devais soi avaler le torrent poisseux, soi m’asphyxier ...... Son éjaculation était si forte ..... Si copieuse ....... Si ignoble ..... C’était à la fois ignoble et méprisable .......".


Ils avaient abordé pour visiter l’île, se promenant main dans la main ils s’étaient séparés, Nell se dirigeant vers le bazar local tandis qu’il visitait le vieux monastère.
Puis Richard rejoignit sa femme au bazar où elle faisait ses courses, la cherchant dans les diverses échoppes.


Il la retrouva vite, les chevelures blondes n’étaient pas si courantes dans cette contrée, d’autant plus qu’à part quelques individus de type caucasien, tous les autres avaient des cheveux noirs d’ébène.
Une tête blonde à quelques pas retint son attention, Richard s’approcha d’elle silencieusement, jetant un oil sur sa légère tenue estivale, qui la mettait pleinement en valeur.
Il remarqua alors qu’elle discutait avec quelqu’un au fond de la salle, mais sa vue était gênée par les clients qui allaient et venaient.
Puis le noir pointa son doigt sur des garages, et Richard vit sa femme le suivre docilement le colosse noir qui ouvrait le chemin. Ils disparurent tous deux derrière les garages.
Contournant discrètement le coin des bâtiments, il vit sa femme et le noir disparaître dans les fourrés, il se rua alors sur leurs pas pour ne pas la perdre de vue.
Il jetait des coups d’oil frénétiques, ayant perdu de vue sa femme et le noir, il progressait rapidement dans l’étroite allée taillée dans les broussailles.


Enfin il parvint à les rejoindre, elle était allongée sur le dos, cuisses grandes écartées, un musculeux noir avait enfoui son visage entre ses cuisses frémissantes de Nell, introduisant tout de go la pointe de sa langue entre ses babines juteuses.
— Elle plongea ses doigts dans sa chevelure crépue, il lui semblait qu’elle s’arquait sur les talons pour amplifier le contact de sa foufoune avec la langue de son amant.
— "Ouiiiii....Oh ouiiiiiii .... Bouffe moi la chatte Badai ......Bouffe .... moiiiiiiii .... Je t’en priiiieeeeeee ...." gémissait-elle sourdement.


Et tout en se tortillant convulsivement sur le sol, elle reprit :
— "Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !..........Ouiiiiiiii ..."
Richard vit soudain son corps s’amollir alors qu’un orgasme d’une extrême intensité lui fracassait l’esprit.
Badai lui releva alors les jambes les plaçant sur ses épaules, puis il s’enfonça lentement dans sa fente détrempée.


Richard vit avec surprise le corps de sa femme réagir immédiatement alors que Badai s’enfouissait profondément dans sa cramouille, elle agrippa son torse des mains et des chevilles.
Richard entendait le joyeux luron haleter tandis qu’il allait et venait dans le sexe marécageux de sa femme.
— "Oshlurk ....... shlurk ....... shlurk ...... shlurk !......". Ces sons émanaient de leur étroite union.


Ils baisaient comme des bêtes en rut, avec une énorme stupéfaction il entendit son innocente femme réclamer :
— "Baise moi .....Fourre moi ta grosse bite dans la chatte ....T’es un vrai mulet noir .....Bordel baise moi plus fort ......"


Il la baisa encore pendant vingt bonnes minutes, ils jouirent tous deux simultanément s’étreignant passionnément.
Puis le corps de sa femme s’amollit à nouveau Richard regarda fixement la gosse bite que Badai extirpait lentement de sa cramouille marécageuse.
Badai fouilla alors dans sa poche, et en sortit un sifflet et souffler dedans à plusieurs reprises pour fêter son triomphe.Des indigènes surgirent alors des fourrés, venant de toutes les directions, ils entourèrent Badai et sa conquête.
Mentalement Richard compta les indigènes qui avaient répondu à cet appel, ils étaient quatorze, ils déshabillèrent tous prestement.
Il n’entendit qu’un cri de douleur lorsqu’elle subit sa première sodomie.
— "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !...."


Il fut évident pour Richard que Nell se réjouissait d’être devenue une Pouffe Pour Bites Noires, lorsqu’il la vit satisfaire cinq hommes en même temps.
Elle s’était accroupie sur un homme qui la baisait en chatte, un second s’était glissé dans son cul, un troisième dans sa bouche et elle branlait allégrement les deux derniers.


Dix minutes plus tard, elle était rhabillée et elle repartait, Richard décida de regagner le grand bazar.
La voyant fraîche et pimpante, il la héla agitant la main. S’en approchant Richard remarqua :
— "J’ai fait une longue visite au pasteur de cette paroisse, chérie, on a longtemps discuté, échangeant nos impressions sur nos différentes communautés. ... Et toi qu’as tu fait ? ......"


S’exprimant calmement, posément, elle lui expliqua qu’elle s’était reposée, flânant au gré de sa rêverie.
Il se demandait comment sa jeune femme si innocente, si naïve pouvait agir si normalement après ce qu’il avait vu.


Deux semaines plus tard, ils avaient regagné leurs pentes depuis quelques jours lorsque le téléphone sonna chez les Knolton.
La coïncidence voulut que Richard se saisit du combiné dans son bureau alors que Nell décrochait dans la cuisine.
Il entendit Nell dire :
— "Bonjour ..."
Richard allait reposer le combiné lorsqu’il entendit une voix male inconnue, qui l’intrigua.
— "Madame Knolton ? ..."
— "Oui ... Je ..."
— "Mama Wanda m’a donné votre nom et votre numéro de téléphone ...... Si j’ai bien compris t’es une PPBN, une Pouffe Pour Bites Noires ... Est ce bien vrai ? ...."
— "Oui je ..."
— "Alors ma chérie quand et où veux tu te faire sauter ? ....."
— "Samedi soir ... Chez moi ....Mon mari assiste à une rencontre de bowling avec l’équipe de la paroisse et mon fils dort chez des amis ....."
Richard comprit qu’il devait trouver un remplaçant pour vendredi soir, puis il se prépara une cache d’où il pourrait assister aux exploits luxurieux de sa femme.


Depuis qu’elle avait reçu cet appel téléphonique, le cour de Nell battait la chamade alors qu’elle se demandait ce qui l’avait poussée à répondre oui aux questions de cet homme, invitant pratiquement ce noir à venir la rejoindre chez elle alors que Richard et son fils seraient absents.
Serrant les babines de sa fentine et ses cuisses, elle sentit sa bouche s’assécher alors qu’elle tremblait nerveusement.
— "Mon Dieu qu’ai je fait !....... Un noir .... Un parfait étranger !...... Il va venir vendredi soir ...... Pour me faire l’amour ... Ou plutôt pour me baiser avec sa grosse bite noire !....." frissonnait-elle éperdue.


Se mordant les lèvres au sang, elle cligna des yeux à la vue du grand lit conjugal sur recouvert d’un jeté de lit ivoire.
Elle avala sa salive en se représentant allongée sur le lit ... Nue, un musculeux noir dans la même tenue étendu sur elle l’embrochant de sa grosse mentule frémissante.
A cette évocation, elle serra encore plus ses cuisses l’une contre l’autre un flot de cyprine inondant sa foufoune venant poisser le fond de sa petite culotte.
Elle frémit en s’imaginant le grand noir baraqué se penchant sur elle pour l’embrocher la martelant de puissants coups de boutoirs, le fond de sa petite culotte fut soudain trempé.


Rich sourit en la voyant préparer une jolie robe rose qu’elle voulait porter ce soir sur une paire de collants blancs et des hauts talons.
— "C’est ce soir que tu as réunion avec la bande d’auxiliaires féminines ?........ Est-ce votre réunion habituelle ou une session extraordinaire ce soir pour dire du mal de vos voisines ?......" la taquina-t-il sachant très bien que cette réunion de travail était programmée de longue date sur l’agenda de sa femme.
— "O Rich ... Tu sais très bien qu’il s’agit juste d’une réunion de travail et que pas une des participantes ne se permettrait de commérer sur ses voisines !....". Il éclata de rire en entendant sa réponse indignée.
Sur ces mots elle se dirigea vers la commode où elle rangeait ses sous-vêtements les sortant avant de prendre sa douche, Rich lui donna un gentil bisou d’adieu et l’avertit :
— "Je rentrerai très tard ce soir ....... Ne m’attends pas pour te coucher !.... On doit boire une paire de bière à l’issue de notre réunion pour discuter entre hommes ... Il faut que je participa de temps à autre aux libations de mes ouailles pour ne pas les vexer !......"
Il lui signifiait ainsi discrètement qu’elle avait tout son temps pour se consacrer à son invité de ce soir.
Alors qu’elle entrait sous sa douche, Rich se ruait dans son garage pour sortir en trombe et garer sa voiture quelques blocs plus loin enfilant une chemise moins voyante en sortant de son véhicule.


Quelques minutes plus tard, ayant garé sa voiture à quelques blocs de sa maison, Rich se trouvait dans son jardin vérifiant que sa femme se trouvait toujours sous la douche.
Entendant l’eau couler, il put pénétrer discrètement chez lui et se glisser à son insu dans les toilettes de la chambre conjugale.
Une fois confortablement installé dans ce petit espace qu’il s’était préparé pour son usage personnel, il jeta un oil par les fentes de la porte et sourit largement en voyant qu’il avait une très bonne vue sur leur lit.


Lorsque Nell apparut dans la chambre et s’assit sur le lit, Rich l’observa attentivement tandis qu’elle enfilait précautionneusement ses collants.
— "Non chérie ne mets pas de collants !..... Ton invité sera bien plus captivé par la vue de tes longues jambes nues !....." aurait-il aimé crier à sa femme.
On aurait dit qu’elle venait de lire ses pensées, elle retira le sous-vêtement disgracieux et le jeta sur le lit.
Uniquement vêtue d’une croquignolette petite culotte et d’un soutien-gorge en dentelle elle enfila sa robe rose et les hauts talons qu’elle avait préparé avant le départ de Rich.


A 19 heures pétantes la sonnette tinta et Rich vit sa femme énervée, anxieuse, se ruer hors de la chambre.
En peine confusion, il attendait de voir qui venait d’arriver désolé de ne pas assister à ce qui se passait dans le salon puis il entendit des bribes de conversation entre sa femme et son client, il s’agissait d’un visiteur du genre masculin à ouïr sa profonde voix virile.
Il se refusait à quitter son abri de peur d’être découvert ce qui mettrait aux louches activités de sa femme, et plus spécialement aux ébats auxquels il se réjouissait déjà d’assister dans leur lit conjugal.


Un long quart d’heure plus tard, il entendit des bruits de pas résonner dans le vestibule, le couple se dirigeait vers la chambre, Rich sentit sa bite se mettre au garde à vous dans son caleçon.
Puis Nell apparut un verre de son vin favori dans une main alors qu’elle guidait son invité de l’autre.
— "Bordel, même avec les scènes auxquelles j’ai déjà assisté pendant les vacances, je n’aurai jamais pensé qu’elle puisse trahir ses voux conjugaux dans notre lit !......" pensait-il regardant avidement ce qui se passait.
C’est alors que Nell posa son verre sur la table de nuit et prit celui de son invité pour faire de même, il la vit alors rouler un patin passionné à son client.


— "Par l’enfer madame Knolton t’es drôlement chaude pour une femme de pasteur !...... Une sainte pute !...... Par Jésus Christ t’es une vraie salope !......" s’exclamait le grand noir que Nell avait introduit dans leur chambre conjugale.
Rich avala sa salive, incapable de contrôler sa respiration alors qu’il épiait ce qui se passait dans la chambre par les fentes de la porte des toilettes, son excitation monta encore en l’entendant rugie :
— "Bordel ma chérie ... C’est bien la première fois qu’une femme de pasteur me roule un patin !......"
Puis il vit le musculeux noir la pousser à s’agenouiller sur la moquette alors qu’il prenait place sur le sofa ôtant sa chemise, ils étaient à deux mètres de la porte des toilettes.
Rich se pencha en avant pour mieux voir ce qui se tramait sous ses yeux, sa ravissante femme tendait les mains vers la braguette de son invité.


Les yeux écarquillés comme des soucoupes, incapable de contrôler son souffle, il voyait sa ravissante femme bramer son invité de ses doigts finement manucurés.
Quelle contraste entre son apparente innocence, et ses actes, elle le branlait maintenant vigoureusement à quelques centimètres de son visage.
Lorsqu’elle pointa sa langue titillant avidement son méat le musculeux noir grogna de plaisir et la félicita :
— "Je n’aurais cru que ça puisse exister ..... Une ravissante femme de pasteur qui branle un homme comme une vraie pro !......"


Rich serra les mâchoires en voyant sa somptueuse femme se pencher sur le bas-ventre de son client pour emboucher le plus profondément possible sa bite démesurée, le noir lui saisit la nuque tout en mugissant.
— "Oh ouiiiiiiiiiiiiiii ....... Comme ça ma petite chérie ........ Suce moi bien ....... Prends là en entier dans ta bouche !...... Billy Ray va bientôt te donner une communion bien spéciale !..... Une dont tu n’as jamais profité à l’église !....."
Il vit alors Nell déplacer sa main de la taille de son amant vers les centre de son entrecuisse il redoublait de grognements de plaisir commentant :
— "C’est ça ma chérie ..... Continue comme ça ..... Tes mains sont si douces !....... Bordel triture mes couilles !...... J’adore ça !......"

Relevant et baissant la tête sur un rythme soutenu, la ravissante madame Nell Knolton lui taillait une pipe de toute première qualité.
Son amant qu’elle venait de rencontrer quelques 20 minutes plus tôt, pourrait en attester, il agrippait sa longue chevelure blonde pour profiter à son aise des caresses de sa bouche.
Son mari était fortement impressionné à la vue de l’enthousiasme qu’elle déployait pour satisfaire les appétits lubriques de son client, d’autant plus qu’elle n’avait jamais déployé de tels talents avec lui.


Billy Ray posa ses lunettes sur la table de chevet avant de se pencher sur elle, il tendit son ventre enfouissant la totalité de sa bite dans la gorge de Nell, Rich était sur le point d’exploser comme cet homme que suçait si avidement sa femme.
— "Ohhhhhhh ..... Ohhhhhhhhhhh ....... C’est le moment de communier madame Knolton ..... Oh ma chérie ..... Bouffe mon foutre ...... Avale tout !...... Oh Doux Jésus t’es vraiment la reine des suceuses ma chérie !..... Oh oui ..... Jamais tu ne communieras aussi bien avec du vin qu’avec le foutre de Billy Ray, aucune chance !......"


Effaré Rich vit sa ravissante femme continuer à sucer la bite de Billy Ray lui extirpant sa semence jusqu’à la moindre goutte, il finit par la tirer en arrière extirpant sa bite mollissante de ses lèvres gonflées.
Elle le regardait dans les yeux lorsqu’il se pencha sur elle lui roulant une pelle enfiévrée.
— "Hummmm ... j’ai toujours désiré embrasser une femme de pasteur ...... Et si possible une ravissante femme de pasteur les lèvres engluées de mon foutre !..... " tonna-t-il ravi.


A son grand désarroi il entendit alors son innocente femme répliquer :
— "Eh maintenant que ton souhait d’embrasser une femme de pasteur les lèvres enrobées de ton épaisse crème est exaucé, as tu envie de déshabiller une femme de pasteur ?..... de foutre à poil une femme de pasteur ?..... De la dénuder pour la posséder dans son lit !...... De la baiser à couilles rabattues !....."
Nell se retourna alors lui tournant le dos, qui tendit la main pour saisir le curseur de la fermeture éclair de sa robe.
Zipppppppppppppppppppppp ! de tout évidence il venait de descendre la fermeture éclair.


Il dégagea ses épaules et laissa choir la robe au sol, sa poitrine ferme fut bientôt dénudée, son soutien-gorge rejoignant sa robe au sol. Il malaxait maintenant ses nichons d’une main impatiente, titillant du pouce et de l’index ses mamelons raidis.
Il lui embrassait le lobe de l’oreille tout en pétrissant ses nibards, il lui demanda :
— "Que doit faire Billy Ray pour donner du plaisir à la femme du pasteur ?....."
Et tremblante elle répliqua d’une voix sourde :
— "Il faudrait lui bouffer le gazon Billy Ray ...... elle adore se faire brouter le minou par un habile lécheur !....."


Une fois sa femme transportée sur le lit, assise sur le rebord du lit, jambes pendantes, l’homme lui enleva sa petite culotte la faisant rouler le long de ses cuisses, de ses mollets avant de lui faire franchir la barrière de ses chevilles.


Puis le géant noir s’agenouilla sur la carpette se retrouvant juste à bonne hauteur, le nez enfoui dans sa toison dorée.

Nell agrippait de ses petites mains manucurées les épaules de son amant, Rich la voyait s’arquer sur les talons pour mieux offrir sa féminité à la langue gourmande de son invité alors qu’elle crispait les doigts dans sa chevelure crépue.
— "Oh oui ..... Ouiiiiiiiiiiii .... Bouffe moi le gazon Billy Ray ..... Encore ........ Oh ouuiiiiiiiiiiii ...... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ....." se mit à elle à hurler éperdue de bonheur, alors qu’on entendait les clapotis de l’habile langue visitant sa foufoune détrempée, il était évident que Billy ray prenait grand plaisir à brouter le gazon d’une ravissante femme de pasteur.


Une fois qu’elle eut joui sous ses caresses labiales, Nell resta mollement étendue sur le dos, jambes toujours pendantes alors que son invité se débarrassait de ses vêtements.
Tout en se branlant, disposait Nell à sa convenance, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, offrant largement ses appâts, prête à subir ses assauts lubriques
Puis il la rejoignit sur le lit conjugal.
Nell attrapa sa virilité entre ses petites mains la guidant à l’orée de sa féminité béante.
Elle frotta le gland turgescent de bas en haut dans sa fentine exacerbée, apparemment elle voulait stimuler ses appétits tout autant que lubrifier sa grosse pine.
— "Ohhhhhh ..... Votre bite est si épaisse, si longue !..... Ohhhhh oui, allez y ..... Plongez votre grosse bite dans ma chatte !..... Oh oui ... Embrochez moi !...... Ouiiiiiiiiiiiii ... Baisez moi ......... Jutez dans ma moule ........ Vide moi tes grosses couilles dans la foufoune !......."

Rich passa une nuit de vendredi fort divertissante dissimulé dans son cabinet de toilette, il put ainsi assister au final, alors que Nell à quatre pattes subissait un maître enculage de la part de Billy Ray qui lui labourait l’anus de coups de boutoirs d’une rare puissance, jamais Nell n’avait joui ainsi sous ses assauts.
Vers 22 heures, alors que Nell avait reconduit son invité à la porte, Rich saisit l’instant où elle reprenait une douche pour quitter discrètement le cabinet de toilette et partir sans avoir été repéré par sa femme.
Dehors, sur le chemin menant à sa voiture, Rich se demandait quand elle recevrait un nouveau coup de téléphone de Billy Ray ou d’un autre noir voulant jouir des appâts de sa ravissante femme.
— "Bordel cela s’avérait si excitant !......Comment pourrai-je obtenir que Nell s’agenouille entre mes cuisses pour me sucer comme elle a sucé Billy Ray ?....." s’interrogeait-il anxieusement.


Enfermé dans son bureau le lendemain, Rich avait bien du mal à se concentrer sur la rédaction de son prêche du dimanche, sans cesse des images de sa femme se faisant baiser par ce puissant noir défilaient sous ses paupières.
C’était vraiment un coup de pot qu’il ait pris le téléphone lors de l’appel de Billy Ray.
Il cherchait un moyen d’espionner Nell, d’enregistrer les coups de fil pour en connaître le contenu et savoir quand il pourrait profiter à nouveau de la vue de sa femme faisant l’amour avec un noir ... Se faisant baiser par une grosse bite noire serait d’ailleurs un vocable plus approprié !...."
Il se souvint alors d’avoir regardé une émission télé montrant comment les détective privés espionnaient leurs proies, il avait alors appris que l’on pouvait acheter des micros à glisser dans les combinés téléphoniques permettant d’enregistrer toutes les communications.


Quelques semaines plus tard, dans son bureau, il écoutait , avec pessimisme les bandes enregistrées dans la journée, et comme chaque jour il fut déçu du résultat.
A chaque coup de téléphone, Nell toute excitée se ruait sur le téléphone espérant visiblement que Billy Ray, ou tout autre noir lui ressemblant prenne rendez-vous pour la sauter.
— "Bordel elle doit en mourir d’envie après deux semaines de frustration !....." pensait Rich se rappelant cette nuit où il n’avait pu se retenir éjaculant une bonne douzaine de jets crémeux à peine quelques secondes après l’avoir pénétrée.


Ayant reçu un appel pressant d’un de ses paroissiens, Rich se rendit chez lui pour l’apaiser et le conseiller au mieux.
Devant traverser banlieue la plus misérable de la ville, Rich observa attentivement les putes qui arpentaient le trottoir cherchant à racoler des clients.
De nombreux hôtels de passe bordait la rue, certains portaient même des noms évocateurs comme : "l’hôtel sans nom ....." chacun affichait le nombre de chambres disponibles et l’avis affirmant que les draps étaient changés après chaque location.
— Sur le chemin du retour il passait devant un magasin appelé "Le monde de l’espionnage", Rich s’arrêta pour voir les produits en vente : minuscules caméras, micros dissimulés, GPS ... Et bien d’autres gadgets destinées à enthousiasmer un espion amateur.
Rich se demandait s’il existait d’autres articles autre que le magnétophone qu’il avait installé chez lui, d’autres produits qui lui permettraient de mieux espionner encore les agissements de sa petite femme chérie.
S’emparant du catalogue il rechercha les articles qu’il pourrait tester.


Une fois les tests terminés, il appela son propre numéro à l’église, il trouva que le synthétiseur de voix fonctionnait bien déformant totalement la voix de la personne qui s’en servait.
Il revint sur ses pas pour observer le minable hôtel qu’il avait remarqué, il visita les chambres et comprit que le "l’hôtel sans nom" correspondait exactement à ce qu’il recherchait pour mettre à exécution le plan qu’il avait en tête.
Se rendant à une cabine téléphonique proche, il utilisa le synthétiseur vocal pour appeler son numéro.
Il savait pertinemment que sa femme disposait de toute sa journée avant que son fils ne rentre de l’école en fin d’après midi.
Comme le numéro de son portable était identifiable, il devait nécessairement passer son appel d’une cabine. Lorsque Nell répondit, Rich se servit du synthétiseur pour déguiser sa voix l’avisant d’entrée :
— "Mama Wanda m’a donné ton numéro de téléphone et ton nom .... Si j’ai bien compris t’es une PPBN, une "Pouffe Pour Bites Noires" ... N’est ce pas ?........."
— "Euh oui .... Oui ...... C’est bien moi !....." balbutia sa femme en guise de réponse, la référence semblait avoir allumé quelque choses dans son cerveau.
— "Voulez-vous me rejoindre immédiatement chambre 7 à l"hôtel sans nom" rue de Bourgogne .... je vous regarderai des toilettes .... Je veux que vous fassiez le trottoir et que vous racoliez des clients !...... Des noirs prêts à payer pour user de vos appâts ....... Dans un lit !...... "
Il précisa ensuite à se femme, qui réagissait comme si elle se trouvait sous sujétion, comment se vêtir et de quoi se nettoyer entre chaque client.


Elle portait un ravissant petit tailleur jaune qu’elle avait acheté à Paques lorsqu’elle se rangea avec nervosité dans le parking de "l’hôtel sans nom".
Le temps de descendre de voiture et de verrouiller sa porte elle se trouva déjà en but aux avances d’un vieux noir qui lui demandait :
— "T’es ici parce que ton mari ne te donne pas assez de plaisir ma chérie ?....... Allez chérie je suis sur que Nate pourra satisfaire tes appétits !....... Combien tu prends chérie ?....."


Réalisant ce qui se passait sur le parking de l’hôtel, Rich se rendit dans les toilettes laissant la porte de la chambre entrouverte pour le couple qui arrivait.
De sa cachette Rich vit sa femme réclamer 100 $ au vieillard, et les ranger dans son sac, se jetant immédiatement à ses genoux pour dégrafer sa braguette.
— "Bordel on dirait une vraie pro !......" réalisait Rich alors que la tête blonde de Nell bougeait de bas en haut entre les grosses cuisses noires.

Tout comme il l’avait fait avec Billy Ray, Rich observa sa ravissante femme priant ce type de lui brouter le gazon.


Après une bonne baise, la chatte pleine du jus de Nate alors que sa femme regardait la porte se refermer, dans le cabinet de toilettes Rich éjaculait à grands jets sur la porte.


Son premier client parti , Nell prit une douche pour se nettoyer, puis elle se rhabilla sortit et revint un quart d’heure plus tard avec un autre client.
Celui ci se fit d’abord faire une pipe, puis il la fit mettre toute habillée à quatre pattes sur le plancher, une fois qu’il eut descendu sa petite culotte au bas de ses chevilles, le noir bâtard se mit à couiner en forçant son petit oeillet si étroit.


Puis elle termina comme il lui avait été ordonné en faisant monter un vieux salaud immonde qu’elle suça pour un malheureux billet de 10 $.
Lorsque le vieillard lubrique atteignit le point de non retour, Nell précisa ce qu’elle voulait lui indiquant :
— "Jouis sur mon visage ... Éclabousse moi le visage !....."


Et comme il obtempérait elle lui lécha la hampe de bas en haut, elle frissonna alors que son estomac se révoltait à l’odeur mais elle devait complaire à l’homme enfermé dans le cabinet de toilette.


Le visage souillé, le devant de son tailleur vicié, son dernier client partit après lui avoir donné les 10 $ convenus, Nell fit alors le décompte de ses gains et rangea les billets dans le tiroir de la table de nuit.
Le regard rivé à la porte du cabinet de toilette elle se demandait qui pouvait bien se cacher derrière cette prenant plaisir à la voir se prostituer.
Elle hésita un instant à la porte de la salle de bain, elle voulait prendre une douche, puis se rappelant les consignes de son vil interlocuteur téléphonique elle se rappela qu’elle devait partir le visage couvert de foutre et ne pas se nettoyer tant qu’elle ne serait pas arrivée chez elle.


Une vingtaine de minutes plus tard, une fois rentrée chez elle, le sortilège envolé, Nell avala sa salive avec horreur en reprenant pied dans la réalité en se regardant dans le miroir de la salle de bain.
Son visage était couvert de taches de sperme séché, elle en avait jusque dans la chevelure, et son élégante veste de tailleur n’était plus aussi élégante.


Et cette odeur répugnante qui lui soulevait le cour, une odeur qui lui avait littéralement imprégné le visage lorsque le vieillard lubrique avait juté tout son foutre sur son visage avant de frotter son ignoble mentule sur ses joues.


Prenant 50 % des gains de Nell il laissa le reste comme pourboire au gérant de l’hôtel, se ménageant ainsi sa complicité active à l’avenir, Il compta alors qu’il lui restait 120 $, il se sentait un peu coupable d’avoir tiré profit de la prostitution de son adorable femme.
Il aurait été normal qu’elle bénéficie de la totalité de ses gains, mais Rich se demandait déjà comment lui faire don de gains de la même valeur.


Il pensa alors à un asile de vieillards proche qu’il avait visité et un brillante idée lui vint :
— Il utiliserait le synthétiseur vocal pour convoquer à nouveau Nell à "l’Hôtel sans nom" elle viendrait en aide à se pauvres hères en les cajolant à concurrence de 120 $ l’après-midi ...... A 10 dollars le client elle devrait cajoler une douzaine de ces immondes épaves pour réunir ses 120 $, il la laisserait bénéficier de la totalité de ses gains cette fois ...... C’était là toute la ruse.
Rich sourit à pleines dents à l’idée de la mater suçant et se faisant baiser par ces vieux bâtards noirs, l’un après l’autre, ce qui allait faire son régal.
Ensuite il lui resterait à offrir son corps au gérant pour le remercier de sa complicité.


Et encore n’était ce là qu’un début, il comptait bien encore profiter de ses charmes longtemps, son train de vie pourrait vite en être amélioré alors qu’il satisferait pleinement ses instincts de voyeur, il pourrait la faire baiser par deux, trois cinq hommes qui la partouzeraient simultanément, ... Et pourquoi pas, il pourrait même organiser des gangs-bangs, ce n’est pas les clients qui manqueraient pour goûter aux appâts de sa charmante épouse, qu’elle soit ensorcelée ou pas.


FIN DE L’HISTOIRE.22 mai 2007
Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)
Avec l’aimable autorisation de l’auteur :
Black Demon
blackdemonstories@yahoo.com
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