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le pasteur pervers

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Le Pasteur maquereau 2Pimped by Her Own Pastor IICoulybaca / Black Demon
***************************************Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de Violée et subjuguée pendant les vacances , Le Pasteur se fait maquereau et Le Pasteur victime d’un chantage (Victim’s Violated Vacation & Pastor’s a Pimp 1 & 2)

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Secoué de nausées, le pasteur Richard Knowlton jeta un oil sur le prêtre pervers au courant de son sombre secret et qui s’en servait pour le faire chanter.Richard n’avait pas le choix, si son secret venait à être dévoilé, sa vie en serait dévastée.Comme il n’avait pas le choix, il s’était plié aux volontés de son pervers maître-chanteur, laissant ce vieux bâtard s’envoyer sa femme.Il avait du l’inviter à dîner, avisant sa femme qu’il s’agissait d’un vieux confrère qu’il avait rencontré lors de leurs vacances, le dîner à peine terminé, il avait reçu un pseudo appel, qu’il avait enregistré et programmé l’après-midi même, qui le convoquait sur une urgence.Il livrait ainsi sa femme Nell à ce vieux bâtard de confrère qui voulait se glisser entre ses draps.

Comme il n’y avait nulle urgence en fait, Richard était revenu chez lui, avait rangé sa voiture dans une discrète rue adjacente, et avait gagné rapidement l’arrière cour de son habitation.Il les avait alors épiés au travers d’un trou qu’il avait ménagé dans les stores aveuglant les fenêtres de la chambre, il avait alors à nouveau goûté à l’amer plaisir du voyeurisme.Ses remords et sa culpabilité disparurent rapidement à la vue du vieux salopard attirant de force sa femme entre ses bras en l’empoignant par ses hanches dodues.

Lorsqu’il avait informé sa femme qu’il avait invité le pasteur Mollway à dîner, Nell avait montré sa joie de revoir ce pasteur plein de bonté qui les avait si bien accueillis dans les îles.
Elle revoyait ce jovial ami leur offrant un panier de fruit sur le quai des départs.Ils ignoraient tous deux qu’en fait, le vieux salopard les avait vus arriver du promontoire derrière l’église, il les avait observés à la jumelle et avait tout de suite eut envie de posséder le corps de cette adorable jeune femme.

Le vieux salaud était sur le point de satisfaire sa longue attente et ses rêves d’user et abuser des appâts de sa charmante hôtesse.La bite à la main, se branlant frénétiquement, Richard avait vu de la révulsion s’afficher sur le visage de sa jeune femme alors que le si gentil confrère lui signifiait ses intentions.Mais rapidement les remords de Richard de livrer sa femme à ce vieux salaud s’envolèrent alors qu’il satisfaisait ses penchants pour le voyeurisme en le voyant copuler avec elle.Ses rêves de voyeur les plus pervers se réalisaient alors que le pervers confère glissait son corps dodu entre les cuisses de la jeune femme pour posséder son corps rétif, de violents coups de boutoir.

Richard se pourléchait les babines en voyant le spectacle qui se déroulait dans sa chambre conjugale, son adorable jeune femme avait refermé les jambes sur dans le dos de son suborneur alors qu’il la fourrait à grands coups de bite.A la vue du pervers pasteur sautant avec énergie sa charmante épouse, Richard se demandait si cette frénésie sexuelle était due aux nombreuses années d’abstinence que s’était imposées son démoniaque confrère, alors qu’il le voyait maintenant marteler le corps de sa bien-aimée, ce dont il ne pouvait le blâmer.Finalement le vieux débauché extirpa sa bite de sa chatte dégorgeant de foutre et l’essuya dans les boucles de sa toison dorée.
Plus tard, en regardant une photo que le vieux salopard lui tendait, Richard avait réalisé que se taper sa femme n’était que le premier pas pour éviter que ce le vieux déviant ne ruine sa vie.C’était la photo d’une des membres de la congrégation, une photo tirée du site inermes de la paroisse, une photo de la ravissante Julie Morris.Richard connaissait l’adorable Julie Morris depuis deux ans, à l’époque où on l’appelait encore mademoiselle Julie Bender, et c’est lui qui avait célébré son mariage avec Ken Morris deux ans plus tôt.— Pourquoi me tend-il la photo de Julie Morris? ..... Que veut-il en faire? .... Qu’attend-il de moi? ..... Voudrait-il que je lui arrange les choses pour qu’il puisse disposer d’elle comme de Nell? ..... se demandait-il avec angoisse.

Il fut profondément choqué en entendant son maître-chanteur l’aviser qu’il avait sélectionné Julie Morris, et lui demander s’il se souvenait du PPBN, le Parti Progressiste du Bienheureux Nestor dont il lui avait parlé sur l’île.Avalant sa salive, Richard hocha la tête, déclenchant les gloussements de son démoniaque confrère qui poursuivit :— Tu sais ce qu’est vraiment cette confrérie? ..... Non... C’est alors qu’il apprit qu’en fait, elle était constituée de riches et généreux donateurs qui aimaient la chaire blanche fraîche, aussi avait-il décidé de leur offrir la sémillante Julie Morris contre rétribution bien évidemment.Elle semblait pure et innocente sur cette photo et il voulait être celui qui initierait cette adorable jeune femme aux joies des sexes noirs.Aussi, Mollway lui imposait-il de trouver le moyen de l’amener à fréquenter son bureau de conseiller matrimonial.— J’ai promis à mes amis de la PPBN de leur livrer des poupées amoureuses après les avoir hypnotisées, je connais des procédés infaillibles pour les placer sous mon emprise totale! ......

Eberlué par l’outrageante proposition, Richard gara sa voiture et gagna son bureau alors que son vieux bâtard de confrère montait dans sa voiture personnelle garée sur le parking de l’église.Il saisit l’album souvenir de l’église, celui contenant les photos des nombreuses cérémonies de mariages qu’il avait célébrées. Il chercha les photos concernant les deux dernières années.Lorsqu’il eut trouvé la page concernant la cérémonie Barret / Morris, il saliva nerveusement le regard fixé sur l’adorable jeune mariée toute de blanc vêtue.Deux années d’e béatitude conjugale, un très heureux mariage dont les deux membres respectaient leurs voux de fidélité l’un envers l’autre, et voilà que maintenant Richard devait être l’instrument de perversion de ce couple...... Celui qui amènerait l’adorable jeune Julie Morris à ouvrir ses cuisses à un suborneur noir.

— Dois-je en passer par-là? ..... se demandait-il, mais la réponse ne pouvait venir que de sa bite qui réfléchissait pour lui.De retour chez lui, Richard remarqua que la table du dîner avait été nettoyée, il était évident que Nell avait effacé toutes traces montrant qu’elle avait servi de dessert au vieux salaud dans le lit conjugal une fois le repas terminé.Rampant dans le lit pour se couler le long de sa femme qui venait de se faire violer, Richard avait en tête des images de la ravissante Julie Morris sortant de l’église deux ans plus tôt.Il avala sa salive se l’imaginant déjà sous l’emprise hypnotique de Mollway, se faisant sauter par le généreux donateur du PPBN qui l’avait choisie sur catalogue.

Ce dimanche, embarqué dans une conversation avec quelques membres de la congrégation le pasteur Knowlton s’ingéniait à dénicher l’adorable madame Morris avant qu’elle ne quitte l’église en compagnie de son charmant mari.Il avait formé le vou, avec plusieurs de ses plus fidèles paroissiens de demander à des couples particulièrement bien mariés d’unir leurs efforts autour d’un conseiller marital pour faciliter la vie des futurs ménages qui se formeraient dans la paroisse.Interceptant l’heureux couple, Richard leur expliqua que la première étape qu’ils voulaient suivre était d’interviewer diverse femmes de la congrégation pour essayer d’établir un processus et des conseils qui faciliteraient la future vie maritale d’un large nombre de candidats au mariage.

Avec la promesse que ces réunions ne dureraient qu’une heure et demi à deux heures, la belle Madame., Julie Morris n’a pas pu refuser l’honneur d’être choisie par l’honorable Pasteur Knowlton pour aider son église et sa congrégation.Comme son mari rejoignait ses employés une paire d’heures chaque vendredi, vers 16 h 30, elle inscrivit ses réunions sur son agenda à la même heure, sans aucun soupçons son mari donna son accord flatté de la voir contribuer au bien de la communauté en secondant le conseiller marital.Richard lui donna la carte du conseiller matrimonial concerné et elle l’assura qu’elle serait à son bureau vendredi à 16 h 30.Le jeune couple était loin de soupçonner que leur mariage si heureux allait être extrêmement fragilisé par leur propre pasteur qui les remettait dans la main d’un vieux bouc pervers.

Les membres de la communauté étaient maintenant partis, Richard retourna dans son bureau à l’église, il avait besoin de réfléchir à ce douloureux dilemme dans lequel il venait de se jeter tête baissée.Tout avait commencé pendant les vacances familiales, son voyeurisme avait été filmé, et il devait maintenant se plier aux volontés de cette ordure de vieux maître chanteur pour éviter le scandale qui ruinerait sa vie aussi bien professionnelle que conjugale.Le prix à payer était exorbitant, il avait déjà sacrifié son adorable jeune femme et voila que maintenant il avait programmé de sacrifier une adorable jeune femme membre de sa congrégation toujours dans le but d’épargner sa vie propre.Il venait de poser les rails qui entraîneraient la somptueuse Julie Morris dans des ténèbres démoniaques, Richard en oublia son fétichisme alors qu’il se demandait si Mollway lui accorderait le plaisir d’observer comment il allait s’y prendre pour asseoir son emprise hypnotique sur la somptueuse beauté et ensuite la former aux plaisirs à offrir à son futur client de la PPBN.

Fermant les yeux il secouait la tête incrédule, il ne comprenait pas comment les choses avaient pu s’enchaîner si rapidement.Non seulement il avait sacrifié son adorable jeune femme et obéi au maître chanteur en ce qui concernait Julie Morris quelques heures plus tôt, mais il savait déjà qu’il était prêt à aller bien plus loin dans l’ignominie.L’après midi même il se dirigeait vers le bureau de Mollway pour lui signaler qu’il avait appâté Julie Morris, Richard savait maintenant de première main à quel point les plans de Mollway s’avéraient élaborés depuis qu’il l’avait vu téléphoner à sa fondation et lui avait dit de suivre.Richard avait alors observé le vieux saligaud ouvrant l’album de presse de la congrégation sur son site internet, il regardait attentivement comment une autre ravissante femme de la paroisse était l’objet d’un marché en sa présence.Ce n’était rien de moins que de la prostitution et il s’agissait d’une des membres de la congrégation dont son maître chanteur vendait les charmes à un des membres de la PPBN.

Ce vendredi après-midi, Richard était arrivé avant la venue programmé de la belle Julie Morris, il gagnait les toilettes que lui désignait Mollway.Quelques instants plus tard, derrière la porte, Richard regardait par les fentes de la porte en entendant résonner les talons de la ravissante membre de sa paroisse.Elle arrivait tout droit de l’école élémentaire où elle enseignait, elle était élégante et quelque peu guindée dans son long chemisier blanc qu’elle portait sur une jupe bleu azur, l’ensemble était complété par une paire de hauts talons bleus.Comme il faisait chaud, la charmante jeune femme ne portait pas de collants, il regardait ses longues jambes blanches avec la même concupiscence que Mollway.Alors que le félon l’invitait à s’allonger sur le sofa, exactement comme chez un psychiatre, la bite de Richard se mit à frémir dans son caleçon.

Richard observait attentivement ce vieux bâtard déployer son jeu, il expliquait à la jeune et naïve épouse son souci d’être le plus proche possible de la vérité dans l’utilisation des renseignements que lui donnaient ses intervenants, lui demandant si, à cet effet il pourrait l’interviewer sous hypnose afin d’écarter toute subjectivité de ses réponses.Et, comme l’adorable jeune femme avait vraiment le désir de se rendre utile à sa communauté, elle lui donna rapidement son accord.Richard était assez surpris de voir à quel point le vieux salopard pouvait être efficace et rapide, il avait obtenu somme toute facilement de pouvoir disposer de la jeune femme sous son contrôle mental.Quelques instants plus tard, Richard était épaté de voir la charmante Julie Morris étendue mollement sur le sofa du pervers cherchant à répondre sincèrement à ses questions en en tentant de gommer ses croyances, ses colères et ses désirs.

Ayant été instruit plus tôt du déroulement de l’interview par son ex-confrère, Richard se pencha en avant pour mieux l’entendre à ces questions sous hypnose.Il commença par les questions traditionnelles : son âge, son niveau scolaire, son type d’éducation, sa première rencontre avec son époux.....La bite de Richard commençait à se déployer dans son caleçon alors que les questions abordaient maintenant un domaine plus sexuel.

— Combien d’hommes avez-vous connu avant votre mari... — Pas un! ....— Avez-vous perdu votre pucelage lors de votre nuit de noce? ....— Non... — Comment s’est passée votre nuit de noce? ....— Alors que j’avais le pénis de mon époux en main et que je le guidais, il éjacula prématurément! ....— Quand avez-vous perdu votre pucelage? ....— Deux jours plus tard, pendant notre lune de miel, au quatrième essai, après que Ken ait éjaculé précocement aux trois tentatives précédentes! .....La situation devenait de plus en plus chaude alors que Mollway pénétrait son cerveau. — Quelle est votre position favorite dans l’amour ? ....— J’aime bien quand mon mari est allongé sur moi, mais j’aime toutes les positions! ...— Avez vous déjà pensé coucher avec un autre homme? ....— Oh non! .... Jamais....— Comment vous sentiriez-vous avec un colosse noir couché sur vous en train de vous faire l’amour ? ...— Honteuse! ... Folle de honte! .... Je serais morte de honte! ....— Dites-moi madame Morris avez-vous déjà sucé un pénis? ....— Je ne comprends pas ce que vous voulez dire par-là! .... Comment ça sucer un pénis? ....— Avez vous déjà pris un sexe masculin dans votre bouche pour le sucer jusqu’à ce qu’il éjacule dans votre gorge? ....— Oh, non! .... Jamais! .... — Et pourquoi pas? ....— Parce que... Parce que c’est très sale! .... dégoûtant! ....

En voyant Mollway relever les yeux et regarder dans sa direction, Richard vit qu’il lui adressait un sourire démoniaque alors qu’il se redressait et allait s’asseoir sur le sofa où gisait la charmante jeune femme hypnotisée.Même après avoir entendu la jeune femme répondre sans sourciller aux questions indiscrètes de Mollway je ne croyais pas encore que ce vieux bâtard puisse être plus efficace dans sa tentative de domination mentale de la jeune femme et je n’étais pas encore convaincu que la succulente Julie Morris se trouvait sous son entière emprise.Je vis alors le vieux pervers tendre la main pour caresser les jambes de sa ravissante proie, c’est alors que Richard comprit qu’elle se trouvait sous la totale domination de son emprise hypnotique, sinon elle n’aurait jamais autorisé Mollway à lui caresser les cuisses de façon aussi lascive.

Richard écarquilla les yeux lorsqu’il comprit qu’il pouvait même maintenant entrer dans le salon, que leur malheureuse victime serait totalement inconsciente de sa présence à leurs cotés.Ses mâchoires lui en tombèrent à la vue de ce qui se passait maintenant, le vieux salaud enlevait les chaussures de la jeune femme et les posait sur une étagère proche.L’adorable Julie Morris était inconsciente de ce qui se tramait :— Bordel ce vieux fou vient de sortir sa bite de son caleçon ! ... remarqua alors Richard incrédule.
Visiblement ce vieux bâtard était fétichiste des pieds alors que Richard le regardait, il avait placé sa bite toute ridée entre les plantes de pieds de son adorable victime et il se branlait allègrement entre elles, et bientôt sa vieille bite grandit, enfla et atteignit la taille de 15 centimètres.— Oh oui..... T’es si douce et si sexy! ..... Oh chérieeeeeeeeee..... Oh, oui... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..... grognait le vieux porc secouant la tête en prenant son pied.Richard vit alors sa vieille bite cracher son gluant venin sur les pieds de son inconsciente victime.

Mollway lui fit alors signe de le rejoindre, et de se poster devant la jeune femme qu’il allongeait sur son sofa de psychiatre.Quelques secondes plus tard, placé juste à coté de l’adorable jeune femme, Richard regardait l’épaisse couche de sperme qui s’étalait sur ses pieds ses orteils, alors que le vieux salaud rétablissait son pouvoir sur lu :— Plus tard, tu te trouveras un bout de chiffon pour lui nettoyer les pieds! ....Richard avala sa salive, sa bite frémissait dans son caleçon alors qu’il trouvait que cette tâche s’avèrerait drôlement excitante finalement, puis il entendit Mollway qui disait s’adressant à Julie Morris :— Ton mari si amoureux se trouve juste à coté de toi ma chérie, tends ta main droite et tu vas voir à quel point tu l’excites! .....
Richard, ravi, se figea au moment où il vit la somptueuse Julie Morris tendre sa main finement manucurée pour palper l’énorme bosse qui déformait son pantalon.La bite tressautant sous la caresse, Richard haletait tout en dégrafant sa braguette alors que Mollway lui prescrivait :— Glisse ta main dans le pantalon de ton mari et sors sa queue! .... Et maintenant je veux voir comment tu te sers de tes mains pour le branler.....Richard avala un bon bol d’air après avoir ouvert son caleçon pour lui faciliter la tâche, il frémit de plaisir alors que ses doigts encerclaient sa virilité tendue.Il savait que toute la scène était enregistrée par des caméras, dissimulées dans la pièce, que lui avait montrés Mollway, il sentait monter en lui le désir de posséder une copie de cette rencontre avec l’adorable Julie Morris.La bite sortie de son pantalon, Richard contemplait la jeune femme qui le branlait tendrement, puis Mollway reprit :— C’est bien ma chérie, et maintenant sers-toi de ta main gauche! ....Richard ravi la vit alors se servir de sa main portant son alliance et sa bague de fiançailles pour le branler, cet anneau qu’il avait lui-même béni devant la congrégation rassemblée lors de ses épousailles.Et maintenant cet anneau reposait sur sa bite alors que la charmante Julie lui prodiguait des caresses qu’elle n’aurait du prodiguer qu’à son mari, et surtout pas à son pasteur.Richard n’aurait pas su interrompre cette délicieuse branlette, il luttait pour ne pas éjaculer prématurément.

Il était sur le point de jouir et s’y refusait, voulant prolonger la jouissance de ces caresses.

Il luttait la bite à quelques centimètres de sa jupe pour contrôler ses sens, il ne voulait surtout pas projeter sa gourme sur ses vêtements.Incapable de saisir son mouchoir à temps, il usa de son autre main pour agripper la main qui le branlait si délicieusement pour stopper sa branlette et la retint posée sur sa bite sensibilisée.C’est à cet instant que son corps se tendit au contact de la paume soyeuse sur sa bite tressautante, la sensation était si agréable qu’elle l’envoya direct au tapis, sa bite vibra encore et cracha des torrents de foutre sur ses doigts agiles.

Etant finalement parvenu à pêcher son mouchoir dans sa poche, Richard rattrapa les gouttes qui tombaient du bout de ses doigts, il allait essuyer sa main, lorsque le vieux Mollway l’interrompit.— Arrête avec ce mouchoir! .....Richard jeta un oil perplexe sur le vieux pervers, qui s’adressait maintenant à la jeune femme en son pouvoir lui enjoignant :— As-tu l’habitude de te faire des masques faciaux ma petite chérie? ....— Bien sûr! .... répondit la malheureuse sous contrôle.Le salopard lui intima alors en gloussant :— Porte ta main gauche à ton visage ma petite chérie..... Oui comme ça mon amour..... Inspire profondément..... Tu sens cette délicieuse odeur? ..... Respire le délicieux parfum de cette crème épaisse qui poisse tes doigts... Et maintenant étale le sperme de ton cher pasteur Knowlton sur tes joues......

Totalement incrédule le pasteur Knowlton contemplait la jeune rouquine membre de sa congrégation étalant sa semence sur son visage.Et dire qu’à l’instant précédent il allait lui essuyer les doigts? Il regardait ses doigts parfaitement manucurés, aux ongles peints en rouge lustré, alors qu’elle s’appliquait ce masque facial si particulier.Ses joues, son nez, ses lèvres, et son menton étaient maintenant couverts d’une épaisse couche de foutre blanchâtre alors que Richard se dirigeait vers la salle de bain pour y dénicher un gant de toilette humide.
Sachant que l’odeur imprégnant ses doigts les taches marbrant son visage dénonceraient ce qui s’était passé dans le bureau de Mollway, Richard humidifia un gant de toilette pour essuyer son visage et ses doigts et effacer l’odeur de sperme qui émanait d’elle.Le gant de toilette en main il revenait de la salle de bain deux minutes plus tard, il se figea en voyant que Mollway avait sorti sa bite de son caleçon et qu’il frottait sa pine contre ses lèvres pulpeuses.Mollway lui jeta un oil hilare et lui sourit lui disant :— Aurais-tu pu imaginer que la charmante madame Morris n’a jamais sucé de bite privant son bien aimé mari de ce plaisir béni des Dieux! .... Je ne vais donc plus tarder à initier cette adorable salope à l’art de la fellation! ......

Incrédule Richard regardait sa ravissante paroissienne obéir aux instructions de Mollway :— Tire ta langue ma chérie..... Et maintenant enrobe ma grosse bite..... Suce là, madame Morris..... Ah, oui c’est ça...... Comme ça...... Oui, ouiiiii..... Enrobe ma bite de ta langue..... Et maintenant sers toi la pointe de ta langue et titille mon méat..... pantelait Mollway, Richard regardait attentivement comment l’innocente jeune femme obéissait à tous ses ordres, léchant le vieux pénis si peu ragoûtant.— Prends-moi en bouche! .... l’ordre jaillit net et clair, et la ravissante jeune femme emboucha la grosse pine qu’elle entreprit de sucer avidement bien que ce soit la première bite qu’elle cajole.

Richard agrippa sa main et mit en évidence son alliance et sa bague de fiançailles, il débarrassa chacun de ses doigts de l’amidon spermatique qui l’empesait, puis ils nettoya attentivement son alliance et sa bague de fiançailles les débarrassant de toutes souillures suspectes.Mollway avait maintenant posé une main sur sa nuque alors qu’il coulissait frénétiquement entre ses lèvres gourmandes.— Goûte-moi bien ma chérie! ..... C’est ainsi que tu communieras chaque dimanche dorénavant..... Aimes -tu le goût de mon vin sacré? ...... Oh... Oh... Que Dieu te garde mon adorable chérie..... Ahhhhhhh..... Ahhhhhhhhhhhh..... Arrgghhhhhhhhhhhhhhhhhhh! ..... gémissait et grognait Mollway alors que sa vieille carcasse tremblait de tous ses membres. Il dispensait à la jeune femme un type de communion tout à fait inhabituel.

Ralph Mollway, était d’autant plus excité qu’il savait que les lèvres de la jeune femme s’étaient refermées, pour sa première fellation sur sa bite ridéeEn voyant le corps de la ravissante jeune femme il savait que ses nausées étaient dues au fait qu’elle n’avait pas coutume d’ingérer les chaudes giclées de foutre qui lui coulaient maintenant dan son estomac.Ce jeune benêt de pasteur qu’il faisait chanter avait maintenant son sort scellé du fait de sa participation à la dégradation de sa jeune et ravissante paroissienne.Et maintenant pourquoi ne pas faire le pas en avant qui en ferait son complice actif, sur cette pensée, Mollway saisit une caméra et prit encore quelques gros plans croustillants.

Il filmait Richard nettoyant l’alliance et la, bague de fiançailles de leur jeune victime, on voyait parfaitement que le jeune pasteur avait la bite à l’air et qu’elle vibrait alors qu’il renfilait les anneaux aux doigts de leur somptueuse proie.— Hey Richard, n’as-tu pas l’impression de revivre tes années collège..... Quand tu couvais d’un regard concupiscent te ravissante prof, hum......Sur ces mots le démoniaque vieillard donna de nouveaux ordres à la malheureuse madame Morris totalement sous son emprise :— Assieds-toi ma chérie, et maintenant glisse-toi hors de la couche et agenouille-toi devant le pasteur Knowlton.... Tends ta main gauche et attire le à toi....... Ton pasteur va à son tour te communier pour t’accorder le pardon de tes fautes! ....

L’ampleur de sa bite ressuscitée, Richard frémissait de plaisir alors que les fins doigts manucurés se refermaient sur sa hampe vibrante.Voir de nouveau les bijoux qui ornaient ses doigts ne fit qu’accroître son excitation alors que ses lèvres pulpeuses étaient si proches de son gland turgescent.

— Montre-lui ce qui tu viens d’apprendre ma chérie! .... Montre à ton pasteur comment tu aimes recevoir la communion! .... s’esclaffait Mollway hilare.— Oh, mon Dieu..... Mon Dieu..... Ohhhhhh, Dieu soit loué..... grommelait Richard alors que la charmante Julie Morris pointait sa langue sur son méat si sensible.Le vieux pervers sourit et zooma sur la jeune femme se penchant en avant pour emboucher la bite de son pasteur entre ses lèvres pulpeuses.Mollway se recula la caméra en main prenant le pasteur de pied en cap alors qu’il saisissait la nuque de sa ravissante paroissienne.Ce n’était certainement pas le comportement habituel d’un prêcheur envers ses ouailles féminines, de plus une femme mariée à un autre homme...... Un mariage auquel il avait lui-même procédé deux ans plus tôt.

Il connaissait les tendances secrètes du pasteur Knowlton au voyeurisme, et voila qu’il réalisait l’ardeur avec laquelle il se livrait au pêché de chair.Mollway se disait maintenant qu’il serait bien plus utile et agréable que Richard devienne son complice actif, un disciple actif de la PPNB plutôt que de l’obliger à le servir en le faisant chanter. Il ne pouvait plus revenir sur ses pas à cet instant, pas lorsqu’on le plaisir évident que le jeune pasteur prenait entre les pulpeuses lèvres de sa charmante paroissienne, à l’insu de son plein gré.

Plus tard, Mollway pensa qu’il pourrait satisfaire les penchant voyeuristes de son complice en lui faisant regarder l’initiation de l’adorable Julie Morris aux grosses bites noires.Le jeune pasteur chercherait de lui-même qu’elle serait la prochaine beauté de sa paroisse qui se verrait initiée à la négritude et à leurs grosses queues.Mais pour l’instant, il était ravi de filmer les ébats de la ravissante jeune femme qui figurait sur l’album photos souvenirs de la paroisse, elle suçait la bite de son pasteur avec une indéniable ardeur alors qu’il lui malaxait lascivement les nichons.Puis, le jeune pasteur se mit à émettre des grognements sourds, rauques alors qu’épais flot de foutre épais et crémeux emplissait la bouche de la jeune beauté, quelques filets blanchâtres suintant aux commissures de ses lèvres serrées sur l’épaisse hampe.

Dix minutes plus tard, Richard se tenait à nouveau dans le cabinet de toilette et regardait par les fentes de la porte, l’adorable Julie Morris sortir de la salle de bain où il lui avait été ordonné de se rendre pour effacer les traces de sperme sur son visage et ses mainsCependant elle ne devait pas s’être totalement nettoyée car Mollway lui avait ordonné :— Ne te rince pas la bouche et n’essuie pas tes lèvres, ainsi tu pourras donner à ton mari un baiser juteux lorsque tu retourneras chez toi! ......Puis comme Mollway voulait être sur que tout ce qui s’était passé dans ce bureau soit profondément implanté dans son inconscient de façon à ce qu’elle ne puisse comprendre qu’elle avait été hypnotisée et qu’elle avait eu des rapports sexuels avec deux hommes sous contrôle hypnotique.

Puis Richard put voir comment s’y prenait son pervers confrère pour préparer un sujet à devenir une esclave sexuelle du Parti Progressiste du Bienheureux Nestor (souvent appelé PPBN) car en réalité son nom signifiait Pouffes Pour Bites Noires.La lumière diminuée la salle se trouvait presque dans l’obscurité, Mollway projeta l’image d’un colosse noir sur le mur blanc face à Julie Morris, il l’informa ensuite d’une voix autoritaire :— Cet homme s’appelle Cecil Gibbons, c’est un des généreux frères qui octroient de grosses donations à notre organisation..... Tu auras l’image de cet homme en tête chaque nuit lorsque tu iras te coucher et tu rêveras constamment de lui! ......

— T’es-tu déjà masturbée ma petite chérie? ..... T’es-tu déjà touchée intimement pour calmer ton excitation sexuelle? ..... demanda-t-il soudain à la jeune femme sous contrôle.— Oh non jamais! .... claqua immédiatement la réponse.— Et pourquoi non? ....— Parce que c’est vicieux! ....Richard vit le sale pervers approcher sa chaise du canapé alors qu’il poursuivait d’une voix toujours aussi autoritaire :— Tu rêveras de lui constamment, chaque nuit...... Tu te demanderas ce que tu ressentirais si ses mains te touchaient et te caressaient intimement! ..... Et à ces moments tu joueras avec ton corps comme ceci! ......Les mains dodues du vieux bâtard se posèrent sur la poitrine de la jeune femme allongée sur le sofa, il empaume ses nibards au travers de son fin corsage et de son soutien-gorge en dentelle, puis ses pouces malaxèrent lentement ses mamelons bourgeonnant.

La somptueuse jeune femme se tortillait sur sa couche alors que Mollway stimulait ses bourgeons maintenant érigés entre pouce et index.— Monsieur Gibbons nous fait parvenir une photo de lui qui te fera rêver de lui chaque nuit lorsque tu te seras allongée aux coté de ton mari! ..... l’avisa alors le démoniaque pervers en projetant sur le mur une photo qui provoqua un sursaut de Julie.Regardant la photo sur le mur, Richard lui-même en eut le souffle coupé à la vue de la monstruosité sur laquelle l’homme refermait son poing.Puis il projeta l’image suivante, un mètre ruban, était étalé le long de la bite démesurée, elle attestait de l’incroyable longueur de 32 centimètres.

— Regarde bien cette monstrueuse bite madame Morris... Imagine cette bite d’âne coulissant dans ton étroite petite chatoune madame Morris! .... avançait la voix autoritaire— Dorénavant, l’image de cette bite démesurée dont est si fier monsieur Gibbons remplira ton esprit! ... Et tu t’imagineras l’effet dispensé par cette gigantesque bite lorsqu’il la frottera sur ton visage! .... ... Tu te demanderas les émois que tu ressentiras en la prenant en bouche! .... Etoufferas-tu lorsqu’il s’enfoncera dans ton arrière-gorge? ..... Crachoteras -tu à moitié étouffée lorsqu’il déversera des torrents de sperme dans ton arrière-gorge en se vidant ces énormes burnes noires? .... Imagine ce que tu ressentiras lorsqu’il t’offrira un onctueux masque facial avec tout le foutre qu’il a en réserve! ...... lui disait-il.

Richard remarqua que Mollway se laissait glisser de sa chaise la main gauche tendue vers l’adorable Julie relevant le bas de sa jupe alors qu’il continuait à triturer ses mamelons de sa main droite.— Et bien sur ma chère madame Morris tu t’imagineras copulant avec monsieur Gibbons, sa bite démesurée coulissant d’avant en arrière dans ta chaude petite cramouille distendue! .... lui suggérait Mollway tout en plongeant sa main sous la ceinture élastique de sa petite culotte de coton blanc.Richard nota que le corps de la charmante paroissienne tremblait, alors que le pervers bâtard lui branlait allègrement la chatte doigts plongés dans ses babines gorgées de sang.

— Tu en as envie madame Morris... Tu veux sentir la grosse bite noire de monsieur Gibbons plonger dans ta petite cramouille! ..... Tu veux la sentir coulisser dans ta caverne juteuse! ..... Tu le veux! ... Dis-le-moi, madame Morris! ... Dis-le-moi! .... intimait Mollway à la jeune femme tout en la branlant frénétiquement.— Oh oui... Ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii..... Je le veuxxxxxxxxxxxxx..... rétorqua-t-elle avec frénésie.En la voyant arquer les hanches vers le haut, Richard comprit que l’ignoble bâtard avait crée chez la ravissante Julie Morris un énorme besoin sexuel, ce fut encore plus évident lorsqu’il la vit se trémousser alors qu’il continuait à psalmodier :— Tu le veux! ..... Tu sais pertinemment que tu veux goûter à la grosse bite noire de monsieur Gibbons! .... Tu la veux dans ta petite chatte toute excitée! ...... 32 centimètres de chair noire! ...... 32 centimètres qui vont coulisser dans ta cramouille... Dedans dehors! ...... Encore et encore! ..... Et maintenant regarde cette nouvelle image qui te donne le diamètre de sa bite...... 9 cm de circonférence! ....... Une telle bite ferait la fierté d’un étalon! ...... tonnait-il.Se tortillant sur le sofa, l’innocente jeune femme avait besoin de jouir.

La semaine suivante, toute étonnée Julie trouva une enveloppe dans son sac à main, elle contenait une carte d’invitation blanche scindée en deux parties, la partie conservée portait les nom et adresse de monsieur Cecil Gibbons à Presswood.Son mari l’avisa alors, qu’à son insu, il avait organisé une petite excursion de pêche avec ses copains, c’est alors que son subconscient lui avait dicté de fouiller son sac ou elle avait trouvé cette invitation.Monsieur Gibbons, ce nom lui semblait familier mais elle ne parvenait pas à le replacer correctement.Elle s’efforça de chercher dans son esprit qui était ce monsieur Gibbons mais elle était incapable de se souvenir où et quand elle l’avait rencontré! ......

Alors qu’elle préparait le repas du soir dans la cuisine, Julie jeta un oeil sur la pendule et se demanda ce qu’elle avait bien pu faire depuis sa sortie de l’école élémentaire. Elle avait arrêté chez le blanchisseur, puis elle se rappelait s’être retrouvée dans sa cuisine.Secouant la tête, Julie se dit en elle-même :— T’as maintenant 30 ans ma vieille, tu vieillis et ta mémoire en a prit un coup! ...... mais en réalité, elle avait quelques suggestions qui couraient dans son esprit, profondément implantées dans son inconscient qui incluait la note qu’elle avait écrite de sa main avant de la poster.

Et ce message disait :

Cher monsieur GibbonsJe rêve de vous toutes les nuits et je me demande si vous pourriez remplacer mon mari absent dans mon lit.Ce dernier va aller pêcher un jour et une nuit en mer avec ses amis ce week-end, il partira le matin vers 7 heures. J’espère que vous pourrez le rendre visite pendant ce temps.Je joins une clef que j’ai fait dupliquer à votre intention.J’ai follement envie de vous.

Julie MORRRIS.

Samedi matin, une fois que la voiture de son mari eut quitté l’allée du garage et disparut de sa vue, Julie, comme en transe, traversa la cuisine et ouvrit la porte du garage.En ouvrant la porte du garage de son mari, elle jeta un oil dans la rue, puis se retourna après avoir verrouillé la porte et retourna dans sa chambre.Se rendant dans son cabinet de toilette, Julie sortit de la commode un long chemisier blanc et une jupe bleue marine et les étala sur son grand lit.Elle se brossa les cheveux, se mit un peu de rouge à lèvres, puis elle glissa ses bras dans les bretelles de son soutien-gorge de dentelle et tendit les bras dans son dos pour l’agrafer, puis elle s’habilla comme elle le faisait chaque week-end avant de se rendre à l’école primaire.Mais on était samedi, l’école était fermée, il n’y avait pas de classe de rattrapage, et elle n’avait aucune raison de s’y rendre.Après avoir enfilé une paire de hauts talons bleus marines, elle se regarda dans le miroir et se demanda :— Mais on est samedi! ... Pourquoi me suis-je habillée ainsi? ....Elle entendit alors un bruit dans le garage, comme une porte qu’on ouvrait et refermait, elle était saisie, puis elle se dit que ce devait être son mari qui avait oublié quelque chose et revenait le chercher.En entendant des pas résonner dans le vestibule, elle demanda :— Chéri... Est-ce toi? .....Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle vit dans le miroir de la coiffeuse un homme extrêmement viril s’encadrer dans l’encadrement de porte. Tendant une main tremblante, Julie l’interrogea :— Monsieur... Monsieur Gibbons? ....

— Tout à votre service ma chère madame Morris! .... Votre message disait que vous rêviez de moi toutes les nuits..... Etes-vous heureuse de me voir? ..... s’enquit alors l’homme à la porte de sa chambre.— Oh... Oui... Ouiiiiiii..... tremblait Julie en lui répondant les yeux fermés, haletante alors qu’il s’approchait lentement d’elle.Elle ignorait qu’un téléphone cellulaire équipé d’une petite caméra digitale reliée à un chargeur qui lui permettait de fonctionner selon la volonté de celui qui l’enclenchait, était stratégiquement disposée dans sa chambre à coucher, cette micro caméra avaient été posée à leur insu lors de la dernière visite d’un électricien, à la solde de Mollway, qui était sensé vérifier les circuits électriques.Elle retint son souffle en sentant les puissantes mais noires se poser sur ses épaules.

— Vous êtes vraiment ravissante madame Morris... Est-ce ainsi que vous vous habillez pour enseigner à votre école? ......— Euh, oui...... Répliqua Julie toute tremblante.Les puissantes mains lui caressaient maintenant les bras, puis elles redescendirent sur sa taille avant de lentement remonter vers ses nichons.— Oh... Oh...... Ohhhhhhhhhhhhhhh... haletait-elle alors que son suborneur triturait ses mamelons au travers du fin tissu de son corsage et de la dentelle de son soutien-gorge.— Détendez-vous madame Morris je ne fais que ce dont vous avez rêvé depuis des nuits et des nuits! ..... la calma-t-il.Quelques instants plus tard, comme ses mains palpaient la bosse déformant l’avant de son pantalon il lui demanda :— Dis-moi madame Morris, te rappelles-tu des photos montrant la taille de ma bite? ...— Oh oui..... trente...... Trente deux centimètres! .... susurra-t-elle d’une voix tremblante.

Il lui conseilla de s’agenouiller pour examiner sa virilité impatiente, Julie s’empressa d’obtempérer et tendit la main vers sa braguette.Elle ne trouva aucun sous-vêtement lorsqu’elle plongea sa main dans l’ouverture du pantalon, rien ne l’empêchait de palper la colonne charnue.Encerclant des doigts la base de la colonne de chair, Julie ouvrit des yeux comme des soucoupes alors qu’elle avait des difficultés pour sortir sa bite de son pantalon.Lorsqu’elle y fut enfin parvenue, l’épaisse monstruosité jaillit à quelques centimètres de son visage.

Agrippant son phallus à deux mains elle le sentait palpiter et battre entre ses doigts. Les paroles de Mollway dans son cabinet lui revinrent alors à l’esprit, une mentule de la taille de celle d’un âne! ..... Une bite qui, aurait empli de fierté un étalon! ..... Et voilà que cette bite d’âne se trouvait entre ses mains, elle se mit alors à le branler consciencieusement.Cette scène d’un haut niveau d’érotisme était retransmise et enregistrée à quelques kilomètres de distance. Julie Morris dans sa chambre conjugale... Agenouillée sur la moquette alors qu’elle branlait la queue d’un autre que son mari..... Un homme dont la bite faisait bien deux la taille de celle de son mari! ..... Une bite si grosse, si noire! .....

La main gauche serrant la base de la bite de monsieur Gibbons, elle réalisait tout en le branlant tendrement que la vue de son alliance et de sa bague de fiançailles devait vivement émoustiller son suborneur.Et effectivement la vie de son alliance et de sa bague de fiançailles serrés sur sa hampe avait sur lui le même effet que sur le pasteur Knowlton et le pasteur Mollway qui regardaient, ils étaient tous trois excités comme des poux.La bouche sèche, Julie hésitait sur ce qu’elle devait faire ensuite lorsqu’il l’interrogea :— As-tu déjà sucé une bite auparavant ma chérie? ....

— Nnnn... Non..... répondit-elle misérablement, mais soudain elle se coupa, son esprit lui soufflant le contraire.Provenant des profondeurs de son inconscient une voix lancinante lui susurrait :— Tu as déjà sucé des bites auparavant..... Tu sais comment t’y prendre pour faire plaisir à un homme avec ta bouche..... Pointe le bout de ta langue et regarde monsieur Gibbons droit dans les yeux..... Tous les hommes adorent voir une adorable jeune femme agenouillée entre leurs cuisses les regardant droit les yeux tout en cajolant leur phallus! ...... Leur esprit est ravi de savoir qu’elle va lécher le méat de leur gland! ....Elle lui prodigua rapidement une caresse de la langue avant d’ouvrir la bouche en grand pour envelopper le bourgeon de ses lèvres purpurines.

Richard Knowlton, avait vu comment le pasteur Ralph Mollway avait initié sa ravissante paroissienne aux enivrantes techniques fellatoires, puis il avait goûté les lèvres de la charmante apprentie sur son propre pénis avant d’éjaculer un torrent de foutre au fin fond de sa gorge asservie.Et maintenant la vue de cette adorable jeune femme suçant une énorme mentule noire lui procurait un spectacle enthousiasmant, d’autant plus excitant qu’elle arborait alliance et bagues de fiançailles, cette alliance qu’il avait lui-même bénie deux plus tôt.

Elle serrait les lèvres sur cette monstruosité noire qui lui emplissait la bouche la main gauche courant sur la colonne de chair tout en le fixant droit dans les yeux.Ses idées étaient confuses, des pensées contradictoires envahissaient son esprit, tout d’abord l’impression de se livrer à des gestes déplacés, mais elle continuait néanmoins à flatter le méat suintant du bout de la langue, alors qu’elle tenait fermement la bite de sa main droite.Des pensées coupables la tourmentaient :— Oh mon Dieu... Que suis-je en train de faire ? ......— Oh mon Dieu..... Elle est encore plus grosse que la bite dont je rêve chaque nuit! ....— Comment puis-je faire cela avec un autre que mon mari! ....— Humm.. Je me demande bien quel goût a le sperme de monsieur Gibbons? ....— Et c’est moi qui l’ait invitée à me rencontrer! ....— Je lui ai même fait dupliquer une clef que je lui ai envoyée! ...— Comment puis-je me conduire de façon si dépravée! ......— Ohhhhhh, ses burnes sont si grosses! ....

Quant à Cecil Gibbons il voyait là se réaliser son rêve le plus salace : se faire sucer par une rouquine appliquée à la tâche.La première fois qu’il avait vu une photo de cette succulente jeune femme sur l’album souvenir du site internet de la congrégation, Cecil avait été décidé de la sauter...... Et ce de façon permanente, peu lui importait le coût! ......Loin d’être un type en vue, Cecil savait qu’elle ferait jaser les chalands lorsqu’il se promènerait à son bras. Le fait qu’elle enseigne dans une classe primaire rendrait ses copains gagas! ......De plus le fait qu’elle ait été mariée à un autre homme, un cornard de blanc, renforçait sa joie lorsque les nombreux jaloux apprendraient qu’il l’avait détournée de cet abruti de mari blanc.

Mais pour l’instant, sachant que ce vieux salaud d’Hollway et peut-être même son jeune acolyte blanc pasteur de la jeune femme observaient sa performance, il ne put résister à les railler ironiquement :— J’ai appris que tu avais été initiée à l’art de la fellation, il y a une paire de semaines, par deux hommes avec des petites bites ! .... Des saucisses minuscules comparées à l’éclair au chocolat que t’as maintenant en pleine bouche, he, he, he! .....Les deux pasteurs avalèrent leur salive tant ils étaient gênés de la comparaison, pourtant leurs bites étaient loin d’être minuscules, évidemment, comparées à cette monstruosité! .....En fait leurs deux bites réunies n’égalaient en longueur le chibre de Cecil Gibbons.Richard et Mollway regardaient tous deux avec intensité, mâchoires serrées, les yeux rivés sur cette somptueuse beauté, si innocente et fidèle auparavant, sucer avec avidité l’extrémité de l’énorme bite noire de son invité comme si elle ne pourrait jamais s’en rassasier.Quelque chose au fin fond de l’esprit de Julie l’obligeait à dispenser le plus grand plaisir à son amant.La façon qu’elle avait de le regarder pour vérifier si elle le satisfaisait pleinement alors qu’elle le suçait consciencieusement excitait d’autant plus les deux pasteurs qui se branlaient vigoureusement devant ce spectacle hautement pornographique.— Oh oui, c’est ça madame Morris... Comme ça...... Et maintenant suis la hampe..... Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiii...... l’encourageait son hôte assis bien installé dans sa chambre.

Les yeux rivés sur l’écran ils continuaient à l’observer dispensant cette magnifique fellation à son invité dans sa chambre conjugale, la jeune femme semblait se régaler de la monstruosité noire dont elle parvenait à gober le gland.Avec une de ses menottes elle serrait la base de sa bite comme si elle tenait une bâte de base-ball, il subsistait encore une bonne vingtaine de chair noire en dehors de sa bouche, mais petit à petit son chibre disparaissait dans la bouche de la chaude salope alors qu’elle approchait la tête de son pubis.Et maintenant la chevelure rousse montait et descendait tandis qu’elle lui dispensait une gorge profonde, avalant sa bite animalesque loin dans son arrière gorge.

Ebahis, ils virent les lèvres de l’adorable Julie toucher le dos de sa main serrée tout conte ses burnes, ce qui indiquait qu’elle était parvenue à avaler son monstrueux chibre dans sa quasi-intégralité, il devait être enfoncé profondément dans on arrière-gorge.Mollway et Richard pensèrent tous deux que c’était un véritable exploit pour une suceuse aussi inexpérimentée jamais ils n’auraient pensé qu’elle puisse y parvenir, bien au contraire ils auraient craint tous deux qu’elle s’étouffe s’il forçait son arrière-gorge.Elle les surprit encore plus lorsque, enlevant sa main droite posée à la racine de sa bite, elle termina son oeuvre en absorbant les quelques centimètres de chair restant, enfouissant son nez dans toison crépue.

— Ooh, oui, chérie! .... Ohhhhh, Madame Morris..... Ouiiiiiiiiiii..... Ohhhhhhh chérie t’es vraiment une bonne petite suceuse! .... haletait Cecil une main enfouie dans sa longue chevelure rousse.Poussant des hanches vers l’avant, il s’enfouit de quelques nouveaux centimètres s’enfonçant à l’orée de son osophage.Puis il sentit son ventre heurter la main de la jeune femme refermée à la racine de sa mentule.— Enlève ta main ma chérie..... Je veux m’enfoncer entièrement dans ta gorge! .... Allez chérie... Tu peux le faire! .... l’encourageait Cecil.A peine eut-elle entendu cet ordre, après un instant d’hésitation, la nerveuse jeune femme lâcha la colonne de chair sachant qu’il allait enfouir totalement sa monstruosité dans sa gorge.

Le nez planté dans sa toison crépue, l’adorable Julie Morris frottait son visage contre son pubis, les deux spectateurs eurent tous deux la même pensée alors qu’ils s’émerveillaient :— Mon Dieu, son mari voudra-t-il encore d’elle si on lui envoie des photos de cette fellation dans leur chambre conjugale..... Quel savoureux contraste entre chair blanche et chair noire......

Pendant les quelques minutes qui suivirent, les spectateurs virent que la jeune femme poussait sur les cuisses de son amant comme si elle voulait extraire son énorme mentule de son osophage.Mais ses mains puissantes posées sur sa nuque lui interdisaient tout recul, elle toussait et crachotait alors qu’il enfonçait ses derniers centimètres dans son osophage.— Ah... A ... A ... A... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah.... Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Cecil clamait son triomphe bien installé dans la chaleur de son arrière-gorge alors que son corps d’ébène frissonnait de tous ses membres.

Il devint alors évident que si elle tortillait de cette manière, alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites, c’est qu’elle évidemment incapable de respirer avec cet obélisque planté dans l’osophageHeureusement Cecil Gibbons eut pitié d’elle et se retira de sa bouche se soulageant d’un déluge de foutre sur son menton, un fleuve de semence lui couvrit alors le visage.L’innocente institutrice d’école élémentaire n’avait sûrement jamais rempli ce rôle de réceptacle à foutre, elle n’avait jamais reçu un tel torrent de foutre qui lui couvrait le visage, le menton et le haut de son corsage.

Agenouillée sur la moquette de sa chambre elle haletait tout en levant les yeux sur son suborneur qui s’asseyait maintenant sur le petit fauteuil tout en se branlant machinalement.Lentement elle se releva et se posta devant son invité qui ranimait sa bite, Julie entreprit alors de déboutonner de son chemisier souillé de foutre, exactement comme le lui avait prescrit le pervers moine en implantant ses ordres au fin fond de son inconscient la semaine précédente.Puis, se servant d’une partie intacte de son chemisier elle s’essuya son menton et son visage empesé avant de défaire les boutons de sa jupe.Elle jeta son chemisier au sol et tendit alors le bras pour dégrafer les clips de son soutien-gorge dans son dos.

Son soutien-gorge défait, surmontant maintenant son chemisier au sol, Mollway se pourlécha les babines alors que la charmante jeune femme se débarrassait de ses hauts talons puis roulait sa petite culotte de dentelle sur ses hanches.Cela formait un bon petit clip pensait Mollway alors qu’il indiquait au pasteur Knowlton :— Lorsque j’ai interrogé son cornard de mari, j’ai implanté une suggestion hypnotique l’amenant à se demander ce que pouvait bien faire sa charmante femme lorsqu’il n’était pas là..... Avec ce sortilège, imagine sa réaction si on le faisait visionner cette scène de sa femme suçant une énorme bite noire avant de se foutre à poil! .... Mais regardons! ....

Richard Knowlton ne pouvait détourner les yeux de l’écran observant interdit la jeune femme qu’il avait mariée à Ken Morris se tenant sans aucune honte entièrement nue devant Cecil Gibbons qui se branlait caleçon baissé sur les genoux.Quelques secondes plus tard, les menus doigts manucurés empoignaient l’épaisse colonne se démenant pour lui rendre sa bandaison démesurée.Il était certain que si Ken Morris voyait ces images de sa ravissante épouse ramenant à la vie un énorme chibre avant de l’attirer dans leur lit conjugal elles s’imprimeraient de façon définitive dans son esprit.
La captivante Julie Morris était étendue sur son lit conjugal, jambes en l’air, grandes écartées, il était tout à fait évident que cette ensorcelante jeune femme inexpérimentée ne s’était jamais fait bouffer le gazon alors qu’elle haletait :— Que... Que me faites-vous? .... Je vous en prie..... S’il vous plait..... J’ai trop envie..... Prenez-moi...... J’en ai besoin! ....Son embarras transparaissait sur son visage lorsqu’il lui dit :— Je vais tout d’abord te bouffer ton enivrante petite chatte rousse! .... — Ohhhhhhhhhhhhhhh... Mon DIeuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... miaula-t-elle toute à son émoi.

Elle empoigna ses cheveux crépus et serra ses cuisses nacrées sur son visage couleur ébène pressant son visage contre sa toison, l’adorable jeune femme se cambrait de plaisir pour mieux éprouver les caresses habiles de la langue se promenant dans sa cramouille affolée.— Oh mon Dieu..... Oh, mon Dieu...... Oh mon Dieuuuuuuuuuuuuu...... rugissait-elle affolée.— Oh oui..... Oui..... Lèche ma foufoune..... Mange moiiiiiiiiiiiiiiiii..... Oh mon Dieu..... Oh, oui...... Que c’est bonnnnnnnnnnnnnnn... gémissait-elle alors que son corps et son esprit succombaient à un premier orgasme fracassant.

L’ensorcelante jeune femme revint sur terre alors que son amant se mettait en bonne position, il tenait ses chevilles dans ses mains.Mollway poussa du coude Richard qui se tenait à ses cotés, l’invitant à savourer ce qui allait suivre, il lui dit :— Regarde ce qui va se passer lorsque Cecil Gibbons lui annoncera ses intentions en utilisant la phrase clef que j’ai implantée dans son esprit ce qui cassera son hébétude et la fera reprendre pied dans la réalité......La bite postée à l’orée de sa grotte enfiévrée, les chevilles fermement tenues, Cecil Gibbons sourit avant d’énoncer la phrase magique.— Madame Morris, je vais faire de toi ma petite chienne de blanche! ....C’était une phrase qui normalement ne devait pas se dire en sa présence, elle servait à la ramener sur terre, et là elle brisait le charme elle constatait qu’il ne s’agissait pas d’un rêve, mais d’un évènement qui se déroulait véritablement dans le grand lit de leur chambre à coucher conjugale.Les yeux clignotant, incrédule le suppliait maintenant frénétiquement— Non... Non... Je ne veux pas..... S’il vous plait non..... Pas ça..... Non..... NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN.....Sa plainte se terminait sur un ton suraigu trahissant sa douleur alors qu’il introduisait son épais bourgeon noir dans sa petite chagatte si étroite, distendant sa foufoune comme jamais elle ne l’avait été.

— CESSEZ..... ARRETEZZZZZZZZZZZ..... S’il vous lait..... Non...... C’est VIOL..... Arrêtezzzzzzzz..... Je vous en supplie..... Je n’ai jamais trompé mon mari! ..... s’époumonait JulieMais ses supplications étaient vaines, l’épaisse colonne de chaire s’enfonçait irrémédiablement dans sa cramouille affolée, il l’élargissait quasiment au point de rupture.— Arrêtez... Je vous en prie..... J’ai mal... Si mal..... Oh mon dieu... Vous me pourfendez en deux! ..... Je vous en prie..... S’il vous plait..... Je ne veux pas..... C’est un viol! .... Arrêtez... Je vous en prie... Arrêtez...... Je vous en supplie! ..... sanglotait-elle horrifiée.

Cecil se réjouissait de la sentir lutter pour se libérer, son ravissement de posséder son enivrant corps blanc n’en était que plus grand.— Oh madame Morris, t’es si étroite..... Aussi étroite qu’une pucelle! .... Ah, oui... Je vais dévaster ta chatoune! .... Tu ne sentiras plus que ma grosse bite après ça! ..... Tu ne sentiras plus jamais plus la rachitique saucisse de ton cornard de mari lorsqu’il voudra te posséder! ..... sifflait Cecil alors qu’il pénétrait maintenant des territoires vierges de toute intromission, hors de portée de la bite de son malheureux époux.— Owwwww... Owwwwwwwww..... Ohhhhhhhhhh..... Nonnnnnnnnnn... criait la jeune femme éperdue.

Témoins du viol de la ravissante jeune femme, les deux pasteurs se branlaient frénétiquement au travers du tissu de leurs caleçons, ils auraient tous deux souhaité se trouver entre les cuisses de l’ensorcelante proie, à la place de Cecil.Ce dernier leur offrait un véritable spectacle, extrayant d’abord ses 32 cm de la chatoune dévastée de la malheureuse avant de l’enfouir à nouveau dans ses profondeurs intimes.Le colosse noir accélérait le rythme de ses coups de boutoir, la monstruosité noire la pilonnait allègrement à la vitesse d’un marteau piqueur.

Sa malheureuse victime poussait des cris et des sanglots alors qu’elle essayait de lui donner des coups de pieds de le repousser de ses eux mains appliquées contre son torse.Mais soudain la situation changea d’aspect alors que Cecil se courbait pour lui mordiller le lobe de l’oreille lui susurrant le mot magique qui la confinait dans un profond état de stupeur hypnotique :— PPBN... le sigle de Pouffe Pour Bites Noires.

Sa révolte cessa instantanément, elle cessa de le repousser, elle se mit à caresser sa musculature dorsale de ses petites mains manucurées de prêt alors que ses cuisses se firent accueillantes, elle ne tarda d’ailleurs pas à les verrouiller dans son dos, s’arquant pour mieux profiter de sa vigueur.
Les cris et les pleurs avaient cessé, ils étaient maintenant remplacés par des suites de halètements extasiés.— Faites-moi l’amour..... aimez-moi... Plus profond..... Encore plus profond..... Plus vite... Plus vite......Une union frénétique se tenait sur le lit conjugal, seulement ce n’était pas entre mari et femme comme l’annonçait le dominateur noir :— Je vais t’engrosser salope! ... Je vais t’engrosser sur le lit que tu partages habituellement avec ton mari! .....— Ahhhhhhh..... Ahhhhhhh..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiisssssss..... miaulait alors la ravissante beauté.Puis à voir l’énorme bite noire profondément implantée en elle, les muscles noirs du fessier de l’homme se crisper et se tordre, il fut évident que le solide gaillard emplissait sa chatoune distendue d’un torrent de foutre chaud.

Quelques instants plus tard, tout était calme et tranquille dans la chambre des Morris alors que le grand corps du colosse noir restait étendu sur le corps de sa somptueuse partenaire blanche.Finalement Cecil Gibbons roula sur le flanc permettant à la caméra du portable de capturer l’effarant spectacle de sa bite d’âne sortant de la chatoune distendue de sa jeune maîtresse.Sa bite luisante, couverte de taches de sperme, centimètre après centimètre, réapparut à l’air libre avant qu’enfin, avec un plopsonore l’énorme gland sorte de la petite chatte endolorie, tout de suite suivi par un flot de crème épaisse.On aurait dit un puits de pétrole bouillonnant sauf que la cramouille de Julie rejetait un bouillonnant trop plein de semence.18 heures plus tard, la fenêtre de la chambre des Morris était grande ouverte pour aérer la pièce et dissiper la lourde odeur de rut qui l’imprégnait.C’était presque un évènement après cette nuit de baise non-stop à laquelle s’était livrée la paisible jeune femme et son amant noir.Non seulement Julie avait rebondi d’orgasme en orgasme, mais elle avait appris énormément de nouvelles façons de plaire à un homme, comme celle de se faire bourrer le trou du cul, ou même d’agripper le fut frémissant entre ses plantes de pied pour le branler.Mais sa position favorite était celle de la levrette et celle où elle enfourchait son amant pour conduire elle-même la manouvre avant qu’il n’explose au pus profond de son utérus fertile.

Dès ces moments, Cecil Gibbons, désira fortement que cette ensorcelante rouquine soir sienne définitivement, il trouvait que le plan ourdi avec Mollway se déroulait trop lentement, il devrait attendre l’année prochaine pour le voir aboutir.Cecil connaissait le pouvoir de l’argent, et la suggestion de faire une importante donation au PPBN lui paraissait le meilleur moyen de faire avancer ses projets, même si le divorce de ce couple modèle ne pourrait que créer des remous dans la communauté de Presswood.Serrer son enivrante dulcinée entre ses bras impressionnerait certainement les salopards qu’il côtoyait, ils regretteraient tous de ne pas être dans ses chaussures.

Les choses s’accélérèrent subitement lorsque le pasteur Knowlton demanda à Ken Morris de donner son avis au conseiller marital sur la réussite incontestable de son mariage.Mollway avait alors hypnotisé le malheureux époux, lui intimant de briser rapidement son mariage avec son adorable épouse.Dès cet instant, chaque nuit la photo qu’il avait visionnée, sous état d’hypnose, dans le bureau du conseiller matrimonial lui revenait à l’esprit.Et lors de la séance suivante avec Julie Morris, quelques temps plus tard, il implanta de nouvelles suggestions dans son subconscient lui enjoignant de prendre rendez-vous, avec Cecil Gibbons, dans l’hôtel le plus proche... Les choses étaient maintenant en place pour le prochain scoop......Ce jeudi après-midi, après les cours, Julie se faisait prendre en levrette par Cecil qui lui emplissait la chatte de sa chaude semence, ce n’est qu’une fois de retour chez elle qu’elle enleva sa petite culotte trempée de foutre.Elle utilisa le sous-vêtement souillé pour s’essuyer la chagatte d’où s’écoulait sur ses cuisses des ruisselets de foutre.Roulant alors en boule la petite culotte glaireuse et la cacha au fond du panier à linge sale, avec l’idée de la laver ce week-end quand elle se rendrait à la laverie.Mais, à son insu, ce plan avait été implanté dans son esprit par le démoniaque pasteur qui maîtrisait son esprit lors de sa dernière séance à son bureau de conseiller conjugal.

Après s’être changé à son retour du travail, Ken Morris ouvrit le panier à linge sale et y déposa sa chemise sale.Mais quelque chose profondément implanté dans son subconscient lui suggéra de fouiller le panier, d’y chercher la petite culotte de sa femme qu’il l’avait vue enfiler tôt le matin-même.Il n’avait aucun doute sur le fait qu’il allait la trouver, bien que sa femme ne prenne sa douche qu’avant d’aller se coucher, mais il suspectait qu’il se passait quelque chose de louche.Il la retrouva roulée en boule au fond du panier à linge, il grimaça alors et frémit de dégoût en l’étudiant attentivement.Le portant à ses narines, il respira la profonde et prégnante odeur de sperme mâle qui l’imprégnait ce qui ne fit que conforter sa trouvaille de mares aussi suspectes que glaireuses empesant l’entrejambe.

Le samedi suivant au lieu d’aller travailler, il prétexta avoir projeté une partie de pêche avec ses copains, il avait donc enfilé sa tenue de pêcheur et était parti aux heures habituelles.

Il roula sans but, au hasard, puis revint chez lui et se gara dans l’allée du garage, projetant de prétendre qu’il avait oublié une partie de son matériel.Cependant, il était devenu évident dans son esprit, et il le tenait pour sur, qu’elle avait un autre homme dans sa vie.— Le trompait-elle avec un voisin? ...... Est ce le jeune facteur qui l’avait séduite? ...... Etait-ce quelqu’un qu’il ne connaissait pas ? ..... se demandait-il furieux d’être cocu.

Un peu pus tard, il ouvrait calmement la porte de devantet la refermait silencieusement dans son dos il jeta un coup d’oil circulaire mais ne vit rien d’inhabituel dan s le hall et le salon.Il n’y avait aucun bruit et il commença à se demander si Julie était retournée au lit bien qu’elle ait manifesté l’intention de s’habiller pour aller prendre un café avec ses amies, c’est du moins ce qu’elle lui avait dit lors de son départ.C’est alors qu’il entendit du bruit dans le vestibule, il chercha alors la source du bruit, on aurait dit des vagissements entrecoupés de miaulements, bientôt il comprit que ces bruits provenaient de leur chambre conjugale, c’est alors qu’il comprit que c’était sa femme qui émettait ces bruits incongrus.- Aahh..... Ahhh...... Aahh..... Aahhh! ..... grognait Julie alors que l’énorme queue de son amant noir coulissait dans son vagin. — - Oh... Oui..... Oui...... Plus vite... Encore..... baise-moi en profondeur! ..... l’encourageait-elle tendrement.

Elle se tortillait sur son lit conjugal au rythme des allées et venues de l’énorme monstruosité de son suborneur noir dans sa cramouille embrasée.Ses yeux s’écarquillèrent d’horreur à la vue de l’homme qui se tenait dans l’entrée de la chambre, un visage qu’elle reconnut immédiatement.C’était son époux fou de rage et cependant frappé par la foudre qui la regardait avoir sa petite affaire adultérine avec son amant, il fixait rageusement Cecil Gibbons qui continuait, à coulisser allègrement dans le vagin de sa femme infidèle.

Inutile de dire qu’après cela le mariage de l’adorable Julie Morris fut détruit.Ken Morris avait projeté d’obtenir le divorce à son bénéfice, il ne voulait rien laisser à son ex femme qui l’avait si cruellement cocufié, mais son plan fut rapidement hors de propos le lendemain lorsque deux brutes noires l’attirèrent dans un coin du parking sur son lieu de travail et le tabassèrent violemment le rouant de coups avant de la balancer sur son siège
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