Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 55 J'aime
  • 5 Commentaires

Pat et Mandy

Chapitre 2

Inceste
Je ne réponds pas. Nous entrons dans le restaurant thaï et commandons les même plats, potage aux crevettes puis poulet épicé au lait de coco et à la coriandre fraîche. Je sélectionne un verre de Sancerre blanc pour Mandy et de l’eau pétillante pour moi.
— Tu ne prends pas un verre toi-aussi ? Même pas ça ? demande-t-elle, interloquée.— Même pas, non. Comme pour les cigarettes, c’est trop présomptueux de croire qu’on peut reprendre « un peu » sans replonger. Et ça, je n’y tiens pas, je suis passé trop près.— C’est vrai. Pardon, Pat.
Je souris ; elle a gardé cette manie de m’appeler Pat, ou Patrick, comme Nastya. En fait, ses premiers mots audibles étaient maman et Pat. Je trinque avec elle et nous mangeons en silence, respectant les pensées moroses de l’autre. Mais je vois aussi que le doux visage de Mandy s’assombrit peu à peu.
— Essaie de ne pas ressasser, ma puce. Concentre-toi sur le présent.— J’ai vu que le serveur enlevait une assiette quand nous sommes arrivés. Tu avais réservé pour trois. Et pourtant tu n’as jamais aimé Serge.— Tu l’aimais, c’était tout ce qui comptait pour moi. Je ne lui faisais pas confiance, je crois.— Et tu avais raison. Que j’ai été conne, bon dieu. Et si tu m’avais donné tes impressions sur lui...— Je ne l’ai pas fait, je ne me m’en sentais pas le droit. Tu venais de perdre ta mère et tu cherchais du réconfort.. Tu en as trouvé avec lui, c’est tout ce qui m’importait.— Oui... Sans compter que si tu m’avais dit que tu te méfiais, je t’aurais rembarré...— Probablement. Et même pire. Tu as hérité du tempérament de Nastya, et il fallait parfois mettre le gilet pare-balles quand elle explosait.— Pat, arrête avec ça. Tu pleures. Arrête, s’il te plaît...— Désolé. Je te fais pleurer aussi. Quel père pitoyable tu as. Alcoolo, faible et....— Stop ! Je n’aurais pas voulu avoir un autre père, jamais de ma vie. Tu as été, tu es génial et je t’aime. Tu n’es pas obligé de te déguiser en Iron Man, tu sais.
Nous partons peu après, je suis déprimé et Mandy commence à subir les effets du décalage horaire. Elle se serre contre moi et c’est enlacés que nous revenons à l’appartement. Elle file se doucher après m’avoir embrassé, nous savons tous les deux qu’elle est capable de passer une heure sous la douche, tant que l’eau est chaude et parfois même au-delà. Je me couche tout de suite, le lit me semble trop grand, trop vide ; j’éteins la lumière, les yeux grands ouverts dans le noir. Seule l’heure du radio-réveil perce l’obscurité d’une teinte verte. Je glisse dans le sommeil en entendant Mandy chantonner une berceuse russe dans la salle de bain. Je souris, apaisé. Ma princesse est de retour.
Un léger bruit me réveille, Mandy est debout près du lit, elle vient d’allumer une applique murale et me regarde d’un air suppliant, ses mains empoignent le maillot de rugby qui lui sert de chemise de nuit et le tordent nerveusement. C’est moi qui le lui ai offert il y a un an, un maillot rose du Stade Français frappé du numéro 10 de Jules Plisson.
— Je peux dormir avec toi ? Je me sens mal, seule, idiote, nulle.— Euh... Je suis nu, Mandy. Attends, je vais passer quelque chose.
— Je m’en fous, ne bouge pas ! Et merci, Pat.
Et elle se glisse dans le lit, sa tête vient se poser sur mon épaule, sa main gauche, légère comme un oisillon, glisse dans la toison drue de ma poitrine.
— C’est plus agréable que mon vieux Teddy bear, quand même. Et pose ta main sur mon dos, je ne suis pas en sucre. Cette nuit, je veux sentir que je suis aimée, serre-moi contre toi... Voilà !
Elle soupire et colle son corps tiède et doux contre le mien. Je réalise que je suis bien, pour la première fois depuis qu’Anastasia est partie. Sans le savoir, Mandy s’est positionnée comme le faisait sa maman, au chaud, en sécurité dans le creux de mon épaule. Sa respiration s’apaise lentement, un petit souffle régulier que j’écoute avec ravissement, moment de grâce et de paix.
Lorsque je m’endors à mon tour, c’est avec l’âme sereine. Ce corps menu contre le mien, ce cœur qui bat paisiblement à l’unisson, ce souffle tiède qui balaie mon torse, sont le baume qui soigne mon esprit malade.
À mon réveil, je réalise aussitôt que je ne suis pas seul. J’ai une trique matinale carabinée, d’autant qu’une main caresse lentement le fût tendu à l’horizontale. Je me demande juste un instant si Mandy est éveillée, car elle susurre, d’une voix un peu rauque mais indéniablement taquine :
— Bonjour, Pat. J’ai l’impression que tu émerges d’un rêve érotique bien chaud...— Bonjour, ma puce. Tu devrais arrêter ça, je n’en suis pas encore à faire l’amour à ma fille.— Tu ne me trouves pas assez belle pour toi ? rétorque-t-elle en caressant mes testicules.— Oh si, tu es belle. Mais tu es aussi ma fille, et je n’ai pas envie de...— Ce n’est pas ce que dit ton corps. Dis donc, j’ai l’impression que tu es vraiment énorme.— Mandy, s’il te plaît. Tu le regretteras, et moi aussi. C’est de la folie, nous sommes dans une mauvaise passe mais il ne faut pas.— D’accord, mais si je te taillais simplement une pipe ? Mon connard d’ex était un excellent prof...— Mandy, si tu continues tu vas recevoir une fessée.
Elle est prise d’un tel fou rire qu’elle interrompt ses caresses, puis elle se soulève, fait passer son maillot de rugby au-dessus de sa tête et m’adresse le sourire le plus angélique qui soit.
— Oh oui, une bonne fessée pour la vilaine Amandine qui embête son papounet !
Que voulez-vous que je fasse ? Je ris aussi. Elle est trop belle, trop fraîche, trop candide malgré ses gestes et ses outrances de bimbo obsédée de sexe. Elle se laisse à nouveau glisser contre moi et pose sagement sa main sur mon torse, agaçant mon mamelon droit.
— Tu n’en as pas envie, alors.— Tu plaisantes, j’espère. J’en ai une envie monstrueuse, oui. De te culbuter et de te prendre, ici et maintenant. Mais je persiste à penser que ce serait une très mauvaise idée.— Tu crois que ton amour pour moi ne résisterait pas, ou un truc comme ça ? Parce que, le tabou de l’inceste, c’est surtout religieux, non ?— Ce n’est pas que religieux, c’est aussi et surtout un tabou social et moral.— Tu te rappelles Clinton et son « sucer, ce n’est pas tromper » ?
Mais où elle va chercher tout ça, avec ce minois innocent en prime... Et ma queue qui reste congestionnée et raide à faire mal...
— Tu as peur de quoi ? insiste-t-elle. Que je ne me rappelle plus que tu es mon père ? Que je ne t’aime plus comme un père mais comme un amant ? Que je veuille vivre avec toi maritalement ?— Un peu de tout ça, j’avoue. Non ; en fait, je sais bien que tu es solide dans ta tête, que tu proposes ça pour m’aider, parce que tu m’aimes et que tu es prête à te sacrifier…— Me sacrifier ? Mais non, j’en ai envie moi aussi, je voudrais que tu me bouscules et me prennes tout de suite, je suis toute mouillée d’envie. Mais je suppose que tu vas refuser encore. Je suis désolée, je suis trop conne.
Et elle se met à pleurer silencieusement, de grosses larmes qui coulent sur mon épaule, qui me nouent les tripes. Je caresse sa blonde chevelure et cherche mes mots, en vain. Je me soulève un peu pour embrasser son front, ses joues, buvant le fruit salé de sa tristesse. Mes yeux plongent dans les iris noyés et brillants de souffrance, une souffrance qui reflète la mienne et l’amplifie. Ses lèvres s’écrasent sur les miennes, nos dents s’entrechoquent alors que nos langues s’enlacent.
C’est un baiser irréfléchi, violent, entre deux êtres mus par le désespoir. Mandy gémit comme j’explore sa cavité buccale, jouant et gouttant sa salive. Je me recule enfin et la voit reprendre son souffle, ses yeux troublés éperdus d’amour comme ses lèvres entrouvertes gonflées témoignent de son émoi profond.
— Tu es sûre, ma puce ? Nous pouvons tout arrêter, tu sais.— Je sais. Non, je ne suis pas sûre du tout. Mais j’ai désespérément envie qu’un homme me prenne, me cajole, me guérisse, me comble.— Dieu me pardonne, j’ai envie de me perdre en toi comme je n’ai plus ressenti cela depuis si longtemps…— Laisse Dieu au ciel, et décroche le septième pour moi, s’il te plaît.
Elle glisse sur mon torse qu’elle parsème de baisers humides et je ne résiste plus. Elle embrasse mon sexe dressé, décalotte le gland qu’elle lèche comme elle ferait d’une glace, puis l’embouche. Comme un gamin, de voir ses lèvres gonflées de nos baisers gainer mon pieu turgescent me fait presque éjaculer. Je suis obligé d’intervenir.
— S’il te plaît, arrête sinon je vais t’inonder, je suis près d’exploser.— Trop longtemps à jouer au moine, c’est normal, juge-t-elle, une lueur coquine dansant dans ses prunelles. Viens, j’ai envie de te boire. Dis-moi, tu es monté comme Rocco, au moins ! Je n’ai pas une grande expérience mais je crois que je vais aimer.
Sur un clin d’œil elle m’avale presque à fond, jusqu’à l’instant où je sens mon gland buter contre le fond de sa gorge. Elle déglutit alors et avance jusqu’à toucher mon pubis. Là, elle pompe et lèche ma lourde colonne de chair, les mains sur mes hanches me collant à elle. Comme si j’avais eu envie de partir ! Je tremble un peu, je tremble comme la jouissance m’envahit.
— Chérie, je… Tu n’es pas obligée…
Elle se recule et inspire fort, le visage rougi, et reçoit dans se bouche ma semence en rasades épaisses qui semblent ne jamais cesser. Les yeux dans mes yeux, elle accepte tout et déglutit, bouche grande ouverte, avant de lécher le méat en récoltant quelques gouttes blanchâtres. Puis elle se redresse avec grâce pour s’allonger à côté de moi, cuisses impudiquement écartées sur son intimité nacrée et délicate. La tête posée sur un oreiller, elle sourit rêveusement et glisse les mains sous sa nuque, les plongeant dans la masse de sa chevelure emmêlée.
Je me glisse lentement entre ses jambes. Je suis un peu nerveux, ma fille s’offre sans afféterie à moi. Je ne veux pas la décevoir, cet instant est magique et ne se reproduira sûrement jamais. Je caresse l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est si douce, je souffle sur les fins poils qui ne masquent pas les replis de sa conque rose.
Elle tremble de la tête aux pieds quand ma langue se glisse entre les lèvres dans la moiteur carminée de son vagin, elle pousse un long gémissement mêlé de soupirs lorsque son bouton d’amour roule puis est aspiré entre mes lèvres. Je ralentis le rythme, comprenant que sinon elle jouira trop vite. Je pose les mains à l’intérieur des cuisses pour les écarter largement, mes doigts ouvrent ensuite la vulve délicatement rose et dévoilent crûment le puits d’amour dans lequel je rêve de m’engloutir. J’y glisse la langue aussi loin que je peu et un orgasme balaie Mandy, son bassin décolle du lit mais je reste soudé à elle, j’aspire à nouveau le clitoris et le tète, enfonçant deux doigts crochés dans le sexe bouillonnant.
Qu’elle est belle quand elle jouit ! Un liquide brûlant et iodé inonde ma bouche, je le lape avec joie, continuant à baratter son sexe torride et maintenant Amandine sur une vague d’orgasme qui la font trembler et crier. Puis je sens qu’elle n’en peut plus et je me retire, elle s’écroule alors sur les draps froissés, sa cage thoracique se soulève au rythme de sa respiration hachée. Je viens poser ma tête à son côté et nous nous sourions, apaisés et heureux.
— Alors, Mister Clinton, cette pipe ?— Miss Lewinsky, vous êtes une des plus douées de votre génération. Merci beaucoup.— Vous m’avez déjà remerciée, et c’était… parfait.— Pour la douche, tu y vas ? Je m’occupe du petit déj. Et ensuite je file bosser.— Forçat ! Tu ne peux même pas rester avec ta fille chérie ?— Pas aujourd’hui ; tu sais que j’arrête vendredi, plus que deux jours avant les vacances. Alors il me faut être sérieux.
Diffuse en direct !
Regarder son live