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Paul

Chapitre 5

Inceste
V. - VERS DE NOUVELLES PRATIQUES ?
Paul avait tellement mangé qu’il se croyait proche de l’éclatement. Chloé qui elle ne s’était pas privée sur les vins de son beau-père, s’amusait beaucoup et commençait à avoir des envies pressantes de se faire sauter. Paul le sentait et son bermuda commençait à se déformer, il était tant qu’ils sortent de table. Geneviève et Folkert se chargèrent de débarrasser le table et faire la vaisselle, Martin partit voir son cousin Louis et Paul et Chloé entreprirent de vider leur coffre de voiture aidé, malgré eux, par Nathan et Juliette.
− Viens, on pose nos affaires dans la chambre je t’emmène pour une balade digestive … Lui dit-elle discrètement, j’ai très envie…− T’as envie de quoi ?! Demanda Nathan qui avait une ouïe très fine.− Petit curieux ! Répondit-elle amusée, j’ai envie de faire une balade en amoureux avec mon chéri !− J’imagine que Nathan et moi, on n’peut pas vous accompagner… fit Juliette− T’imagines très bien, mais y en aura d’autres, là j’ai envie de lui faire découvrir un peu les environs rien que lui et moi, ça vous vas ?− Vous allez à la rivière ?− Je ne sais pas… répondit Chloé mystérieuse.
Chloé pris un petit sac à dos dans lequel elle mit un grand drap de plage et une bouteille d’eau puis guida son chéri à travers champs et bosquets. Dès qu’ils furent hors de vue du hameau, elle retira sa culotte qu’elle mit dans le sac et profita de la caresse de l’air sous sa jupe. Paul trouva ça très excitant et ne perdit aucune occasion pour voir son cul en en soulevant l’arrière du vêtement ou pour y mettre sa main.
− Petite cochonne, t’as décidé de m’exciter à mort ! regarde l’état dans lequel je suis déjà, ça me gêne pour marcher !− Et bien enlève ton bermuda, ce sera plus facile le bite au vent… et très excitant aussi.− Mm, c’est une idée, mais si on croise quelqu’un ?− On ne croisera personne par ici à cette heure là, fais moi confiance.− Ouai, d’accord, mais je vais me trouver un peu ridicule de conserver mon polo avec la bite à l’air…− Mets toi à poil, alors. On a un sac à dos c’est fait pour transporter les affaires. De toute façon, on n’est plus très loin de là ou je veux t’emmener.
Paul retira son bermuda et son polo, il était nu au milieu des bois, avec juste ses espadrilles aux pieds, Chloé l’embrassa en lui attrapant la bite et, sans la lâcher, repris la marche. Il progressaient en se caressant et s’embrassant, Chloé retira sa jupe et son t-shirt, ils étaient nus tous les deux. Paul avait essayé de la prendre sur place, mais elle lui avait dit de patienter encore un peu. Qu’ils étaient tout près et que ce serait mieux là-bas, au bord du ruisseau, sur une petite plage discrète. Ils reprirent leur progression, elle le tenait toujours par la bite et Paul lui doigtait le cul. En marchant, Paul crut entendre des bruits pas très loin derrière eux, il se demanda s’il n’étaient pas suivit mais n’osa pas faire part de ses doutes à Chloé. Ils arrivèrent enfin au ruisseau, dans une zone où il s’élargissait et se séparait en formant plusieurs petites îles boisées au sol couvert de mousse.L’eau du ruisseau était fraiche et peu profonde. Ils s’aventurèrent sur ces îles jusqu’à un endroit sublime où une plage microscopique les attendait. Bordée de grosses fougères, elle semblait faite pour accueillir leur drap de plage et former une couche nuptiale féérique. Chloé installa la serviette et ils s’y allongèrent en s’embrassant. Leurs caresses préliminaires ne durèrent pas. Ils étaient tellement excités que Paul la pénétra très vite. Elle était allongée sur le dos, il lui soulevait et lui écartait les jambes pour la prendre profondément. Il la pénétrait avec force, Chloé gémissait, jouissait. Malgré son excitation, Paul semblait infatigable, pour Chloé c’était divin. Ils changèrent de position, elle se mit à quatre pattes et il la prit en levrette. C’est à ce moment la qu’ils les virent. Juliette et Nathan les avaient suivis, la jeune sœur de Chloé était, comme elle, nue et à quatre pattes et son jumeau s’activait derrière elle. Les deux couples se retrouvaient face à face à quelques mètres l’un de l’autre. La vision que leur offrait le couple gémellaire incestueux fouetta leurs sens. Paul accéléra son rythme, son bassin claquait sèchement contre les fesses de Chloé qui ne maitrisait plus son flot de paroles, de cris et d’insultes, expressions bruyantes de sa jouissance. La tension montait les jeunes voyeurs étaient proche de l’orgasme. Nathan sortit, de la chatte de sa sœur, sa bite longue et fine, elle était luisante de mouille et il la présenta sans attendre juste au dessus. Juliette s’écartait les fesses, son frère appuya l’extrémité de sa verge lubrifiée de ses secrétions féminines sur son anus consentant, il appuya et s’enfonça d’un coup dans son cul. Juliette avait l’habitude, Nathan se finissait toujours dans son cul et elle adorait ça. Son jumeau lui ramona le fion rapidement et trois ou quatre aller et retours suffirent pour qu’il décharge dans ses entrailles. Chloé qui rêvait, avant de connaître Paul, de se faire enculer mais ne le souhaitait plus depuis à cause de la taille de sa bite, jouit à en décharger tellement l’orgasme de sa sœur l’avait impressionnée. Paul semblait sur la même longueur d’onde puisqu’il se contracta et remplit sa chatte de son abondante semence.
Ils avaient tous joui, la tension était retombée, Juliette et Nathan ramassèrent leurs habits et s’enfuirent précipitamment, mais Chloé les rappela.

− Hep là, vous deux pas si vite ! Revenez ! Si non, je cafte tout à Maman ! Cria-t-elle à l’adresse des deux voyeurs en fuite− Tu l’ferais pas, répondit Nathan déjà loin.− Si vous ne ramenez pas vos fesses tout de suite, je te jure que je balance tout !− Tu… tu déconnes, Chloé, tu l’ferais pas, sérieux !? Demanda Juliette revenue sur ses pas et déjà rhabillée.− J’me gênerais, tiens ! viens par là, faut qu’on cause ! Il est où ton frère ?− J’arrive, je finis juste de me rhabiller.− J’ai dit que je voulais voir vos fesses ! foutez vous à poil et asseyez vous près de nous !
Juliette et Nathan obtempérèrent, il retirèrent leurs habits et vinrent s’asseoir près de leur grande sœur. Ils n’en menaient pas large et se demandaient un peu à quelle sauce ils allaient être mangés.
− Alors, les petits voyeurs, le spectacle vous a plu ?!− …− Vous n’avez pas honte ? Répondez !− Et bien, tu sais… comment dire, c’est vrai que c’est mal mais c’est plus fort que nous, dès qu’on peut, on va mater les gens qui font l’amour… Commença Juliette courageusement.− Mais c’n’est pas souvent… précisa Nathan penaud, faut là au bon endroit et au bon moment, c’est pas facile…− C’est pour ça, reprit Juliette, l’occasion était trop belle… Et puis ça nous change un peu de ce qu’on voit d’habitude quand on file le train à Martin pour le voir se faire enculer…− Quoi qu’avec lui, il y a de la variété et puis c’est plutôt dans les granges que ça se passe.− Comment ça de la variété ? Demanda Chloé, je croyais qu’il était avec Louis ?− Oui mais Louis est, comment dire, partageur et Martin sert de vide couille à ses copains quand ils n’ont pas de copine, ainsi qu’à Tonton Gérard depuis qu’il les a surpris. Expliqua Juliette.− Alors tu comprends, voir un couple hétéro en pleine action, ça nous a motivé… On te demande pardon, mais on n’pouvait pas vous demander directement l’autorisation de vous regarder.− C’est sûr, je n’aurais pas voulu, c’est normal, non ? Admis Chloé.− On sait bien…− Alors pourquoi vous le faites quand même ? Vous savez ce que vous êtes ? Vous êtes des petits dégoutants et des obsédés.− Pas plus que vous, répondit Nathan, c’est juste qu’on aimerait pouvoir faire l’amour à côté d’autres couples mais c’est pas trop possible.− C’est bien ce que je dis, vous êtes des obsédés, est-ce que je baise avec mon frère, moi ? D’ailleurs, vous baisez ensemble depuis quand ? Vous savez comment ça s’appelle ?− On n’est pas idiot, c’est de l’inceste et si ça se savait, on serait sans doute un peu dans la merde, fit Juliette.− Surtout avec nos coincé du cul de parents, ajouta Nathan moqueur, c’est à se demander s’ils savent ce que c’est…− Hi hi vous avez raison, c’est le château chasteté ici, j’imagine que maman t’as refusé un rendez-vous chez le gynéco pour la pilule, elle m’a fait le coup à moi.− Oui, mais finalement, c’est pas si grave, Nathan finit dans mon cul, j’adore ça.− Remarque que ma bite s’y prête, si j’en avais une comme celle de Paul, ce ne serait peut être pas si facile…− Oh ! Mais je n’en voudrais même pas dans la chatte, répondit Juliette les yeux braqués sur l’engin.− De toute façon, fit Paul qui n’avait encore rien dit, ma bite est à Chloé et uniquement à elle.− Et je ne vous la prêterait pas, ajouta Chloé.− Oh, tu sais, nous on veut juste pouvoir la voire en action de temps en temps, c’est tout.− Mouai, on verra, on ne vous promet rien, mais ça ne change rien que si vous venez nous mâter sans notre accord, je vous balance à Maman.− T’es une vrai salope… et là, on peut rester avec vous, maintenant.− Je ne sais pas ? Qu’est-ce que t’en pense, chéri ?− Au point où on en est, pour aujourd’hui ça ne me pose pas de problème…− Même si on a encore envie ?− Bien sûr.
Chloé décréta que les deux jeunes méritaient quand même une punition mais se donna le temps d’y réfléchir. Ils passèrent donc leur fin d’’après-midi ensemble et Juliette et Nathan eurent ce qu’ils espéraient. Ils purent voir de près le sexe de Paul en érection et pure admirer la facilité avec laquelle il l’enfonçait maintenant dans la chatte de Chloé. Cette dernière anticipait les envies des jumeaux, aussi leur autorisa-t-elle de toucher la verge tendue de son copain. La situation était terriblement perverse et Chloé avait également envie de voir Juliette et Nathan en gros plan. Comme les deux garçons bandaient sérieusement, elle demanda à sa sœur de se mettre à quatre pattes au dessus d’elle, la chatte au dessus de son visage pour que Nathan l’encule sous ses yeux. Elle avait demandé à Paul de ne pas la prendre avant que les deux ados aient joui, aussi se contenta-t-il de lui caresser la fente avec son gland. Juliette s’était effondrée, elle avait le cul bien relevé et le menton sur le pubis de sa sœur si bien qu’elle pouvait respirer l’énorme bite de son beau-frère. Elle tendit la langue pour la lécher et prit enfin le gland en bouche. Chloé comprit tout de suite ce qui se passait et elle encouragea Paul à se faire sucer par cette petite salope. Paul redressa la petite blonde qui reprit appui sur ses mains et lui planta son gland dans la bouche. Il lui maintenait la tête sans la forcer, c’était les vas-et-viens de Nathan qui la propulsaient sur sa verge. De voir Juliette avec cette grosse bite dans la bouche alors qu’il l’enculait eut raison de lui et il se dégagea pour éjaculer sur le visage de Chloé qui prit sa bite merdeuse en bouche pour la vider. Alors, elle roula avec sa sœur et se retrouva dans la position inverse, tendant sa chatte en feu à la verge de son homme. Paul la pénétra d’un coup et s’activa très vite, Juliette était sous elle et assistait à cette pénétration hors du commun en se touchant la chatte. Paul était endurant d’habitude, mais là, il sentit que ça ne durerait pas. Il annonça à Chloé qui jouissait comme une folle qu’il allait jouir et elle lui cria « dans sa bouche ! joui dans sa bouche ! ». Paul se retira prestement et enfonça son gland dans la bouche ouverte de Juliette qu’il remplit de son abondante semence. Après cette baise débridée, ils se sentirent un peu honteux et décidèrent que cela ne devait pas se reproduire.
Ils reprirent tous les quatre le chemin de la maison après s’être rincés dans l’eau claire du ruisseau et rigolaient, finalement de ce qu’ils avaient osé faire. Le repas du soir fut moins copieux que celui du midi et Paul et Chloé qui se sentaient un peu fatigués s’esquivèrent rapidement dans leur chambre. Le mot d’ordre était discrétion, avait expliqué Chloé qui ne voulait pas que tout le monde profite de leurs ébats. Avec un autre homme sans doute aurai-elle essayé l’abstinence mais elle savait que c’était impossible pour son chéri et elle devait reconnaître qu’elle aimait ça : être son vide couille disponible à toute heure du jours et de la nuit. Alors il n’y avait qu’une solution : faire le moins de bruit possible. Ils s’y efforcèrent tant bien que mal, serrant les dents plutôt que de lâcher de bruyants gémissements mais le lit grinçait et quand Chloé expulsa sa mouille dans les draps en atteignant l’orgasme, elle ne put se retenir de crier. Geneviève était contrariée de ce manque de discrétion mais Folkert la rassura en lui disant que maintenant qu’ils avaient fait l’amour, tout le monde pourrait dormir. C’était sans connaître la vigueur de Paul et la gourmandise de Chloé qui remirent ça moins d’une heure après. Tout le monde s’endormit enfin mais, en pleine nuit, alors que Folkert se levait pour pisser, Paul se réveilla avec une trique monstrueuse. Chloé lui tournait le dos, il avait son joli cul rebondit sous les yeux. Il en écarta les globes et commença à se masturber doucement dans le sillon culier. Il savait que le petit orifice lui était inaccessible et que seul un doigt ou deux y étaient parfois admis mais il ne cherchait pas ça. Il savait qu’après quelques minutes de ce traitement, Chloé soulèverait une cuisse pour lui ouvrir le chemin de sa chatte. Comme chaque nuit, elle ne se réveillerait pas vraiment et prendrait son pied dans un demi-sommeil. Paul aimait la prendre endormie, c’était une manière douce d’abuser de son corps. Il bougea ainsi quelques minutes, le souffle de Chloé se faisait plus fort, elle souleva sa cuisse droite et Paul glissa entre ses jambes son membre turgescent. Il bougea le long de sa chatte encore fermée jusqu’à ce qu’il sente sa mouille sur sa queue impatiente. Il fit un petit mouvement, posa son gland sur les lèvres entrouvertes et la pénétra avec la plus extrême douceur, très progressivement. Quand il arriva au fond, il ne bougea pas attendant que le vagin ait prit toute la mesure du corps étranger qui venait de le pénétrer. Chloé émis un petit râle de satisfaction, c’était le signal. Il pouvait la prendre comme il voulait. Chloé commença à geindre quand Folkert sortit des toilettes et passa devant sa chambre. Ce qu’il entendait ne laissait aucun doute, ils avaient remis ça. Alors, il fit quelque chose dont il ne se serait sans doute jamais cru capable. Il ouvrit doucement la porte pour voir ce qu’il se passait. La pièce était baignée par la clarté de la Lune bientôt pleine. Paul avait mis Chloé à quatre pattes et la prenait en levrette, d’où il était, Folkert les voyait de profil et pouvait admirer les courbes parfaites de la fille de Geneviève. Son sexe se tendit, il le sortit par la braguette de son pyjama et commença à le masturber. A un moment donné, il vit le visage de Chloé tourné vers lui, sa belle-fille émis un gémissement plus intense. Prit de panique Folkert quitta son poste d’observation en repoussant la porte sans la clencher et retourna dans sa chambre.
− T’étais où, lui demanda Geneviève qui s’était réveillée.− Au toilettes, je suis aller pisser.− Ils ont remis ça… fit sa femme. C’est terrible !− J’ai vu, répondit Folkert tolérant, que veux-tu, c’est de leur âge.− Quand même, pas à ce point !− On pourrait suivre leur exemple, dit Folkert en se collant à Geneviève pour lui faire sentir son excitation.− Mm, cochon, ça t’excite ? Vous les hommes vous êtes tous pareils !− Pourquoi ? T’as jamais envie de faire l’amour ?− Si, bien sûr, mais là en plus je n’peux pas… C’est ragnagna.− Ben me voilà comme un con avec ma bite alors. Je vais devoir me branler dans mon coin.− Retourne aux toilettes alors, tu sais bien que j’aimes pas quand tu fais ça à côté de moi.
Folkert ressortit de son lit, la bite en étendard, referma la porte de sa chambre et retourna à son observation en essayant de faire le moins de bruit possible. Il repoussa la porte et caché dans l’embrasure reprit sa masturbation. Chloé avait toujours le visage tourné vers lui et elle le vit revenir. Elle recommença à geindre plus fort, elle savait que Paul ne pouvait pas savoir qu’ils étaient observés et ça l’excitait. La liaison de sa mère avec cet homme attirant et intelligent l’avait toujours surprise. Elle sourit à son voyeur pour lui donner de l’assurance, Folkert en fut troublé, il comprit qu’il était repéré et admis. Il s’astiqua le manche avec encore plus de détermination et quand Paul se tendit dans la chatte de Chloé, que celle-ci succomba à son ultime orgasme, il éjacula dans sa main et sur le plancher de la chambre. Rouge de confusion, il se dirigea aux toilettes, s’essuya les mains et retourna se coucher. Au passage, il referma doucement la porte de la chambre de Chloé et Paul qui semblaient endormis.
− Ça va mieux, lui demanda Geneviève.− Oui, et apparemment, ils ont terminé, tu vas pouvoir te rendormir.− Et toi ?− Oh, vu l’heure, je vais rester un peu au lit avec toi et je me lèverais. Il est bientôt l’heure pour moi de m’occuper des bêtes.
La journée du lendemain commença, pour Paul et Chloé, par une bonne petite baise sous la douche avant de descendre déjeuner. Fort heureusement pour elle, Geneviève était partie faire des courses et elle n’eut pas à profiter de ces nouveaux exploits. En fin de matinée, ils discutèrent avec Martin, Nathan et Julien pour leur proposer d’aller se baigner sur les bords d’un lac des environs. Martin précisa qu’il les rejoindrait avec Louis.
− Juste avec Louis ? Demanda Juliette coquine.− Oh vous deux, ça suffit ! Fit Martin agacé, méfiez-vous qu’un jours vos petites activités arrivent aux oreilles de Maman, vous verrez ce qui se passera !− Tu peux pas, pour ça faudrait que tu sois capable de lui dire que tu préfère les hommes et que ton cul te sers plus que ta bite ! Répondirent ensemble les jumeaux. C’est pas près d’arriver.− Oh ça va ! reprit Martin. Chloé, tu sais ce qu’ils font ces petits détraqués ?− Oui, ils jouent les voyeurs et baisent ensemble. On a découvert ça hier à nos dépens, répondit-elle à son frère. Ces petits fouineurs nous on suivit et nous ont regardé baiser en en faisant autant. Alors on a eu une petite discussion…
Juste après le déjeuner, Paul, Chloé, Juliette et Nathan montèrent ensemble dans la golf avec quelques affaires de plage, tandis que Martin et Louis suivaient dans la quatre aile de ce dernier. Ils approchèrent d’un lac de barrage important et les deux voitures s’engagèrent sur un chemin de terre qui menait à une vieille ferme appartenant au grand-père de Louis. Ses terres bordaient le lac et l’endroit n’était absolument pas fréquenté. Après avoir laissé les voitures, ils traversèrent un pré à vaches, Paul n’était pas très rassuré par les imposantes bêtes et ne fut pas fâché de passer une clôture et de rentrer dans un sous-bois qui descendait en pente douce. En sortie du bois, ils tombèrent sur un petit ponton sur lequel mettre leurs serviettes de bain. C’est à ce moment que Paul réalisa qu’il avait oublié son maillot de bain.
− T’as cas te baigner en slip, lui dit Martin.− Ça ne gênera personne, ajouta Louis, moi non plus je n’ai pas de maillot et je vais faire pareil.− C’est que… j’en ai pas non plus, fit Paul en rougissant.− Et bien fais comme nous, dirent les jumeaux déjà à poil. Nous on n’en met jamais.− Oui, mais vous vous êtes des petits voyeurs et exhibitionnistes malhonnêtes ! Objecta Louis− Autant qu’toi, sodomite ! Rugit Juliette.− Et si chacun faisait comme il veut, ce serait plus simple, on est entre nous, dit Martin pour calmer tout le monde.− On peut aussi se montrer solidaires, déclara Chloé en retirant tous ses habits.− Bah, pourquoi pas, fit Louis, mais bon, si je bande, faudra pas vous plaindre.− Oh, je suis certaine que tu ne seras pas le seul, fit Chloé, mon chéri c’est le meilleur pour ça. Pas vrai, Doudou ?− Si tu le dis… bon alors je me fous à poil, c’est ça ? Dit Paul en retirant son jean et son T-shirt.− Moi aussi, déclara Louis et joignant le geste à la parole.− Oh mon dieu, fit Martin en découvrant le sexe encore au repos de son beau-frère, quel engin !− Regarde pas, lui dit Louis, sinon ça va encore te donner des envies !− C’est pas grave, répondit Paul, de toute façon c’est privée et uniquement réservé pour Chloé.− Dommage, fit Juliette en y portant la main, depuis hier, je m’dit que j’y goûterais bien aussi.− Et bien bas les pattes ! fit Chloé, tu y as suffisamment goûté et si t’y retouche, j’te jette à l’eau !− Chiche, dit Juliette en empoignant carrément l’épaisse verge.
Chloé se jeta sur sa sœur, les deux filles rigolaient et se tiraient mutuellement vers le bord du ponton, là où l’eau est la plus profonde, les garçons les encourageaient. Nathan essaya d’aider Juliette et Paul intervint en faveur de Chloé. Seul Louis et Martin ne choisirent aucun camp et pour bien le montrer entrèrent dans la mêlée pour pousser tout le monde. Les corps se touchaient, les mains se posaient accidentellement sur un sein, une fesse ou un sexe. Ils riaient tous de plus en plus belle et bientôt tombèrent ensemble dans le lac. L’eau était bonne, les fortes chaleurs du mois de juin l’avaient chauffée idéalement. Les six jeunes gens jouèrent dans l’eau, ils s’éclaboussaient ou essayaient de se couler, ce qui leur donnait de bonnes raisons pour se toucher. Quand ils sortirent de l’eau, les sexes masculins étaient raides et Martin, Juliette et Chloé n’en perdaient pas une miette.
− Quel spectacle ! Dit Martin en regardant les bites des autres garçons. On en mangerait.− Petit gourmand, fit Chloé en rigolant, c’est vrai que vous êtes beau tous les trois et toi t’es pas mieux, hi hi.− Gros gourmand, tu devrais dire, fit Juliette, c’est plutôt Paul qu’il regarde. J’suis sûre qu’il lui donnerait bien son cul, la coquine !− Que les choses soient claires, trancha Paul en se rapprochant de Chloé, ma bite, c’est chasse gardée.− Ça n’interdit quand même pas de regarder le menu, personnellement, j’en avais encore jamais vu une aussi belle !− Mm, c’est la plus belle et elle est à moi ! Dit Chloé en la prenant en main. Si on allait la ramollir un peu plus loin, mon chéri ?− C’est une idée, loin des regards indiscrets, répondit Paul en jetant un œil sévère aux jumeaux.− Excusez-nous, mais on a une petite chose à faire, on revient dans quelques minutes.
Chloé prit Paul par la bite et le guida dans le petit bois, hors de vue du ponton. Quand elle jugea l’endroit convenable, elle s’agenouilla devant son chéri et prit son sexe en bouche. Elle le pompait aussi profondément que possible, ressortait la bite, la léchait sur toute sa longueur, lu gobait le couilles, revenait au gland qu’elle reprenait en bouche. Après quelques minutes de ce traitement, Paul la fit se redresser et Chloé prit appui contre un arbre, le cul en arrière et les jambes écartées. Paul s’accroupit, glissa sa tête entre les cuisses écartées, lécha sa chatte, son clitoris et s’aida de ses doigts pour la mener vers un premier orgasme. Chloé se pâmait, elle mouillait, ses jambes tremblaient et sa chatte en feu réclamait une bite, une grosse ! Paul se redressa et se positionna derrière elle. Il tenait sa grosse bite dans sa main droite et la guida vers la fente brillante d’humidité. Il y insinua son gland violacé, appuya aussi doucement que fermement et sa bite monstrueuse disparut dans la matrice chaude de Chloé. Elle émit un gémissement de satisfaction et demanda à Paul de la baiser, de lui bourrer la chatte. Paul s’activa, il lui tenait les hanches de deux mains et la pinait comme un soudard. Chloé criait de plaisir, ils se traitaient de « salop » et « salope », de temps en temps, Paul lui mettait une claque sur une fesse, lui chauffait le cul puis fou d’excitation, il se cabra, arrêta ses mouvement en plantant sa bite tout au fond de la chatte de Chloé et, dans un long grognement, il éjacula, éjacula, éjacula. Après avoir joui, il se retira et prit Chloé dans ses bras et ils retournèrent vers le ponton où ils retrouvèrent les autres qui apparemment avaient eu le même genre d’activité. Le reste de l’après-midi fut plus calme et les six jeunes gens reprirent le chemin du hameau.La soirée fut agréable puis, comme la veille, Paul et Chloé se retirèrent dans leur chambre en prétextant qu’ils étaient fatigués. Geneviève fit discrètement savoir à sa fille qu’elle espérait qu’il le soit plus que la veille au soir. Chloé ne releva pas, simplement elle pensa qu’elle allait devoir redoubler d’efforts. Ce fut peine perdue, Paul était dans une forme olympienne et ni Chloé ni lui ne furent capable d’étouffer leur jouissance. Geneviève râla, Martin et les jumeaux qui, comme leurs parents, n’étaient pas encore couchés sourirent et Folkert eut une érection en repensant à sa scéance de voyeurisme de la veille. Tout se passa à peu près comme la veille et quand vers quatre heure du matin Paul prit Chloé dans son sommeil, Folkert se leva « pour faire pipi ». Bien entendu, il se dirigea directement vers la chambre de Chloé, à sa grande surprise, alors qu’il était certain que la porte était bien fermée quand il était allé se coucher, elle était maintenant grande ouverte. La chambre était baignée de lumière lunaire et comme la veille, Chloé était à quatre pattes et se faisait prendre en levrette. Quand elle sentit sa présence, elle tourna la tête vers la porte et lui sourit. « Il est là ? » lui demanda Paul doucement. Chloé répondit affirmativement dans un gémissement que seul son amant pouvait comprendre. Ils en avaient parlé la veille et Paul s’était montré très excité à l’idée que Folkert les observe. Chloé avait avoué à Paul que, adolescente, elle avait fantasmé sur son beau-père et qu’elle avait imaginé la veille le sucer en même temps que Paul la prenait. « S’il revient cette nuit, avait dit Paul, fait lui signe d’approcher, il pourra se branler sous ton nez, caresser tes seins… Je suis sûr qu’il lui plaise tes seins ». Ce à quoi Chloé avait simplement répondu : « T’es un grand malade mon Chéri », mais quand elle fut certaine que tout le monde dormait, d’un commun accord avec Paul, elle avait ouvert la porte. Folkert arriva donc dans l’ouverture de la porte et encouragé par le sourire de sa belle-fille il se fit moins discret que la veille. Il voyait les seins de Chloé ballotés au rythme de la culbute et ne tarda pas à sortir sa verge par la braguette de son pyjama.
− Aah ! Viens… viens, ah… approche. Gémit Chloé en le regardant. Viens plus près, ah !− Oui, mm… viens, rajouta Paul en tournant la tête vers lui
Folkert n’en revenait pas, c’était une invite, son cœur battait la chamade, il se disait qu’il ne fallait pas, qu’il fallait fuir cette chambre qui empestait le sexe, mais son corps réagit autrement. Il fit un pas, puis deux, Chloé l’encouragea alors il en fit un troisième et se retrouva au bord du lit. Paul et Chloé ne s’étaient pas arrêtés, il retira son pantalon de pyjama, exhibant aux deux jeune gens son sexe long et fin et sa toison poivre et sel, il regarda l’épaisse bite de Paul entre et sortir de la chatte très entretenue de Chloé. Paul sortit sa verge du fourreau dans lequel elle s’activait, dévoilant au voyeur ses dimensions impressionnantes. Il tenait les fesses de Chloé bien écartées et Folkert put apprécier le trou béant de la petite chatte humide encore dilaté à l’extrême. Le voyeur posa une main sur la fesse et comme il n’essuya aucun refus, la glissa vers la fente humide dans laquelle il fit pénétrer deux doigts. Il les ressortit aussitôt et Paul réintroduit sa verge dans la place. La main de Folkert retourna sur la partie charnue de la fesse puis elle s’aventura sur les reins, les côtes puis ce qui lui était accessible de la poitrine de sa belle-fille qui jouissait en se mordant les lèvres. De toute évidence, ce n’était plus sa raison qui le gouvernait, il se branlait maintenant à quelques centimètres du visage de Chloé. Elle pouvait sentir l’odeur suave de son sexe, le gland était maintenant à quelques millimètres de sa bouche, elle n’avait qu’à l’ouvrir pour gober sa bite, l’avaler et c’est ce qu’elle fit. La main droite de Folkert abandonna son activité masturbatoire et se posa sur l’arrière de la tête de sa belle-fille qui posa une main sur ses fesses.
− Ah salope… fit Folkert visiblement heureux de ce qui lui arrivait− Oh oui… dit Paul en voyant sa fiancé sucer cet homme mûr.
Paul redoubla d’ardeur, à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle, il la poussait vers le pubis de Folkert, la forçant à avaler sa bite complètement. En voyant sa compagne sucer son beau-père, Paul pensa furtivement qu’il aimerait bien le faire aussi. Lui dont la sexualité s’était bornée aux culottes de sa mère puis à l’étonnant appétit de Chloé découvrait d’un coup d’autres voies. Il avait vu Martin et Louis dans les bras l’un de l’autre, ils avaient eu un rapport assez proche avec Nathan et Juliette, il avait même éjaculé dans la bouche de cette dernière, et maintenant, Chloé suçait en homme pendant qu’il la prenait. Il se demandait ce qu’elle pouvait ressentir, si c’était bon, si une bite dans le cul était agréable, Martin semblait apprécier. Toutes ces idées se bousculaient dans sa tête, l’excitaient, il se planta sauvagement au fon de la matrice de Chloé et y déposa des litres de foutre. Folkert aussi avait atteint le point de non retour et sans prévenir, il remplit la bouche et la gorge de sa belle-fille de son sperme tiède et salé. Tous les trois s’écroulèrent quelques minutes sur le lit, Puis Folkert se leva, ramassa son pantalon de pyjama et quitta la chambre en refermant la porte. Il passa par les toilettes pour pisser vraiment, rajusta sa tenue et retourna au lit.
− T’étais où ? Demanda Geneviève visiblement contrariée.− Ben, je suis allé pisser, mais j’ai mis un peu de temps… j’avais besoin de me soulager un peu comme hier.− Et c’était bon ?− Bof, tu sais, une branlette, c’est pas ce que l’on fait de mieux, mais bon…− Mm, en tous cas, s’ils nous font le même raffut tous les soirs et toutes les nuits, moi ça ne va pas m’aller !
Au Matin, Geneviève prit sa fille à part et lui expliqua qu’elle en avait plus qu’assez de leurs ébats bruyants.
− Non mais tu te rends compte du bruit que tu fais ? Tu réveilles toute la maison !− Je ne l’fais pas exprès, Maman…− Oh arrête ! On croirait les mauvis bruitage d’un film porno ! Alors ça vous amuse peut-être mais moi, ça me fatigue !− Mais on le fait pas exprès, Paul a…− Je me fiche pas mal de ce qu’a ou n’a pas Paul et encore plus de ce qu’il fait ! vos détails sordides ne m’intéressent pas et je ne veux plus de sauteries de ce genre sous mon toit, c’est clair.− Très clair, de toute façon, tu n’changeras jamais ! Pour toi le sexualité c’est tellement tabou que c’est à se demander comment t’as fait pour avoir quatre enfants !− J’ai fait comme tout le monde, et je l’ai fait discrètement ! J’ai attendue la fin de mes études avant d’avoir un fiancé sérieux. Mais vous, enfin je devrais dire toi, parce que les autres sont sages, Dieu merci ! Toi, t’as toujours eu le feu où je pense.− J’ai 21 ans, je suis largement majeure, il me semble ! Alors je fais ce que je veux ! Qu’est-ce que tu veux ? Qu’on s’en aille ? Tu me mets à la porte encore une fois ?− Non, c’est pas ça ! Je… je veux juste du calme. J’ai pensé que vous seriez mieux chez ta grand-mère.− Chez Mémé ? Mais pourquoi ?− Et bien, parce que la maison est libre, vous y serez bien et personne n’aura à subir vos… vos coucheries.− Quand tu dis ça, on dirait que ça te dégoute ! Je peux te poser une question ?− Vas y, je t’écoute.− Quand t’as rencontré Papa, t’étais vierge ?− Ça ne te regarde pas, mais bon… oui j’étais vierge, et alors.− T’as attendu d’avoir 25 ans pour avoir ton premier rapport sexuel ?!− Mais, heureusement que tout le monde n’est pas comme toi, regarde Martin, il n’a pas de petite amie, et il s’en porte très bien, pareil pour Nathan et Juliette ! Il n’y a que toi pour nous avoir ramené des garçons à 16 ans et fait des scènes pour avoir la pilule. C’est pas chez moi que ça ne va pas, Chloé, c’est chez toi !− C’est ça, je suis une grande malade, tu me l’as déjà dit ! Bon, on va en rester là parce que ça va m’énerver…
Elles retrouvèrent Paul qui était en pleine discussion avec Martin et Geneviève conduisit le jeune couple dans la demeure inoccupée de sa mère.
− Vous serez beaucoup mieux ici, dit-elle en les installant. Il y a tout ce qu’il faut et c’est suffisamment à l’écart pour que personne ne vous entende et ne soit, de nouveau troublé par vos galipettes !− Euh, merci Maman, ce sera mieux… c’est vrai.− Je vous apporterais de quoi vous préparer vos petits déjeuners, autrement vous viendrez manger à la maison, ce sera plus simple.− T’inquiètes pas, on ira se faire des courses cet après-midi, répondit Chloé à sa mère.
Une fois installer dans « leur » maison, Paul et Chloé évoquèrent les événements de ces derniers jours, ils ne savaient pas trop quoi en penser et décidèrent de mettre d’accord avec Juliette, Nathan, Martin et Louis pour arrêter leur petit jeu d’exhibitionnisme et de voyeurisme. Louis et Martin ne furent pas difficiles à convaincre mais les deux jumeaux trouvaient ça dommage. Chloé voulait faire un effort pour sa mère, pour que son séjour redevienne « normal ». Finalement, ils s’en trouvèrent tous beaucoup mieux. Le reste de leur séjour fut « calme », ils ne faisaient plus l’amour que « chez eux ». Sous la menace, Chloé obtint de Juliette et Nathan qu’ils calme leur jeu une fois pour toute et à partir de ce moment, tout alla pour le mieux. Paul s’entendit très bien avec Martin et Folkert. Il trouvait que Geneviève le regardait souvent bizarrement. Il ignorait que Chloé avait fini par donner à sa mère, qui se montra finalement curieuse, quelques détails intimes, à commencer par la taille relativement exceptionnelle de son organe... Ils profitèrent, pendant ses quinze jours, abondamment de la campagne, des balades en forêt et des baignades en ruisseau. L’atmosphère de tranquillité du hameau avait un petit goût de paradis et Chloé était rayonnante. Paul la désirait souvent de la voire si belle et ils s’isolaient fréquemment pour satisfaire ses besoins. Ils repartirent en emportant deux goudas, un nature et un à l’ortie, et quelques souvenirs coquins, secrets, surtout emprunté à leurs deux premiers jours. En conduisant, Paul se rendit compte que sa compagne semblait un peu mélancolique...
− T’es un peu triste ma chérie, t’aurais voulu rester davantage ?− Oui et non, là c’était très bien... il ne fallait pas que je reste plus longtemps de toute façon, je le sais. Au-delà de 15 jours avec ma mère c’est l’explosion. Depuis que je suis partie de chez moi, à chaque fois que je suis retournée pour trois semaine ou un mois, j’ai claqué la porte avant. Je crois que je préfère repartir un peu triste qu’en colère et énervée.− Mais, c’est curieux, j’avais l’impression que vous vous entendiez bien...− On s’adore, mais après quelques jours, on ne se supporte plus... il y a plein de trucs chez moi qui l’énerve et inversement. Là si ça s’est bien passé, c’est parce qu’on était dans la maison de la mémé... On en a pour combien de temps ?− Maintenant,... un peu plus de trois heures. J’ai dit à maman qu’on arriverait entre midi et midi et demi. Ils nous attendent pour déjeuner.
Chloé somnola ensuite un petit moment et Paul en profita pour pousser un peu sa voiture. Quand elle rouvrit les yeux, elle semblait plus détendue. Elle souriait.
− J’ai dormi un peu je crois et ça va beaucoup mieux. En fait, je suis contente d’avoir quitté la Creuse et j’ai hâte de retrouver Claude... Je m’entends très bien avec ta maman.− J’avais remarqué...− Ça t’ennuie ?− Non, au contraire. J’en suis plutôt heureux... Je n’imagine pas ce que serait notre vie si vous vous faisiez la guerre...− Elle t’a manqué ?− Oui, bien sur, c’est ma mère...− Ce n’est pas si évident ; moi la mienne si je la vois 3 semaines par an, ça me suffit. Je n’ai ni le besoin ni l’envie de la voir plus. Elle te manque parce que vous vous aimez.− Toi aussi tu aimes ta mère même si tu ne la supportes pas plus de 15 jours. C’est la même chose.− Non, Paul, ce n’est pas la même chose. Vous, vous avez eu et vous avez encore une attirance l’un pour l’autre qui dépasse un peu le simple amour filial...− Chloé, ma chérie, c’est toi que j’aime... tu n’as rien à craindre de ce côté-là. Répondit-il en évitant toute référence aux sentiments peu différents de Chloé pour Folkert.− Je sais, j’ai confiance en toi... mais avoue qu’elle t’attire quand même.− Ma mère est très belle et pendant longtemps j’ai pensé qu’il n’y avait pas de femme plus belle sur Terre. Mais ça, c’était avant de te connaître et que tu rentres dans ma vie. Tu l’as détrônée.− C’est un compliment qui me va droit au cœur... Tu sais, Paul, je pense que tôt ou tard, tu risques d’aller voir ailleurs...− Pourquoi ferais-je une chose pareille ? Je suis parfaitement heureux avec toi. On s’entend bien ; on s’entraide, on se soutien, on se motive... On s’aime, je n’ai aucune raison d’aller voir ailleurs.− Paul, tu n’as connu que moi pour l’instant... Il y a toutes les chances pour que, quels que soient tes sentiments à mon égard, tu veuilles goûter autre chose un jour. Et ce jour-là, je n’aimerai pas que ce soit avec la première Bérengère venue. Très franchement, je préférerais que ce soit avec une personne qui ne risque pas de détruire notre couple.− Et si je suis bien le fond de ta pensée, tu penses que ce serait mieux si je faisais l’amour avec ma mère ?− Exactement et puisque vous en avez envie tous les deux, autant que vous y alliez un bon coup...− Comment veux-tu qu’on fasse une chose pareille ? C’est ma mère, je suis son fils et puis... il y a Philippe...− Reconnais que vous n’en êtes pas si loin... Vous avez repris l’échange de culottes, avec mon accord d’ailleurs ; quant à Philippe, il a toujours soutenu et encouragé cette pratique. Alors j’imagine qu’il ne serait pas opposé à ce que vous alliez un peu plus loin...− Et toi alors ? Ça t’excite aussi ?− Très honnêtement, je n’en sais rien mais j’y vois un certain avantage.− Lequel ?− Celui de ne plus être la seule femme à satisfaire tes besoins... Depuis qu’on est en vacances, on est passé de trois ou quatre fois par jour à cinq ou six, voire sept quand t’es super en forme et je t’avouerais que ça devient un peu difficile...
Paul ne répondit pas à cela... Ils prirent le premier chemin forestier qu’ils croisèrent et firent l’amour dans les bois.Claude était ravie de retrouver son fils chéri et n’avait pas honte de le dire, il lui avait manqué. Elle s’était un peu inquiétée en voyant qu’ils n’arrivaient pas. Pour la rassurer, Philippe lui avait fait remarquer que l’estimation de Paul concernant le temps de parcours lui avait paru optimiste ou déraisonnable. Aussi, Dès qu’elle le retrouva, elle l’étreignit de toutes ses forces.Claude ne portait qu’un petit bikini. Au contact de son corps presque dévêtu, ajouté à ce que lui avait dit Chloé dans la voiture, Paul sentit naître une émotion que trahissait son corps. Sa mère sentit que quelque chose durcissait contre son ventre et continua à le serrer contre elle. Puis, elle invita le jeune couple à poser ses valises dans la chambre qu’elle leur avait préparée et à se mettre à l’aise. La chambre de Chloé et Paul était juste à côté de celle qu’elle occupait avec Philippe. Ils y posèrent leurs valises et sortirent leurs maillots. En se déshabillant, Paul dévoila sa superbe érection qui n’avait, bien évidemment pas échappée à Chloé.
− Tu vois mon chéri que ta mère te fait bander...− Oh, arrête... je... j’ai rien pu contrôler. Je suis désolé. Viens... viens, Chloé, j’ai...− Non ! Je te l’ai dit, Paul, je n’arrive plus à suivre le rythme. Je ne sais pas comment tu fais, et je t’avoue que la plupart du temps j’en suis heureuse et très flattée, mais tu bandes tout le temps. On n’arrête pas de baiser. Regarde, tu m’as prise deux fois hier soir. Tu m’as refait l’amour encore deux fois pendant la nuit, une fois ce matin au réveil et il y a à peine plus d’une heure, sur la route, comme on avait évoqué ta mère, tu m’as prise comme une putain. Alors là, si tu voulais me faire plaisir, tu passerais ton maillot de bain le plus serré pour rejoindre Philippe et ta mère, ils nous attendent...− Comme ça ? Sans rien faire pour être, disons, plus présentable ?− Oui, comme ça... Ta maman a le droit de voir que tu bandes pour elle. Tu ne crois pas ? En plus, ce n’est parce que maintenant, je ne veux rien faire pour t’aider que je n’en aurais pas envie un peu plus tard.− Tu...− S’il te plaît, Paul, pour me faire plaisir...− C’est déloyal... En plus, je vais avoir l’air fin avec cette barre coincée dans mon slip de bain... T’imagine si elle sort sa tête ?− Mm, je crois que j’en mouillerais ma culotte... D’ailleurs, à ce propos, je ne sais pas quel maillot je vais mettre.− Mets ton bikini blanc... t’es très sexy dedans.− Je suis pratiquement à poil, tu veux dire... Le peu de tissu qui cache ma fente et mes tétons devient transparent une fois mouillé...− S’il te plaît, Chloé... ça maintiendra mon érection, puisque tu veux me voir bander.− Ton slip va exploser, mon cochonnet. Dit-elle en l’embrassant.
C’est ainsi qu’ils rejoignirent Claude et Philippe qui les attendaient à l’ombre dans le jardin. Il avait dressé la table non loin de la piscine. Claude ne pût pas détacher son regard de l’énorme bosse qui déformait le maillot de son fils. Philippe, quant à lui, savoura avec délices la vision du corps et surtout du cul de Chloé... Ce qui n’échappa à personne et surtout pas à la jeune fille qui s’en réjouit. Fort heureusement, le repas et les discussions qui l’accompagnèrent permirent de calmer les esprits et les ardeurs des deux hommes.
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