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Paul

Chapitre 6

Inceste
VI. – LIBÉRATION DU DÉSIR.
Les deux femmes se retrouvèrent seules dans la cuisine pour préparer le café.
− Ma petite Chloé, on peut dire que vous avez fait sensation, Paul et toi... Lui avec son érection indécente et toi dans ce bikini impudique... Je ne sais pas où tu l’as trouvé mais...− Je l’ai acheté par correspondance. J’ai le catalogue avec moi, si tu veux, je te montrerai. Tu as une option pour le recevoir sous 3 jours. Quand j’ai commandé celui-ci, je l’ai reçu moins de 48 heures après.− Je vais y réfléchir... si tu dois te balader dans des tenues à faire bander les hommes de cette maison, je ne vois pas pourquoi je n’en ferais pas autant.− Oui, enfin,... Paul c’est toi qui l’a fait bander. Ça lui a prit quand tu l’as embrassé à notre arrivée. Comme, je lui ai imposé de descendre vous rejoindre dans cet état, car je voulais que tu voies qu’il bande encore pour toi... Du coup, il m’a imposé cette tenue.− Qui, de toute évidence, plaît beaucoup à Philippe...− Avoue que ça t’a plu de voir Paul bander... Tu n’pouvais pas décoller ton regard de son slip.− Tu joues à un jeu dangereux, Chloé. Tu fais comme Philippe ; tu cultives les désirs pervers que nous avons Paul et moi. Je n’aimerai pas que ça dérape... Si vous êtes à deux à nous pousser l’un vers l’autre, combien de temps nous crois-tu capables de résister ?− Le moins longtemps possible. J’espère que vous allez craquer très vite...− Mais tu es folle ! Pourquoi veux-tu que nous fassions l’amour Paul et moi ?− Pour deux raisons principalement. La première c’est que Paul n’est pas simplement très membré et endurant, il a aussi un besoin de sexe hors du commun. Depuis que nous sommes en vacances, il me fait l’amour en moyenne sept fois par jour et au minimum cinq. Rien qu’aujourd’hui, il m’a fait l’amour deux fois pendant la nuit, une fois au réveil et une fois encore sur la route un peu plus d’une heure avant d’arriver. Ça devient trop pour moi. Je ne peux plus suivre. Mon corps ne peut plus.− C’est effectivement beaucoup...− C’est trop, Claude, c’est vraiment beaucoup trop... La deuxième raison c’est que si on prend en compte cet appétit et le fait que Paul n’a pas connu d’autre fille avant moi, je crains qu’il soit vite tenté d’aller voir ailleurs. Mais j’aime Paul et je ne voudrais pas qu’il me trompe avec des filles qui puissent mettre en péril notre couple. C’est la raison pour laquelle je pense que tu es la meilleure candidate. Ensuite, s’il devait coucher, en plus, avec d’autres femmes que nous alors, je préférerais avoir au moins la maîtrise du contexte pour m’assurer de la pérennité de notre union... Voilà pourquoi j’espère que vous ferez bientôt l’amour tous les deux... La seule personne dont la présence aurait pu compromettre cette envie, c’est Philippe.− Lui ? Il en rêve depuis des années... Et pas que de ça d’ailleurs. Est-ce un effet de l’âge, je ne sais pas. Toujours est-il que depuis trois ans au moins, il insistait pour que je fasse l’amour avec d’autres hommes devant lui.− Et... il n’insiste plus ?− Non, on a franchi le pas. Je... Durant toute la semaine dernière, il m’a emmenée sur une plage naturiste qui est à côté d’ici. Il emmène son appareil et des préservatifs et je fais l’amour avec des inconnus.− Ça alors... C’est plutôt positif et plein de promesses comme nouvelle.− T’es vraiment vicieuse− Autant que toi ma chérie... ou que Philippe. Alors tu vas le faire...− Je... je ne sais pas. Pas aujourd’hui en tout cas...
Les deux femmes rejoignirent Paul et Philippe avec le café. Ils s’installèrent dans des transats près de la piscine. Leurs discussions étaient sages mais leurs pensées beaucoup moins... Philippe demanda à Claude si elle voulait aller à la plage. Elle rejeta sa proposition. Elle préférait profiter de la présence de Paul et de Chloé.

− Non, on est bien là. On a tout ce qu’il faut... le soleil et la piscine pour se rafraîchir. On ira à la plage demain. Qu’en pensez vous les enfants ?− Je suis entièrement d’accord avec toi Claude. Et puis il faudrait que j’essaye de bronzer un peu avant de me montrer sur une plage. Il a fait beau dans la Creuse, mais on était plutôt habillés. Qu’est-ce que t’en pense mon amour ?− J’en pense que j’ai conduit toute la matinée et que je n’ai pas vraiment envie de bouger.− Claude, Philippe, est-ce que ça vous choque si j’enlève le haut de mon maillot ?− Moi tu ne me demandes pas ?− Toi, mon chéri, je sais que la vue de ma poitrine n’a pas cet effet-là sur toi...− Non, ça ne me gêne pas... d’ailleurs, je vais en faire autant. Philippe, mon chou, tu voudrais bien aller chercher la crème solaire dans la maison
Philippe rapporta le lait de protection et se proposa pour l’étaler lui-même sur le corps de sa compagne. Paul n’avait pas détaché ses yeux de la poitrine de sa mère. Il avait eu la surprise de ne voir aucune marque blanche. Elle était aussi bronzée que le reste de son corps. Philippe prit suffisamment de crème dans ses mains puis il tendit le flacon à Paul.
− Tiens, je pense que Chloé aussi va avoir besoin de ça....− Merci parrain.
Philippe entreprit d’étaler le lait blanc sur les épaules, la poitrine et les jambes de Claude et Paul fit la même chose à Chloé. Il ressentit une légère émotion en abordant la poitrine. Il avait toujours été très excité par les seins et ceux de Chloé lui semblaient parfaits. Il passa ensuite au ventre. Il observait du coin de l’oeil la progression de Philippe. Il imitait les gestes de son parrain. Ce dernier, quand il en eut fini avec le buste, passa aux jambes, d’abord l’une puis l’autre ensuite. Il commençait par le pied et la cheville avant de remonter par le mollet et le tibia sur le genou. Il surveillait, de temps en temps les gestes de Paul. Ils étaient identiques aux siens. Il s’amusa à penser que les deux femmes étaient comme le reflet l’une de l’autre. Arrivé au genou, il le souleva légèrement pour écarter la cuisse et faciliter son accès à sa face intérieure. Ses doigts venaient frôler la culotte. Claude émit une petite plainte, accompagnée d’un petit reproche qui sonnait faux. Il laissa la jambe dans la position qu’il lui avait donnée, genou légèrement fléchit et la cuisse écartée. Sa compagne ne bougea pas. Elle le laissait faire. Elle avait fermé les yeux pour ne pas surprendre le regard de son fils. Elle imaginait ses beaux yeux bleus braqués sur elle. Philippe avait contourné la chaise longue et appliquait le même traitement à l’autre jambe. Elle frémit quand elle sentit les doigts se rapprocher de son entrejambe de plus en plus humide. Alors, Philippe attrapa les deux côtés de la culotte et tira doucement. « Que fais-tu ? » chuchota-t-elle. Il répondit avec la même douceur : « je ne voudrais pas que ton bronzage perde son uniformité... ». Claude souleva les fesses juste ce qu’il fallait pour que sa culotte puisse être retirée. Elle resserra les genoux quelques instants puis les écarta de nouveau une fois la pièce de vêtement passée. Paul marqua un temps d’arrêt, il admirait l’intimité de sa mère. Son sexe était intégralement épilé. Le pubis lisse avait le même hâle que le reste du ventre. Les jambes écartées dévoilaient ses replis rosés. Sa fente ouverte était brillante, humide. Le sexe de Paul trahit son émotion et la verge franchit la barrière de l’élastique. Le gland, décalotté au passage, se plaquait sur son ventre, juste au dessus du nombril. Paul regarda ensuite son parrain qui d’un petit signe de la tête l’encouragea à faire de même avec le string de Chloé. La belle gisait les yeux fermés et savourait l’érotisme de la situation. Elle n’avait pas besoin de le vérifier, elle se doutait que sa belle-mère était largement exposée aux regards des deux hommes. Elle soupira de contentement quand les mains de Paul firent descendre son string vers ses chevilles. Quand Paul ramena son regard vers l’autre couple, il vit que son parrain avait ôté son maillot. Il affichait également une solide érection. Philippe conservait un corps athlétique et bien conservé pour un homme de plus de cinquante ans. Il n’avait aucune graisse superflue. Comme Claude, il était uniformément bronzé mais surtout, ce qui étonna Paul, il était intégralement épilé. Philippe reprit un peu de protection solaire dans le creux de sa main et l’étala avec douceur sur le pubis exposé de Claude. Comme précédemment Paul reproduisit ses gestes sur le corps offert de Chloé. La jeune fille se concentrait sur son plaisir. Les doigts agiles de son compagnon parcouraient les abords de son sexe en feu, en longeaient les lèvres et suivaient le périnée jusqu’à sa rosette inviolée. Les doigts contournaient le petit orifice avant de remonter vers le haut de sa chatte. Chloé s’était toujours dit qu’elle attendrait d’avoir rencontré l’homme de sa vie avant d’en accorder l’accès. La taille de Paul lui avait fait abandonner l’idée. Les lèvres de Paul se posèrent sur les siennes. Claude poussa un gémissement étouffé. Chloé sentit, enfin, les doigts de Paul pénétrer son intimité inondée. Paul abandonna sa bouche et ses lèvres et sa langue vinrent rejoindre ses doigts. Chloé ouvrit les yeux. En face d’elle Claude subissait exactement le même traitement. Sa belle-mère la regardait en se massant les seins et en se pinçant les tétons. Chloé fit de même. Les deux femmes gémissaient à l’unisson. Paul se redressa ; il ne tenait plus. Il prit un drap de bain qu’il étendit près de la chaise longue de Chloé. La jeune fille vint s’y installer. D’abord à genoux, elle prit le sexe tendu de son amant en bouche et le suça aussi profondément qu’elle le put. Philippe et Claude imitèrent le jeune couple. Les deux draps de bain étaient très proches, presque côte à côte. Les deux femmes se retrouvèrent rapidement à quatre pattes l’une en face de l’autre. Quand son con fut intégralement rempli par l’énorme colonne de chair de son compagnon, Chloé se mit à geindre. Chaque couple savourait le plaisir de voir l’autre en pleine action. Paul était fasciné par l’expression de plaisir qu’il lisait dans les yeux verts de sa mère. Les deux hommes s’activaient en rythme. Chloé criait, comme à son habitude à chaque poussée de son amant. Claude que le spectacle échauffait vraiment, se mit à encourager son fils : « Aaaah ! Vas-y, mon bébé ! Aaaaah ! Baise-la ! Aaaaah ! Aaah, oui, Paul ! Aaaaah ! ». Paul, n’était pas du genre bavard pendant l’acte sexuel mais il ne put s’empêcher de répondre : « Ooh ! Oh oui, maman ! Oooh ! ». Les cris de Chloé n’étaient qu’une succession ininterrompue de « Aaah ! Ah ! Ouii ! Aaaa ! ». Philippe accompagnait chaque coup de rein d’un « Han ! » parfois complété de remarques du genre « Alors, cochonne ! T’aimes ça de voir ton fils baiser ! » ou « Salope ! T’aimerais bien qu’il te baise comme ça ! ». Tous ces cris, les propos vulgaires de Philippe, le visage de sa mère déformé par le plaisir et l’obscénité de la situation eurent raison de l’endurance de Paul. Il fut le premier à partir. Ses mains se crispèrent sur les hanches de sa compagne, son sexe se tendit au fond de la chaude matrice et animé de secousses, il répandit sa semence. Chloé avait depuis longtemps atteint le point de non-retours. Quand elle sentit le chaud liquide envahir son ventre, elle fut foudroyée par un orgasme d’une rare intensité ; elle éjacula en poussant un cri long et strident. L’orgasme partagé du jeune couple déclencha celui de Claude et de Philippe et tous les quatre s’écroulèrent. Le tumulte de leurs ébats laissa place à un doux silence qu’aucun ne souhaitait briser. Après quelques minutes, Chloé dégagea le sexe de Paul qui encombrait encore son vagin. Elle se leva et se mit à l’eau. Paul se leva pour la rejoindre. Ils chahutèrent un peu puis Paul la prit dans ses bras. Ils se chuchotaient des choses à l’oreille, se souriaient et s’embrassaient tendrement. Claude les regardait avec affection.
− Ils sont beaux tu ne trouves pas ?− Si,... ils sont magnifiques.− Ils forment vraiment un couple splendide...− Nous aussi, on forme un couple splendide, ma chérie.− C’est vrai ? Tu le penses ?− Bien sûr mon cœur.− Viens, faisons comme eux. Allons nous rafraîchir.
Ils se retrouvèrent tous les quatre dans l’eau.
− Alors, les jeunes, vous faites des messes basses ?− Exactement, Claude ! On a bien le droit à quelques petits secrets, non ?− Je ne sais pas... faudra que j’y réfléchisse...− Non, on parlait de vous...− C’est vrai, maman, on se disait que l’on vous trouvait très beau, Philippe et toi.− C’est amusant nous étions en train de dire la même chose de vous. N’est-ce pas chéri ?− Oui, c’est vrai, ta mère et moi nous vous trouvons très bien assortis.− Mais, c’est pas tout, Claude... De vous voir nus, Philippe et toi, ça nous a donné envie de...− De faire tomber les poils... En fait, j’ai demandé à Chloé si elle voulait bien faire comme toi et elle y a mis une condition...− Que Paul fasse comme Philippe. Tu viens chéri, On y va ?
Le jeune couple sortit de l’eau et se dirigea vers la maison. Ils se rendirent directement dans la salle de bain. La petite toison pubienne de Chloé disparue bien vite. Il y avait plus de travail pour Paul. Sa compagne lui enleva tous les poils des jambes à l’extrémité des bras. Son corps était maintenant intégralement lisse. C’est dans cette tenue qu’ils retrouvèrent Philippe et Claude. Ils lisaient, l’un et l’autre, confortablement installés dans des chaises longues auprès de la piscine. Ils s’enduisirent chacun de crème solaire en ne demandant, cette fois, de l’aide que pour le dos. Paul avait pris un livre également. Chloé s’installa à côté de sa belle-mère et rapidement, les deux femmes se mirent à papoter. La soirée se passa tranquillement, mais le ton avait été donné pour ces vacances qui s’annonçaient chaudes. Après le dîner, ils se retrouvèrent tous les quatre à discuter dans le grand salon de cette villa. Il était meublé de deux canapés et les deux couples se faisaient face. Ils discutèrent du programme du lendemain et des meilleures heures pour la plage. Chloé était collée à Paul qu’elle caressait doucement. Elle appréciait la nouvelle douceur de son corps. Elle le faisait sans réfléchir, machinalement. Philippe et Claude se câlinaient tendrement devant eux. Chloé s’informa sur les choses à voir dans les environs. C’était la première fois qu’elle venait dans cette région à la frontière de la Vendée et de la Charente-Maritime. Elle voulait voir l’île de Ré, l’île d’Aix et La Rochelle. Philippe lui apprit qu’il existait des liaisons par bateau depuis La Tranche-sur-Mer. Ils en avaient parlé plusieurs fois avec Claude mais ne l’avaient encore jamais fait. Du coup Chloé décida qu’elle se chargerait avec Paul d’organiser une journée croisière pour tout le monde. C’est alors qu’elle réalisa que sa main s’était égarée, depuis quelque temps déjà, sur la verge de Paul. Sous l’effet des caresses inconscientes elle s’était dressée dans sa main et elle était en train de le masturber... Confuse, elle décréta qu’il était l’heure pour eux d’aller se coucher. Claude déclara en souriant qu’il en était de même pour eux, Philippe affichant aussi une belle érection. Ils se souhaitèrent tous bonne nuit et montèrent dans leur chambre. Une fois la porte fermée, ils se jetèrent sur le lit et firent l’amour sans retenue. Aux cris de jouissance de Chloé répondaient ceux de Claude dans la chambre d’à côté...
Ils restaient étendus, l’un contre l’autre. Leurs pensées silencieuses vagabondaient.
− Chéri, je peux te poser une question ?− Oui, bien sûr...− T’as des fantasmes ? C’est quoi qui t’excite le plus ?− J’en sais rien ma chérie... toi ! Toi tu m’excites...− Oui, mais c’n’est pas ce que je te demande...− Tu veux encore me parler de ma mère ?− Pas nécessairement, ce fantasme-là, je le connais déjà...− Oui, et en plus de ça, je croyais qu’il était éteint depuis que j’étais avec toi mais grâce à toi il est rallumé... Depuis que, toutes les deux, vous m’avez rendu mes albums de photos...− Bon, laissons de côté celui-là et parle-moi des autres...− Tu sais, Chloé, j’ai 18 ans et comme tu me l’as si bien fait remarquer ce matin en voiture, je n’ai pas vraiment d’expérience.− Tu n’as pas beaucoup d’expérience, mais tu as lu beaucoup... Il y a sans doute des choses qui t’excitent plus que d’autres non ?− Je ne sais pas vraiment... Il y des choses qui ne m’excitent pas ou qui m’ont fait horreur et dégoûtées comme l’apologie de la violence, de la souffrance et du crime chez Sade, par exemple. En fait, tous les trucs de sado-maso et les actes non consenti, j’aime pas... Pour le reste, je ne sais pas. Peut-être que je serai prêt à tout essayer... enfin bon, y a peut-être des trucs qui m’excitent un peu plus que d’autres quand même.− Bien nous y voilà... dis-moi, j’ai envie de savoir.− Je vais commencer par le plus soft c’est voir deux femmes faire l’amour...− T’aimerais que je fasse l’amour avec une femme ? T’aimerais me voir faire l’amour avec une femme ?− Franchement, oui... ça m’exciterait beaucoup je crois...− Je l’ai déjà fait tu sais et j’aime bien... Mais, si ça t’excite tu vas vouloir participer et faire l’amour à cette femme aussi...− C’est dans l’univers des possibles...− C’est un autre fantasme ou ça fait partie du même ?− Je... quand je lis des histoires ou des témoignages qui parlent de rapports à plusieurs, généralement, ça m’excite...− Des témoignages ?− Oui dans des magazines... Oh j’n’en lis jamais... La seule fois, c’était par accident, l’an dernier. Dans cette maison. Après le départ de Philippe, nous avions encore une semaine de vacances avec ma mère. Comme il n’était plus là, elle a fait le ménage de leur chambre et elle a jeté trois magazines... Je les ai vu dans la poubelle et je les ai pris. Il y avait Union, Swing et un annuaire libertin de la région Ouest et du Centre. Il y avait assez d’histoires, d’articles et de témoignages de couples pour alimenter ma libido de la semaine, je te le garantis. J’ai réalisé dans le même temps que Philippe et elle devaient apprécier ce genre de truc. J’imaginais des situations avec eux, en transposant ce que je lisais. Ce n’était pas très varié en définitive... soit ils échangeaient leurs partenaires avec un autre couple, soit maman se faisait prendre devant lui par plusieurs hommes, soit ils faisaient l’amour avec un ou deux autres hommes...− Et... tu voudrais qu’on fasse ça ? Tu voudrais que je baise avec plusieurs mecs ?− Je ne sais pas trop en vrai, peut-être que je serai jaloux... Tant que tu suces, ça va, j’ai pas été jaloux pour Folkert, mais si un jour on devait refaire une expérience comme ça, en allant plus loin, je crois que je préférerai commencer par l’échangisme... Mais bon, ce ne sont que des fantasmes.− Les fantasmes, c’est fait pour alimenter la libido mais aussi pour être réalisés. En plus, celui-là on est quand même passé pas loin deux fois de suite dans la Creuse et aujourd’hui, tu ne crois pas ?− Mm... c’est vrai que c’était carrément chaud. Et ce soir, dans le canapé, avec toi qui me branlais devant eux... Et toi ? A part me voir faire l’amour avec ma mère, t’as des fantasmes ?− Et bien, évidement,... avant, je fantasmait sur les grosses bites mais maintenant c’est assouvit quotidiennement... Autrement, je suis souvent attirée par des femmes, même si je n’ai pas beaucoup pratiqué, alors l’idée de faire ça devant toi et de te partager... ça m’excite à mort. Après, il y a un truc que j’ai envie d’essayer mais je ne peux pas le faire avec toi... devant toi oui, mais pas avec toi... enfin pas tout de suite en tous cas.− C’est quoi ?− La sodomie. Je m’étais toujours réservé ça pour le jour où j’aurais rencontré l’homme de ma vie et maintenant qu’il est à côté de moi et bien, j’ai du mal à imaginer sa bite rentrer dans mon cul... Je voudrais pratiquer avant avec des partenaires aux dimensions plus modestes qui puissent ouvrir la voie. Peut-être même que toi tu devrais pratiquer avec des femmes ou des hommes habitués à cette pratique...− Des hommes ?!− Pourquoi pas ? Toi tu fantasme bien à l’idée de me voir au lit avec une femme... C’est la même chose.− Mouais, si on veut, enfin... c’est moins beau quand même. Et la sodomie, t’en a vraiment envie ? Dit-il sans avouer que Martin et Louis l’avaient troublé.− Très franchement, j’en rêve. Mais je te dis, il faut que je trouve des hommes moins gros que toi pour commencer...− C’est pas très difficile... ça cours les rues si je puis dire. Et c’est tout ou il y en a d’autres ?− Oui, j’ai deux autres fantasmes mais là, je te préviens c’est un peu spécial...− du genre ?− Du genre crade. Le premier c’est... Je te les dis mais tu ne dis rien d’accord ? Donc le premier c’est avec un chien... un gros genre berger beauceron ou un truc comme ça...− Avec un chien ? T’as raison, c’est crade, et tu voudrais que je te tienne en laisse pendant le coït ?− Hi hi, pourquoi pas, gros vicieux.− Et le deuxième ?− Le deuxième, c’est carrément cochon... c’est le pipi...− Le pipi ? (Paul se resserre contre Chloé. Elle sent son sexe durcir contre sa cuisse).− J’ai l’impression que cela ne te laisse pas indifférent...− T’as raison, je trouve ça très excitant... j’aimerai bien des détails... Je te pose les questions et tu réponds par oui ou non, d’accord ?− … Chloé acquiesça d’un signe de la tête, un grand sourire aux lèvres.− Tu aimes pisser dans ta culotte ?− Oui, je le fais souvent quand je suis seule...− Tu as déjà fait pipi au lit volontairement ?− Oui, c’est pareil, quand j’étais seule à la cité U, je le faisais...− Tu aurais envie de me pisser dessus ? Sur le visage, sur le corps, sur la bite ?− Oui ! Beaucoup ! Partout ! (Paul s’introduit en elle). Aaaaah !− Et si moi je te pissais dessus, tu aimerais ?− Oh oui ! Aaaah ! J’vou... Aaah ! J’voudrais que tu me douches ! Aaaah ! Que... que t’arroses mon visage, mes seins et... Aaah ! Et ma chatte. Aaaa ! Tu pourrais même dedans ! Aaaaah !− Oooh ! Et... tu me ferais boire.... Aaaah !− Oui ! Aaaah ! Toi aussi tu me... feraaaah ! Tu me feras boire ! Aaaaaah ! Aaah Oui, Paul !− Aaaah ! Aaaah !
Paul s’activait en elle avec toute sa fougue. Elle en demandait encore, elle jouissait. Ils n’allaient pas tenir longtemps.
− Aaah ! je... Aaah ! je... Aaah ! je...− Vas-y Paul ! Aaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !
Allongé sur elle, Paul se remettait de son orgasme rapide. Son sexe à moitié ramolli était toujours planté dans le ventre de Chloé. Il s’appuya sur ses bras et sans rien lui dire, il urina dans sa matrice. La chaleur et l’intensité du flot qui se répandait en elle ne lui laissaient aucun doute sur ce qu’il se passait.
− Ah ! Ah ! Paul ! Ah oui, salop !− Oh, oui ! Oh ! C’est trop bon ! Oh !
Quand il eut fini, il se retira et sa miction se répandit dans les draps. Il tomba allongé à côté d’elle. Chloé se mit sur lui pour l’embrasser et libéra sa vessie sur le ventre et le sexe mou de son amant et ils s’endormirent ainsi enlacés dans leurs draps mouillés.Paul se réveilla avec le soleil, Chloé dormait comme un ange. Il ne voulait pas la réveiller. Il avait envie de se défouler avant d’attaquer la journée. Cela faisait quinze jours qu’il n’avait pas fait de sport et ne s’était pas entraîné. Il enfila son kimono et sorti discrètement. Le jour se levait à peine. Il rejoignit en petites foulées la plage par le chemin à travers bois. Pendant plus d’une heure, il enchaîna les échauffements, les assouplissements et les katas. Il rentra dans la villa, il n’y avait encore aucun bruit. Il retourna dans la chambre retira son kimono et se rallongea près de Chloé.
− T’étais où ?− Sur la plage pour faire un peu de sport et quelques entraînements de karaté.− Comme ça ? À six heures du matin... T’aurais pu me prévenir.− Et bien, tu dormais si bien... je ne voulais pas te réveiller. Et j’avais besoin de réfléchir...− … de réfléchir ? À quoi ?− Et bien, quelque chose me dit que, si la journée d’aujourd’hui est aussi chaude que l’après midi d’hier, avec toi et Philippe pour nous pousser à passer à l’acte, il y a de fortes chances pour que ma mère et moi nous cédions à votre désir et au notre...− Voilà une journée qui s’annonce délicieuse. Tu as bien fait d’aller réfléchir.− Autre chose... Si je devais faire l’amour avec maman alors j’aimerai que tu le fasses avec Philippe...− Que je... ?− Oui, je voudrais qu’il t’initie à la sodomie... si tu es d’accord.− Si je suis d’accord ? Oh mon dieu ! Paul ! (elle se jeta sur lui pour l’embrasser). C’est vraiment une belle journée qui s’annonce ! Viens aide-moi, on va sortir nos draps et notre matelas pour le faire sécher sur la pelouse et on va prendre notre petit déjeuner, j’ai une faim de loup !
Le matelas bien placé au milieu de la pelouse, les draps étendus à côté dans l’herbe, Paul eut envie de la prendre, mais elle s’y refusa au prétexte qu’elle voulait qu’il se réserve pour plus tard et peut-être pour sa mère. L’érection de Paul n’en fut pas calmée mais il n’insista pas et ils décidèrent de préparer le petit-déjeuner. Chloé insista pour que Paul aille chercher quelques viennoiseries, lui imposant, du coup de s’habiller. Il partit en voiture vers le centre de la commune et revint un bon quart d’heure plus tard. Chloé avait trouvé, en fouillant dans les placards une jolie nappe à fleur avec des serviettes assorties et avait dressé la table dans le jardin, sorti les confitures, le lait et du jus d’orange. Elle s’apprêtait à faire cuire du bacon et des œufs. Paul mit les viennoiseries et le pain frais sur la table puis retourna dans leur chambre pour se déshabiller. Claude s’était levée entre temps. Elle était descendue dans la cuisine et trouvant Chloé affairée devant la gazinière, elle s’approcha derrière elle, la prit dans ses bras et lui posa un tendre baiser sur la joue.
− Bonjour, ma chérie, je ne m’attendais pas à ce que Paul et toi soyez levés si tôt.− Oh ! Bonjour, Claude... oui, on est un peu tombé du lit ce matin.− En tout cas ça sent très bon. (Une main de Claude était descendue sur le pubis glabre de Chloé). Je prendrais un œuf coque, mais je vais me le préparer, ne t’inquiètes pas...
Elle restait enlacées, Claude passait un doigt dans la fente de Chloé en discutant avec elle à voix basse. Elle embrassa sa belle-fille qui tourna sa tête et ses lèvres vers cette bouche si douce qui lui frôlait la joue. Les lèvres se touchèrent, s’entrouvrirent. Chloé se retourna et elles s’enlacèrent, la main de Claude, contrainte de quitter son petit abricot, s’était consolée en s’occupant de ses fesse et le doigt humide qui avait fouillé sa fente lui caressait maintenant l’anus. Paul avait assisté à toute la scène et restait silencieux. Son corps exprimait ce qu’il ressentait. Les deux femmes qu’il aimait le plus au monde échangeaient un baiser passionné accompagné de caresses précises et terriblement érotiques. Quand elles relâchèrent leur étreinte, il s’approcha, prit sa mère dans le dos comme elle l’avait fait avec Chloé en disant : « Bonjour, maman chérie, tu sens très bon ». Il lui embrassa la joue, posa sa main droite sur le pubis tout lice de sa mère et continua son exploration vers le bas. Son sexe érigé, plaqué contre le cul maternel commençait à frémir. Claude tourna la tête, leurs lèvres se touchèrent. Elle se retourna et étreignit son fils dans un long baiser langoureux. Son fils lui caressait le cul, sa main en parcourait le sillon, elle glissa une main entre eux et resserra ses doigts sur l’énorme verge appuyée sur son ventre. Quand ils se relâchèrent, sans lâcher la bite, elle se pencha et lécha le méat du gland d’où perlait une goute de liquide séminal. Chloé avait regardé en se masturbant, espérant que ça aille plus loin. Mais Claude mit fin à ce petit jeu, elle avait son idée.
− Mm, Maman, je… j’ai envie de toi, Maman. Dit Paul dépité.− Sois patient, mon trésor, allons d’abord manger...− Euh... si tu veux Maman, marmonna Paul obéissant, c’est sans doute préférable...− Et bien zut alors ! Moi qui attendait la suite du spectacle.− Et bien c’est justement pour ça, Chloé que je pense que, Paul et moi, nous devons nous retenir encore un peu. Je ne veux pas que vous assistiez, Philippe et toi à notre première fois. J’ai un autre programme pour vous...− Ah bon ?... Intéressant, j’espère.− Oui, pittoresque surtout... Vous irez faire les courses ce matin. Nous n’avons plus rien et c’est le jour du marcher. Au départ, je t’attendais pour y aller avec toi, mais... le programme a changé. Ça t’ennuie ?− Je... non, enfin...− Oui, tu es déçue, je le vois bien, mais c’est ma condition. Il est hors de question que ma première fois avec mon fils soit une vulgaire partie de baise. Pour les partouzes ou l’échangisme, il faudra attendre. J’ai donc pensé que si vous étiez occupés tous les deux à autre chose et ailleurs, ce serait l’idéal. Quoi de mieux que les courses un dimanche matin ? Il y a plein de monde, des queues à n’en plus finir, on y passe un temps fou. Dans tous les cas, vous n’aurez pas le temps d’aller au-delà de quelques bisous volés et de petits attouchements discrets. Personnellement, ça me convient parfaitement. T’en penses quoi, mon chéri ?− Je... je suis désolé Chloé, cette idée ne me déplait pas. J’ai très envie que maman et moi puissions partager un vrai moment d’intimité. Tu comprends ?− Je vous comprends très bien... J’ai été idiote de penser que les choses puissent se passer autrement. Après tout, vous vous êtes désirés si fortement pendant tant d’années. Il est normal que vous ayez besoin de garder ce moment secret. C’est naturel... Allons manger et voyons en même temps ce qu’il faut acheter.
Quand Philippe se leva, il les retrouva sur la terrasse. Ils avaient fini leur petit déjeuner et établissait la liste des courses. Paul et Chloé étaient cote-à-cotes et Claude en face de Paul. Elle avait une jambe levée sous la table. Son pied était entre les jambes de son fils et massait sa verge tendue. Philippe ne dit rien mais éprouva un certain malaise. Il prenait conscience que pendant des années il avait joué avec le feu et que peut être il aurait à le regretter... Il se mit à douter. Claude lui annonça qu’il accompagnerait sa belle-fille pour aller au marcher acheter légumes, viandes et fromage. Ils devraient également passer par la supérette et chez le marchand de vin. Il prit l’air le plus joyeux qu’il put en déclarant que ça ne le dérangeait pas et qu’il serait en agréable compagnie. Chloé lui renvoya le compliment avec une grande sincérité. Il avait encore insisté la veille au soir, en faisant l’amour et après, pour que Claude cède, qu’elle saute le pas. Elle lui avait répondu que tout le monde insistait tellement qu’elle n’avait plus la force de résister et avait rajouté : « Mais c’est moi qui établirai les règles ! ». C’était clair, elle venait de le faire et il se surprit à penser que ça arrivait finalement trop vite. Dès qu’il eut lui même mangé, Chloé et lui se préparèrent et partirent.
Assise dans la grande Jaguar, à côté de Philippe, Chloé le regardait. Elle l’avait toujours trouvé très séduisant. Elle ne regrettait pas de devoir passer deux heures en sa compagnie. Elle espérait qu’il en profite pour la draguer un peu, la bécoter. Elle se sentait sur un petit nuage. Cette journée était chargée de tant de promesses. Elle lui parlait ; elle badinait, l’humeur légère. Elle réalisa alors que Philippe ne semblait pas partager son enthousiasme.
− Tu as l’air inquiet, préoccupé ; quelque chose ne va pas ?− Tu n’es pas inquiète ? Tu devrais pourtant... J’ai joué avec le feu depuis des années. J’ai fantasmé sur ce qui est en train d’arriver ; je l’ai rêvé, désiré. C’est de la folie pure, Chloé...− Tu as peur que ça se passe mal ?− Pour eux ? Non, absolument pas, au contraire, j’ai peur que ça se passe trop bien... Par contre, pour moi,... pour nous, c’est une autre histoire...− Mais Claude t’aime et Paul m’aime, je...− Claude m’aime d’un amour sincère et profond depuis 18 ans, elle a une totale confiance en moi mais son amour pour Paul est différent, j’ai peur de ne pas être capable de lutter.− …− Si ça n’impliquait que moi encore, ce ne serait pas trop grave. Je pourrais m’en vouloir uniquement d’avoir à récolter ce que j’ai semé... mais il y a toi. Si tu perds Paul à cause de moi, si la vie que vous étiez en train de construire à cause de moi devient un cauchemar, pourras tu me le pardonner ? J’ai commis une grave erreur, peut-être même que c’est un crime, dès le départ.− Mais enfin, Philippe, tu n’as fait qu’accepter le sentiment qu’ils avaient l’un pour l’autre, comme moi d’ailleurs, non ?− Non Chloé, je l’ai fait naître... J’en ai été l’instigateur. Il y a 5 ans quand Claude et venue me raconter le problème qu’elle avait avec Paul, elle n’avait aucun désir pour lui. Quand à lui, il éprouvait, pour sa mère un sentiment mal maîtrisé, peut-être un peu excessif mais relativement naturel. S’il était très avancé scolairement, Paul avait un peu de retard sur le plan émotionnel et son comportement n’était qu’une réminiscence d’un stade œdipien... J’aurai pu et j’aurai dû trouver les mots pour le dissuader. Au contraire, je n’ai fait que l’encourager. Plus il se masturbait en pensant à sa mère et plus je le félicitais. Plus j’étais fier de lui. Paul n’a pas de père, Chloé. Pour lui, c’est moi son père. Quand il m’appelle « parrain », pour lui, dans son esprit, dans son cœur, c’est « papa ». Comme moi, quand je dis « garçon » ca veut dire « fiston ».− Mais Claude, elle avait bien envie de lui, non ?− Non, absolument pas... elle croyait que j’avais agi comme un père pour Paul, justement. Il n’y avait plus de problème entre eux, il était redevenu sagement affectueux comme tout petit garçon attaché à sa maman... sans plus. Quand est arrivé la préparation du Bac, Paul avait mis la barre très haute. Il avait toujours eu aux alentours de 19 de moyenne générale et ne voulait pas avoir moins à l’examen. Je ne suis pas certain qu’il en avait besoin réellement mais il s’est mis à travailler comme un acharné. Il avait moins de temps à consacrer à sa mère, ne lui faisait plus de câlin, il travaillait. Comme il avait besoin de compenser, je lui ai suggéré d’utiliser les culottes de sa mère, de les sentir, de les goûter pour connaître la saveur de son intimité. Ça a été un vrai succès... Paul se masturbait parfois plus de 10 fois par jours... il commença à avoir des douleurs, n’arrivait plus à éjaculer. Il m’en parla et j’ai tenté une expérience médicale qui a eu pour effet de développer son pénis bien au-delà de la taille qu’il aurait dû atteindre et d’augmenter sa spermatogenèse. C’est à ce moment que j’ai commencé à lui donner des photos érotiques que je faisais de sa mère.− Et Claude alors ?− Elle, elle se rendit compte que son fils volait ses culottes. Elle en fut choquée mais comme à chaque fois qu’elle s’était trouvé dans une situation semblable avec lui, elle en fut désemparée. Elle le laissa faire sans rien dire. Une fois ou deux, elle céda à la tentation de se masturber dans une de ses culottes en pensant que Paul apprécierait. Alors elle est venue m’en parler, espérant que je l’aide, que je trouve une solution pour calmer le jeu... comme la première fois.− Mais tu l’as poussée à continuer, c’est ça ?− En quelque sorte, oui. Claude finit toujours par faire ce que je désir... elle met plus ou moins de temps mais elle finit par le faire.− Mais, elle n’a pas couché avec son fils, enfin...− Pas encore, c’est ça ? Non, mais je lui avait toujours conseiller d’attendre qu’il soit plus grand, qu’il soit majeur...− Tu tires les ficelles depuis le début et maintenant,... tu crois que tu n’as plus le contrôle de la situation, c’est ça ?− …
Ils arrivaient en centre ville et Philippe garait sa voiture. Ils ne dirent pas un mot pendant toutes les courses. Chloé réfléchissait à la situation. Il fallait qu’elle trouve une solution. Que Paul et sa mère puisse faire l’amour ensemble sans que ça remette tout en cause... elle avait imaginé que Claude était la dernière des femmes à pouvoir lui voler son amour ; une relation entre eux lui avait semblé inoffensive. Mais si Philippe avait raison... L’idée lui vint avant de repartir du centre ville.
− Il faut qu’on leur fasse des cadeaux... N’importe quoi mais un truc qui leur fera plaisir.− Pardon ?− Oui, Philippe tu dois impérativement trouver un cadeau pour Claude et moi un truc pour Paul. N’importe quoi, une bricole mais qu’elle que chose qui lui plaise. Il faut qu’on leur montre, chacun de notre côté qu’on les aime et qu’on cultive leur envie de nous aimer ! C’est la seule solution. En arrivant, tu offres à Claude ce que tu auras pris pour elle et moi j’écarterai Paul pour lui montrer que moi aussi j’ai pensé à lui. Ensuite, chacun dans notre coin, on leur fait l’amour. Le vrai amour avec tout notre cœur et toute notre passion. Il faut qu’on les fasse vibrer.− Tu crois ? Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui offrir ? On est dimanche, la bijouterie est fermée...− Enfin, Philippe ! Tu ne vas pas me faire croire que tu n’as pas plus de sensibilité qu’un caillou. Achète lui quelque chose de simple, bon-sang ! Je ne sais pas, moi... des fleurs ! Tu lui en offres souvent des fleurs ?− Euh, non,... pour ainsi dire jamais, sauf parfois, quand un marchand de roses passe dans un restaurant et qu’on est tous les deux...− Et bien, tu vas te rattraper ! Une femme aime toujours qu’on lui offre des fleurs ! Quant à moi, tu vas m’aider parce que j’y connais rien en classique, mais toi et sa mère, vous l’avez bercé à ça apparemment. Il m’a parlé d’un CD qui venait de sortir, une suite de Brahms ou un machin comme ça. Je sais qu’il aimerait l’avoir pour pouvoir l’écouter en conduisant... ça risque d’être un peu dure pour moi, mais bon...− Oui, je vois ce dont il s’agit. Un bel enregistrement du philharmonique de Londres qui est sorti le mois dernier chez Opérundi. Tu crois qu’on va trouver ça sur le marcher toi ?− Pourquoi pas, y a un disquaire sur l’autre côté, pas loin de la fleuriste justement, en face du marchand de fringues. Il a l’air d’avoir un sacré étalage...
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