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Paul

Chapitre 7

Inceste
VII. – 2+2 : UN NOUVEL ÉQUILIBRE.
La chance sourit à Chloé, le disquaire était bien achalandé. Elle conseilla Philippe pour le choix du bouquet. La stratégie de la jeune fille fonctionna à merveille. Quand Philippe offrit les fleurs à Claude celle-ci s’exclama : « Oh ! Des fleurs ?! Mais tu es fou, elle sont magnifiques ». à la chaleur du baiser qu’elle lui fit en remerciement, elle décida qu’il était temps de donner à Paul son cadeau. Elle le tira par le bras dans le couloir en lui disant : « viens, moi aussi j’ai un truc pour toi... ». Ils atterrirent vite sur le lit d’une chambre inoccupée de la maison et qui disposait donc d’un matelas. Claude et Philippe se contentèrent d’un canapé du salon. Chloé se fit très chatte et se concentra sur le plaisir de son amant. Elle n’arrêta pas, entre deux cris de plaisir, de lui dire qu’elle l’aimait et lui faisait de même. Quand elle le sentit se tendre en elle, elle se cramponna à lui de toutes ses forces pour partager son orgasme.
− Je t’aime, Paul ! Je t’aime tant...− Moi aussi ma chérie, je t’aime plus que tout. Je... il faut que je t’avoue... tout à l’heure, avec maman,... enfin après, je...− Qu’y a-t-il mon cœur ? C’n’était pas bien ?− Si, en fait, c’était très bien, mais... après, je ne savais plus où j’en étais... ça tournait dans ma tête et j’ai cru, un moment que c’était elle... Je te demande pardon, ma chérie, mais je sais maintenant que je ne pourrai jamais l’aimer comme je t’aime. Je ne veux pas qu’on se quitte. Je veux faire ma vie avec toi...− Moi aussi, je veux faire ma vie avec toi et, quand le moment sera venu, j’aimerai porter un enfant de toi. Je t’aime, Paul, tu es l’homme de ma vie, l’amour de ma vie !− On n’aurait pas du faire ca...− Pourquoi ? Vous en aviez envie... vous l’avez fait. C’est tout.− Oui mais si on en a de nouveau envie ? Qu’on recommence ?− Tout dépend de l’état d’esprit dans lequel c’est fait mon chéri. Tu as pris du plaisir avec elle.− Oui, beaucoup...− Et avec moi, tu prends du plaisir ?− Enormément ! C’est... en fait, je crois que c’est différent... même mieux. C’est différent et c’est mieux !− C’est flatteur.− Non, c’est vrai !− Je te crois mon amour et tu sais pourquoi c’est comme ça ?− Euh, non...− Et bien parce qu’on ne fait pas l’amour qu’avec son corps mais aussi avec sa tête. Toi et ta mère, vous partagez des sentiments très forts alors vous avez pris beaucoup de plaisir. Moi tu m’aimes...− De tout mon cœur !− Donc tu en prends énormément. Si tu avais fait l’amour à une inconnue, il y a de fortes chances pour que tu en ais pris moins. C’est comme ces femmes qui font l’amour à des inconnus devant leur mari; elles peuvent prendre leur pied mais elles n’auront jamais la même intensité qu’avec leur mari. De même que les couples échangistes prennent du plaisir à l’échange mais le vrai plaisir, celui qui mêle amour et sentiments, c’est avec leur partenaire légitime qu’ils le prennent.− Tu veux dire que si on arrive à faire la part des choses entre l’acte sexuel et, disons, l’acte d’amour tel que toi et moi on le partage, on peut faire l’amour avec n’importe qui ?− C’est à peu près ça... ce qui ne veut pas dire que tu peux faire l’amour avec n’importe qui ! Attention mon chéri ! Mais c’est ce qu’appliquent, plus ou moins consciemment les échangistes et les femmes qui acceptent d’être partagés.
− Mmm...− Ça te laisse perplexe ?− Non, je... si j’ai de nouveau envie de faire l’amour avec maman et que je fais la part des choses entre les sentiments que j’ai pour elle et l’amour que j’éprouve pour toi, tu... pourrais l’accepter ?− Et bien, sous certaines conditions peut-être. La première étant que tu sois effectivement bien clair dans ta tête avec ça et qu’il en soit de même pour elle vis-à-vis de Philippe. Ensuite, ça dépendra du contexte...− Pas comme ce matin, c’est ca ?− T’as tout compris mon amour, pas comme ce matin...− Je t’aime ma chérie... Je n’aime que toi tu le sais.− Alors montre le moi encore une fois.− Je... ça va être un peu difficile... tout de suite...− Ta bite est dans ma chatte... fais autre chose, fais-le en me disant que tu m’aimes.− Tu... tu veux ?− Oui mon amour, j’en ai très envie...
Paul se concentra quelques instants et libéra sa vessie en la regardant dans les yeux et en lui disant ô combien il l’aimait. Chloé jouit de cette déclaration et de l’onde chaude qui la remplissait et elle jouit encore quand il se retira et que le flot se déversa sur le matelas...
− Encore un matelas à sortir au milieu de la pelouse...− Ouai, on en a flingué deux en moins de vingt-quatre heures ; on va passer pour des gros cochons je crois. Tu crois qu’ils en sont où tes parents ? Tu entends quelque chose ?− J’ai l’impression que ça bouge dans la cuisine mais je ne suis pas certain...− Si t’as raison... et bien sortons ce matelas et allons les aider.
Il quittèrent la chambre avec leur chargement et traversèrent le salon en essayant de ce faire le plus discret possible...
− Encore ?! Un seul ça ne vous suffisait pas ? Il reste encore une chambre de libre, vous savez !− Euh... merci maman, on va essayé de se limiter à ces deux là, tu sais... (et ils partirent tous les deux dans un fou-rire incontrôlable).− Qu’est-ce qui se passe ?− Il se passe que mon cher fils et sa charmante compagne semblent avoir des pratiques pour le moins douteuses. Il ne m’appartient sans doute pas de les juger mais elles risquent, quand même, de nous coûter le remplacement de deux matelas ! Alors je leur ai demandé s’ils souhaitaient s’arrêter là ou tester la quatrième chambre et ça les fait glousser ! (Philippe regarda l’entre-cuisse humide de sa belle-fille, ça coulait encore un peu).− Chloé, une fois que vous aurez mis ça au soleil, tu devrais quand même aller faire une toilette approfondie. C’est un peu plus qu’un conseil... (la jeune fille rougit mais ne pouvait, visiblement pas prendre une attitude sérieuse).− Ou... oui docteur... (et ils repartirent dans un éclat de rire plus fort).− N’importe quoi ! Ils sont complètement givrés !− Ils sont amoureux, ma chérie... Ils sont jeunes et amoureux.− Nous aussi on est jeunes... et très amoureux... (Claude embrassa tendrement Philippe qui ne pu s’empêcher de penser qu’il devait une fière chandelle à Chloé).
L’après-midi, Claude et Philippe allèrent à la plage naturiste tandis que les jeunes se rendirent sur la plage textile plus proche. Le soir, les deux femmes trouvèrent un moment pour discuter toutes les deux. Claude avoua à sa belle-fille qu’elle avait bien faillit ne pas faire la part des choses après avoir fait l’amour avec son fils. Elle voulait aussi la remercier pour les fleurs, Chloé essaya de dire que l’idée venait de Philippe mais Claude ne la crut pas.
− En dix-huit ans, il ne m’a jamais offert de fleurs spontanément... et s’il le faisait je pense que je me ferais du souci. C’est qu’il aurait quelque chose à se faire pardonner j’imagine.− Et qui sait ?... Peut-être qu’il a quelque chose à se faire pardonner, tu ne crois pas ?− Je... Que pourrait-il bien y avoir ?− Et bien il pourrait vouloir se faire pardonner d’avoir jouer avec le feu, par exemple. Philippe t’aime, Claude. Il t’aime de toutes ses forces. Il ne voudrait surtout pas te perdre je crois...− Je... je sais, Chloé. Il ne me perdra pas, fais-moi confiance. Comme toi tu ne perdras pas Paul... et si ça devait arriver ça ne serait pas à cause de moi. Je t’en fais la promesse.− Je ne perdrai pas Paul. Tu peux en être sure et certaine.− Tant mieux car ça m’ennuierai de te perdre aussi. J’ai beaucoup de chance de t’avoir comme belle-fille.− Merci... et toi t’es sans doute la meilleure des belles-mères... bon et c’était bien alors ?− Bien ?... J’ai trouvé ça divin. Je ne m’étais jamais aussi sentie remplie de ma vie je crois. Entre la taille de son pénis et la quantité qu’il envoie... En plus de ça, il a une sacrée endurance... enfin tu sais ça mieux que moi.− Disons que je commence à avoir, il est vrai, une certaine pratique de la bête. Je suis contente que vous y ayez pris beaucoup de plaisir tous les deux... mais ne le refaites pas comme ça.− Promis, ce sera avec ton autorisation et celle de Philippe et pas sans vous... pas sans toi en tous cas. Dit-elle en se rappelant que Philippe partirait en fin d semaine, les laissant seuls tous les trois.
La nuit était douce et ils dînèrent dehors. Ils n’évoquèrent plus ni les uns ni les autres les événements de la journée. Le lendemain, Paul proposa une journée plage en pique-niquant sur place et ajouta que comme ils se voyaient nus toute la journée, ils pouvaient bien aller ensemble du côté naturiste. Philippe parut gêné et Claude l’était visiblement aussi. Paul ne comprenait pas ce que sa proposition avait de si troublante. Chloé prit sa belle-mère à part et lui suggéra de dire toute la vérité à son fils sur leurs pratiques plagistes. Claude tordit un peu du nez et appela Philippe pour savoir ce qu’il en pensait. Paul se demandait vraiment ce que signifiait ces conciliabules. Finalement, Claude et Philippe reconnurent que les conseils de Chloé étaient souvent les meilleurs alors ils avouèrent à Paul ce qu’ils faisaient à la plage. Il ne parut pas choqué le moins du monde et son sexe commençait même à prouver le contraire. Paul avoua qu’il s’en doutait un peu et raconta qu’il avait découvert, l’année d’avant, trois magazines assez explicites. Il ne dit pas que cela l’avait excité mais cela se voyait, son sexe prenait de l’ampleur. Il n’avoua pas non plus qu’il s’était abondamment masturbé en imaginant sa mère en situation.
− … je crois donc que ça ne me gênerait pas que nous allions tous les quatre à la plage. Philippe et toi n’avez aucune raison de modifier vos habitudes. Si vous pratiquez ça, c’est que vous y trouver votre compte. Je ne vous juge pas et je ne penserai jamais à mal de toi maman.− Merci mon trésor, mais... il n’y a pas que moi. Tu sais, là où nous allons, il y a un certain nombre de couples plus ou moins comme le notre, il y a des hommes seuls, des voyeurs et des hommes plus direct qui n’hésitent pas à proposer de « satisfaire » madame. Chloé, mignonne comme elle est, risque de susciter beaucoup d’intérêt... Par ailleurs, mon chéri, beau comme tu es et avec ce que tu as entre les jambes. Je pense que plusieurs hommes viendront te chercher à la demande de leur femme. Comment gérerez vous ça si vous n’êtes pas attirés, de prêt ou de loin, par ce genre de pratiques ? Vous risquez de vous sentir vite embarrassés et ennuyés.− Et bien, si vraiment nous ne devions pas supporter l’ambiance, je crois, maman, que Chloé et moi sommes assez grand pour aller ailleurs... je ne sais pas... (Paul regarda Chloé qui fit un petit oui de la tête) c’est vrai que nous n’en avons parlé qu’une fois mais il est possible qu’on y trouve notre compte d’une certaine manière. N’est-ce-pas mon amour ?− Oh si, même de deux sûrement... la première pour toi et la deuxième pour moi...− Oui mais celle pour toi, au final, elle est quand même pour moi...− Hi hi, c’est vrai tu as raison... mais en faisant comme ça, on change un peu nos plans... j’aurai préféré ici d’abord...− On peut comprendre de quoi vous parlez ou sommes nous exclus tout à coup ?− Non, vous n’êtes pas exclus. En fait, si des femmes veulent se satisfaire devant leur mec avec Paul, ça ne me dérange pas. Comme je te l’ai dit samedi, Claude, j’ai un peu de mal à suivre la cadence depuis le début de l’été. Donc ça c’est pour lui. Ensuite...− Ensuite, Chloé a, semble-t-il depuis longtemps, envie d’essayer la sodomie. Elle attendait pour cela d’avoir rencontré l’homme de sa vie mais, elle trouve ma bite un peu grosse pour m’accorder l’accès à cette voie sans avoir abondamment pratiqué avant. Elle aurait besoin d’une initiation agréable et réussie avec un homme expérimenté et d’une pratique intense et régulière avec différents partenaires avant de pouvoir tenter l’expérience avec moi...− Donc ça c’est pour moi mais au bout du compte c’est aussi pour lui puisque mon objectif c’est d’y arriver avec lui. Vous comprenez ?− Euh, oui... ça me semble clair...− Il y a une chose que je ne comprends pas moi. Pourquoi as tu dis que tu aurais préféré ici ?− Parce que, mon cher Philippe, Paul et moi avions décidé, à condition que vous soyez d’accord tous les deux, que ce soit toi qui prenne ce que l’on pourrait appeler laconiquement ma virginité annale.− Tu voudrais que...− Nous voudrions que tu l’encules, parrain. Nous voudrions que tu sois le premier à profiter de son joli petit cul et de sa rosette toute fraîche. Nous voudrions que tu la fasses jouir du cul, que tu lui en donne le goût et surtout l’envie de le faire avec n’importe quelle bite, toutes celles qui lui plairont. Nous voudrions que tu l’encules devant moi et maman, si elle accepte que tu le fasses. (le sexe de Philippe acquiesça tout de suite).− Et bien... battons le fer comme il est chaud... Philippe me parait dans ses meilleurs dispositions ; il faut dire que depuis le temps qu’il bave sur ton cul, ma petite Chloé, le contraire aurait été surprenant... Dit Claude en mettant une claque sur le fessier de sa belle-fille. Emmène cette petite dans notre lit, chéri, elle y sera mieux que dans le salon et nous n’aurons pas à courir après le gel en cas de besoin... Paul et moi on vous suit.
Philippe ne se fit pas prier. Il tendit la main à Chloé pour la conduire vers la chambre. Il la prit par la taille mais sa main glissa vite sur le doux fessier pour l’accompagner de caresse dans la monté des escalier. Arrivés sur le lit, ils s’embrassèrent à pleine bouche. Les mains de Philippe caressaient le dos de Chloé, descendaient sur les fesses mais ne s’occupaient pas du devant. Il la positionna à quatre pattes, plaqua sa bouche dans la raie de son cul et débuta une feuille de rose. La jeune fille frissonna à cette caresse qu’elle aimait bien. Il lui écartait les fesses, enfonçait sa langue avec douceur. Paul et Claude s’étaient installés de part et d’autre de Chloé. Paul lui tenait la main et Claude, de l’autre côté l’encourageait à se détendre le plus possible et à se laisser porter par les caresses expertes de Philippe. En même temps qu’il léchait son cul, il fit glisser un puis deux doigts dans la fente humide. En bon gynécologue il connaissait par cœur les zones les plus sensibles et les plus à même de déclencher d’abondante secrétions vaginales. Chloé jouissait de ces doigts qui massaient sa chatte avec tant de précision et de cette langue mutine qui lui assouplissait l’anus. Philippe se redressa puis appuya un premier doigts sur la petite pastille. Il appliquait de petits mouvements circulaires pour l’inciter à s’ouvrir. Les muscles se relâchèrent petit à petit et le doigt pénétra son fondement. L’autre doigt réinvestit la chatte. Il continua à la masturber ainsi pendant un petit moment, faisant coulisser son index dans le cul et son majeur dans la chatte. Enfin, il les réuni et les firent pénétrer ensemble la rosette. Son autre main était passée sous le ventre et maintenait croissante l’excitation de la jeune fille en s’occupant de son clitoris. Chloé gémissait de plaisir. Les deux doigts préparaient le passage avec beaucoup de douceur et lui procuraient des sensations qu’elle avait ignorées jusqu’à ce jour. Le moment était venu de passer à l’action. Philippe se positionna bien derrière elle. Il pénétra sa verge dans le vagin d’abord pour la lubrifier. Il avait rentré un pouce dans le cul pour le maintenir en état de s’ouvrir. Après trois allers et retours, il ressortit et appuya son gland à la place qu’avait quitté son pouce. De se deux mains il écartait les deux globes. Le sphincter faisait un peu de résistance. Philippe ne s’en inquiéta pas il relâcha légèrement sa poussée alors instinctivement le muscle se détendit et il en profita pour glisser son gland dans les entrailles de sa belle-fille.
− Oooh !− Tout va bien ? Le plus dur est passé ma jolie. Tu es bien détendue, le reste va suivre tout seul... Ça ne devrait pas arriver mais si tu ressens la moindre douleur, même la plus infime, tu le dis et j’arrête d’avancer d’accord ?− Mm, ok... Oh ! Oh ouii... oh ! Tu... tu y es ?− Presque encore un petit effort et tu pourras sentir mes couilles sur ta chatte...− Ah ! Ah oui... Mm c’est bon….− Là j’y suis ma belle, ca y est, tu as une bite dans le cul... ca va ?− Oh... très bien... c’est bizarre... c’est... c’est bon, Philippe, encule-moi...− Pas d’empressement ma jolie, on va y aller en douceur d’abord. Penses que tu dois toujours prendre ton pied et les bourrins, tu risques d’en croiser quelques uns, tu les dégages d’accord ?− Ou... oui, promis...− Bien on y va. (Philippe commence de petits vas-et-viens très lents).− Oh... oh oui... mm... oh... oh... c’est bon, oh... encore…− Oh oui c’est bon... il est super doux ton cul... j’adore... tout serré, comme j’aime. T’as vraiment un super cul, Chloé.− Oh ouii... Philippe... plus vite... oh... vas-y Philippe... prends... prends-moi plus fort... Oh !... oh oui !... Oui !... Oh !... Oh !... Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! Ah ! Oui !
Philippe n’avait accéléré qu’un tout petit peu le rythme de ses allers-et-retours. Il avait par contre augmenté davantage l’amplitude de ses mouvements. Chloé découvrait à chaque coup de rein de nouvelles sensations. Elle en voulait encore plus, elle voulait qu’il la baise. Il accéléra encore son rythme, les gémissements de sa belle-fille emplissaient la pièce. Paul se masturbait. Il appréciait le spectacle. Cela ne faisait aucun doute. De son côté Claude embrassait Chloé et lui caressait la poitrine. Philippe avait encore accéléré le rythme. Ses couilles battaient sur la jeune chatte aux lèvres gonflée de plaisir. Il gémissait également et exprimait le plaisir qu’il avait à lui « baiser le cul ». Puis il se cambra, se cramponna aux hanches de sa jeune partenaire et se vida longuement en elle. Sa jouissance avait déclenché l’orgasme de Chloé. Quand Philippe se retira d’elle elle se tourna vers Paul dont la jouissance était proche et le prit en bouche. Le contacte de la langue sur son gland fit le reste et il se déversa dans sa gorge. Chloé avala tout et nettoya bien la verge de son compagnon. Il n’y avait que Claude qui n’avait pas joui mais elle savait que les occasions n’allaient pas manquer un peu plus tard.
− Oh, Philippe, merci... c’était... c’était vraiment merveilleux...− Tout le plaisir a été pour moi Chloé. Mais pense à ce que je t’ai dit. Tu dois te méfier des bourrins... Si tu vois qu’un gars va mal s’y prendre, soit tu le jettes, soit tu prends les commandes pour te pénétrer à ton rythme. Normalement, une fois que c’est rentré, si le type ne ressort pas de ton cul pour y revenir comme un sauvage, tu n’auras jamais de problème. Ok ?− Je ferai attention, c’est promis. Et toi, mon chéri, on dirait que le spectacle t’as plu...− C’est rien de le dire... Je crois que... c’est de te voir jouir, en fait qui m’a vraiment plu... alors, à la plage ou ailleurs, en fait, je veux bien que tu baises avec d’autres mecs et... le cul ou la chatte je crois que ça n’a pas vraiment d’importance si je te vois...− Mm, et moi qui espérait ralentir le rythme, du moins en ce qui me concerne... on est mal barré je crois...− Tu sais Chloé, moi, plus je me fais sauter et plus j’en ai envie... qui sait si ça ne va pas te faire la même chose... Regarde, depuis que vous êtes arrivés est-ce que vous faites moins l’amour tous les deux ?− Euh... non− N’as tu pas pris ton plaisir à chaque fois ?− Si, bien-sur, tout le temps...− Et t’as eu l’impression que c’était trop ?− Euh, non pas franchement en fait...− Alors t’es prête pour plus à mon avis... t’es prête pour les dunes ma cocotte ! Dit Claude avant de l’embrasser sur la bouche.
Les glacières à la main, parasols et nattes sous les bras et sacs de plages sur les épaules, Chloé, Claude, Paul et Philippe prirent le chemin de la plage naturiste. Ils dépassèrent largement une zone plutôt familiale avant de s’installer. Claude et Philippe avaient « leur coin » et expliquèrent qu’ils se mettaient toujours là. Un peu plus loin, il y avait un autre couple qu’ils saluèrent d’un signe de la main.
− Vous les connaissez ?− Oui, depuis une semaine, nous sommes voisins de plage... d’habitude.− C’est vrai, pourquoi se sont-ils mis si loin aujourd’hui ?− Maman, il y a à peine vingt-cinq mètre entre là où nous sommes et leur parasol− tu as raison... allons les rejoindre Philippe. Vous allez voir ils sont très sympa.
Ils s’approchèrent donc de ce couple. L’homme s’était levé et la femme en faisait autant.
− Tu sais Philippe, en arrivant tout à l’heure, j’ai dit à Janine : « Tu vas voir, si on se déplace de vingt ou trente mètres par rapport à d’habitude, ils sont foutus et de rester à la même place », Ah ah. J’ai bien failli gagner mon pari.− Salut, Antoine, c’est vrai qu’on a été un peu étonnés avec Claude. Salut Janine. Voici Paul, le fils de Claude et sa petite amie Chloé.
Les présentations furent vites faites et Parasols et nattes de plages furent installés à côté de ceux du couple de quinquas. Antoine était un bavard et un blagueur. Il était plutôt grand, pas trop gros mais n’avait pas une allure très sportive. Il avait un torse poilu et grisonnant, comme ses cheveux et les poils de son pubis. Il avait un sexe circoncis que Chloé jugea assez beau. Il avait une taille assez standard mais plutôt épais comparé à celui de Philippe. Janine était un peu plus effacée que son mari. Elle était un peu intimidée par la présence des jeunes gens. Elle avait un corps encore élégant et visiblement entretenu malgré quelques petits excès de graisse au niveau des fesses, mais qui les rendait encore plus attrayantes, et une poitrine légèrement tombante. Son visage fin était fendu d’une large bouche que Paul compara à celle de Fanny Ardent. Comme son mari, elle était poivre et sel, ses cheveux étaient coupés courts mais sa chatte était très poilue. Ce détail l’amusa ; il y avait un contraste pileux entre ce couple et celui de ses « parents ». Le silence de Janine surprenait un peu Claude.
− Qu’est-ce qui t’arrive Janine tu ne dis rien...− C’est que... je ne pensais pas que vous étiez en famille... Je...− Ne t’inquiètes pas, nous ne nous sommes pas trompé de secteur tu sais... ces enfants sont de vrais polissons... ils savent très bien où ils sont si ça peu te rassurer.− Polissons, ce n’est pas très flatteur... T’entends ça Paul ?− C’est vrai, ce n’est pas méchant mais ça fait gamins qui font des bêtises... Tu aurais pu trouver autre chose, maman que polisson. Chloé à raison.− Ah... t’entends ça, Antoine, les jeunes... toujours à pinailler...− Comme tu dis Philippe... du pinaillage. En tout cas, mesdames, on a de la concurrence déloyale...− Et vous, deux fois plus que nous messieurs...− Ah bah ! Evidemment, ma puce, t’es toujours à regarder dans le détail alors forcément... un joli petit brun bouclé avec une belle quéquette...− Je ne vois pas de quelle concurrence vous parlez votre mari et vous, Janine, c’est vrai que Paul et moi, nous avons les appâts de notre jeunesse mais vous n’avez rien à nous envier tous les quatre. Je ne parlerai pas du charme de Philippe, il connaît déjà mon opinion, ni de la beauté et de la grâce de Claude qui pourrait passer pour ma grande sœur mais vous aussi, vous êtes attirants. Personnellement, je trouve que vous êtes très belle Janine. On voit que vous entretenez votre corps, votre visage est fin, vos taches de rousseurs rajoutent à votre charme et je suis certaine que beaucoup d’homme ont déjà sombré dans la clarté verte de vos yeux. Quant à vous Antoine, vous êtes grand et de stature élégante. J’aime bien votre poitrail velu, non seulement il fait rêver d’étreintes bestiales mais en plus il rajoute au confort qui se dégage de votre corps. J’imagine qu’elles sont nombreuses à s’y être accrochées. Enfin, tous les quatre, vous avez de l’expérience alors que Paul et moi sommes encore que des oisillons qui apprennent à voler. C’est pas vrai, mon chéri.− Je n’aurais pas su dire mieux les choses, mon amour... j’ajouterai, Janine, que votre bouche est sublime et illumine votre visage parfait et que votre expérience, à tous les quatre, accroît considérablement votre pouvoir de séduction. − Bien dit mon amour ! Et toc !− Et bien mes enfants ! C’est digne d’une déclaration d’amour... Remarqua Claude.− Oui, vous êtes adorables,... mais faut faire gaffe à ce qu’on dit avec vous et avec cette charmante Chloé en particulier. Déclara Antoine en regardant la jeune femme.− Oui, ils ont des cerveaux vifs et qui réagissent au quart de tour... mais c’est plutôt un avantage généralement. Précisa Philippe amusé.
Janine se pencha vers Claude et lui murmura quelque chose à l’oreille. Claude se pencha vers Paul et lui transmis de la même manière : « Janine voudrait jouer un peu avec toit et ta jolie queue, est ce que vous seriez d’accord avec Chloé ? ». Paul, avec la même discrétion demanda l’autorisation à Chloé qui la lui accorda avec un grand sourire doublé d’un baiser. Alors Paul fit un signe de tête en disant : « Avec le plus grand plaisir ». Janine vint s’asseoir à côté de lui en échangeant sa place avec Claude. Elle déposa des baiser sur la bouche du jeune homme et d’une main commença à prodiguer de douces caresses sur sa queue encore mole. Elle agissait du bout des doigts et du bout des ongles. La bite frémissait sous ces effleurements et prenait progressivement du volume. Paul avait pris en main la poitrine de Janine. Il la parcourait, la massait. Les seins étaient lourds et ornés de larges aréoles. Les extrémités, très grosses, des tétons étaient très réactives. Elles durcissaient sous ses doigts. Janine en soupirait d’aise. La verge du jeune homme atteignit son plein épanouissement... Elle resserra ses doigts autours du pénis érigé ; ils n’en faisaient pas le tour. Elle entama alors une lente masturbation. Ils avaient arrêté de s’embrasser ; Paul lui tétait les mamelons et sa main était descendue plus bas se perdre dans l’épaisse toison. « Redresse toi joli cœur, je vais te montrer ce que je sais faire avec ma grande bouche... », lui souffla-t-elle subitement à l’oreille. Paul se leva, elle s’accroupit face à lui pour être à la bonne hauteur et le regarda avec un grand sourire. Elle commença, tout en continuant sa masturbation, à sucer son gland et à lécher sa bite. Elle la recouvrait de salive qu’elle étalait avec ses doigts puis recommençait. Le pénis était dégoulinant de bave. Elle reprit le gland en bouche et, devant les regards stupéfaits de son jeune amant et de sa ravissante compagne, elle avala son sexe intégralement. Son nez butait contre le pubis de Paul. Elle le maintint dans sa gorge dilatée pendant quelques secondes avant de le ressortir complètement.
− Rlaahh ! Mm, succulente ! (elle étala de nouveau sa salive sur bite et recommença).− Oh... putain !... Mm... Oui ! (Janine arracha de nouveau le pieu de sa bouche).− T’as l’air d’aimer ça, mon coco, de te faire bouffer le sucre d’orge, mm ? (Paul était sous le coup de l’émotion ; il n’avait jamais rien ressentit de pareil).− Oh... ô oui...− Je vais te le refaire une fois et tu vas me montrer ce que tu sais faire avec.
Joignant le geste à la parole, elle le reprit intégralement au fond de sa gorge et le garda un peu plus longtemps. Elle le maintenu enfoncé fermement jusqu’à la limite de l’étouffement et le ressortit avec un râle de victoire. Elle se mit à quatre pattes en travers des nattes de plages en disant : « Viens mon coco, prends-moi fort, n’ai pas peur... » Chloé tendit une capote à son chéri qui se retrouva, bêtement, comme une poule devant un couteau. Il déchira l’emballage difficilement mais fut encore plus dérouté quand il eut la rondelle de latex entre les mains. C’est Claude qui intervint rapidement en lui retirant des doigts et en lui déroulant sur la queue. « On ne fait pas attendre une dame, mon chaton, tu devrais le savoir ! » ajouta-t-elle avec un regard qui se voulait sévère. La bite bien enveloppée, se fraya un chemin, sans aucune difficulté jusqu’au fond du sexe béant de Janine. Il s’était enfoncé d’un coup jusqu’à la garde et en fut lui même surpris.
− Ô qu’c’est bon putain ! Y m’remplit bien le coco. Vas-y, mon biquet, baise-moi... baise-moi comme une chienne ! Ah ! (Paul ne se le fit pas dire deux fois. Il lui empoigna les hanches et la pilonna sans vergogne).− Ah ! Han !− Ah ! Ah oui ! Ah oui, saligaud ! Bien fort ! Ah ! Dis moi des choses ! Insulte-moi ! Ah baise-moi fort, cochon ! (Paul, bien que surpris se risqua).− Ah ! Salope ! Ah !− Ah oui, encore ! Ah !− Ah ! Salope ! Ah putain ! J’te baise ! Ah ! J’te baise comme une truie ! Ah !− Ah... Ah oui ! Baise-moi ! Ah, défonce ma chatte, fumier ! Ah ! Ah !− Oh oui, putain je te défonce ! Ah J’te défonce ta grosse chatte baveuse de salope ! Ah ! (Paul qui n’avait jamais fait l’amour en disant un mot était surpris de l’effet de cette coprolalie sur le plaisir de sa partenaire et le sien).− Ah ! Ah oui encore salop ! Ordure ! Tu m’remplis bien fumier ! Laboure-moi ! Baise-moi fort !
Le spectacle échauffait les esprits et en particulier celui de Chloé qui n’en pouvait plus. Il fallait que quelqu’un la baise elle aussi, là tout de suite. Elle regarda Antoine qui se masturbait. Leurs regards se croisèrent. Elle s’allongea sur le dos à côté de Janine afin de continuer à voir sa tête et celle de Paul.
− Antoine venez me baiser comme ça ! Baisez-moi vite ! (Antoine se couvrit prestement et contourna la jeune fille pour s’allonger sur elle et la prendre sans détour) Aaaaaaaaaah ! Ah ! Oui !− Ah ! P’tite salope t’en veux aussi d’la queue ! Ah ! Putain c’que t’es bonne ! Ah !
Les deux hommes pilonnaient au même rythme, les insultes volaient dans tous les sens. Les esprits s’échauffaient. Paul et Janine qui avaient un peu d’avance partirent les premiers.
− Ah ! Salop tu m’fais jouir avec ta grosse bite ! Ah ! Ah oui cochon ! Fumier ! Ah ! Ah le p’tit con ! Y m’fais jouir c’t’enflure, Bordel ! Y m’fais jouiiir !− Ah, oui, Janine, t’es qu’une pute ! Ah ! Une grosse pute ! Ah ! Tu vas m’faire jouir putain ! Ah !− Ah ! Ah Oui ! Salop ! Ordure ! Ah ! Aaaaaaaah !− Ah oui, c’est ca ! Couine bien fort, salope ! Ah ! J’vais jouir putain ! Ah ! (Janine se retira très vite et se retourna vers lui).− Viens sur moi ! Balance moi ta purée à la gueule ! Cochon ! (Paul se redressa en retirant sa capote et en deux aller-et-retours éjacula au visage de sa partenaire).− Ah ! Ah oui ! Tiens ! Prends tout ça ! Aaaaaah j’te repeins la tronche ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Et pour lui repeindre la figure, il lui avait franchement repeinte. Huit grosses giclées de spermes s’écrasèrent sur ses cheveux, son front, ses paupières, sa bouche ou encore ses joues et son menton. Elle en avait partout. Son joli minois dégoulinait de foutre. Elle était stupéfaite ! Jamais elle n’en avait reçu autant d’un seul partenaire... Elle rouvrit les yeux, regarda le beau jeune homme, lui sourit et lécha sa bite pour le nettoyer. À côté, Chloé et Antoine ne s’étaient pas arrêtés. Chloé continuait à insulter son amant. Bien qu’elle avait déjà connu cette pratique avec un ou deux petits amis, elle n’avait encore jamais pris autant de plaisir à être traitée de putain et de salope. De voir Paul jouir fut un déclic supplémentaire qui l’accompagna jusqu’à un premier orgasme rapidement suivit d’un second quand Antoine, en voyant le visage de sa femme maculé, jouit à son tour tout au fond de son ventre. Les deux couples s’étaient écroulés côte-à-côtes ; Janine embrassait Paul avec beaucoup de tendresse et d’émotion, tandis que Chloé faisait de même avec Antoine. Puis Janine se tourna vers son mari, qu’elle embrassa à son tour amoureusement et Chloé se leva pour rejoindre Paul et se serrer dans ses bras. Claude et Philippe étaient restés silencieux et spectateur pendant tout le temps. Seul Philippe s’était masturbé et vidé les couilles. Claude était chaude, depuis le début de la matinée, tout le monde baisait devant elle. Elle n’avait pas encore touché une seule queue. Il était temps de réparer cette injustice.
− Mes enfants, quel spectacle ! Philippe et moi, on vous abandonne un petit moment..., si vous vous sentez le courage de nous attendre pour manger, ce sera avec plaisir mais sinon, ne vous inquiétez pas pour nous.− Non, on va vous attendre... moi, personnellement, je n’ai pas encore faim et j’irai bien me baigner aussi. Après tout, on est quand même venu pour pique-niquer à la plage. Vous allez où ?− Dans les dunes, mon cœur…− Amusez-vous bien...
Claude et Philippe se dirigèrent vers les dunes et Janine et Antoine vers la mer. Janine avait besoin de se laver un peu le visage.
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