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Paul

Chapitre 9

Divers
IX. – RÉCONFORT ET NOUVEAUX SENTIMENTS.
Quand elles entrèrent, tout était éteint et silencieux. Paul était recroquevillé au milieu du large lit. Sa respiration était régulière ; il dormait. Chloé posa le plateau sur la table de nuit et se glissa, sous les draps, d’un côté du lit. Claude s’installa de l’autre côté et les deux femmes se collèrent à lui, l’enveloppèrent de leurs bras et de leur amour. Chloé était dans son dos, elle avait calquée sa position sur la sienne, s’était enchâssée contre lui. Elle avait passé un bras par dessus le sien et caressait d’une main sa poitrine musclée. Sa bouche parcourait son cou, elle lui embrassait la nuque et de temps à autres, elle lui soufflait à l’oreille un « Je t’aime Paul » à peine audible... De l’autre côté, Claude s’était également rapprochée du mieux qu’elle le pouvait de son fils. Elle avait appuyé son ventre et son pubis sur les genoux de Paul et avancé son visage de sa tête. Elle lui caressait les cheveux et embrassait son front et ses lèvres. Le sommeil de Paul était tourmenté ; son corps s’agitait encore de spasmes. Sa respiration régulière était entrecoupée d’aspirations profondes qui témoignaient de sa détresse. Les deux femmes, le cœur empli de compassion, partageaient ses tourments et sur leurs joues ruisselaient leurs sanglots silencieux.
Ce premier sommeil de Paul dura trois heures pendant lesquelles, les deux femmes veillèrent sur lui. Elles avaient continué à le cajoler en pleurant. Petit à petit, son esprit émergea de sa léthargie, il reprenait conscience. Il réalisait qu’il était entouré, percevait le contacte de lèvres dans son cou, à l’arrière de sa tête, sur son front et sur sa bouche. Il finit par ouvrir les yeux et, dans la clarté lunaire de la pièce, le visage de sa mère lui apparut. Elle lui sourit et déposa un tendre baiser sur sa bouche. Il soupira, son corps s’étendit et il se retourna vers Chloé. Elle prit son visage entre ses mains et déposa à son tour un baiser sur ses lèvres et lui sourit également. Alors, Paul, submergé de tristesse enfouit son visage dans la chaude poitrine de sa compagne, s’accrocha à elle, la serra de toutes ses forces. Ses sanglots espacés avaient changé ; s’ils n’exprimaient plus la même détresse, ils révélaient quand même toute l’intensité de son chagrin. L’émotion était grande, Ils se serraient les uns aux autres en pleurant. Claude et Chloé avaient instinctivement redoublé de caresses et de tendres bisous. Paul gardait sa figure cachée dans le giron de Chloé, les battements cardiaques de la jeune fille tranquillisaient son esprit, reposaient son âme. Il se sentit enfin entouré de leur douce affection et la chaleur de leur amour se propagea subitement dans tout son être. Chloé le sentit se détendre peu à peu. Elle attendit quelques minutes encore avant de lui demander s’il avait faim. Sans quitter ses seins, Paul fit « oui » de la tête. Les deux femmes l’installèrent confortablement et Chloé déposa sur son ventre le plateau qu’elle lui avait préparé. Il prit une bouchée qu’il macha lentement, elles étaient l’une et l’autre blotties contre lui dans une position symétrique, la tête sur son épaule et une main sur son corps. Il n’en était plus à se tourmenter, il essayait de comprendre pourquoi elles étaient là toutes les deux. Il cherchait un moyen pour exprimer le fond de son tourment et finit par se lâcher. Il n’avait encore presque rien mangé ; il avait faim mais ça ne passait pas.
− Je suis un monstre, un monstre d’égoïsme et de prétention. Je suis un monstre d’orgueil !− …
Les deux femmes se taisaient. Il n’était pas encore temps d’intervenir. Il allait ouvrir son âme... elles devaient l’écouter.
− Je suis tellement sûr de mon jugement et de ma supériorité... Reprit-il doucement, je me crois supérieurement intelligent mais je ne suis qu’un idiot. La vie m’a accordé des dons précieux ; je retiens tout, je travaille vite et j’apprends vite. mais, en aucun cas, ça ne me rend meilleur que les autres. Je suis sans doute pire d’ailleurs. Je manque cruellement d’humilité et confonds sagesse et savoir... Beaucoup de gens plus ignorants que moi sont infiniment plus de sages. J’ai encore beaucoup de choses à apprendre pour pouvoir prétendre être un homme... Je ne mérite sans doute pas l’amour et l’affection que vous me témoignez maintenant, je suis un monstre.
Sa confession finie, il cacha son visage dans ses mains et se remit à pleurer. Chloé déposa un baiser sur sa joue et retira doucement ses mains de sa figure.
− Regarde moi, Paul. Je t’aime de tout mon cœur et tu mérites largement cet amour... et, avec ce que tu viens de dire, tu mérites encore plus mon admiration. Tout le monde à des défauts ou fait des erreurs, même l’être le plus sage du monde. Par contre, elles ne sont pas nombreuses les personnes capables d’identifier clairement leurs défauts. Tu viens de démontrer une grande qualité qui force le respect et l’admiration et qui me donne une raison supplémentaire de t’aimer. Pour progresser dans la vie, il est nécessaire de savoir ce que l’on doit corriger. Tu identifies clairement ce qui te gène, ce qui t’empêche de te voir tel que tu es à mes yeux et aux yeux de tous ceux qui t’entourent. Tu as exprimé, au fond, ce que tu devrais changer en toi pour pouvoir vraiment être fier de toi. C’est le premier pas vers la sagesse, et que tu l’ais fait me rend fière de toi. Tu mérites largement mon amour et mon admiration, comme tu mérites celui de ta mère et de Philippe. Rien n’est usurpé, tu mérite notre admiration et notre amour et j’espère être toujours à côté de toi pour t’épauler...− Tu... tu penses que je vais pouvoir m’améliorer ?− Pour moi, tu es déjà le meilleur mais, oui, tu vas t’améliorer encore et je t’y aiderai... et je ne suis pas la seule à vouloir t’aider. Je sais que tu pourras toujours compter sur la tendresse et l’amour de ta maman et sur l’affection de Philippe. C’est pour toutes ces raisons que nous sommes là toutes les deux auprès de toi.− Euh... Et Philippe ?− Il a dû trouver le lit trop petit...
Sans en rire franchement, la blague le fit sourire largement et sa réaction soulagea grandement les deux femmes qui l’embrassèrent avec tendresse.− Oh, mon trésor, que je suis heureuse de te voir rire un peu, dit Claude en lui caressant le ventre et en l’embrassant, je n’aurais sans doute pas trouvé les mots de Chloé pour exprimer tout ce qu’elle t’a dit. Je voudrai juste rajouter que, tous les jours, depuis que tu es né, je t’ai vu te construire, je vois l’homme que tu deviens aujourd’hui, je suis terriblement fière d’être ta mère.
Paul fut ému par ces témoignages d’affection et si ses yeux étaient encore rougis par les larmes versées, son cœur riait franchement maintenant. Sous l’insistance de sa mère, il finit son assiette. Pendant qu’il mangeait, Claude évoquait le souvenir du petit garçon qu’il avait été. Elle avait une main posée sur sa cuisse qu’elle caressait distraitement, effleurant parfois son long pénis. Elle parlait de tout le bonheur qu’il lui avait apporté, de toute les fois où il avait forcé son admiration. Elle détaillait ses qualités et rappelait les heures à jouer à se courir après dans l’appartement et les longues nuits de câlins. L’évocation de ses souvenirs d’enfance lui rappelait le désir sexuel qu’il avait eu alors pour sa mère. Son sexe témoigna de son trouble et Claude ne put s’empêcher de le prendre à pleine main. Leurs bouches se joignirent et Paul caressait la poitrine de sa mère en réponse à la masturbation qu’elle lui prodiguait. Il avait fini son dîner tardif, Chloé reposa le plateau sur la table de nuit et Paul, sans cesser d’embrasser sa mère, se glissa entre ses cuisses.
− Viens, mon bébé, dit Claude, maman va te faire du bien. Aaaaah, oui, comme ça.− Oh Maman, comme c’est doux quand je suis en toi, tu… tu te rappelles la première fois que je me suis branlé à côté de toi ?− Oh oui, je m’en rappelle, aaah. Tu avais à peine douze ans. Aaaah… Je… j’ai dû me faire violence pour te l’interdire… Aaaah ! Ça m’excitait tellement de te voir faire. Ooooh oui, Paul.− Aaaah, Maman, laisse moi t’aimer, aaah, comme l’autre jour.− Oui mon chéri, fait du bien à Maman, aaaaaah…
Paul et sa mère faisaient l’amour tendrement devant Chloé qui savait que son tour viendrait. Le couple incestueux évoquait ses souvenirs anciens ou récents les plus chargés d’érotisme. Chloé restait presque collée à eux et se contentait d’embrasser son compagnon dans le cou et de lui caresser les fesses.
− Aaah, Maman ! Si… si tu savais ce dont j’ai rêvé si souvent. Aaaah, aah oui…− Oooh, mon Bébé, dis moi, Aaaah… Dis moi ce dont tu as rêvé.− Plein de fois, j’ai rêvé de te faire un bébé, aaah, pour avoir un petit frère. Aaaah !− Oooh ! Oh, mon Trésor, ah ouii, ah c’est bon, mon bébé ! Ah ouiii !− Ah, Maman, je… je vais jouir ! Aaah oui !− Ah ! Vas y, mon Choux, jouis en moi ! Jouis dans Maman ! Féconde Maman, aaah !− Aaah oui, Maman ! Je… je jouiiiiiiis !
Paul s’effondra sur sa mère qui le serra bien fort dans ses bras. Ils s’embrassèrent longuement, Claude sentait le sexe de son fils dégonfler dans sa matrice. Elle savait que même redevenu mou, du fait de sa taille, il ne sortirait pas et elle savourait cette présence. Chloé était également serrée contre elle et heureuse de les avoir vu jouir aussi intensément.
− Ouh, mon chéri, c’était très bon, merci, mais j’espère que Philippe ne nous a pas entendu…− Pourquoi ? Tu crois qu’il nous en voudrait ?− Non, c’est ce que t’as dit que j’espère qu’il n’a pas entendu. J’ai 35 ans, je peux encore porter un enfant, tu sais.− Tu crois que Philippe voudrait avoir un enfant avec toi ?! S’étonna Chloé qui caressait les cheveux de sa belle-mère.− Ça m’étonnerait beaucoup, répondit Paul. J’ai déjà entendu Parrain dire qu’il avait passé l’âge d’être de nouveau papa.− Lui oui, précisa Claude, mais pas toi ; je suis certaine que ça l’exciterait…− Et toi ? Ça t’exciterait de porter un enfant de Paul, demanda Chloé en caressant le ventre de sa belle-mère.− Je joue mon jocker, déclara Claude, je sens que mon petit chéri reprend de la vigueur...− C’est normal, répondit Paul, je suis bien au chaud, cajolé et caressé par les deux plus belles femmes de la terre alors forcément…− Et bien je vais vous laisser en amoureux tous deux. Il est grand temps que je rejoigne Philippe. Je suis certaine que Chloé se fera un plaisir de calmer la bite qui durcit dans ma chatte.
Claude abandonna le sexe tendu de son fils, embrassa les deux jeunes et s’éclipsa en emportant le plateau. Paul pénétra Chloé instantanément et, une fois Claude partie, ils partagèrent une longue nuit de câlins et d’amour tendre.
Le soleil était déjà bien haut quand Paul ouvrit les yeux. Il n’était pas parfaitement remis de son tourment mais il était avec Chloé. Ils passèrent la journée ensemble et allèrent visiter le marais poitevin. Paul avait un dernier compte à régler avec lui même. Il admis, lors de leurs discussions, qu’il attendait beaucoup de la reconnaissance des autres mais que lui n’en témoignait pas souvent, même à l’égard de ceux qu’il aimait. Il voulait se rattraper et fit donc le détail à Chloé de toutes les qualités qu’il lui trouvait et de tout ce qui forçait son admiration et son amour pour elle. Il lui dit quel compagnon, quel équipier, il souhaitait être et lui promit de pouvoir toujours compter sur lui pour l’épauler. Cette déclaration émut la jeune fille. Il l’aimait vraiment, elle en était sûre maintenant. Ils s’embrassèrent longuement et le désir, endormi par sa détresse, revint chez Paul. Ils décidèrent d’écourter leur excursion et de rentrer au plus vite.
Quand il arrivèrent, la maison était vide, leur désir trop grand, et c’est par terre, dans l’entrée, qu’il firent l’amour avec toute la force de leur passion. La bite de Paul n’avait pas débandée de tout le trajet, il avait besoin de se vider les couilles. Il pénétra Chloé sans préliminaire, enfonçant son mandrin dans sa matrice humide, ses mouvements étaient amples et rapides et elle en apprécia l’intensité. Paul avait placé ses jambes sur ses épaules et s’était pratiquement couché sur elle. Elle n’avait pas souvent été si écartée et remplie. Chloé gémissait, criait son bonheur et l’encourageait à se lâcher. Elle jouissait de cette pénétration virile et de retrouver enfin son amant. Elle le serrait dans ses bras autant que possible, Paul s’activait de plus en plus. Chloé jouissait encore, criait de bonheur, et lorsqu’il lui remplit le vagin de sa semence abondante, elle eut un ultime orgasme.
Quand Philippe et Claude rentrèrent de la plage, ils trouvèrent le jeune couple en train de feuilleter un magazine, ensemble dans un des canapés du salon. Ils étaient heureux, souriaient et se parlaient à voie basse en se bécotant tendrement. De les voir de si bonne humeur fit plaisir à Claude qui vint les embrasser. Paul était content de les voir rentrer, leur présence lui manquait.
Pendant l’apéritif, Paul, qui avait besoin de régler ses comptes jusqu’au bout, dit à sa mère tout ce qu’il avait toujours admiré en elle. Il détailla toutes les choses importantes qu’elle avait su lui apporter et tout ce qui le rendait fier d’être son fils. Claude se jeta dans ses bras pour l’embrasser amoureusement. Quelques larmes d’émotions coulaient sur ses joues, elle se serra contre son fils et rougit en sentant son sexe durci contre son ventre. Ensuite, Paul remercia Philippe pour avoir toujours été à côté de Claude, de l’avoir autant soutenue, pour l’amour qu’il lui portait et pour tout le bonheur qu’il lui apportait. Il lui dit à quel point il lui était attaché et la joie qu’il éprouvait, chaque jour, à l’avoir comme parrain. Il le remercia encore pour l’avoir toujours écouté, encouragé et conseillé. Paul n’avait pas débandé depuis que sa mère l’avait serré contre elle mais ça n’empêcha pas Philippe de l’étreindre fortement en lui disant : « Petit con, tu vas finir par me faire pleurer moi aussi... ». Il embrassa tendrement son filleul à la commissure des lèvres et aurait bien prit sa bouche s’il ne s’était pas retenu. Son sexe tendu, trahissant son émotion, était collé à celui de Paul. Les deux hommes se sourirent, échangèrent un nouveau baiser, sur la bouche cette fois, mais sans ouvrir les lèvres avant de se séparer troublés.
Au fond de lui, Paul, savait qu’il venait d’accomplir un véritable progrès et que, de ça, il avait le droit d’être fier. Mais, ce n’était finalement pas de la fierté qu’il éprouva mais de l’amour. De leur avoir dit qu’il les aimait et les admirait avait accrut l’amour qu’il leur portait. La magie des mots opéra tous les esprits et les sentiments ambigus qu’ils éprouvaient déjà les uns pour les autres s’en trouvèrent décuplés. Paul était troublé mais ce qu’il ignorait, c’est qu’il en était de même pour sa mère, son parrain et sa compagne.
Cette soirée fut très intense en émotions. Chloé éprouvait une passion pour Paul encore plus vive. Au-delà de la déclaration qu’il lui avait faite en début d’après-midi, ce qu’il venait de dire à Philippe et à sa mère l’avait émue au moins autant qu’eux. Elle avait toujours trouvé beaucoup de qualités chez Claude mais de les entendre exprimées de la bouche de Paul les rendait encore plus importantes et elle en aima d’autant plus sa belle-mère. Elle considérait également que rien ne se serait produit sans l’aide discrète de Philippe pour qui son admiration et son attirance s’accrurent.
Claude considérait que Philippe était l’architecte de son bonheur et de la métamorphose de son fils. Son amour pour lui en devint encore plus ardent. Chloé lui parut encore plus belle et admirable, désirable. Elle pensait que, sans la sincérité de son amour pour Paul, les choses auraient été bien différentes. Elle lui en était redevable et ses sentiments à son égard égalèrent en force et en intensité ceux qu’elle éprouvait pour son fils. Enfin, concernant Paul, elle n’osait pas se l’exprimer. Toute ambiguïté avait volée en éclat, elle l’aimait d’un amour inavouable. Elle ne l’aimait peut-être pas autant que Philippe, mais elle l’aimait quand même passionnément.
Philippe était tombé éperdument amoureux de Claude le premier jour où il l’avait vue rentrer dans son cabinet, enceinte de Paul. Au fil des années cette passion n’avait cessé de s’amplifier ; il admirait tant de choses en elle. Elle était, pour lui, l’image même de l’amour et la déclaration que son fils lui avait faite en était la preuve. Philippe n’avait toujours cherché que le bonheur de Claude. Il savait que l’amour qui la liait à Paul, était un élément fondamental de ce bonheur. Les propos de Paul dans leur ensemble l’avait fortement ému mais, que son Filleul le considère comme la source du bonheur de sa mère, le bouleversa. S’il avait osé, il l’aurait embrassé comme il l’aurait fait avec Claude. Il n’avait jamais considéré Paul comme un rival. Il savait maintenant que c’était réellement son meilleur allier, son partenaire. Il admirait l’homme qu’il était en train de devenir grâce à l’amour de Chloé. Il la trouvait formidable et tous les trois lui devaient beaucoup déjà. S’il s’émerveillait de sa fraîcheur et de sa beauté, cela n’était rien à côté des sentiments que lui inspiraient son intelligence et sa perspicacité. Elle apportait un équilibre dans leurs rapports et, pour toutes ces raisons, elle n’en était que plus adorable.
Tous ces sentiments naissants étaient si forts qu’ils éprouvaient tous une gène étrange semblable à celle que l’on ressent à un premier rendez-vous. Chaque regard était chargé d’amour et de désirs inavoués. Les cœurs battaient à tout rompre. Paul et Philippe bandaient chaque fois un peu plus fort quand leurs regards se croisaient. Ils échangeaient des banalités, faute de pouvoir exprimer ouvertement leurs sentiments, incertains qu’ils étaient de pouvoir les partager. Tout au long du dîner des mains se frôlèrent, des pieds s’effleurèrent. Plus le repas avançait et plus leurs troubles grandissait. Paul se demandait ce qu’il lui arrivait ; en proie à une sorte de panique, il cherchait, une solution pour sortir de cette situation. À défaut de trouver un moyen d’apaiser de lui même ses émotions, ils n’avaient d’autre alternative que d’en parler à Chloé. Il fallait juste qu’ils puissent s’isoler tous les deux quelques minutes. Comme Claude s’apprêtait à rassembler les assiettes et les couverts, Paul se saisit de l’occasion pour créer une échappatoire.
− Laisse, Maman, t’en fais suffisamment. On va débarrasser avec Chloé...− Oui, reste assise, Claude. Profitez de la douceur du soir tous les deux. Ajouta la jeune fille elle aussi soulagée.
Ils s’efforcèrent de tout prendre, à l’exception des verres et des boissons, et filèrent droit vers la cuisine.
− Chloé ! C’est affreux ! Je... il m’arrive un truc bizarre !− Oui, moi aussi, je me sens toute chose mais j’aimerai mieux en parler ailleurs... Je sais qu’il n’est pas tard mais je serais plus à l’aise dans notre chambre...− Moi aussi je préférerais en parler là haut...− Alors rangeons ça et allons nous coucher.
Ils se hâtèrent à tout ranger, allèrent vite souhaiter une bonne nuit à Claude et Philippe et se précipitèrent dans leur chambre. Une fois la porte fermée, ils se retrouvèrent enfin seuls et se prirent dans les bras en disant en même temps : « Mais qu’est-ce qu’il m’arrive, bon-sang ! »
− Vas y Paul, dis moi ce que t’as, puisque tu voulais en parler en bas déjà...− Je... c’est un sentiment bizarre, troublant ; je n’sais pas vraiment ce qui m’arrive mais c’est comme si je... comme si j’étais amoureux d’eux deux... Comme si j’étais tombé amoureux de ma mère et de Philippe...− …− Oh, c’est comme ce que j’éprouve pour toi, je le sens, je le sais ! Je viens de tomber amoureux d’eux. Aide moi je t’en supplie, aide moi, mon amour...− Oh, mon dieu, Paul, je... je ressens la même chose, mon chéri. Pendant tout le repas ça n’a fait qu’empirer. De les embrasser avant de monter a été un véritable cauchemar ; j’aurais voulu me jeter sur eux. Comme toi, je les aime et je les désire, Paul... Je t’aime vraiment de tout mon cœur et de tout mon être mais je les aime aussi...− On est mal barré alors, tu n’imagines même pas le nombre d’images qui se forment dans ma tête... Aime moi, Chloé, aime moi fort...− Ooh, Paul, si je sais. Serre-moi fort, prends moi !
Ils se s’étreignirent très fort, s’embrassèrent, s’enlacèrent, s’allongèrent sur le lit et s’aimèrent tendrement. Leur passion était intacte mais tout ce qu’ils avaient ressenti durant la soirée ne s’en trouvait pas amoindri. Ils firent l’amour deux fois avant de se détendre un peu. Ils étaient assoupis, presque endormis, quand les ébats de Claude et Philippe, dans la chambre voisine les tirèrent de leur léthargie. Ils s’embrassèrent en souriant ; au moins, il était clair que leur amour aussi était intact, c’était plutôt rassurant.
Le coït voisin réveilla leurs désirs et petit à petit différentes combinaisons érotiques, à deux, à trois ou à quatre, se formèrent dans leurs esprits. Chloé glissa une main vers le bas-ventre de son compagnon et rencontra sa verge de nouveau tendue.
− Ça t’excite de les entendre ou tu repenses à ces sentiments qui, personnellement ne me quittent pas ? Demanda Chloé en le masturbant doucement.− Pour être franc, ils ne me quittent pas non plus... et de les entendre n’arrange rien à l’affaire. Répondit Paul en l’embrassant et en caressant ses seins. Et toi ? Ça t’excite aussi de les entendre ou ce sont ces sentiments qui t’excitent ?
La main de Chloé se resserra plus fermement sur sa bite qu’elle le masturbait en douceur.
− Je... j’ai envie d’eux, Paul... et ça m’excite de les entendre. J’ai envie de faire l’amour avec ta mère, de coucher avec elle et de découvrir la saveur de son sexe.− Oh ma chérie, je… je pense que vous seriez véritablement magnifiques toutes les deux.
Paul se glissa sous le drap. Plaça sa tête entre les cuisses de sa compagne qu’il écarta. Sa langue glissait le long de la vulve ouverte, s’insinuait dans sa cavité secrète pour en extraire le miel qu’elle répandait ensuite sur le clitoris gonflé. Chloé se câlinait la poitrine et jouissait sans retenue sous l’effet des caresses buccales. Elle approchait de l’orgasme quand ils entendirent nettement Claude crier : « Aaaah ! Aah oui, Chloéééh ! Aaaah ! ». Il ne faisait aucun doute que Claude et Philippe étaient vraisemblablement sur la même longueur d’onde. Chloé sentit son orgasme arriver, elle se mit à répondre aux gémissements de Claude. La langue qui se déchaînait sur son bouton, les doigts qui exploraient sa chatte et son cul, ainsi que les douces tortures qu’elle pratiquait sur ses tétons, firent le reste. Elle explosa en criant le nom de sa belle-mère et en inondant d’une magnifique éjaculation féminine le visage de Paul qui la léchait encore. Ce dernier remonta à son niveau et, sans attendre qu’elle ait repris ses esprits, la pénétra. Il la pilonnait avec entrain et l’embrassait.
− Alors, ma Chérie, Maman vient de te faire jouir, on dirait, lui dit Paul à l’oreille.− Aaah ! Oui ! Oui ! Parvint à répondre Chloé.− Et Philippe ? Lui murmura-t-il encore.− Aaah ! Ah oui !− Tu le sens en toi, Philippe ? Tu sens sa queue qui ramone ta chatte ?− Ah oui ! C’est bon ! Aaah oui, je le sens.− Il te baise bien Philippe, non ?− Oui, c’est bon ! Aaah ! Ah oui ! Aaaaah !− Ah ! Tu sens qui ma chérie ? Philippe ? Tu sens Philippe qui te baise ?− Aaah ! Oui, Philippe ! Aaah ! Philippe me baise ! Aaaaaah !− Il te fait jouir ? Dis moi, Philippe te fait jouir ?− Aaah, oui ! Ouih ! Oui, Philippe ! Oui je te sens ! Ah ! Tu m’fais jouir Philippe ! Aaaah ! Aaaah, Philiiiippe ! Aaah ! Je jouis bordel ! Aaaaaaaaah !
Paul ne tenait plus, l’orgasme de Chloé déclencha le sien et il explosa en elle. Sa compagne était épuisée, tout son corps semblait pareil à un pantin désarticulé. Paul bascula sur le côté en la gardant enlacée et serrée contre lui et ils se rendormirent ainsi.
Au matin, Paul se réveilla dans des draps mouillés. Le soleil semblait déjà haut et Chloé ne dormait plus. Elle le regardait amoureusement en lui caressant les cheveux. Elle lui souriait et l’embrassait tendrement.
− Bonjour mon amour, tu es très beau quand tu dors tu sais ? Comment ça va ce matin ?− Mmm ? J’ai bien dormi... je pense que ça va plutôt bien. J’ai fait plein de rêves érotiques.− Ah bon ? Du genre ?− J’ai rêvé que je faisait l’amour avec Philippe entre autre, dans mon rêve il faisait de moi sa troisième femme avec Maman et toi. C’était assez chaud j’avoue mais je ne me rappelle plus vraiment des détails. Et toi, tu as bien dormi, il y a longtemps que tu es réveillée ?− Oui, j’ai très bien dormi et je suis réveillée depuis une heure environ... J’ai entendu ta mère se lever... j’ai hésité à en faire autant.− Tu aurais pu, tu sais.− Oui je sais mais j’ai préféré te regarder... et puis Philippe s’est levé à son tour alors j’aime autant qu’on soit tous les deux pour leur dire ce qu’on ressent, tu comprends ?− Tu crois qu’il faut qu’on leur dise ? Ce ne serait pas mieux de laisser faire les choses comme elles viennent ?− Je ne crois pas. Je pense sincèrement qu’il vaut mieux leur dire ce qu’on ressent. J’ai peur que si on laisse faire les choses, ce soit moins beau... Ooooooooh... suis sérieuse, chéri, et toi tu me pisses dessus, mmmmh… Cochon !− Je sais, mon amour mais j’avais trop envie. On peu pisser et discuter en même temps, non ?− Je sais mais là tu m’as déconcentrée, c’est pas gentil.− Tu n’aurais pas aimé que je me lève pour aller faire pipi dans les toilettes alors qu’on ne le fait plus ni toi ni moi et que, nous étions justement en train de parler de choses importantes.− C’est vrai, tu as raison. Alors qu’est ce que tu penses de leur dire tout de suite ?− Peut-être effectivement, qu’il est préférable de leur dire... en plus, si ça se trouve, on se fait un film et en en parlant ouvertement, au moins on sera fixé.− C’est ce que je crois aussi mais franchement, je ne sais pas comment faire.− Moi non plus mais il faut le faire. Alors, on dira les choses comme elles viennent... sans doute maladroitement, mais on va le faire tous les deux, ensemble.− Maintenant ?− Maintenant. Plus on attend, plus ça risque d’être dur et je ne suis pas certain d’être capable de les regarder sans être troublé au plus haut point.
Ils prirent leur courage à deux mains, se levèrent et descendirent vers la cuisine où ils pouvaient entendre Claude et Philippe discuter. À chaque pas qu’ils faisaient, leur trac grandissait et leurs cœurs s’affolaient. Ils se sentaient incapables de rentrer vraiment dans la pièce. Le bisou du matin attendrait ; il fallait d’abord crever l’abcès, libérer la tension, quelles qu’en soient les conséquences.
− Bonjour... Dirent-ils d’une seule voix tremblante.− Oh, bonjour les enfants...
Claude allait s’avancer vers eux mais elle resta figée. De les voir, son esprit s’emballa, ils avaient décidé avec Philippe de laisser faire les choses mais elle n’était pas certaine que ce fut le bon choix. « Peut-être devrions nous leur dire », pensa-t-elle. Elle ne savait que dire, que penser et ne se sentait pas très bien.
− Je... Vous… bafouilla-t-elle.− On a quelque chose à vous dire à... Commença Paul.− ... à tous les deux. Poursuivit Chloé intimidée− A tous les deux... ? S’étonna Philippe anxieux
Philippe était beaucoup plus troublé qu’il ne l’aurait cru. La vue du jeune couple blotti dans l’ouverture de la porte le troublait, il était incapable d’articuler quoi que ce soit. Il se rapprocha de Claude et la serra dans ses bras pour chercher son soutien.
− Oui, depuis hier soir,... c’est venu d’un coup, on... Reprit Chloé− Ça nous a prit tous les deux... Tenta d’expliquer Paul, et ca ne nous lâche pas... c’est... c’est...− C’est trop fort, trop intense... Ajouta Chloé.
Ils tremblaient en essayant de dire ce qu’ils ressentaient, leur émotion était à son comble et ils pouvaient constater le trouble grandissant sur les visages de Claude et Philippe.
− On est tombé... Bredouilla Paul.− … amoureux de vous ! Expulsa Chloé.− De vous deux et de votre couple... C’est... c’est pas comme avant. C’est beaucoup plus fort ! Là on vous aime vraiment ! Renchérit Paul− Comme on s’aime nous, nous vous aimons vous... Dirent ils en baissant la tête, le regard troublé par l’émotion.
Ils l’avaient dit, ils avaient réussi, mais ils se sentaient penauds et ridicules. Ils étaient serrés l’un contre l’autre, tremblants et regardaient leurs pieds. Claude cru défaillir, elle porta ses mains à ses lèvres et son visage s’inonda de larmes. Philippe était blême, il n’avait pas imaginé les choses ainsi. Il pensait que Claude et lui, en laissant faire le temps, sans rien dévoiler de leurs sentiments, se seraient rendu compte qu’ils se faisaient des illusions. Il réalisa subitement qu’ils ne s’en faisaient en fait pas, ils étaient bien, tous les quatre amoureux des trois autres. Philippe se précipita avec Claude vers les enfants qui ne bougeaient pas. L’émotion lui tirait quelques larmes et quand ils furent près d’eux, Chloé et Paul relevèrent la tête. Leurs regards chargés d’amour se croisèrent et ils s’enlacèrent tous les quatre. Ils se déclaraient leur amour, se serraient les uns contre les autres. Ils se caressaient, s’embrassaient, les joues, les larmes et les bouches. Les mains parcouraient les corps, se croisaient, se touchaient. Lorsque Claude et Chloé s’embrassaient à pleine bouche, Philippe et Paul en faisaient autant et Paul embrassait sa mère quand Chloé embrassait Philippe. Après quelques minutes d’étreintes désordonnées, Chloé se tourna vers Paul et ils échangèrent un long baiser langoureux sous les regards amoureux des parents qui les imitèrent. Claude reprit un peu ses esprits, elle ne voulait pas bousculer les événements.
− Mes amours, je... je crois que vous devriez déjeuner maintenant... installez vous, je vous amène vos chocolats chaud.− Vous nous tenez compagnie ? Demanda Chloé implorante.− Quel question ! J’allais justement me reprendre un café. Je te ressers un thé, Claude ?− Avec plaisir, Chéri.
Paul et Chloé avaient pris place autour de la table du jardin. Ils ne s’étaient assis ni côte-à-côte ni face-à-face. Philippe, qui arrivait avec le thé de Claude et son café, hésita un moment puis choisit de s’asseoir en face de Chloé, à côté de Paul. Claude suivait, elle donna à Chloé son chocolat en lui faisant un baiser, contourna la table pour servir son fils qu’elle embrassa également et retourna s’asseoir à côté de sa belle-fille. Ils se regardaient tous les quatre, se dévoraient des yeux et se souriaient. Les deux jeunes avaient faim et avalèrent plusieurs tartines avant de se sentir repus. C’est à partir de ce moment que la tournure des choses changea. Les deux femmes s’embrassèrent en se caressant les seins. Alors, Paul glissa une main sur la cuisse de Philippe qui se tourna vers lui pour l’embrasser. Les filles arrêtèrent leurs attouchements pour regarder la scène quelques instants, puis reprirent là où elles en étaient.
Paul masturbait Philippe qui lui pinçait et lui triturait les tétons. Le contact de ce sexe entre ses doigts était chaud et éveillait en lui d’autres envies. Il abandonna la bouche, les lèvres et la langue de son parrain pour embrasser sa poitrine, ses tétons, son ventre. Il descendit de sa chaise et se mit à genoux au dessus de la verge tendue de Philippe ; elle l’attirait. Tout en continuant à la masturber, il se mit à la sentir et à l’embrasser. Le désir d’y goûter grandissait, alors il fit parcourir sa langue sur le gland violacé et sur le haut de la hampe. Il lécha l’ensemble de la queue en descendant jusqu’aux couilles et, laissant parler son instinct, il la goba. Il essaya de l’avaler comme Janine avait fait pour lui mais il dut réprimer un haut-le-cœur. Il n’insista pas sur cette voix et s’appliqua à lécher et sucer son parrain en imitant ce que Chloé lui faisait. Philippe semblait apprécier le traitement et maintenait la tête de Paul sur sa verge. Paul y avait pensé toute la nuit, il en avait rêvé. Faire l’amour avec sa mère ou avec Chloé, il savait ce que c’était, mais faire l’amour avec un homme, avec Philippe, il ne savait pas. Il ne voyait pas son parrain avaler son sexe énorme et encore moins en supporter les assauts. Ces pensées l’avaient amené à déterminer ainsi le rôle que lui jouerait dans leurs rapports. Il devait au moins essayer. Il avait vu Philippe faire avec Chloé, elle n’avait pas souffert, au contraire, il n’y avait aucune raison pour qu’il en souffre lui. Paul leva les yeux vers Philippe, ils se regardaient et son parrain l’encouragea en lui souriant.
− Mmm, Paul, ouiih... tu fais ça bien tu sais... Tu aimes ?− Mmmlr... Oui, parrain, j’aime ça, c’est bon. J’aime ta bite.− Ooooh... oh oui... tu me donnes envie, tu sais... oh oui... mmm...− …− Ooooh, c’est bon ce que tu me fais, Paul... mmm... j’ai envie de toi, Paul... Ooooh...− Mll... Moi aussi, j’ai envie... j’ai terriblement envie que tu me prennes.− Viens, montons dans votre chambre ; nous serons plus à l’aise dans un lit. Je suppose que ta mère a conduit Chloé dans la notre.
Paul se redressa et, constatant que les deux femmes étaient effectivement parties, Il embrassa Philippe et le mena vers sa chambre en le tenant par la queue.
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