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Paul

Chapitre 10

Inceste
X. – DÉCOUVERTE D’UNE NOUVELLE SEXUALITÉ
Paul emmenait Philippe vers sa chambre, il le menait par sa bite tendue qu’il masturbait doucement, tandis que son parrain lui caressait les fesses. En réalisant l’état dans lequel se trouvait le lit et les draps, Paul se sentit un peu honteux. Ils étaient plein de pisse et n’avaient sans doute pas séchés.
− Euh Parrain, tu sais notre lit est vraiment mouillé ce matin... Si tu veux on peut faire ça ici ou dans le salon...− Non, mon chéri, ce serait pour dormir, vos draps pisseux me gêneraient sans doute mais pour faire l’amour, je trouve ça stimulant. Ta mère, à par un pipi culotte pour quelques photos, n’aime pas ça mais moi, ça m’a toujours excité.− Tu ne vas pas être déçu alors, conclut Paul heureux.
Philippe embrassa Paul à pleine bouche en enfonçant un doigt entre ses fesses et ils entrèrent dans la chambre. Sitôt dans la pièce, ils tombèrent enlacés sur le lit et leurs mains parcoururent leurs corps. Leurs bouches se cherchaient, leurs langues se mêlaient dans une lutte acharnée, virile. Puis Philippe embrassa la poitrine de Paul, en excita les tétons de la pointe de la langue, les téta, les mordilla avant de les attraper entre ses doigts. Il les pinçait doucement, les roulait entre le pouce et l’index, arrachant à Paul de doux gémissements. Il poursuivit sa descente le long du ventre de son filleul jusqu’à son épaisse verge tendue. Il en lécha le gland, la lécha sur toute sa longueur, lécha jusqu’aux couilles. Alors, il écarta les jambes de Paul en les amenant le plus haut possible pour bien dégager son anus. Sa langue poursuivit son chemin le long du périnée jusqu’à la petite rosette encore vierge ; Paul était aux anges. Il découvrait des sensations nouvelles qui n’étaient en rien celles qu’il avait imaginées. Tout était tellement fort, tellement doux et surtout tellement bon.
Après quelques minutes de ce traitement, Philippe retourna Paul qui se retrouva à quatre pattes. Philippe reprit un instant sa feuille de rose puis il pénétra l’anus humecté d’un doigt qu’il bougea délicatement. Il le ressortit, le fit lécher par son filleul et le réintroduit. Il renouvela l’opération plusieurs fois, Paul se faisait de plus en plus « chienne » en léchant son doigt alors Philippe en ajouta un deuxième. Il lui massait l’intérieur, l’anus de Paul se détendait. Quand ils se présentaient à lui, Paul léchait et humectait, du mieux qu’il le pouvait, les doigts de Philippe. A chaque fois, ils s’introduisaient avec plus d’aisance et après quelques minutes de ce traitement, Philippe put en introduire un troisième. Comme ils s’insinuèrent dans son anus sans aucune difficulté, le docteur jugea que son filleul était enfin prêt. Il représenta sa verge à Paul qui la suça avec avidité, réussissant même à dépasser la glotte, tellement il était déterminé à la prendre profondément.
Avec un tel traitement, la bite de Philippe ne tarda pas à dégouliner de sa salive. Il se repositionna derrière Paul et appuya son gland sur la rosette assouplie. Il s’attendait à une certaine résistance et se préparait pour une entrée en douceur. Il effectua une légère poussée destinée à ouvrir un passage au gland mais le désir de Paul était tel, et sa confiance en Philippe si grande, que la verge disparut aussitôt de moitié.
− Aaaaaaaaaaaaaah ! Mmmm... Gémit Paul en sentant la verge investir son cul.− Ça va Paul ? Je... je ne t’ai pas fait mal ?− Oh non, Parrain... tu ne m’as pas fait mal... hou... continue, s’il-te-plaît... Oh ouiii !− Oh mon Dieu ! Ça rentre tout seul ! J’n’ai jamais vu ça !− Mmm, c’est trop bon ! Oooh… T’es rentré en entier ?− Jusqu’aux couilles, fiston, t’as le cul profond et serré. Mmm, t’es trop bon.− Ooooooh ! Oh Oui... Mmmm... C’est bon... Aaah... Elle est bonne ta bite, aime moi, Parrain... baise moi...
Philippe commença alors à aller et venir dans l’étroit conduit de Paul qui semblait apprécier. Chaque poussée procurait au jeune homme une sensation interne de plaisir et lui arrachait un râle de contentement.
− Ooh oui, Parrain, c’est trop bon, aaah ! Aaaaaaah ! Encule moi, aaaah ! Encule moi fort !
− Oh mon chéri ! T’aimes ça ma parole ! T’aimes que j’t’encule ?− Oh oui, vas y ! Aaah encore ! J’adore ! Aaaaah ! Ah ouiii ! Baise moi comme une salope ! Aaah, défonce moi !
Philippe n’avait plus aucun doute sur le plaisir qu’il procurait à son filleul. Il voulait le voir, il voulait voir son visage. Alors il ressortit sa verge intégralement, retourna Paul sur le dos et relevant ses jambes au maximum en les posant sur ses épaules, il replongea d’un seul coup dans son rectum. Le jeune homme s’agrippait les tétons et les triturait. Il avait les yeux grands ouverts et regardait son amant en souriant entre deux gémissements. De sa verge à demi bandée s’écoulait un flot continu de liquide séminal ; Paul jouissait du cul. A chaque fois qu’il sentait la verge se reculer, il resserrait ses sphincters pour mieux les relâcher quand elle rentrait de nouveau. Ce petit manège avait un effet masturbatoire sur Philippe qui accéléra sa cadence. Le cul serré de son filleul lui procurait un plaisir intense, il sentait son orgasme arriver.
− Oh Paul ! Je t’aime Paul ! Tu m’fais jouir ! Ton cul, m’fais jouir ! Aaaaah− Aah oui, Parrain ! Jouis ! Aaaaaah ! Aah oui ! Ah ! Aaaah c’est bon ! Jouis dans mon cul de salope ! Aaaaah ! Ah Ouii !− Oh oui t’es une salope ! Tu jouis du cul, Putain ! Tu jouis du cul !− Ah ! Aah Oui ! Encore ! Aaah ! Jouis dans mon cul ! Jouis dans mon cul, Parrain ! Aaaaah !− Aaaaah ! Je jouis ! Je jouis dans ton cul, Salope ! Aaaaaaaaah !
Philippe s’enfonça au plus profond du cul de Paul dans lequel il éjacula abondamment. Sa jouissance déclencha celle de son filleul qui découvrit que l’on pouvait jouir du cul et en tirer un bonheur bien différent de celui que l’on ressent avec une femme. Il n’avait pas éjaculé et son pénis n’avait pas conservé sa splendeur mais il se sentait dans un état de plénitude absolue. Philippe s’allongea contre lui et ils s’embrassèrent.
− Tu as aimé ? Demanda Philippe− Mmm, je pourrais continuer encore des heures, c’est vraiment bon.− Paul ?− Oui.− Avec Chloé, le pipi, vous le faite avant, après ou pendant.− Hi hi ! C’est une drôle de question... ça t’intrigue ? On le fait quand on veut. Parfois, c’est avant et parfois c’est après. Elle, elle y arrive aussi pendant mais, moi, je ne sais pas faire en bandant. Par contre j’y arrive juste après l’éjaculation, c’est pour ça que je peux lui pisser dans la chatte. Autrement, c’est n’importe quand ; si on a envie de faire pipi, on le fait. On ne se lève plus pour aller aux toilettes.− Donc là, si tu avais envie, tu ferais pipi...− Là, parrain, j’ai envie de me branler et de me faire gicler... ça fait une heure que je jouis sans avoir éjaculé et maintenant je bande vraiment je vais me vider les couilles... mais si tu as envie de pisser, ne te prive pas. Tu peux même le faire sur moi si tu veux, répondit Paul en prenant son affaire en main. Ça ne serait pas pour me déplaire. De quoi as tu envie ?− Tu veux que je pisse sur toi ?− Aaah ! Parrain, ne me dem... demande pas si je veux Aaah... si tu en as envie tu... tu le fais.
Paul s’astiquait maintenant le manche avec vigueur, il espérait bien se faire arroser copieusement. Philippe se mit à genoux à côté de lui, ferma les yeux, se détendit et libéra sa vessie.
− Mmmm, oui, c’est trop bon ! S’écria Philippe en arrosant le corps de Paul de la bite à la figure. Tiens, Paul ! Un cochon comme toi, ça se lave à la pisse.− Ah oui, Parrain ! Aah ! Pisse moi dessus, pisse dans ma bouche ! Aarlrlr…
Philippe dirigea son jet vers la bouche ouverte de Paul qui avalait au fur et à mesure en prenant son pied. Comme il avalait la fin de la miction, il éjacula huit jets de foutre épais qui se répartirent sur son ventre, son poitrail et son menton. Il lâcha sa bite, ramassa son foutre qu’il porta à sa bouche et se détendit. Philippe se rallongea près de lui et l’embrassa de nouveau.
Ils étaient amoureusement enlacés quand on frappa à la porte de la chambre et que la tête souriante de Chloé apparut dans l’entrebâillement.
− On peut rentrer ?− Bien sur mon amour, c’est ta chambre et on a fini.− De ce que j’ai entendu ça devait être bon, je me trompe ? Demanda Chloé à Paul.− Super, répondit le jeune homme sans s’étendre.− Paul a un cul d’enfer précisa Philippe, étroit, profond et hypersensible. Un vrai cul de salope.− Si tu savais comment j’ai joui, précisa Paul, c’était vraiment trop bon.− Tant mieux, je suis contente, c’est important que ça se passe bien la première fois.− Et vous ? S’inquiéta Paul, ça c’est bien passé ? On ne vous a pas entendu.− Nos langues étaient trop occupées sans doute… Oui, c’était très bon et tu faisais tellement de bruit que ça ne m’étonne pas que tu ne nous ais pas entendues.
En disant cela, Chloé s’assit sur le bord du lit à côté de son chéri qu’elle embrassa avec passion.
− Ouf ! Ça sent vraiment les chiottes dans votre chambre les enfants... Je ne sais pas comment vous faites. Dit Claude en entrant à sa suite. Je suis contente, ma chérie que tu m’ai épargné ça.− Oh, tu sais, je me doutais que tu n’apprécierais pas de t’allonger sur des draps mouillés, même avec moi.
Claude posa le bout de ses fesses sur le rebord du lit, à côté de Philippe, et lui posa un bisou sur le bec.
− Beurk, s’asseoir là dessus... Enfin, je constate, mon Doudou, que toi, ça ne t’a pas dégoûté, tu t’y es vautré et t’en as rajouté. Ceci dit, le contraire m’aurait étonné. Bon, enfin, avec Chloé on avait une proposition à vous faire...− Oui, on a besoin, de faire deux trois courses pour nous, en ville. Expliqua Chloé enthousiaste, Comme il est déjà tard, on se disait qu’on pourrait y aller maintenant tous ensemble et déjeuner sur place...− Surtout que ça va prendre un peu de temps ; il faudrait aller soit à La Roche-sur-Yon, soit à La Rochelle.− Si loin ? S’étonna Philippe.− Oui, on voudrait acheter des jouets de filles. Il nous faut un magasin spécialisé. On a déjà récupéré des adresses. Claude s’en moque mais moi je préférerais aller à La Rochelle. T’en pense quoi mon amour ?− Comme toi, ma chérie... La Roche-sur-Yon, c’n’est pas très bandant. Et toi parrain, tu dis quoi.− Moi, j’en dis que si on veut manger sur place, je connais un restaurant vraiment très bien à La Rochelle d’où on peu voir la mer et les bateaux. Je vote comme vous pour La Rochelle.− Et bien alors c’est décidé, conclut Claude ravie, mais d’abord vous allez me faire le plaisir, tous les deux de passer à la douche... surtout toi, mon fils. Et moi je sors de cette chambre à l’odeur d’urine un peu trop forte à mon goût.
Une fois propres et habillés, ils se retrouvèrent dans l’entrée où Il y eut un court débat pour savoir qu’elle voiture prendre.
− Non, on devrait plutôt prendre ma voiture, expliqua Paul qui voulait conduire, elle est quand même plus facile à garer que ta Bentley.− Oui, mon chéri, mais j’aime mon confort et je n’ai jamais eu de difficulté à la garer. Je pense qu’on sera mieux dans ma voiture.− Sauf que, si on va au restaurant, tu vas boire du vin et comme moi je n’en bois pas, c’est mieux si c’est moi qui conduis au retour, donc on prend ma golf.− Non, mon amour, nous prendrons la Bentley et, comme ça, si moi je me fais plaisir à table, toi tu te feras plaisir au retour avec V8 turbo. Tu n’en auras pas l’occasion tous les jours.− Tu me laisserais conduire ta voiture ?!− Je ne laisse jamais le volant de ma voiture mais pour toi, mon chéri, je ferais une exception.− Ouai, c’est trop gentil, merci Parrain! T’es vraiment un amour, s’écria Paul avant de déposer un baiser plein de tendresse sur la bouche de Philippe.− Dis donc, mon Chéri, tu ne serais pas en train de virer ta cuti par hasard ? Demanda Chloé amusée.− Mais ça n’a rien a voir; je peux bien embrasser Philippe, c’est mon amoureux, non ? Rétorqua Paul− Je ne parlais pas de Philippe, je parlais de ton attitude à l’égard des bagnoles... Il y a 4 mois, il a fallu faire des pieds et des mains pour que tu passes ton permis et aujourd’hui tu mouilles ta culotte pour un V8... Enfin, je dis ça mais je m’en moque ; j’aime bien les belles voitures et la Bentley c’est quand même la classe. Mais quand même, quel changement !− Haha ! T’as raison, s’esclaffa Paul, je crois que j’aime bien conduire mais c’est vrai qu’à Paris, avoir une voiture ce n’est pas forcément nécessaire.− Chloé, tu as remarqué qu’il ne dit plus un luxe inutile. Fit remarquer Claude moqueuse.− Oui, mon chéri fait beaucoup de progrès en ce moment... J’en suis vraiment très heureuse. Répondit Chloé en serrant Paul dans ses bras.
Philippe et Claude à l’avant et les deux jeunes à l’arrière, ils prirent la route de La Rochelle. Vu l’heure, ils allèrent directement au restaurant. Il était situé dans un bâtiment en béton sur la plage de La Rochelle. Ils entrèrent Claude au bras de Philippe et Chloé accrochée à celui de Paul. Si l’extérieur était plutôt quelconque, l’intérieur était luxueux et le panorama splendide. Le restaurant dominait la plage de La Rochelle et offrait une vue sur la mer et sur le canal du port avec son ballet de bateaux. La carte qu’on donna à Chloé, Claude et Paul ne comportait aucun prix, la jeune femme s’en étonna.
− C’est normal qu’il n’y ait pas de prix sur la carte.− Oui, ma chérie, vous et moi avons des cartes d’invités ; seul Philippe a les prix sur la sienne. C’est pour nous permettre de choisir l’esprit plus libre.− Franchement, je n’étais jamais rentré dans un restaurant aussi chic... J’avoue, excuse moi Philippe, que je ne me sens pas très à l’aise...− Ma petite Chloé, admire donc ce cadre sublime, cette vue magnifique et détends-toi. Choisis ce qui te tente, tu verras que ton appréhension passera bien vite une fois que tu seras servie. Profite !
Le repas fut des plus agréables, Claude, Chloé et Philippe burent un vin sublime qui laissa Paul totalement indifférent. Il n’avait pratiquement jamais bu ni de vin ni d’alcool et n’en ressentait pas l’envie. Ils parlèrent de beaucoup de chose et notamment d’histoire, de corsaires et de piraterie en regardant sortir des voiliers du port de La Rochelle. Ils étaient détendus, blaguaient. Philippe abusa un peu de l’excellent vin blanc mais ce n’était pas si grave puisqu’il ne conduirait pas après. Il faisait du pied à Chloé, la draguait et finalement lui prit la main. Claude et son fils en étaient au même point. Le repas terminé et l’addition payée, ils quittèrent l’endroit, Claude au bras de Paul et Chloé à celui de Philippe, sous le regard un peu surpris du maître d’hôtel.
Avant de se rendre au sex-shop, ils décidèrent de se balader et visiter un peu la ville. Chloé était émerveillée par la beauté architecturale de cette cité commerçante. Elle progressait en compagnie de Philippe, à une certaine distance de Claude et de Paul. Les deux couples se suivaient ou s’attendaient mais en se ménageant une intimité. Ils se guettaient seulement de temps à autres, du coin de l’œil pour être sûr que tout le monde suive. Philippe profitait de la beauté du cadre pour prendre des photos de la belle Chloé. Il la faisait poser sous les arcades, profitait d’un éclairage particulier pour prendre son portrait. De temps à autre, quand Claude et son fils, trop occupés à se bécoter, ne le voyaient pas, ils les prenaient également en photo ce qui faisait beaucoup rire Chloé. Leurs pas les ramenèrent finalement sur le parking où ils avaient laissé la voiture. Claude demanda à Philippe de monter devant, au moins jusqu’au sex-shop pour bien expliquer à Paul le fonctionnement de sa Bentley. Philippe accepta pour la rassurer mais il s’aperçut bien vite que ce n’était qu’un argument de Claude pour être avec Chloé. A l’arrière, ça papotait sec et sexe, les deux femmes étaient en train de faire l’inventaire des jouets qu’elles cherchaient. Comme Philippe connaissait assez bien la ville, il guida Paul vers le magasin situé en périphérie.
Paul qui n’avait, bien évidemment encore jamais mis les pieds dans un tel commerce fut impressionné. La boutique lui fit penser à une sorte de « supérette » du sexe. Il y avait plusieurs rayons présentant un large choix de sex toys en tous genres. On trouvait également des livres, des revues et des films érotiques, de la lingerie sexy, quelques aphrodisiaques ainsi que des crèmes et huiles de massage et, tout au fond, il y avait un rayon « SM » et une salle de projection. Claude et Chloé regardaient les vibromasseurs et les godemichés. Elles discutaient de leur forme et de leur couleur. De toute évidence, elles n’étaient pas attirées par l’aspect réaliste de certains objets. Elles préféraient largement les formes douces et modernes. Après avoir fait un tour complet de la boutique Paul revint vers elles.
− Alors, vous trouvez votre bonheur ?− On y travaille... et j’avoue que c’est assez drôle. Mais rassure toi, on a déjà trois articles...− Oh, mais je ne m’inquiète pas. J’ai fait mon tour et je venais voir si vous trouviez ce qu’il vous faut. C’est tout. Mais je vais vous laisser.− Non, reste, trésor, tu ne nous gènes pas. Lui dit sa mère. Tu vas peut-être nous aider... on hésitait entre l’un de ces deux vibromasseurs... lequel te paraît le mieux ?− Je ne suis pas franchement sur d’être un bon conseil... Celui la a une forme plus rigolote... l’autre est plus classique. Par contre, j’aime mieux sa couleur. Elle est plus vive. L’autre, je le trouve terne mais bon en fait, on s’en moque puisque une fois dedans, la couleur... C’est quoi en fait votre problème... la couleur ou la forme ?− Les deux en fait, Chloé attache plus d’importance à la forme et moi je trouvais que la couleur c’était important, même si c’est vrai qu’il est plus classique...− Qu’est-ce qui vous empêche d’acheter les deux ?− Rien... C’est juste qu’on risque de dévaliser le magasin, alors on voulait se donner bonne conscience en choisissant un modèle en commun pour une fois mais tu viens de nous redonner la méthode qu’on applique depuis tout à l’heure.− Vous... vous achetez tout en double ?! Ahaha ! Bon, je crois que finalement, je vais aller rejoindre Philippe au coin des livres. Je ne pense pas pouvoir être d’une grande aide pour vous en fait.
Elles vinrent les retrouver 20 minutes plus tard, au rayon librairie. Chloé se colla à l’épaule de Philippe et lui fit un bisou tandis que Claude se plaça dans le dos de son fils qu’elle serra contre elle. Finalement, elles avaient obtenues l’aide du vendeur auquel elles avaient exposé leur problème. Très professionnellement, il leur posa des questions sur ce qu’elles souhaitaient exactement, quelles utilisations elles envisageaient, et guida leurs choix avec des considérations plus techniques qu’esthétiques. Tout le temps qu’il passa à les conseiller, les deux femmes jouèrent à l’allumer un peu. Elles étaient accroupies à ses pieds, les jupes relevées sur les hanches et écartaient largement les cuisses pour lui montrer leurs strings et dévoiler leurs chattes bien humides. Le vendeur, un peu gêné, souriait maladroitement mais la bosse qui se formait au devant de son pantalon trahissait son excitation. Il jeta un coup d’œil inquiet par dessus la gondole en direction de Paul et Philippe absorbés dans leurs lectures. Claude remarqua son trouble, elle se releva, roula sa jupe sur ses hanches et, se collant presque à lui, lui retira des mains le gode dont il ventait les mérites.
− Donnez-moi ça, vous aurez les mains libres… et surtout continuez vos explications passionnantes. Dit-elle en écartant légèrement les cuisses. Ne vous inquiétez pas pour eux, ils ne nous voient pas et vont nous attendre là-bas bien gentiment…− Euh… si vous le dites, répondit-il en plongeant sa main vers la chatte humide de Claude.
Chloé, toujours accroupie s’était rapprochée également et d’un geste sûr, elle avait ouvert son pantalon, sortit sa bite tendue et l’avait prise en bouche.
− Oh, mon Dieu ! Ça n’va pas être facile de… de poursuivre mes explications. Oooooh…− Oui, elle suce très bien… Aux dires des hommes que nous croisons, apparemment ma belle-fille s’y prend très bien.− Oooh… Vo… votre belle-fille ? Je… je vous donnais à peine trente ans. Ooooh… Oh, oui, c’est bon…− J’en ai un peu plus, mais j’ai eu mon fils très jeune… Répondit-elle flâtée
Chloé étant partageuse, elle se redressa et prit le gode en main pour laisser à Claude le loisir de goûter à la jolie bite du vendeur. Le type était aux anges, bien que travaillant dans un sex-shop, il n’avait encore jamais croisé de femmes aussi chaudes et directes. Il savait que, pour le coup, il n’allait pas tenir longtemps. Quand il annonça qu’il allait jouir, Chloé s’accroupit de nouveau en se collant à Claude qui arrêta de le sucer. Il prit sa bite en main pour quelques brefs mouvements de poignet ; l’orgasme approchait et il avait deux bouches gourmandes et ouvertes au bout de sa queue. Un premier jet atteignit le nez et la lèvre supérieure de Claude, il dirigea le second sur la langue de Chloé et finit son éjaculation en mettant directement son gland dans la bouche sa belle-mère. Quand il eut fini, Claude abandonna la queue qui venait de lui tapisser la bouche et se pencha vers Chloé pour lui rouler une pèle. Elle échangeait et se partageait son sperme et quand elles eurent tout avalé, Chloé lécha les traces qui restaient encore sur le bout du nez de Claude.
− C’était pour vous remercier de vos conseils avisés, dit Claude au vendeur qui réalisait à peine ce qui venait de lui arriver.− Et maintenant, il est tant de passer à la caisse, ajouta Chloé en se rajustant.
Elles avaient achetés des boules de geisha, des godes simples et doubles et deux vibromasseurs. Plusieurs modèles de godes réalistes, dotés du système « Vac U Lock », étaient faits pour s’adapter sur les deux harnais qu’elles avaient pris. Elles avaient également acheté des crèmes de massage, des lubrifiants et d’autres produits d’entretiens pour leurs jouets. Tout le monde remonta dans la voiture, Claude passa à l’avant et Philippe à l’arrière. A chaque feu rouge Paul posait sa main sur la cuisse de sa mère et se penchait vers elle pour l’embrasser. Sur la banquette arrière, Philippe et Chloé avaient largement dépassé ce stade. La jeune fille avait perdue sa culotte, son t-shirt et son soutien-gorge et sa jupe était relevée. Son beau-père lui léchait la poitrine et lui branlait la chatte. Elle lui caressait les cheveux et gémissait sous ses doigts experts. En arrivant, ils se dirigèrent instantanément dans la chambre de Chloé alors que Paul suivait sa mère vers la sienne. Ils s’enfermèrent et se déshabillèrent l’un et l’autre avec frénésie avant de se jeter sur le lit. Ils s’embrassaient, se caressaient. Le sexe tendu de Paul buttait sur le ventre plat de Claude. Pendant tout le trajet retours, il avaient été obligé de se tenir et l’activité intense sur la banquette arrière les avaient passablement excités.Durant près d’une heure ils en avaient suivi l’évolution. Chloé s’était laissée pelotée, déshabiller, lécher et doigter sous leurs yeux et avait jouit plusieurs fois sous les caresses de Philippe. Le sexe de Claude était en feu et par solidarité avec Paul, elle n’avait pas voulu se toucher. Elle ruisselait et avait maintenant envie de le sentir profondément vissé en elle sans aucun préliminaire. Dans la chambre voisine Chloé criait. Il ne faisait aucun doute que Philippe, qui l’avait patiemment préparée dans la voiture était en train de la sodomiser. Paul positionna sa verge à l’entrée du con maternel et s’y engouffra. La gaine vaginale était abondamment lubrifiée et la pénétration se fit d’une seule poussée rapide. Sa longue verge vint butter d’un coup sur le fond de la cavité arrachant un cri à Claude. Elle l’avait pourtant tant attendu qu’elle n’en souffrit pas. Le pieu de chair lui remplissait la matrice et en frottait toutes les zones sensibles. Claude eut rapidement un premier orgasme. Dans la chambre à côté Chloé criait : « Aaah ! Oui, Philippe, baise-mon cul ! Aaaaah ! Plus fort ! Aaaaah ! ». Paul s’activait de plus en plus et exprimait son plaisir. Il faisait varier la profondeur de ses pénétrations et leur rythme avec beaucoup d’habileté. Claude était transportée d’un orgasme à l’autre comme sur des montagnes russes. Ils entendirent que, dans l’autre chambre c’était l’apothéose. La tête de Claude tournait. Son corps était secoué de spasmes, parcouru de décharges de plaisir. Elle sentait monter en elle une vague infernale, un tsunami qui allait la submerger. Paul sentait également poindre l’explosion, le bouquet final.
− Aaah ! Maman ! Aaah ! Aah !− Aaaaah ! Aah, Oui ! Aaaa ! Aaah, Paul ! Aaaaah ! Tu m’fais jouir ! Aaaaah ! Tu fais jouir maman ! Aaaaaaah !− Aaah maman ! Je t’aime maman ! Aaaah ! J’veux qu’tu jouisses ! Aaaaah !− Aaah ! Trésor ! Aaaah je t’aime ! Aaaah ! Tu m’fais jouir, Paul ! Tu m’fais jouiiiir, mon... mon fiiiiiiiiiiils ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih !
Sa jouissance était telle qu’elle explosa littéralement ; elle éjacula. Paul explosa exactement en même temps et remplit en six ou sept saccades le ventre maternel en même temps qu’il exprimait bruyamment son plaisir dans un râle puissant. Repus de jouissance, il s’écroula sur sa mère sans se retirer et elle put de nouveau goûté au plaisir de conserver en elle ce morceau de chair puissant.
− Oooooh maman... maman... je t’aime maman...− Oooh mon chéri... mon petit trésor... ooooh mon amour...
Ils atterrissaient doucement ; reprenaient peu à peu leurs esprits et s’embrassaient tendrement. De la chambre d’à côté leur parvint un long gémissement bientôt suivi du rire cristallin de Chloé mais ils n’y prêtèrent pas attention.
− … Je t’aime... Redit encore Paul− Il y a longtemps que ça ne m’était pas arrivé…− De quoi ?− D’éjaculer… Ils sont levés, j’entends la douche couler. On devrait peut-être en...− Non maman... restons encore un peu. On est bien. On est en vacances, on a le temps. Il est à peine 19 heures...− Mmmm... Tu as raison mon chéri... Mmm... Mais ! Tu rebandes ?!− On dirait bien... Dit Paul en se mettant à bouger très doucement.− Oooh... Chéri... attends mon amour... pas comme ça... on va changer... on va changer de trou si tu veux bien... mmm...− Tu veux que je te...− Oui, j’ai envie d’essayer… Mais tu vas me laisser faire, d’accord ? Tu vas laisser faire maman.
Elle l’allongea sur le dos et s’accroupit au dessus de lui. Elle tenait la grosse verge luisante d’un mélange de cyprine et de sperme et l’appuya d’une main sur sa rosette, la cala et s’écarta les fesses. Elle poussa légèrement, la pointe du gland s’engagea. Elle poussa encore et le gland tout entier écarta ses sphincters. Elle était concentrée et Paul la regardait faire sans bouger. Elle poussa encore et cette fois il disparu complètement.
− Oooh la vache ! Mmm... Ne bouge pas chéri... laisse moi faire.
Paul ne bougeait pas et Claude recommença à pousser. La hampe l’enfila presque de moitié. C’était la partie la moins épaisse mais ses dimensions étaient déjà impressionnantes.
− Ouh ! C’est gros... ooooooooh... quand elle sera bien entrée, je bougerai un peu. Ooooo... Expliqua-t-elle en poursuivant sa lente progression. Mais toi tu me laisses faire pour l’instant... mmm....− Oh... je... mam... Balbutia Paul en voyant disparaître sa bite intégralement.− Chuuut... chaton, oooooooooo... mmm... oooo... mmm... ooo...
Claude montait et descendait sur la colonne de chair. Elle voulait s’ouvrir suffisamment avant de changer de position.
− Oooooooh… Oh mon chaton, c’est… Mmmm, c’est si gros, oooooo…− Oooh... maman... ooooh...
Elle pratiqua elle même pendant quelques minutes, augmentant progressivement la cadence et l’amplitude de ses mouvements. Quand elle se senti prête, elle se retira et se positionna à quatre pattes. Paul se plaça derrière elle et suivit ses conseils. Il la pénétra avec la même lenteur que précédemment sauf que là c’était lui qui officiait. Une fois calé au fond du rectum, il ne bougea plus jusqu’à ce qu’elle lui demande. Les premiers mouvements étaient lents et courts et Claude gémissait.
− Oooo... Oh oui, Paul... Aaaaaaah... aah c’est bon... mmm... vas-y chéri...Aaaaaah...− Ooooh... c’est pas vrai m’man... Ooooh... je t’encule maman... Ooooh... Oh mon dieu...− Oooh oui, mon chaton, enc... encule moi... baise-moi... mmm... traite moi de salope et de putain... baise mon cul... Aaaa... baise moi fort... Aaa...− C’est vraiment ce que tu veux... ? Fit Paul un peu surpris car il ne s’imaginait pas en train d’insulter sa mère.− Oui, mon chéri, j’ai envie... j’ai envie que tu me baises comme une chienne,... que tu me... Oooooh− Tu veux que je défonce ton gros cul de salope, c’est ca ? Ma salope de mère veut que je lui bourre le fion ?− Oui, Paul... vas-y ! Défonce mon cul de grosse pute... défonce moi le cul, Paul.
Philippe et Chloé étaient descendu dans la cuisine et regardaient ensemble ce qu’ils pourraient faire à manger. Ils avaient faim et se disaient qu’il en serait de même pour leurs partenaires. Philippe était un fin gourmet et un grand gourmand mais il ne faisait jamais la cuisine. Tout au plus, il jouait le marmiton et s’occupait à éplucher plus ou moins laborieusement quelques légumes ou à les découper comme on lui avait montré. Aux vue de leurs réserves, il avait fait des propositions de plats et Chloé avait déterminé se qui était réalisable et ce qui ne l’était pas en fonction des ingrédients manquants et surtout du temps de préparation. Ils avaient ainsi décidé du menu du dîner et, de façon tout à fait exceptionnelle, Philippe se sentit l’envie de participer. Ils étaient tous deux en train de peler et d’éplucher des légumes quand les épanchements sonores du couple à l’étage leur parvinrent.
− Et bien, ils ont remis ça on dirait.− Mmm, Paul, quand il est bien chaud, repart toujours assez vite... mais t’entends ces cris ? J’ai l’impression que c’est chaud bouillant là haut... Attends qu’est-ce qu’elle vient de dire là ?− J’ai cru comprendre : « défonce mon cul »...− Tu crois que...− Qu’il l’encule ? Ça ne fait aucun doute ma chérie... je crois même qu’il est raisonnable de dire qu’il y va à cœur joie.− Mais il va la déchirer avec son gros truc... il va lui faire mal.− Oh non, ca m’étonnerait. Claude n’en est pas à son coup d’essai en la matière et j’imagine qu’elle a du y aller mollo au départ. A mon avis, ils y sont déjà depuis un moment...− Eh ! Je rêve ou il l’insulte ! T’as entendu comme moi ?− Oui, c’était très net : « grosse pute » et « pétasse »...− Il insulte sa mère ? Il ne peut pas faire ça...− T’es choquée ?− Un peu, oui ! Enfin, c’est...− Ce sont deux amants dans un lit et si il le fait, c’est qu’elle lui a demandé... Claude aime parfois ça quand elle est très excitée et surtout quand on l’encule...− En tout cas ils ont du vocabulaire élégant : « boite à caca », « trou à merde », « grosse pute merdeuse »... c’est élégant. On devrait noter tout ce qu’on entend, pour rigoler.− Sauf qu’on a rien sous la main... qu’est-ce que je dois faire des carottes maintenant ?− Tu les coupes en petites rondelles, de cette épaisseur là, pas plus grosse... enfin si il y en a une ou deux d’un peu plus grosse c’n’est pas grave mais je préfère, à la limite, trop fines que trop épaisses… Enfin, pour les carottes, je veux dire. Hi hi !− À vos ordres chef... Moi aussi, j’aime les petites rondelles, Ha ha ! Oh, ca sent la fin... Cette maison va... Oh non...− Qu’est-ce qu’il y a Philippe ? Ça ne va pas, t’as l’air perturbé tout d’un coup...− C’est... Elle a dit...− Ah, ça y est, là c’est sûr il vient de jouir. Je reconnais le râle qu’il a quand il éjacule. Pardon, je t’ai coupé qu’est-ce qu’elle a dit ?− Elle a dit que... qu’elle voulait « lui nettoyer la bite et lécher sa merde de grosse pute », ce sont ses mots...− C’est vrai que ce n’est pas super classe... ni très propre. Elle qui nous fait toute une histoire parce que Paul et moi on aime le pipi... mais ça te chamboule tant que ça ?− Elle n’a jamais voulu avec moi ; je lui ai demandé... elle a jamais voulu...− Peut-être justement parce que tu lui as demandé. Et puis ça doit prendre un certain temps avant de se dire : « Tiens ! Je vais nettoyer la bite qui sort de mon cul, chouette ! ». Tu ne crois pas ?− Oui, peut-être... tu as sans doute raison... mais quand même ça me fait quelque chose...− Tu sais, Philippe, on ne fait pas la même chose avec tous ses partenaires. Regarde, Paul devra attendre longtemps avant de pouvoir faire avec moi ce qu’il vient de faire avec Claude. Je ne suis pas prête à le prendre dans mon cul, ça me fait peur. Pourtant, la manière avec laquelle tu m’encules et ce que j’ai vécu à la plage me font me dire que je n’ai pas envie de me priver de ce plaisir. Donc Paul sera contraint, pendant des années sans doute, à me voir ou à me savoir en train de me faire enculer sans jamais pouvoir le faire. Ce qui veut dire aussi que, même si il en rêve sûrement, il n’est pas prêt de faire avec moi ce qu’on a fait tout à l’heure. C’est comme ça ! Et si Claude ne veut pas te lécher la bite après, qui sait, je pourrais très bien avoir envie d’essayer un jour...− C’est vrai ?... Tu as raison, Chloé, je ne voyais pas les choses sous cet angle...− En plus, maintenant qu’elle a essayé, si tant est qu’elle l’ait vraiment fait, si elle a aimé, elle te le proposera peut-être. Laisse la décider d’elle-même. C’est beaucoup mieux.− Je ne sais pas ce que nous deviendrions tous sans toi, ma chérie...− Vous seriez perdus, comme moi sans vous trois.
Chloé avait mis le plat à mijoter et préparait une salade de fruits quand ils entendirent l’eau couler. Claude et Paul n’allaient plus tarder à descendre. Philippe choisissait le vin qu’il allait ouvrir pour le dîner et préparait l’apéritif quand ils apparurent. Paul se jeta dans les bras de Chloé pendant que Claude, resplendissante, alla embrasser Philippe. Les couples se reformaient. Les jeunes discutaient dans la cuisine à surveiller la cuisson tandis que les vieux étaient au salon.
− Ça sent bon, c’est quoi ?− Une recette de poulet mijoté à l’estragon. On va manger ça avec quelques pommes vapeur, melon au porto en entrée, salade, fromage et salade de fruits. Ça te va ?− Ben, le porto...− Il y en a un sans, rien que pour toi, mon Amour.− Merci, ma chérie. Mais tu as eu le temps de faire tout ca ?− Philippe m’a aidé... Et puis nous, on n’a pas remis le couvert, si tu vois ce que je veux dire... mais on a bien profité de votre deuxième round...− Je te signal que ton premier service, tu l’as quand même eu dans la voiture. C’était un peu plus qu’un apéritif...− C’est vrai qu’il m’avait déjà bien entreprise...− En tout cas, je pense que c’est pareil pour toi d’ailleurs, j’ai passé une journée délicieuse... une matinée pleine de découvertes, un somptueux repas à midi, deux heures de balades fortes agréables...− Il n’y a pas que ta matinée qui a été pleine de découvertes... il m’a semblé que ta fin d’après midi aussi avait été riche en expériences nouvelles. Je me trompe ?− Euh, non... c’est vrai. Vous nous avez entendus ?− Oh, peut-être pas vraiment tout... Philippe pense qu’on n’a pas entendu le début. Mais le final, c’est sûr... Je ne crois pas avoir jamais entendu autant d’insanités sortir de ta bouche que ce soir. Franchement, j’en étais presque choquée.− Vraiment ? C’était à ce point ? Je... je crois qu’on était un peu emportés dans un délire... c’était très vulgaire ?− Tu veux des exemples ? Si j’avais eu un papier et un crayon, j’en aurais noté certaines, pour ma culture générale... non, en vrai, ce qui m’a un peu choquée au départ c’est que tu t’adressais à ta mère... j’ai franchement trouvé ça bizarre... Mais Philippe, c’est autre chose qui l’a choqué... j’oserai même dire qu’il en était malade... malade de jalousie.− Philippe ? Jaloux ? Mais de quoi ? Pas de moi quand même ?− Il a été jaloux de la demande qu’elle t’a faite de nettoyer ta queue pleine de merde...− …− Elle lui a toujours refusé, il paraît... Elle te la vraiment fait ?− …− Paul ?− Vous avez entendu ça aussi ?− Vous n’étiez pas franchement discrets non plus... Elle te l’a fait ?− Tu tiens vraiment à le savoir ? Moi je ne te demande pas ce que vous avez fait...− C’est vrai, mais oui, j’aimerai bien le savoir car, pour apaiser son sentiment, je lui ai dit que je lui ferai peut-être un jour... mais si elle te l’a fait, je ne pourrais pas me défiler...− Et bien... oui, elle m’a nettoyé toute la bite... elle la fait avec sa bouche et sa langue... elle n’a rien laissé...− Et heu, c’était très sale ? Enfin je veux dire…− Et bien ma bite était franchement marron si tu veux tout savoir, ça te va comme information ?− Pardon, Paul, je ne voulais pas être indiscrète. Je... ça me va très bien ; tu pouvais répondre par oui ou par non...− Il n’y a pas de problème Chloé, je le sais bien.
Honteux de sa réaction un peu vive, il l’embrassa et la serra fort dans ses bras.
− Paul, je... j’ai un truc à te dire. Avec Philippe, tout à l’heure, on a fait un quelque chose de pas super propre aussi. C’est un peu dans le même registre si on veut.− Qu’est-ce-que vous avez fait ? Pourquoi tu veux m’en parler ?− Ben, je veux t’en parler parce que, de tout façon, tu vas le voir... après avoir éjaculé, il m’a pissé dans le cul... et j’ai tout évacué d’un coup... Notre lit devient vraiment très sale... je me demandait si tu voulais qu’on se fasse un lit propre dans l’autre chambre que nous avions utilisée... moi, ça m’est égal, je comprendrais...− Si tu dis que tu comprendrais, c’est que tu as peur que ça me choque mais que ça ne te déplaît pas... au contraire. C’n’est pas vrai ?− Oui, c’est vrai, je… j’aime bien notre lit crade, ça m’excite.− Et moi, je ne vaux guère mieux... Depuis cinq jours, on se pisse dessus, on inonde nos draps, tu me fais boire ta pisse et je te fais boire la mienne. Je pisse plus dans notre lit qu’ailleurs... je n’ai pas envie d’avoir à me retenir. L’autre matelas, on a réussi à le laver mais celui ci, c’est sûr et certain qu’il est foutu de toute façon. Alors je veux continuer, si toi, tu n’y vois pas d’inconvénient, à dormir dedans, à profiter de son odeur et de sa douce humidité et à le salir encore.− On est vraiment de gros cochons... j’ai envie de rester dans notre chambre. C’est pratiquement prêt. J’arrête, je rallumerai cinq minutes avant de servir, ce sera parfait. Allons retrouver nos chéris
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