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Pauline - années adulte

Chapitre 3

Erotique
Chapitre 3
Je ne suis pas allé travailler ce jeudi matin. Les routes n’étaient pas dégagées de la neige ; même si les transports en commun n’avaient pas été bloqués également, je ne les aurai pas pris. J’avais une autre motivation : Pauline était dans mon lit. Je l’entendais se lever.
• Bonjour Pauline, bien dormi ?• Yvan ?... J’ai entendu la porte d’entrée tout à l’heure, j’ai cru que tu étais parti... Je vais m’habiller.• Non... Enfin, comme tu veux... J’aimerai que tu restes nue, si ça ne te dérange pas.• … Je ne suis pas très présentable. J’ai les poils du minou qui partent dans tous les sens…• J’ai vu. Au moins, je sais que tu n’es pas une vraie brune... Les transports en commun sont bloqués et ils n’ont pas encore commencé à dégager les routes. Mais, je suis allé voir si la boulangerie était tout de même ouverte... Je ne savais pas trop bien ce que tu aimais... Il y a des croissants, pains au chocolat et au raisin.• Merci. J’aime tout. Il est quelle heure ?• Presque 11 heures... Je peux te faire couler un bain, si tu en as envie.• Tu le prendras avec moi ?• Ca me ferait très plaisir.
Mon dieu, comme elle était belle. Ses yeux se mirent à scintiller instantanément et un sourire timide se dessina sur ses lèvres. Je ne sais pas pourquoi nous restions à distance l’un de l’autre. Peut-être avions nous peur l’un comme l’autre que cette pulsion incontrôlable nous reprenne, celle-là même qui lui donna envie de monter chez moi, de nous déshabiller avec précipitation et de passer une bonne partie de la nuit à découvrir le corps de l’autre.
Nous n’avions quasiment pas parlé. C’était comme si nous avions les mêmes envies au même moment. A peine m’étais-je demandé quel goût elle avait qu’elle s’était mise en position pour que je place ma tête entre ses cuisses ; à peine avais-je eu le temps d’avoir envie qu’elle me suce qu’elle avait déjà mon sexe dans sa bouche. Et ça avait été comme ça pour tout ce qu’on avait fait.
Mais, pour le moment, nous étions d’une timidité extrême l’un envers l’autre. Elle me demanda• Je peux m’assoir sur le canapé ?• Heu, oui évidemment. Mets une couverture sous tes fesses, le cuir froid ce n’est vraiment pas très agréable. Veux-tu un jus d’orange ?• Je veux bien, merci.• Je ne savais pas que tu connaissais mon adresse.• ... Lorsque tu as annulé, je suis allée voir Nathalie pour me plaindre. Elle aussi était en colère contre toi, mais je n’ai pas compris pourquoi. Et après avoir un peu discuté, elle m’a donnée ton adresse en me faisant promettre de t’obliger à me parler enfin.• Et je peux savoir de quoi vous avez discuté ?
• Du fait que j’abandonne mon travail parce que je suis amoureuse de toi... Pourquoi était-elle en colère ?• Je lui avais promis de ne pas me défiler cette fois, et de te parler enfin en tête à tête.• Pourquoi tu me fuis tout le temps ?• Parce que je pense à toi à tout le temps depuis le premier jour que je t’ai vu et j’avais peur de ne pas te convenir, d’avoir un geste déplacé envers toi ou une pulsion incontrôlée ...• T’es en train de me dire qu’on vient de perdre deux ans de notre vie à cause de nos hésitations ?... Merde, j’ai fait souffrir un type bien à cause de ça, et toi tu as rendu le mari de Nathalie cocu...
Je l’ai regardée surpris. Que savait-elle sur moi et Nathalie exactement ? Des rumeurs courraient sur nous, mais rien que personne ne pouvait confirmer. Je lui ai alors dit, pas encore prêt à lui raconter ma vie• Tu sais, il ne faut pas croire tout ce qu’on raconte.• Outre le fait que je vous ai vu des centaines de fois rentrer dans cet hôtel le midi, je vous ai entendu. Ca ne faisait pas longtemps que j’étais arrivée et en voulant rendre des documents pour compléter mon dossier au secrétariat, je t’ai vu entrer dans son bureau et je vous ai écoutés.
Et tout en se levant et s’avançant rapidement vers moi, elle dit "mais c’est du passé et on s’en fout de tout ça", puis m’enlaça et m’embrassa. Les viennoiseries allaient attendre un peu, une envie bien plus bestiale nous pris. Durant la nuit, nous avions baptisé le salon et ma chambre ; là le coin cuisine était en train d’y passer. J’avais déjà éprouvé ces mêmes sensations puissantes dans le passé, mais mon esprit était embrumé ; je ne me souvenais ni quand, ni avec qui, ni où.
J’ai cependant eu une sorte de flashback un peu plus tard. Nous étions alors dans le bain. Je venais de finir de lui raser le minou comme elle me proposa de le faire. J’étais dans son dos, une main entre ses cuisses en train de la masturber, l’autre sur un sein que je malaxais. Elle s’est mise à jouir, en contractant tout le corps, sortit un petit gémissement léger de plaisir... puis, se calmant, me dit au creux de l’oreille, comme un secret "j’en ai encore envie"…
… Ces sensations... Cette phrase... La fille du train... Non, ce n’était pas possible que ce soit la même. Il y avait bien plus de chances de gagner au loto... Ca ne pouvait être que des coïncidences. Elles ne se ressemblaient même pas... Enfin, je ne me souvenais quasiment plus de cette magnifique fille aux cheveux bleus.• Yvan ? Ca va ?• Oui... Je pensais juste à un truc.• Lié au travail ?• Non, pas du tout. Juste qu’il y a qu’une seule autre fille avec qui je me suis sentie aussi bien. Ca t’es déjà arrivé aussi ?• … Une seule fois. Mais, je ne te dirai rien. C’est mon jardin secret que je n’ai jamais partagé avec qui que ce soit. C’était qui cette fille ?• Désolé, mais c’est donnant donnant.• Alors, je préfère ne pas savoir. Caresse-moi encore... Oui, c’est bon comme ça... Tout à l’heure, c’est moi qui m’occuperais de toi...• Je ne te demande rien en échange.• Je sais, mais j’ai très envie de te sucer jusqu’à ce que tu te sois totalement vidé dans ma bouche.• Je ne te croyais pas aussi gourmande. Mais, j’adore.• Je te pensais plus conventionnel et pas du genre à aimer lécher l’anus des filles... Je crois avoir envie de tout connaitre sur toi.
Nous avons passé toute la journée nus, quasiment collés l’un à l’autre. Chaque instant était l’occasion de se toucher un peu, de s’embrasser.
Les routes avaient été entièrement dégagées, il n’avait pas neigé à nouveau. Je n’avais plus aucune excuse acceptable pour ne pas aller travailler pour ce dernier jour de la semaine. Pauline préférait attendre que le week-end soit passé pour réfléchir, week-end qui allait se passer loin l’un de l’autre. C’était mon tour pour garder les enfants. Elle préférait ne pas être présente, même si ça ne me gênait pas de déjà la leur présenter.
Je suis donc arrivé au travail, la tête encore dans des rêveries. Elle ne m’avait pas laissé partir avant qu’on fasse l’amour. Ca avait été moins bestial que notre première fois, mais tout aussi intense.
• Yvan, lis et signe !• Heu... Bonjour Nathalie, je t’en prie, entre dans mon bureau sans frapper… • C’est ton avenant à ton contrat de travail, alors ne joue pas les lourds !• Que me vaut ta bonne humeur ?• Mercredi, entretien annuel avec Pauline... Tu te souviens ? Tu aurais pu juste le repousser plus tard dans la journée, mais non, tu l’as carrément annulé ! Tu m’avais promis et résultat, elle n’est pas là aujourd’hui. Tu veux que je t’explique pourquoi ?• Parce qu’elle est chez moi en ce moment même. Elle tient mieux ses promesses que moi, on dirait.• … Tu te fous de ma gueule ? …T’es vraiment sérieux ?• Merci beaucoup Nathalie.
Elle me sourit, puis ses yeux ont commencé à s’embrumer, son sourire s’effaça. Je lui ai demandé• Ca ne va pas ?• … Je suis contente pour toi. Mais, je viens de réaliser que ça veut dire que c’est fini pour nous deux...• Heu, ben oui... Ne me dit pas que t’es jalouse, tout de même. On a toujours dit que c’était purement sexuel entre nous.• Oui, c’est ce qu’on a toujours dit... C’est con mais je me suis déjà imaginée la vie avec toi. En plus, tes enfants et mon fils s’entendent bien.• Je t’aime beaucoup, mais pas comme tu le voudrais.• Je sais... C’est la seule raison pour laquelle je n’ai pas quitté mon mari. Bon, je te laisse. Ca te dirai de manger ensemble ce midi ?• Oui, ça fait longtemps que je n’ai pas eu de repas avec une véritable amie qui sait faire passer les besoins des autres avant de penser à elle-même.
Puis, mon téléphone sonna, le cœur qui se mit à battre fort en voyant qui appelait. Tout heureux, j’ai décroché• Coucou, t’es rentrée chez toi ?• Non, pas encore, je prends mon temps. Mais, j’ai un truc à te demander, il faut absolument que je regarde mes mails, ça ne passe pas sur mon téléphone. Je peux utiliser ton ordinateur ?• Oui, évidemment... Heu... Il y a un mot de passe.• J’ai vu. T’as pas de compte invité ?• Non... Tu promets de ne pas fouiller dessus ?• Promis. C’est quoi ton mot de passe ?
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