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Pauline - Années étudiantes

Chapitre 17

Voyeur / Exhibition
Chapitre 17
Je ne voulais pas de l’argent d’André. Ca me donnait l’impression de n’avoir été qu’une pute de luxe... Une pute qui facturait très très cher. J’ai donné le chèque à mon père. Il l’utilisa pour rembourser le prêt de sa nouvelle maison et payer une bonne partie des travaux restants. Il allait pouvoir respirer un peu mieux.
Mais, ma mère restait en dette vis-à-vis de lui, et indirectement avec moi. J’ai réussi à l’avoir au téléphone. Nous nous sommes engueulées. Elle avait d’abord voulu me faire croire que c’était mon père qui mentait. Puis, elle me dit qu’elle n’avait déjà pas assez d’argent pour elle-même. Ca énerve d’entendre ça :• Tu n’es qu’une sale égoïste, maman !• Comment oses-tu dire ça ? Je pense tout le temps à toi. Et ce n’est pas de ma faute si tu habites si loin et qu’on ne peut pas se voir. Ca fait des frais que je ne peux pas supporter.• Tu penses toujours à moi ? Quel est la date de mon anniversaire ?• Allons Pauline, ne joue pas à ça... Je la connais très bien.• T’es en train de gagner du temps pour consulter ton agenda. Pourquoi m’as-tu appelée trois semaines après mon dernier anniversaire ?• Mais, je te l’ai dit. Je ne pouvais pas, j’étais en Thaïlande à ce moment-là.• Et Noël ? T’étais où ? Comment arrives-tu à te payer tous ces voyages ? On est début Février et c’est la première fois que j’arrive à te joindre au téléphone depuis Septembre dernier !
La conversation était devenue de plus en plus tendue et elle s’est finie par "N’essaie plus de me contacter tant que tu n’auras pas remboursé mon père jusqu’au dernier centime. En attendant, je ferais comme si je n’ai pas de mère !". Elle versa 100 euros le premier mois, de même le mois suivant, puis, plus rien...
Nous étions ainsi début Février, et je venais d’emménager dans un petit studio de 15m² appartenant aux parents de JC. Il avait été en travaux pour remise à neuf, et les murs sentaient encore la peinture fraiche. Mon père avait moins de problèmes financiers, j’aurai pu prendre plus grand, il me le proposa même, mais ça me suffisait largement.
JC avait espéré que je reste chez lui. Il commençait à penser que nous étions un couple, comme tous les élèves de l’école d’ailleurs. Ca pouvait effectivement y ressembler : nous mangions toujours ensemble, nous nous occupions du linge de l’autre, nous partagions les courses et les frais, nous n’avions aucune pudeur l’un pour l’autre et nous baisions quasiment tous les jours.
Il respecta sa règle de ne pas me toucher tant que ce n’était pas moi qui le lui demandait. Je voyais bien dès qu’il en avait envie. Je lui faisais croire... Je simulais... C’était pour lui faire plaisir. Mais, je n’ai jamais eu réellement de besoin.
Malgré tout, sa présence allait me manquer. C’était tout de même agréable de l’avoir à mes côtés, qu’il ait des attentions pour moi tel que me préparer un bon petit repas de temps en temps ou me faire couler un bain avec plein de mousse. Ce n’était pourtant que superficiel, je pouvais jouer la comédie pendant un temps, mais pas à vie. Pourtant, plus d’une fille aurait aimé être à ma place.
JC m’avait aidée à emménager, à déballer les cartons. Et pendant que je rangeais mes livres de cours, il me demanda :• Je t’ouvre celui-là aussi ?
• Lequel ? Heu... Non, pas la peine.• Je l’ai vu trainé dans notr... ma chambre durant trois semaines et tu ne m’as jamais dit ce qu’il y avait dedans.• Ben si, je t’avais dit des trucs perso.• Oui, mais quoi en fait ?• Je ne t’ai jamais empêché de regarder dedans.• Oui... Mais il y a peut-être des trucs intimes que tu veux pas que je...• Tu crois qu’il y a beaucoup de choses plus intimes que de laisser un mec qui n’est même pas son petit ami lui raser le minou ? Ou encore de le laisser regarder lorsqu’on fait pipi ?... Allez, tu meurs d’envie, ouvre-le.
Ce carton contenait tous les dessins qu’André avait fait de moi et une boîte à chaussures avec les cadeaux de Noël que m’avait offerte mon père. JC passa beaucoup de temps à contempler les dessins, délaissant pour le moment la boîte à chaussures, et n’hésitant pas à donner son avis de non expert en art. C’était d’ailleurs amusant.• T’as vraiment posé comme ça ? Attachée, avec le truc SM dans la bouche et les yeux bandés ?• Et oui. Je trouve d’ailleurs que c’est son plus beau dessin.• Le plus cochon aussi. Sacré pervers ce papy. Tu crois qu’il bandait ?• Ho que oui.• Comment tu le sais ?... Non, t’es pas sérieuse ? Il t’a... ? Dans cette position ?• Non, après qu’il m’ait détachée. J’en avais sacrément envie.• Finalement, c’est toi la perverse... On a l’impression que tu te masturbais sur celui-là.• C’est-ce que je faisais.• Je ne t’ai jamais surpris en train de te toucher...• Je n’en ai pas eu envie depuis longtemps.• Fait chier d’être un si bon amant alors...• Tu aurais aimé ?• Pas grave, si t’as pas envie, t’as pas envie et c’est tout. Bon, y’a quoi dans cette boîte ?... Ho, tu m’avais dit que t’avais pas de joujoux...• Ben, plus depuis les vacances de noël.
Et, avec un grand sourire, il me montra mes oreilles de chat et le plug anal• C’était pour papy ça aussi ? Du coup, tu ne l’as jamais porté.• Ben, fallait bien que je vérifie que la tenue était à la bonne taille.
Je ne sais pas ce qui lui a traversé la tête à ce moment, mais il a rougi et son pantalon s’est mis à se déformer d’un coup. Je lui ai repris les objets pour les mettre dans la boîte que j’ai emmenée avec moi dans la salle de bain après lui avoir dit "Bon, je vois que tu n’arrives plus à te concentrer sur le rangement. Attends-moi".
Je suis revenue quelques minutes après, avec un maquillage de circonstance. Il resta un petit moment à m’observer nue, avec mon raz-du-cou, mes oreilles, ma queue. Il caressa cette dernière• En plus, c’est super doux. Tu pourrais la teindre en bleu pour que ce soit assorti à tes cheveux.• Ha oui, je n’y avais pas pensé.• Tu me donnes envie d’être pervers moi aussi.• Ok, ne te gène pas. Faut de toute façon baptiser cet endroit.
Il partit dans la salle de bain récupérer la boîte à chaussure. Il me menotta par devant, accrocha la boule à ma bouche, et me fit m’allonger de profil sur mon nouveau canapé lit. Il me mit ensuite le vibromasseur dans les mains et s’installa en face sur une chaise, ouvrit son pantalon, sortit sa belle grosse queue pas encore totalement en érection.
La situation a eu pour effet de m’exciter, sensation que je n’avais pas ressentie depuis longtemps. Etait-ce lié au fait que j’étais menottée et soumise à lui ? Etait-ce parce que j’étais et j’allais m’exhiber d’une façon peu conventionnelle ?... Ce n’était pas au point de me faire perdre la tête, mais suffisamment pour que je me montre sans pudeur devant lui. Il me dit au bout de quelques secondes "ne va pas trop vite, prends ton temps". Puis, un peu plus tard : "je crois comprendre ce qui t’excite vraiment". Et il prit son téléphone. J’ai cru au début que c’était pour me filmer... Je l’aurai laissé faire de toute façon"Bonsoir, ça serait pour commander une boîte duo... C’est celle qui a plus de sushi que de maki ?... Oui, celle-là... J’ai déjà un compte chez vous, mais ça sera pour livrer à une autre adresse, c’est possible ? … Parfait. Et ça pourra être livré d’ici combien de temps ?... Au plus tôt... 20 minutes ? Parfait... Oui, alors, c’est au nom de …"
Une fois raccroché, il me dit d’un ton assuré et franc "c’est toi qui ira ouvrir sans te rhabiller". Il n’en fallait pas plus pour me faire bourdonner les oreilles et sentir cette vague de chaleur grimper tout le long de mon corps. Un orgasme allait se déclencher et il me retira d’un coup mon vibromasseur en me disant "pas si vite. On n’a pas fini de s’amuser ".
Le salaud me frustrait, je commençais à me déchainer. J’ai attrapé sa verge et me la frottais sur le visage. Il retira mon bâillon en disant "tu as drôlement fin ce soir". Et je l’ai prise, l’ai sucée, l’ai léchée, l’ai dévorée. Il posa sa main sur ma tête... Ok, il voulait retenter l’expérience, et moi aussi. Elle s’enfonça dans ma bouche, dans ma gorge. Je commençais à avoir du mal à respirer, mais je continuais jusqu’au bout. Je pleurais, je bavais, je faisais de petits mouvements avec ma tête pour que ma gorge le branle.
Je continuais alors que j’étais en apnée depuis plusieurs secondes, n’arrivant plus du tout à respirer. Je commençais à manquer d’oxygène. J’avais l’impression que tout tournait autour de moi, et il me repoussa. J’ai toussé, j’ai repris de l’air. JC me dit alors• T’es cinglée, mais j’aime quand tu es comme ça. Imagine les gros titres : une fille morte d’asphyxie à cause d’une bite coincée dans la gorge.• Baise-moi ! Et surtout, ne soit pas doux.• T’es pas du tout comme les fois où on a couché ensemble... T’es aussi chaude qu’à l’anniversaire de Fred ?• Pas loin en tout cas... Tu peux m’appeler Deep Blue.
Plusieurs minutes plus tard, lorsqu’on sonna à la porte, sa queue était encore dans ma gorge. Il s’est retiré rhabillé, a récupéré un torchon pour essuyer ma bave qui coulait et a dit "ben alors, qu’est-ce que tu attends pour ouvrir ?". Il voulait vraiment que je le fasse ? Et je l’ai fait, ma poitrine tellement gonflée qu’elle était devenue ultra-sensible, de la cyprine me coulant à l’intérieur des cuisses.
J’ai juste vu un peu mon visage en passant devant le miroir de l’entrée, le maquillage avait coulé, j’avais un air trash, de salope, je me trouvais belle comme ça. Les caresses des poils sur mes jambes et mes fesses me rappelaient que j’avais toujours la queue enfoncée dans mon cul, sans oublier la petite clochette qui gigotait à chacun de mes mouvements.
J’ai ouvert la porte. La surprise du livreur était indescriptible. J’ai tendu les bras pour prendre le paquet, mes mains toujours menottées. Il n’arrivait pas à me fixer... Ses yeux partaient dans tous les sens. Je lui dis "Bonne soirée", et il répondit "Mer... Merci" et partit sans se retourner.
Je me suis retournée, fermant la porte avec un pied. JC était là, avec son téléphone et me dit• Je voulais garder un souvenir de ce moment.• Que de ce moment ?• … Ca te tente une sextape ?• Elle sera méga chaude.
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