Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 91 J'aime
  • 1 Commentaire

Pauline - Années étudiantes

Chapitre 18

Erotique
Chapitre 18
• Alors ? T’en penses quoi ?• Je m’en fiche de la bouffe ?• Vraiment ? Pourtant, il y a tout ce que tu aimes : sauce soja, wasabi. Tu veux goûter un maki cette fois ?• Arrête de me chercher, putain, fais-moi jouir une bonne fois pour toute.• T’es à bout ?• Je vais me branler comme une malade et tu ne pourras pas m’arrêter.
Il s’est avancé, m’a attrapée à la gorge, m’étouffant, et s’est mis à me masturber le clitoris comme un fou. J’ai été prise de spasmes, il a lâché ma gorge, et j’ai crié, prise par un orgasme foudroyant. Il a remis sa main sur ma gorge, ma jouissance a continué. Et je me suis écroulée, recherchant mon air, recherchant un souffle. Je me suis mise sur le côté, il s’est remis sur sa chaise comme si de rien n’était, et prit un sashimi qu’il savoura. Je lui ai demandé alors• Ca te dérange si j’enlève le plug ?• Ca va mieux ? T’es calmée ?• Oui. T’as appris à faire ça où ?• Tu ne connais pas tout sur moi. Chacun a le droit à ses petits secrets. Oui, tu peux l’enlever, et mange, c’est super bon.
Je me suis redressée, son sperme que j’avais sur mon corps a commencé à couler le long de mon ventre, mais ça ne me gênait pas. Je me suis servie, il me regardait puis me demanda• Tu es calmée ou j’ai toujours à faire à Deep Blue.• Non, c’est bon là. J’ai eu ma dose.• Du coup, tu vas me demander de supprimer ce que j’ai filmé ?• … Juste par esprit de contradiction, je ne te le demanderai pas. Mais si tu pouvais éviter de montrer à tout le monde, ça me ferait plaisir.• Ne t’inquiètes pas, ce n’est pas mon genre. Mais, tu le sais déjà, pas vrai ?• … Oui, mais les gens peuvent changer… Mmmmmh, c’est vrai que c’est bon. Tu me passes un sushi pour goûter ?• Tu me prends pour ton esclave maintenant ?• Non, mais j’ai pas envie que du sperme tombe sur la bouffe si je me penche.• Ben, t’as qu’à l’essuyer.
• Non, j’aime bien, ça me fait des guilis lorsque ça coule. Un sushi ? S’il te plait... Mmmmmh, délicieux… Merci esclave.
Il s’est levé, comme s’il était en colère. Il m’a poussée, et m’a donnée une fessée. Il n’y était pas allé de main morte, même si c’était pour jouer, mes fesses étaient en feu. "Ne recommence pas, sinon, le prochain, je te le balance". Je ne pouvais que le provoquer, je ne pouvais que lui répondre : « un autre, esclave, et dépêche-toi ! ». Il m’en balança un qui se colla à ma joue, avant de tomber sur ma poitrine. Il me regarda en me défiant et me dit • Vas-y, mange-le.• Ce n’est pas de cette sauce dont j’ai envie.• Tu n’aimes que le sperme chaud, coquine. Mais, non, ne le mange pas. Je me doutais que tu n’en étais pas capable.
Défi inutile, mais il me cherchait le salaud. J’ai pris le sushi avec les doigts, je l’ai mis dans la bouche… Ce n’était pas bon, mais je lui ai fait croire le contraire en lui disant « Mmmmmh, j’adore ». Et nous avons ri, et après manger, nous nous sommes douchés ensemble, sans sexe, juste des câlins. Il me dit alors, en m’embrassant dans le cou• Tu vas me manquer.• Toi aussi. T’es vraiment un super copain. Mais, on se verra presque tout le temps. J’ai envie que tu ais un double des clés, comme ça, si tu as besoin…• Merci. Je te donne mon double en échange… Tu vas faire quoi maintenant.• Ce que je t’ai dit, remercier ceux qui ont été gentils avec moi après la diffusion de la vidéo.• Natasha s’est tapée presque la moitié des mecs de l’école. Tu veux battre son record ?• Je ne cherche pas à battre le moindre record. Je tiens à être reconnaissante.• Et pour ceux qui n’ont rien dit ?• Suisse, je reste neutre.• Et les autres ?• … J’improviserai au fur et à mesure.• Ne te lance pas dans une vendetta. • Ce n’est pas dans mon intention.• J’espère. C’est sûr ? Tu ne viens pas à notre petite soirée privée de samedi prochain ?• Non. Mais la prochaine, après les vacances, ok ?• Promis ?• Promis.
Le Mercredi suivant, en fin de journée, je suis allée voir un gars de première année qui était assis en train de travailler sur son ordinateur. C’était un garçon très réservé, timide, sans vraiment d’amis et que je n’avais pas encore remarqué quelques semaines plus tôt. Je me suis assise à côté de lui• Salut, je ne te dérange pas ?• Pau... Pau... Pauline ? Tu... Heu...Non...• Dis donc, t’es un stressé toi. Je suis venue te remercier.• De quoi ?• Pour avoir dit que c’était nul ce qu’Amandine a fait.• Ha... Ben... C’est normal.• Tu travailles sur une étude ? Je peux voir ?... Tu dois la rendre quand ?• Ven... Vendredi.• Trente-neuf pages avec que du texte... Arf, pas très digeste ça.• Je sais... Je ne sais pas faire autrement.• Tu veux que je te donne des conseils ?• ... Tu... Tu ferais ça pour moi ?• Il y a un peu trop de bruit ici. J’ai une idée, on va chez moi, ça sera plus calme.
Je le savais timide, mais pas à ce point. Il vint donc avec moi, marchant en retrait, n’osa rien dire durant le trajet, si ce n’est répondre par oui ou par non à mes questions. Il fallut que je lui dise de rentrer dans mon appartement, de lui dire où s’assoir. Il refusa un verre d’eau, mais je me doutais que c’était par peur de déranger. Je trouvais ça amusant.
J’ai passé une heure à lui donner des conseils d’organisation, de mise en valeur de son étude. Pour le contenu même, c’était pas mal. Mais parfois, un petit schéma remplace avantageusement deux ou trois pages de texte. Et pendant qu’il faisait ses retouches, je lui dis "Bouge pas de là, je vais me mettre un peu plus à l’aise".
Je revins quelques minutes après, sortant de la salle de bain et attirant son attention en lui demandant "T’aimes bien mon maquillage ?". J’ai cru qu’il allait exploser tellement il devint rouge. Je lui ai reposé la question :• T’aimes bien mon maquillage ?• Heu... Oui... Mais... T’es toute nue...• Et alors ? Tu ne me trouves pas jolie ?• Ho si, vachement en plus. Tous ceux que je connais fantasmes à fond sur toi.• Et il se passe quoi dans tes fantasmes ?• ... Heu... On s’embrasse.
J’ai fermé son ordinateur portable et me suis assise à califourchon sur ses cuisses, je l’ai enlacé, bloquant ma poitrine contre son torse, je lui ai léché doucement et tendrement les lèvres. Il ne bougeait pas, tel une statue.• Ca se passe comme ça dans ton fantasme ?• Heu... Pas aussi bien... Mais pourquoi tu fais ça ?• T’as été gentil avec moi, je suis gentille avec toi. Mais, si tu ne veux pas, dis-le-moi.• … Je... n’ai... pas... beaucoup... d’expérience... avec les filles.• Je te propose d’en avoir une avec moi. Tu choisis.• J’aimerai bien... Mais, je ne l’ai jamais fait.• Il faut bien commencer un jour. Laisse-moi t’apprendre.
Le pauvre était tellement impressionné qu’il eut beaucoup de mal à bander. Mais une fois parti, c’était plutôt pas mal pour une première fois. Ce n’était pas aussi bien que certains bien plus expérimentés, mais mieux que d’autres dont parfois je me demandais s’ils m’avaient pénétrée avant d’éjaculer.
En tout cas, il repartit avec les yeux pleins d’étoiles. Il n’était pas le premier par qui j’ai commencé dans ma campagne de remerciement, déjà six étaient passés entre mes jambes. Il ne fut pas non plus le dernier avant les vacances.
Des rumeurs commençaient à circuler sur ce que je faisais. On me prenait certainement pour une salope. Mais, personne ne savait que je n’y éprouvais pas de plaisir même si c’était souvent agréable, personne ne savais que je suivais juste la ligne directrice que je m’étais fixée.
En tout cas, ça a fait parler. Les personnes venaient me voir pour savoir si elles étaient dans ma liste blanche. D’autres, de la liste noire, venaient s’excuser, je les passais alors dans la liste "neutre" en rayant leur nom.
Mais, là, nous étions maintenant en vacances. Certains étaient partis au ski, moi, j’allais chez mon père. J’avais parcouru le train, sans vraiment d’espoir, pour revoir l’homme. Il n’y était pas. Mon père vint me chercher à la gare, comme à chaque fois. Dans la voiture, il me dit• Il y a quelqu’un à la maison.• Que je connais ?• Non. C’est une femme... Ca fait trois semaines qu’on sort ensemble.• C’est vrai ? Ben, c’est génial pour toi. Par contre, pourquoi tu ne m’en as pas parlée ?• Je ne savais pas si ça durerait.• Ok. Elle s’appelle comment ?• Charline. Et je ne te dirai rien d’autre, tu verras bien comment elle est.• Elle fait quoi dans la vie ?• Elle est serveuse dans un restaurant à côté de là où je travaille.• Ha ? C’est toi qui l’a draguée ou c’est elle ?• … Et ton petit copain qui t’hébergeait, comment va-t-il ?• Ne change pas le sujet de la conversation. T’es amoureux ?• Je l’aime bien. Mais, c’est plutôt sexuel entre nous. Et, ne sois pas étonnée si parfois, elle zozote un peu, elle a un piercing sur la langue.
Je ris, c’est à cause de la façon dont il le dit avec pleins de sous-entendus. Et je lui ai demandé• Et c’est vraiment mieux pour la fellation ?• Je ne vais pas te mentir, c’est plutôt sympa.• Et elle en a ailleurs aussi ?• Aux oreilles, évidemment... Sur le téton droit, et sur le clitoris... Là aussi, c’est bien sympa. Elle a aussi pas mal de tatouages, dont un de papillon juste au-dessus du minou qui donne l’impression de le butiner...• Mais, je ne te demandais pas autant de détails. Dis-moi juste si elle est assez cochonne pour toi.• Oui, elle l’est.
J’ai donc fait la connaissance de Charline, une femme assez grande, plutôt jolie, un peu plus jeune que mon père. Elle portait une jupe élégante s’arrêtant à mi-cuisses, un chemisier rose clair dont les boutons semblaient avoir bien du mal à rester en place à cause d’une poitrine très généreuse.
Elle vint me dire bonjour tout de suite, comme si elle était impressionnée de me rencontrer et certainement pour faire bonne impression.• Bonsoir, votre père m’a énormément parlée de vous.• J’aurai aimé dire la même chose... Dis donc papa, tu as bien avancé dans les travaux. C’est pas mal.
Il prit Charline par la taille et me répondit "Ha, tu as vu ? Il me reste encore pas mal de truc à faire dans le salon, j’ai quasiment fini ma chambre, en tout cas, on peut y dormir et se laver. Et il me restera le bureau. Mais, c’est grâce à Charline qui m’aide beaucoup".
Apéritif, repas, digestif... Je me sentais en trop. De plus en plus de bisous, de caresses... J’étais de toute façon fatiguée, alors, je les ai laissés. Durant cette semaine, Charline venant toujours dormir à la maison même lorsqu’elle finissait tard, j’ai pu me rendre compte qu’ils avaient une activité sexuelle bien épanouie. Tous les jours, je les entendais faire l’amour. Pour m’a part, ça m’arrangeait. Je n’avais aucune envie sexuelle, elle occupait bien mon père.
Je suis allée faire un peu de shopping ce vendredi matin. J’avais besoin de réinvestir principalement dans des sous-vêtements, notamment des strings. J’en avais craqué ou perdu deux trois depuis le début de l’année et ça devenait compliqué d’en avoir régulièrement des propres.
Charline voulut m’accompagner, ne prenant du service qu’en fin d’après-midi. C’était aussi l’occasion de faire un peu plus connaissance, sans avoir mon père dans nos pattes. Elle m’entraina à l’intérieur d’un magasin de lingerie dans un grand centre commercial qui venait d’ouvrir. Elle m’en montra quelques-uns• Arf, 40 euros pour un bout de tissu ?• Ton père m’a dit que ça va mieux financièrement pour vous. Je pense que tu peux te le permettre. Tu ne les trouves pas jolis ?• Si, mais bon. J’ai réappris à ne plus être dépensière. T’en portes des comme ça ?• Je n’en porte pas. Je n’ai jamais rien sous mes jupes. Et si tu me vois en pantalon, c’est que j’ai mes règles.• J’imagine que ça doit bien plaire à mon père. Vous semblez assez actifs d’ailleurs à ce que j’ai pu entendre.• Oui, on est plutôt sur la même longueur d’onde sur le sujet.
Et elle hésita un instant, puis me demanda• Est-ce qu’il lui arrive d’avoir souvent des comportements un peu étranges ?• De quel genre ?• Ben... Je ne sais pas trop. C’est arrivé la semaine dernière, on préparait de quoi manger et il s’est arrêté d’un coup... C’était bizarre, comme s’il n’était plus là, le regard dans le vide. Et il a repris ce qu’il faisait plusieurs secondes après comme si de rien n’était.• Heu... Lorsqu’il est concentré sur un truc, il n’entend plus rien de ce qu’il se passe autour, ça arrive. Il devait penser à quelque chose.• … Peut-être. Dans la même soirée, il y a eu un autre moment étrange... On était en train de... Enfin, tu vois, et il s’est mis à me prendre... Pas comme s’il n’y avait que son plaisir qui comptait, mais... Un peu comme une bête sauvage... Ca a duré quelques secondes et tout est redevenu normal.• Heu... Là, je ne peux rien dire.
Sauf que mon père ne m’a jamais fait ça. Alors, je me suis demandée à quoi elle jouait, car je sais très bien comment il est. Non, je ne croyais pas un seul mot de ce que me sortait Charline. J’ai commencé à croire qu’elle voulait se l’approprier pour elle toute seule en me faisant peur.
Diffuse en direct !
Regarder son live