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PEGGY, encore plus salope que je ne l'imaginais

Chapitre 2

Hétéro
Ma jeune Peggy, trente-deux ans, m’a invité chez elle, moi son vieux collègue de soixante balais. On s’est sucé et léché au salon, devant le petit écran. Son film est fini, j’ai tari sa source et je me tiens une trique béton. Elle éteint la télé:— Tu veux une autre bière, ou tu préfères un verre de pisse?— Salope, si tu as lu mon histoire tu sais qu’il faut engloutir beaucoup d’eau et éliminer avant de boire.— C’est vrai, j’ai essayé en solo comme toi. Mais je peux te pisser dessus. tu m’en fais rêver gros porc.— Ca te plairait?— Oh oui, ça m’excite.— Ok, mais alors je t’encule d’abord. — D’accord, mais à deux conditions.— Dis toujours, on va voir.— 1) Tu essaies de me la mettre, j’essaie de la prendre, je ferais le maximum, promis, mais si ça ne va vraiment pas, on arrête.  2) Quoi qu’il en soit je pisse ensuite, mais pas sur toi, dans ta bouche, et tu avales tout.— Tu espères que je dise non putain de chienne, et bien tu te trompes. Je veux me le faire ton cul, il est vraiment trop beau.— Et ensuite je te sers à boire, tu tiens parole?— Oui ma Peggy chérie, je ferais n’importe quoi pour tes petites fesses.
Elle s’installe à nouveau sur le fauteuil, les jambes sur les accoudoirs. Je suis devant elle , la prends par les hanches, et l’amène bien au bord pour avoir accès à sa raie. Je passe ma langue dans son sillon, taquine son œillet:— Qu’est-ce que tu fais, c’est dégueulasse.— Non, pas avec une belle minette. Il est trop beau ton cul pour être repoussant. Et toi, ça te plait?— Oui, c’est bon, je n’aurais jamais cru.— Je vais te mettre un doigt ma puce, mais n’aies pas peur, ça va bien passer.Je lui fourre le majeur et je l’entends couiner devant ce plaisir inconnu jusqu’à aujourd’hui. Je tente un deuxième doigt qui double ses gémissements. Je prends alors la bouteille de bière et la rassure en lui précisant que je ne vais introduire que le goulot. Je lui ai mis, fais des allées venues, et elle prend son pied. Je lui demande si elle a un gode, elle m’avoue en avoir même deux, et on va dans sa chambre où ils sont planqués. Elle les récupère derrière une pille de draps, un qui ressemble à un tube fin de moins de trois centimètres d’épaisseur et arrondi au bout, le deuxième qui représente une belle bite comme la mienne. Elle s’allonge sur le lit, je relève ses jambes et elle les maintient en l’air avec ses mains. Je viens à quatre pattes dans son prolongement, et je m’attable à nouveau dans sa raie appétissante. Je la lèche, je la bouffe, je la doigte, puis je tente le petit gode. Il passe sans effort, je le fais coulisser, et elle m’encourage à aller plus loin. Je glisse un doigt, puis deux, en plus de son petit joujou, et elle trouve ça super bon. Je prends alors l’autre gode et fait un échange standard qui lui arrache un petit cri suivi de gémissements.Je bande à mort et la préviens que je vais lui mettre. Je retire son joujou, crache dans son trou, puis viens sur elle pour l’embrocher. Je la pénètre d’un seul coup, à fond, elle pousse un autre petit cri, me traite de salaud, puis me dit que c’est bon, me demande de bien l’enculer. Je la lime, je la défonce en douceur, et je me trouve sur elle, mon visage au dessus du sien, ma bouche prêt de la sienne. Les putes n’embrassent pas, peu de salopes le font, et moi j’adore ça, rouler des pelles. Mes lèvres se rapprochent des siennes jusqu’à les toucher, je tente la langue et elle entrouvre sa bouche et allonge la sienne pour l’enrouler à la mienne. Elle passe ses bras autour de mon cou et on échange des patins torrides. Je la ramone non stop un long moment, je la préviens de ma sauce qui monte, et elle veut sentir mon sperme chaud se répandre entre ses reins. Je la tringle de plus belle, je l’insulte, balance des obscénités, et je décharge tout ce que je peux, en de puissantes giclées qu’elle reçoit avec bonheur.
Je reste encore en elle jusqu’à tout donner puis je me dégage, m’allonge sur le dos et lui demande de venir sur moi en 69. Elle me nettoie la queue et je lui nettoie le cul, le vide de toute ma sauce, et bouffe mon sperme. On met fin à la séance et il me reste à régler ma dette:— C’était génial ma Peggy, j’espère que ça t’a plu autant qu’à moi et que tu voudras recommencer.— Oui, j’ai trop aimé, mais n’oublie pas ta promesse.— Non j’y pense salope, mais j’espérais que toi tu l’aurais oubliée.— Et non mon cochon, mauvaise pioche. Viens à la salle d’eau, j’ai envie de faire.Elle me fait m’agenouiller dans le bac à douche, et elle se plante à l’entrée, devant moi:— Ouvre la bouche et ferme les yeux que je ne les asperge pas.J’obéis, j’attends avec appréhension, je l’entends pisser mais ne sens rien. J’ouvre les yeux, elle est sur la cuvette des WC et urine tranquillement. Je me sens soulagé:— Tu ne veux plus me faire dans la bouche?— Oui, mais pas ce soir. Je voulais juste savoir jusqu’où tu étais capable d’aller pour mon cul, et je dois dire que c’est flatteur. Alors pour la sodomie on pourra recommencer, mais j’espère aussi que l’on se fera un plan pisse comme dans tes récits.— Quand tu veux ma chérie, avec plaisir.On décide de faire ça le lendemain, sans perde de temps, et on planifie tous les détails en s’inspirant fortement de mes histoires. Seul problème qui n’en restera pas un, elle n’a qu’un mini bac à douche et on fera ça à mon hôtel où j’ai une grande baignoire.
On s’endort et je me réveille dans la nuit avec une trique béton. Je me tourne vers elle, me colle à elle sans rien faire . Elle ne dort pas, passe sa main dans son dos pour se saisir de ma queue:— Encule moi, je la veux encore ta grosse bite dans mon petit trou.— Je ne réponds pas mais frotte mon gland dans sa raie jusqu’à parvenir à m’enfoncer. Je la lime en douceur, lentement mais sûrement, décharge dans son fion, et on se rendort ma bite et mon sperme entre ses fesses.Le lendemain elle me ramène de bonne heure jusqu’au métro et je regagne l’hôtel. Je la retrouve au boulot avec d’autres, et on se dit bonjour comme si de rien n’était.
Arrive le soir et je reste après son départ pour ne pas éveiller les soupçons. Dix-huit heures je suis à l’hôtel et elle m’attend sur le parking, dans sa voiture. L’hôtel est une chaine où les chambres sont dans des bâtiments en dehors de l’accueil, et on peut ainsi recevoir qui on veut. Elle prend sa valise, un petit sac, et me suit à la chambre. On ferme les stores, et on se fout à poil. Elle sort deux grandes bouteilles d’eau de son sac ainsi qu’un bonnet de bain et des lunettes de plongée. C’est elle qui va faire la première, elle a déjà vidé une bouteille dans la voiture en m’attendant et elle attaque la seconde. Le temps qu’elle boive et aie envie d’éliminer, je la prends en levrette, par la chatte bien sûr, mais surtout par le cul, son cul qui veut connaître à nouveau les délices d’une bonne enfilade.Elle a presque fini sa deuxième bouteille mais ne peut plus rien prendre, elle a le ventre plein. On va attendre encore un peu, et je la baise, je l’encule, tant que je peux. L’eau a fait son effet, elle ne peut plus se retenir, et on va à la salle de bain.Elle monte sur les rebords, jambes écartées au dessus du robinet de la baignoire, bien calée entre le mur et le rebord du lavabo. Je m’agenouille devant elle mais elle me demande de me tenir debout à l’autre bout de la baignoire. Elle me confie qu’elle a vu des vidéos sur le thème qui nous intéresse, des vidéos d’Angéla S...., la reine du squirting, une de mes préférées de toutes les stars du porno, et se vante de pouvoir se déverser aussi loin qu’elle. Je suis comme un fou, si elle pouvait dire vrai! Je me recule, je la regarde, et elle me fait penser à cette salope d’Angela que j’aime tant. Elle est blonde comme elle, mince mais bien foutue, et surtout aussi cochonne. Elle se cambre, avance son bas ventre, écarte ses lèvres, écrase son clito, et se libère. Je reçois une douche de pisse, un jet en arrosoir, qui m’éclabousse de partout, qui comble ma bouche ouverte. Je me suis muni de ses lunettes de plongée et je peux ainsi profiter du spectacle tout en protégeant mes yeux. C’est beau, c’est beau une femme qui pisse, une femme qui me pisse dessus et dans la bouche, même si son urine est imbuvable. Je n’avale pas, son trop plein se déverse sur mon menton, mon cou, mon torse, mon ventre, et je me caresse pour m’enduire de son liquide délicieusement chaud.Elle a cessé de faire, je lui demande de remettre ça et elle me dit qu’elle fait ce qu’elle peut. Dans les vidéos les acteurs ou actrices pissent à volonté, en continu, mais c’est différent dans la réalité. Elle va m’asperger plusieurs fois mais à intervalle. Elle se déverse aussi sur ma queue bandée et je me branle dans son jus; putain que c’est bon! A force d’éliminer son urine s’éclaircit, est moins odorante, devient appétissante. Elle coupe à nouveau son robinet, j’ai la bouche pleine, et au lieu de recracher comme jusqu’à maintenant, j’avale. Je trouve sa liqueur délicieuse, je prends un des verres à dents qui nous sont fournis, et je l’invite à le remplir. Il faut attendre, comme elle me l’a dit elle fait ce qu’elle peut, et enfin son pipi joli s’écoule merveilleusement sous mes yeux émerveillés. Le gobelet est plein, je prends une gorgée pour m’assurer de la saveur, puis j’engloutis tout, cul sec. Je repose le verre, m’avance vers elle, soude mes lèvres à ses lèvres, pas les mêmes, mes buccales à ses vaginales. Je la lèche, espère sa fontaine, et elle coule en moi par petits à-coups. C’est bon comme elle finit de se vidanger en douceur, bon de pouvoir la boire toute sans ne rien perdre. Elle pose ses mains derrière ma tête et me maintient contre elle:— Régale toi salaud, tu es chien, un vicelard, un vieux pervers. Je me demande pourquoi je te l’offre ma pisse, elle est trop bonne pour toi, gros porc, verrat.Je bois ses paroles en même temps que sa liqueur, je me branle toujours et je sens mon plaisir monter. Je reprends le verre, lui fait pisser dedans, j’éjacule à l’intérieur, et je bois ce délicieux mélange de pisse et foutre.Elle n’en revient de ce que je suis salaud, me traite à nouveau de tous les noms, puis m’agrippe par les cheveux pour me baisser la tête et pisser dessus. Je me délecte de cette douche chaude et me shampouine avec son offrande.
La séance pipi est terminée, elle commence à s’excuser pour le cas où elle aurait été trop loin, et je la rassure en lui disant qu’elle a été parfaite, que du bonheur. On prend une douche avant d’aller diner au restaurant de l’hôtel. On discute doucement pour ne pas être entendu, je la remercie pour ce moment idyllique qu’elle m’a offert, mais lui avoue que j’ai du mal à m’imaginer lui pisser dessus tellement elle est mignonne. Je me fais aussitôt incendier, et elle me dit que j’ai intérêt à me vider sur elle ou que sinon c’est fini entre nous. La salope, elle sait y faire, et je la rassure pour la deuxième partie de notre plan pisse.On est à nouveau à la chambre, on se déshabille et elle me suce tandis que je bois à la bouteille, bien qu’ayant déjà beaucoup bu à sa source. Elle a encore envie de pisser et remplit un verre que j’engloutis d’un seul trait. J’ai envie de faire à mon tour et on va dans la baignoire. Elle a mis son bonnet pour ne pas que j’asperge ses cheveux , et ses lunettes de plongée pour me voir lui pisser dessus. Je commence mes insultes avant même d’uriner, et je ne vais pas cesser jusqu’à la fin, des insultes bien graveleuses. Je lui fais partout, sur les seins, sur le ventre, sur la chatte, sur la gueule, et bien sûr dans la bouche. Comme moi elle recrache tout au début, se caresse, puis avale, remonte mon jet, me suce en espérant mes dégoulinades dont elle va s’abreuver.Je pisse à multiples reprises, je n’ai plus rien à lui offrir, elle me suce toujours, je bande. Elle ne lâche pas ma queue, s’acharne dessus, me pompe, me turlutte, avec la ferme intention de me vider les couilles. Je m’abandonne à elle, à sa bouche experte, et je sens ma sauce monter dans ma colonne. Je décharge tout ce que j’ai, je vide mon fonds de cuve, je saisis fermement sa tête pour la maintenir collée à moi, et je pisse à nouveau, direct dans sa gorge.Je relâche mon étreinte, elle me traite de tous les noms (fumier, salopard, gros porc, enflure...), j’en passe et des meilleures. Mais après m’avoir injurier elle me dit que je suis un putassier et que c’est pour cela qu’elle m’aime. On se roule une longue pelle langoureuse, limite amoureuse.
On se douche, on se couche, on s’endort, et comme je l’ai fait la veille je vais l’enculer dans la nuit, à sa demande, et pour notre plus grand plaisir. Elle ne voulait pas d’une relation suivie mais on va profiter de mes trois semaines au maximum, s’aimer tous les soirs, toutes les nuits, et prier pour que celui que je remplace ait une prolongation de son arrêt.
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