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Peggy, petite cochonne d'un vieux

Chapitre 2

Divers
Peggy était maintenant devenue le vide-couilles de son vieux directeur. Pour la garder sous son contrôle il lui demandait souvent dans la journée de venir s’assurer que sa queue était bien propre et il ne manquait de lui faire nettoyer après être allé pisser. Elle devait s’absenter ainsi plusieurs fois par jour à genoux devant sa queue molle et lui lécher entièrement.Il ne manquait jamais de lui dire :
— C’est bien ma petite pute elle est bien propre ; quand on ne sera que tous les deux c’est toi qui m’emmènera pisser et la nettoyer ensuite ; tu dois t’occuper de tous mes besoins. C’est compris petite pute !— Oui maître, dit elle résignée.— Ce n’est pas suffisant : répète : oui maître je dois m’occuper de votre bite et prendre bien soin de la garder bien propre , vous vider régulièrement et vous emmener pisser quand on n’est que tous les deux ! Allez répète salope !— Oui maître je dois m’occuper de votre bite et prendre bien soin de la garder bien propre , vous vider régulièrement et vous emmener pisser quand on n’est que tous les deux ! Elle était vraiment plus bas que terre mais il n’avait pas fini.— Répète : je suis votre pute soumise et il n’y a que vous Maître qui pouvez me remplir la chatte de votre semence !— Je suis votre pute soumise et il n’y a que vous Maître qui pouvez me remplir la chatte de votre semence ! répéta -t’elle soumise.— C’est bien ; va bosser petite pute on ne te paie pas à rien foutre ! Et n’oublie pas ton RDV chez l’esthéticienne cet après-midi. Tu vas être bien lisse et t’auras droit à un petit cadeau de ma part ; tu verras.
Il était content de lui et s’étonnait parfois de la voir si rapidement devenue sa chienne fidèle ; il savait pourtant qu’il devait maintenir la pression pour en faire son esclave sexuelle obéissante. L’esthéticienne le connaissait et il lui demanda aussi de lui tatouer son nom et son prénom de chaque côté de sa chatte bientôt lisse. Ca excitait l’esthéticienne de lui faire ça aussi à vrai dire et elle aussi comptait bien profiter de cette petite salope.Elle se rendit donc à 14h00 contente d’être libérée un peu de la perversité de son nouveau maître. Elle ne savait pas que l’esthéticienne était adepte du S.M. et de surcroît lesbienne dominatrice.
— Entrez ma belle ; je vous attendais ; on a le salon rien que pour nous pendant une bonne heure. Lui dit l’esthéticienne qui était vraiment très belle, grande, brune et fine ; elle portait une jupe courte et un haut très léger ; on pouvait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge ; Peggy se demanda si elle portait une culotte ou pas.— A poil ma grande, ton maître m’a dit de t’épiler entièrement alors au travail.Voilà c’est bien ne sois pas timide j’en ai vu d’autres tu sais mais toi t’es vraiment bien faîte, tes seins sont parfaits, gros et fermes comme je les aime.Allez mets toi sur le dos là-dessus ! Elle lui parlait beaucoup de fermeté.Attends je vais te mettre cet écarteur pour avoir accès à ton minou. Elle lui fixa les deux pieds à l’écarteur, la chatte de Peggy était complètement offerte maintenant.
Elle lui attacha aussi les mains de part et d’autre de la table.
— Voilà c’est bien petite pute ; c’est comme ça qu’on t’appelle, dis le ! T’es à moi pendant 1 heure ma cochonne.— Oui je suis une petite pute ! cria Peggy.
— C’est bien ; t’as une belle chatte tu sais ; sans poil ce sera mieux il va bien s’amuser ce vieux cochon. Ne t’en fais pas ton cul sera bien lisse aussi.
L’esthéticienne lui fait son épilation du cul et de la chatte sans le moindre ménagement lui arrachant pas mal de cris au passage.
— Allons ma chérie ce n’est rien ; tu vas prendre des km de bites alors il faut t’habituer à souffrir un peu. Mais bon crie si tu veux ce sera encore pour le petit film que j’envoie en ce moment même à ton maître ; regarde là haut elle vit la caméra fixée au plafond.— Tu vois ma petite chienne t’es l’actrice principale d’un film. Maintenant reste là ; ah oui c’est vrai tu ne peux pas bouger dit-elle en riant. Je vais régler la caméra pour zoomer sur ta chatte épilée ,pour la suite des événements ce sera du meilleur effet et ton maître veut voir en détail ton marquage.
Peggy était affolée par tout ça et ne savait plus quoi faire. De toute façon elle ne pouvait rien faire à part crier mais ça aurait trop fait plaisir à sa tortionnaire.Elle se résigna de nouveau à se taire mais elle fut surprise de voir l’esthéticienne avec du matériel de tatouage.
— Ne t’en fais pas ma belle ; ça va être très beau d’avoir le prénom el le nom de ton maître. Il veut que ce soit en vertical de chaque côté de tes lèvres. Je vais désinfecter d’abord ; si un jour il te lâche tu pourras toujours le faire enlever mais bon il tient trop à toi pour ça !— Allez ma chérie, sers les dents ; ton maître te regarde. Fais lui l’honneur d’être sa soumise dévouée.
En effet le vieux directeur la regardait depuis son bureau via skype et ça le faisait bander terriblement d’assister à tout ça. Il était impatient qu’elle revienne pour lui montrer le résultat et bien entendu pour lui vider le trop plein de ses couilles remplies ; il prenait même un petit traitement pour avoir plus de sperme ; il avait trouvé ça sur internet et c’est vrai qu’il voyait ses couilles se remplir plus vite ; sa petite pute méritait bien ce petit investissement car il voulait la remplir à ras bord voire plus encore ; de toute façon elle allait lui rapporter bientôt beaucoup d’argent ; mais pour l’instant son dressage continue…Au salon de beauté :
— Voilà ma belle ; t’as la chatte d’une bonne chienne soumise à son maître. Tu vas me remercier maintenant on a un bon quart d’heure alors applique.
Sans autre cérémonial l’esthéticienne enleva sa jupe ; elle était à poil dessous ; enfin à poil façon de parler car elle était elle aussi entièrement épilée. Elle plaça sa chatte juste au dessus de sa bouche, ses genoux de part et d’autre de sa tête.
— Je t’ai mis un peu de crème pour calmer le feu du tatouage ; maintenant tu vas calmer le feu de ma chatte ; allez lèche la doucement avec ta langue !Peggy n’avait jamais fait ça mais elle n’avait pas le choix ; son maître n’en manquait pas une miette.
— C’est bien ma chérie ; mets ta langue dedans, je veux la sentir dans ma chatte ; allez, lime moi avec ta langue comme si c’était une bite après tu t’occuperas de mon cul ma petite chienne .
Elle dût la pénétrer avec sa langue pendant de longues minutes , Peggy devait avaler en même temps toute la jouissance de sa nouvelle maîtresse.
A un moment miss_esthéticienne se tourna et lui offrit son cul bien ouvert.
— Ne t’en fais pas il est bien propre ; je me suis fait un lavement tout à l’heure ; je t’en ferai un après ; tu sauras être bien propre du cul et de la chatte aussi pour toutes ces bites de vieux.Je sais que t’es une pute à vieux. Allez passe ta langue dans ma raie ; lèche bien ta maîtresse, je te dirai quand tu pourras mettre ta langue dans mon petit trou.
Elle dût sortir sa langue au maximum pour lécher cette raie épilée et s’attarder sur son petit trou en en faisant bien le tour.
— C’est bon ma raie est propre ; mets ta langue dans mon trou de balle et entièrement salope.
Peggy avait du mal à se frayer un chemin mais elle finit par mettre sa langue entièrement dans son cul ; l’esthéticienne voulait se faire jouir du cul avec cette langue et elle ne cessait de monter et descendre sur cette langue offerte écartant au maximum ses fesses. Au bout de quelques minutes elle finit par jouir.
— Tu vois ma belle ; t’es aussi une pute à fille maintenant. Je vais te gaver d’un liquide nettoyant dans ta chatte et dans ton cul. Tu vas voir tu vas être toute propre après ça.Pas la peine pour ta bouche ; tu dois apprendre à digérer tout le sperme qu’on t’envoie ; je sais que tu n’as pas encore mangé aujourd’hui ; ne t’en fais pas ton repas t’attend, ma jute n’était que l’apéro, dit-elle en riant.
L’esthéticienne lui mit un tuyau dans la chatte et un dans l’anus. Elle la remplit pendant de longues minutes.— C’est bon t’as tout pris, va te vider aux toilettes et écarte bien les jambes quand tu fais ça ! Ton maître veut te voir te vider. Elle se vida entièrement la chatte et le cul et se pressa de revenir.
Peggy le fit jusqu’au bout poussant de toutes ses forces ce liquide et aussitôt les images furent envoyées aux 2 curés pervers qui n’en pouvaient plus d’attendre ; ils attendaient chez eux le signal de la curée gardant précieusement leur abondante semence pour leur vide-couille. C’est vrai que leurs couilles étaient vraiment pleines ; le vieux directeur leur demanda d’en envoyer les photos pour être sûr.Il ne réservait sa pute qu’à des vieux pervers aux couilles pleines à ras bord de foutre.
Il envoya le mail sous le titre : « Vide-couille bien épilée, propre et affamée de foutre pour 100 E la séance ; merci de venir la nourrir » ; ce n’est guère poétique mais a le mérite de vendre la marchandise car elle allait en devenir une ; offerte à toutes les envies de ces vieux avides d’en découdre avec une petite jeune et de lui faire sentir toute leur fougue.
— Reviens ici , lui aboya l’esthéticienne, j’ai un cadeau pour toi.
— Regarde ma belle j’ai ça pour toi ; c’était une ceinture de chasteté pour son minou.Ton maître ne veut pas que tu puisses te toucher ou être prise par quelqu’un d’autre !
Elle lui plaça alors cette ceinture autour de la taille empêchant tout attouchement ; elle pouvait seulement pisser à travers un petit orifice prévu à cet effet.
— Bientôt tu supplieras, les mains attachées dans le dos, qu’il t’encule et te bourre la chatte à fond, je sais qu’il a un petit traitement pour rendre les petites putes dans ton genre assoiffées de bites. Il a de gros besoins ; tu vas dérouiller ma petite mais c’est normal c’est ton maître.Allez rhabille toi petite pute ; ton maître t’attend.
Entre le tatouage de son nom et cette ceinture, son vieux maître savait que sa chatte lui appartenait complètement et s’en réjouissait d’avance.
Elle devait retourner maintenant au travail à l’heure de la fermeture après sa « séance d’épilation ».Son maître l’attendait dans son bureau.
— A poil ma belle ! lui aboya –t’il !
Elle commençait à prendre son rôle de soumise à cœur car ce « ma belle » lui fit plaisir même si elle savait que sa beauté lui importait guère.
— Oui maître ; dit-elle soumise.
Elle se dévêtit entièrement ; ça allait vite car il y’avait longtemps qu’elle ne portait plus de culotte et ses siens laissaient deviner leurs formes car elle devait juste poser des petites pastilles sur ses mamelons que son maître enlevait quand il lui plaisait maintenant ; il aimait bien les enlever et puis les triturer un peu afin de les rendre bien dure. Au bout de ses gros seins fermes c’est du plus bel effet pour lui et ses futurs clients. Il faisait tout pour en faire une vraie pute offerte à tous les fantasmes. De toute façon les fortifiants et les gonflages de couilles pour lui et ses vieux clients étaient riches de choses qui allaient en faire une vraie vache laitière.Elle ne se doutait pas que tout ce sperme à venir qui allait la remplir par tous les orifices l’amenaient encore plus à se soumettre et à devenir avides de plus de choses encore.
— Elle te va bien cette ceinture. Allez viens prendre ton goûter ; il n’est que 17h00 ; tu n’as pas eu le temps de manger depuis ce matin. Dis le petite pute : oui j’ai faim maître !— Oui j’ai faim maître ; le traitement de sperme déjà donné la rendait vraiment chienne maintenant.. Elle ne s’en rendait même plus compte et c’est ce que voulait son vieux pervers de directeur.— Sous le bureau petite chienne et viens à 4 pattes ! cria le directeur, trop content de la voir avec sa ceinture sur la chatte qu’il savait tatouer à son nom.C’est bien petite pute, tu dois d’abord la nettoyer avec ta langue car je viens d’aller pisser. C’est à toi de la rendre bien propre. T’as tout ton temps ; commence par les couilles et lèche après tout le reste ; tu sais que tu dois me demander avant de la prendre dans ta bouche ! Dis le : je dois bien la nettoyer avant de la prendre en bouche et pomper pour tout boire, et je dois supplier avant de me nourrir de votre semence !— Je dois bien nettoyer votre queue maître avant de boire tout votre jus avant de m’en nourrir ! lui dit-elle ; son maître lui autorisait un certain écart sur le texte vu son état de dépendance. L’essentiel était dit ! Maître Serge car c’est son nom s’en régouissait .— Sors ma queue de mon pantalon petite pute car j’ai les couilles pleines. Dit Serge. C’est vrai qu’elles sont très grosses ses couilles et elle les nettoie avec application pendant de longues minutes en les mettant dans sa bouche. Elle avait du mal à les mettre dans sa bouche car elles étaient vraiment grosses. — C’est bien ma petite pute ; tu dois apprendre à aimer mes couilles car c’est d’où vient mon jus ! Dis le petite pute : j’aime vos couilles car c’est ma nourriture. Je veux tout boire ! Elle répéta sans mal ce propos et il bandait vraiment dur avec son traitement en cours.— Allez ma videuse de couille, il est grand temps de te nourrir…
Il avait bien sûr placé une caméra près de sa queue bien dure pour montrer tout ça à ses deux vieux pervers au bout de la ligne. Il avait même une ceinture qu’il allait placer à l’instant même autour de sa tête et qui allait maintenir sa queue au fond de sa gorge.Il avait tant de jus à donner. De toute façon il était temps pour son cul d’en prendre cher..
Elle était bien maintenue et offerte du cul ; les deux vieux pervers n’en pouvaient plus d’attendre les couilles gorgées de foutre.
Ca allait bientôt être au tour de son cul de se faire mettre tant de fois qu’elle ne serait bientôt plus qu’un simple vide-foutre ; elle l’était déjà mais bientôt plus encore..
Mais ça c’est une autre histoire...
SEB ; le 30 juin 2014 ; simple histoire dédicacée à Peggy , femme95E et Petite Julie :pour leurs encouragements et leur gentillesse. J’avoue que ça m’a pris quelques heures cette affaire:) Moins que pour la miss de l’histoire pourtant:) La relativité existe.
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