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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Pendant la bringue

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
J’ai appris, un soir de bringue, que ma femme allait sauter le pas car elle est venue me le dire. Auparavant je lui avais dit que, en déplacement, loin, je n’avais pas pu résister aux charmes d’une beauté locale et que j’étais passé à l’acte plutôt deux fois qu’une.
Elle m’avait demandé de le lui raconter en détail en lui faisant l’amour....comment était la fille...grande, bustée avec une belle croupe, des hanches pleines pour bien pouvoir s’agripper, un coup de rein souple, long, des râles de plaisir venant du fond de la gorge...de la femelle à l’état brut, faite pour le rut.
Elle avait énormément jouit ce soir là et le lendemain matin elle avait recommencé et encore l’après midi en me faisant re raconter...
Pendant la bringue donc, elle est venue me dire qu’un type qui lui plaisait venait de lui proposer de la sauter, mais qu’elle voulait savoir avant si j’étais d’accord, car elle allait s’éloigner de la soirée et ne voulait pas que je me demande ou elle était passée...que pouvais je dire, puisqu’aussi bien je ne m’étais pas gêné avant.
J’avais regardé qui était le type, pour savoir quel genre il avait et elle avait filé à l’anglaise.
Un moment après je m’étais esquivé de la soirée à mon tour, pour rentrer chez moi à la campagne me disant que ne voyant pas ma femme se ferait raccompagner. J’étais en même temps très excité et fébrile car je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui se passait pendant que je discutais avec les uns et les autres...ou était-elle, que faisait-elle, comment faisait-elle, comment était ce mec au lit, comment elle se faisait prendre, jouissait-elle comme avec moi, avait-il une grosse bitte, plus grosse que la mienne...était-il en train de la prendre en levrette, lui promenait-il sa queue entre les seins, qu’elle a copieux, se faisait-il sucer...ça ça me rendait hyper malade d’imaginer la bouche de ma femme engouler un membre autre que le mien, le sucer, le pomper pour en faire monter la sève...l’exciter avec les dents et le re engouffrer...la salope...elle doit être en train de jouir...
Bref j’étais pas mal énervé.
Arrivant à la maison je vis dans les phares une voiture garée en contrebas sur le petit parking.
Je coupais instantanément le moteur pour arriver en roue libre, sans faire de bruit. La voiture ne me disait rien et je me dis que si c’était un cambriolo il allait être content du voyage. Doucement je grimpais l’escalier pour constater que la porte était entrebâillée. Je décidais de passer par derrière le balcon pour ne pas me faire avoir.
En fait, j’eus une sacrée surprise, car, dans la chambre d’ami légèrement éclairée par le couloir, il y avait ma femme, sur le dos, les cuisses écartées, bien écartées, qui se prenait toute la longue bitte du mec vu à la soirée.
Elle râlait de bonheur les talons plantés dans le dos du copuleur, la jupe retroussée, dépoitraillée comme une pute, trémoussant sa croupe pour se faire emmancher encore plus profond.
’AH ah ah ah AH AH AH AAAAAAAAAAAH salaud, AAAAAAAAH oui, baise moi, putain.......ouiiiiiiiiii...... fourre moi bien!!!!........ comme une salope...........je vais te vider les couilles..........encore, encore, encore, de la queue, de la queue, je veux de la queue, plein........, partout..............aaaaAAAAaaaaaaAAAAAHHHHHH’
Ca m?a fait un choc. Imaginer est une chose...voir en est une autre... voir et entendre ça dépasse l’imaginaire.

J?étais partagé entre l’envie de rentrer pour tout casser et le coté pervers du voyeur qui zieute une belle partie de jambe en l’air.
Dans l’ombre de la terrasse je restais tétanisé, à mater, me rendant compte que je me tenais une érection d’enfer, tout en me disant que j’allais me réveiller et que je n’aurais fait que rêver...
Franchement ça m?a perturbé, mais je restais là, les yeux glués dans la chambre, pour voir ce qui était, il y a peu pour moi, inimaginable. Les deux salauds ne s’en faisaient pas, eux...le type venait de se retirer du ventre de ma femme, l’avait retournée à plat ventre et il promenait sa bitte entre ses fesses pleines. Avec sa main il avait remonté du jus d’entre ses cuisses et lui en badigeonnait bien l’intérieur, pour venir après un moment s’appuyer contre sa corolle et se mettre à pousser. Putain........ Il allait l’enculer, là, devant moi.....alors qu’il fallait presque que je la supplie pour qu’elle accepte....elle était en train de remonter son cul pour que l’autre l’enfile...bordel de merde.....sortant ma queue je me mis à me branler comme un malade....tout en continuant à regarder le membre du mec rentrer tout doucement dans le cul de ma femme qui soupirait d’aise à chaque poussée...et en plus ça m’excitait.
’OuaouHHHHHHHHHHHHhhhhhhhhh, salaud, salaud de salaud, putain que ça fait mal de se faire enculer et bordel que c’est bon.....AaAaaaaaaAAAAAAHHHH oui!’
Poussant un dernier coup, il était rentré en entier et s’abattant sur les mains avait commencé à limer, à pistonner, à bien bourrer le cul de ma belle salope. Et elle en prenait et elle remuait pour que ça baratte bien, et elle gueulait que c’était bon et moi je m’astiquais le manche.... puis le type s’était mis à pousser des cris tout en se mettant à l’enculer plus frénétiquement et il se mit à jouir dans un long râle.
Ma femme s’était retournée et avait mis la queue du type entre ses seins pour se caresser avec, longuement.
Petit à petit le membre redevenait dur et gros, puis, de plus en plus tumescent. Ma femme avait commencé à lui donner des petits coups de langue, puis, d’un coup avait englouti le chibre dans toute sa longueur. Dans un râle de plaisir le mec avait envoyé son ventre en avant pour la goinfrer à fond et la salope elle en voulait, tirant d’une main sur la peau des couilles et de l’autre malaxant ses nibards qui étaient copieusement irrités, gonflés des pointes et bandants comme ce n’est pas permis.
Poussant ma belle salope en arrière il venait de lui replanter son membre dans la chatte....
’Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oooooooooooh, vas yyyyyyyyyyyyyyyyyy, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaahhhhhhhhh, aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh, oh que j’aime ça, tu es.............ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, raide, aaaaaaaah, gros, ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaa, putain que ça rentre bien, vas y, vas y, vas y, non n’arrêtes pas...............bourre, bourre, bouuuuurrreeeeeeee.
Le type lui avait saisi les nibards et en tirait les pointes pour les faire raidir, gonfler, durcir; il lui pétrissait la poitrine comme un malade, à pleine main, se régalant de ces deux masses voluptueuses. Lui prenant les jambes il avait placé icelles sur ses épaules, pour bien dégager l’entrée de la chatte et avait continué à pistonner, toujours cramponné aux nibards.
Ses mouvements allaient crescendo, comme les cris de jouissance de ma femme, qui donnait de grands coups de reins en avant pour bien se faire mettre, en continuant à gueuler que c’était bon, qu’il lui fallait de la queue, qu’elle en voulait, plus, toujours, de la grosse, de la dure, de la longue, de l’endurante pour belle salope...
Le mec baisait comme un malade, à croire qu’il n’avait pas tiré depuis des semaines. Sa bite rentrait et sortait à une cadence qui aurait rendu malade un syndicaliste.
Il tringlait frénétique, comme dans un état second, sans se douter un instant que je pouvais débouler dans la turne.
Puis, dans un grand cri et une série de râles de jouissance, le mec se mit à lui décharger copieusement dans la chatte, tout en continuant à limer pour faire durer le plaisir de l’autre salope qui se secouait sur le manche comme si sa vie en dépendait.
Les mouvements de rut allèrent décroissants et les jambes de ma femme retombèrent à plat sur le lit, pendant que le mec sortait sa bite luisante de mouille et de foutre...Putain ce qu’il lui avait rentré...
Je n’en pouvais plus. J’étais malade de colère et de sexe....bordel ça n’allait pas se passer comme ça.
En peu de temps le bonhomme s’était resapé et après un rapide baiser était parti.
Ma femme était encore sur le lit la croupe en l’air. La bagnole du type démarrant je déboulais comme un malade dans la maison me promettant de faire une scène à tout casser.
Rentrant dans la chambre il y avait une odeur de sexe et une chaleur de rut; je bandais toujours comme un salaud et n’y tenant plus je me jetais sur ma femme qui eut à peine le temps de réaliser qu’elle se faisait de nouveau enfiler par un autre chibre. Je l’ai limée comme un malade...il fallait que ma bitte reprenne possession de son cul, de son ventre, que je mette du foutre partout pour la refaire mienne...je baignais dans un jus de stupre sentant ma queue limer dans le sperme d’un autre mec. Tout en la bourrant je revoyais la scène précédente où un putain de salaud était en train de rentrer sa bitte là où je faisais glisser la mienne...c’était l’enfer!
Je n’ai pas tenu longtemps et je lui ai balancé à mon tour tout le jus que j’avais dans le sexe.
Après, seulement, j’ai pu en parler avec elle, qui me dit qu’elle avait bien imaginé que je rentrerais et qu’elle avait peur de ma réaction, mais que ça avait augmenté son plaisir de savoir que j’allais mater, que j’allais la voir en train de se faire sauter comme une salope qu’elle devenait et que si j’avais dit non elle aurait filé rencard au mec, en semaine, pour aller se faire tirer dans un hôtel de Marseille. Ma femme me dit que mon aventure précédente, que je lui avais racontée, l’avait très excitée et avait déclenché chez elle une hyper envie de baise, quelque chose de primitif. Elle me dit, pour continuer à me faire flipper que, pendant que le type conduisait elle lui avait sorti le membre et lui avait fait une pipe qui avait failli les envoyer dans le décor quand il a jouit.
J’avais réveillé une infernale salope... il allait falloir assumer.
simorgh@wanadoo.fr
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