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Pendant qu'il ne regarde pas

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je pense qu’il est de bon ton de me présenter avant de raconter mon histoire. Celle-ci s’est déroulée il y a quelques mois, lors d’un dîner à la maison. Je m’appelle Mathilde et j’ai 32 ans. Voilà plusieurs années que nous sommes en couple avec Éric, de 12 ans mon ainé. Je l’ai rencontré pendant un salon professionnel centré sur l’industrie pharmaceutique.
J’étais alors hôtesse, et je le suis toujours, quant à lui, il était commercial pour un grand labo. Naturellement sur ce genre de salon, notre boulot d’hôtesses est d’attirer les visiteurs sur nos stands, un physique avantageux et des vêtements les plus sexy possible sont de rigueurs. J’ai tapé dans l’oeil d’Éric, de fil en aiguille et après quelques sorties, nous étions en couple, mais c’est une autre histoire.
Éric est un bel homme, charmeur, plutôt à l’aise financièrement. Divorcé à l’époque, il avait déjà un fils, Thomas, qui a désormais 21 ans. Nous vivons tous les trois dans une maison en banlieue parisienne. Notre vie de couple nous rend heureux, et au niveau sexuel, c’est aussi satisfaisant. J’essaye d’entretenir mon corps un maximum pour le boulot, j’ai une poitrine ferme et un cul bien rebondi grâce à mes séances de squats. Éric quant à lui est assez sportif et reste un homme mûr très attirant, son attribut viril est de taille respectable, apte à me combler entièrement.
À part ça, je suis assez coquette, voire coquine, et j’aime mettre mon corps en valeur dans des vêtements et lingeries sexy quand l’occasion se présente. C’est d’ailleurs un des points de mon métier qui me plaît, pouvoir essayer plein de nouveaux vêtements tout le temps. Cependant Éric est assez peu réceptif à ces choses-là, il est assez bourrin dans son genre et nos séances câlins se finissent très (trop) vite en tenue d’Ève et d’Adam.
Voilà pour ma présentation. Cet été, Éric a voulu inviter quelques collègues à la maison pour manger et regarder un match de foot à la télé. Ne travaillant pas ce jour-là, le repas était prêt en avance dès le matin, je suis donc parti à la salle faire mes exercices quotidiens. De retour à la maison, alors qu’Éric préparait l’apéro, j’allais prendre une douche et me changer en haut pour mettre une tenue plus adéquate qu’un legging et un top de sport plein de sueur. Sous ma douche, une petite pensée coquine me vint à l’esprit: c’était la première fois que je rencontrais ses collègues, à part Benoit un vieil ami. Je me suis dit que j’allais mettre de la lingerie sexy sous mes vêtements. Bien sûr ils n’en sauraient rien, mais moi ce genre de situation avait tendance à m’exciter. Sortie de la douche je préparais donc quelques petites tenues sur le lit. Grande fanatique de vêtements et de lingerie comme vous le savez, j’avais un placard plein à craquer. Beaucoup de dentelles, nylon, vinyle, satin et même du latex. Le choix était difficile, je voulais une tenue bien cochonne qui exciterait Éric après le départ des invités.
Après avoir fait le tour des tenues plusieurs fois, le temps était en train de filer, j’évinçais donc les plus sages et optais pour une des plus coquines de toutes, mais pas du tout la plus simple à porter: mon body noir en latex. J’avais assez peu d’occasions de la porter avec Éric, il trouve que le latex donne "un air de salope", et il aime ça, mais il aime moins le bruit caractéristique que provoque le latex, donc avec lui, c’est à petite dose. Néanmoins, je savais que ça l’exciterait beaucoup de savoir que j’avais porté ça pendant tout le repas avec ses collègues de boulot en face. Et l’idée de me faire punir après la soirée ne m’était pas désagréable.
Il reste alors quelques minutes avant leur arrivée, j’enfile donc mon body, heureusement il me reste du produit pour m’aider à l’enfiler seule, sans appeler Éric. Sur le coup, j’imagine la situation qui va arriver et ça m’excite beaucoup. Le body me va toujours aussi bien, et mes seins sont parfaitement rehaussés et maintenus à l’intérieur. Je ferme le zip qui parcourt le long de cette tenue, et qui va du cou jusqu’à ma croupe en passant par ma vulve. Enfin, je me dépêche de faire briller le latex avant d’aller enfiler ma tenue. Le body remontant jusqu’en haut du cou et le long de mes bras, je choisis une chemise blanche en soie pour le cacher et une jupe noire.
À ce moment j’entends les invités arriver en bas, Éric qui me dit "Tout le monde est arrivé Mathilde ! On t’attend, tu fais quoi ?", tout le monde rigole et balance des blagues sexistes "Ah les femmes, toutes les mêmes, 4 ans pour se préparer". Je me dis à ce moment que la soirée risque d’être longue...
Déjà maquillée, je passe mes talons et descends l’escalier. Arrivée en bas, tout le monde est déjà assis dans le salon. Éric fait les présentations: "Alors bien sûr Mathilde, tu connais Benoit, à sa droite il y a Romain, un petit nouveau dans la boîte. Et à ma gauche c’est Thibault, un autre nouveau commercial, que je chapeaute pendant sa période d’essai." Tous les trois se lèvent et viennent me faire la bise. S’en suit un apéro assez convenu pendant lequel ils parlent de boulot, mais aussi de foot. De mon côté je parle à Benoit de sa femme, cette dernière doit s’occuper de leur fille malade et n’a pas pu venir, malheureusement. Benoit est un collègue très sympa d’Éric, physiquement moyen, mais très marrant !
Après quelques bières nous décidons d’aller à table, avant le match de foot. Avec un peu d’alcool dans le sang, l’ambiance se déride un peu et l’atmosphère se réchauffe. Éric est en face de moi, avec Thibault à ses côtés. Benoit et Romain sont quant à eux sur ma droite. Personne ne semble alors avoir remarqué mon petit secret, et encore moins mon homme qui préfère parler des joueurs de foot de la saison, cependant j’ai cru remarquer chez Thibault quelques regards indiscrets vers ma poitrine, bien galbée dans cette tenue. Alors que les verres de vin s’enchaînent, et qu’on arrive au dessert, je décide de monter d’un cran, je déboutonne le premier bouton de ma chemise, laissant apparaître le haut de mon cou couvert de latex. Alors que tout le monde mange son gâteau et parle du match qui arrive je regarde en direction de Thibault, ce dernier à les yeux ébahis et alors que je le regarde, il me voit, rougit et détourne le regard vers les autres.
Le fait de faire rougir Thibault de cette façon me fait alors un peu d’effet, et je sens mes lèvres devenir moites sous mon body. Ce dernier est un beau jeune homme, blond, un peu le genre "gendre idéal". Il est plus jeune que moi visiblement, je dirais 25 ans, pas trop mon type du coup, je préfère les hommes avec de l’expérience. Mais peu importe, c’est uniquement pour le faire fantasmer que je fais ça. Mais au fond de moi, j’espère qu’il va se branler en rentrant ce soir tout en pensant à la femme de son chef...
Puis, d’un coup, Éric se lève: "Allez, le match commence dans quelques minutes, chérie tu pourras nous ramener de nouvelles bières ?".Moi, sortant de mes rêveries: "Oui, allez-y, laissez-moi débarrasser toute seule bien sûr...bref je vous apporte ça !". Je pars donc vers la cuisine avec les assiettes. Je commence à faire couler l’eau quand j’entends un mouvement derrière moi. C’est Thibault qui passe la porte de cuisine avec le reste des couverts: "Je n’allais pas vous laisser débarrasser toute seule Mathilde, après tout ce que vous avez fait, c’était délicieux."
C’est qu’il est galant et bien élevé en plus, je décide alors de le remercier en le regardant dans les yeux: "Et bien, mon mari vous a bien choisi, galant et bien élevé ! Merci Thibault !". Ce dernier baragouine quelques mots et son regard retourne sur mon cou, puis sur mes yeux, et comprenant dans mon regard que je l’ai vu, il devient alors pivoine et tente une sortie: "Euh, et bien, je pense que je devrais retourner avec les autres, si ça va pour vous, madame, euh Mathilde."
Je n’allais pas laisser échapper ce petit jeu, j’y vais donc directement: "Voyons Thibault, j’ai bien vu que ce n’était pas le foot qui t’intéressait !" Thibault est complètement décontenancé...— Dis-moi, c’est quoi tes passions dans la vie, à part le boulot ? continué-je. — Euh...et bien...j’aime bien aller à la salle pour entretenir un peu mon corps et soulever de la fonte ! dit-il en reprenant un peu d’assurance.— Ah c’est bien ça ! J’ai remarqué que tu étais plutôt baraqué, si tu veux on pourrait y aller ensemble un jour ? Éric préfère rester "entre hommes" pendant ses séances... répondis-je. — Eh bien oui, pourquoi pas ! me dit-il, un air penaud sur le visage.— Allez, commençons cette vaisselle, prends un torchon !
Pendant quelques minutes, nous nous attaquons donc à la vaisselle, Thibault est redevenu un peu timide et c’est surtout moi qui fais la discussion, parlant de mon travail. En lui passant les plats je remarque du coin de l’oeil que ce cochon ne cesse de reluquer mon cou. Je décide d’y passer un doigt.
— Il fait sacrément chaud dans cette cuisine, lui dis-je.— Hein ? Euh...oui...un peu...c’est vrai, bafouille-t-il en regardant ailleurs.
Son malaise m’excitant au plus haut point, je me dis: "Mathilde, autant s’amuser vraiment et lui poser une question piège." Je me tourne vers lui en le fixant dans les yeux:
— Dis Thibault, ça ne te dérange pas si j’enlève ma chemise ? J’ai vraiment trop chaud !— Votre che...mais...— Chemise oui. Je ne serais pas nue, ne t’inquiètes pas, il reste ma tenue en latex..., lui soufflais-je avec un regard évocateur dans sa direction.
Il était trop tard pour reculer. Mais j’attendais sa réaction avec une impatience à peine dissimulée, et, il faut bien le dire une sacrée pointe d’excitation. En y rependant, l’alcool devait certainement aider ma désinhibition, je ne pensais pas montrer ou parler ouvertement de cette lingerie qui devait, à la base, rester secrète. Quant à Thibault, il ne savait pas quoi répondre et se contentait de poser un regard abandonné sur mon cou. Mes mains vinrent alors se poser sur le deuxième bouton et commencèrent à l’enlever...C’est à ce moment qu’il reprit ses esprits:
— Attendez, Mathilde, qu’est-ce que vous faites ? demanda-t-il un air mi-apeuré, mi-excité sur le visage.— Voyons Thibault, nous sommes adultes tous les deux donc ne fais pas l’innocent. Je te vois lorgner sur mon cou depuis la moitié du repas. Tu as très bien compris ce qui se trouve en dessous non ? Ce n’est qu’une tenue après tout, rien de bien méchant...
Ma réponse était assez directe, et mon ton plutôt autoritaire.
— C’est ne pas la première fois que tu vois une femme en lingerie quand même ? Lui dis-je en continuant de dégrafer mes boutons et j’arrivais alors au dernier. Tu veux bien te montrer aussi galant que tout à l’heure et m’aider à enlever cette chemise s’il te plaît ? lui demandais-je, dans une moue coquine.
Thibault obéit sans mot dire et vint se placer derrière moi. Il posa délicatement ses mains sur mes bras et m’enleva, une manche après l’autre, ma chemise. Non sans en profiter pour caresser allègrement mes avant-bras, couvert de mon body qui s’offrait alors à lui. Mais il ne s’aventura pas plus loin. Alors qu’il posait ma chemise sur une chaise, je décidais de reprendre la conversation en changeant de sujet.
— Continuons cette vaisselle si tu veux bien. Tu m’as parlé de sport, mais les amours, comment ça va de ton côté ? — Et bien, c’est un peu le calme plat...c’est comme si toutes les femmes étaient en couple à mon âge, argumenta-t-il d’un air triste. — Arrête, tu ne vas pas me dire que ton visage d’ange ne fait pas craquer les petites minettes en soirée ? — Oh si ça va, mais comme vous le dites, ce sont des minettes, sans expérience et pas forcément sur la même longueur d’onde ou les mêmes envies que moi, me répondit-il alors que son regard descendait désormais de mon cou vers ma poitrine.
Alors qu’il reluquait mes seins, bien en évidence dans mon body noir, je distinguais de mon côté une colline se former dans son pantalon. Je commençais à comprendre sa longueur d’onde, au coquin. Bien que complètement sous mon emprise, je sentais la situation glisser lentement. Alors qu’il essuyait la dernière assiette, je pris les devants:
— J’ai eu une journée assez éprouvante et mon entraînement à la salle m’a crevée. Tu serais un amour si, après tout ce que tu as déjà fait, tu me massais les épaules, lui dis-jeu en venant me placer juste devant lui.
Il était comme subjugué et ce pouvoir que j’avais sur lui m’enivrait. Passant mes cheveux sur le côté pour laisser le champ libre à ses mains, je me mettais dos à lui. Toujours silencieux, il commença par me masser délicatement les épaules. La fine couche de latex entre ma peau et ses mains me permettait de sentir de légers tremblements. Visiblement la situation ne le laissait pas indifférent, mais il s’appliquait. Mes talons me donnaient un peu d’aplomb sur lui, mais je sentais tout de même son souffle chaud dans ma nuque. Après quelques temps, il décida de descendre un peu pour atteindre le bas de mon dos. Je me cambrais un peu pour l’aider à malaxer de ses doigts mes hanches bien arrondies. Tout en se cambrant, mes fesses touchèrent un obstacle, dur et chaud. Visiblement cela lui faisait beaucoup de l’effet. Sans que je m’y attende, le jeune homme agrippa plus fermement mes hanches et pressa son attribut viril contre ma croupe.
— Et bien, lui dis-je. Visiblement je ne suis pas la seule à avoir chaud ce soir...
Ma voix semblait l’avoir ramené un peu à la raison, il recula un peu et cessa de presser son sexe sur mes fesses. Tout en restant dos à lui, agrippais alors son paquet avec ma main, la chaleur irradiait à travers son jean.
— Je ne pense pas t’avoir dit d’arrêter, si ? Alors continue, tu fais ça bien, lui ordonnais-je tout en remontant ma jupe autour de mon ventre pour agrandir son champ d’action.
Visiblement le jeune homme avait compris, il fit descendre ses mains de mes hanches jusqu’à mes deux fesses. Ses mains fermes empoignant alors ces objets de désir. Je savais que mon cul rebondi et musclé faisait chavirer plus d’un homme pendant mes séances de squats à la salle. Peut-être Thibault m’avait-il déjà croisé et reluqué...
— Ça te plaît de voir une femme comme moi dans cette tenue ? Le latex te plaît visiblement. Éric trouve que ça fait S&M, je trouve que c’est tellement plus que ça...— Entièrement d’accord, ça rend le corps d’une femme si désirable, ça rend votre corps désirable Mathilde.
Alors qu’il me disait cela, je sentis ses doigts glisser vers mon entrejambes. Malgré un court moment de doute, je décidais de céder et écartais légèrement mes cuisses, m’offrant à ces mains puissantes. Il commença par me toucher à travers le latex, doucement puis de plus en plus fort, appuyant sur mon clitoris. Finalement je lui dis: "Entre." Ce qu’il fit, sa main trouva la fermeture éclair non loin de mon nombril. Il ouvrit cette dernière, juste suffisamment pour atteindre mon intimité. Il pénétra alors un doigt, faisant des va-et-vient avec son majeur. Puis, sentant mon bassin bouger pour augmenter mon plaisir, il ajouta son index. Je profitais qu’il s’occupe de moi pour aller caresser son sexe. Il était dur comme du roc. Visiblement doigter la femme du chef l’excitait au plus haut point.
Cette pensée me ramena à la réalité et je lâchais prise. Trois hommes, dont mon mari, se trouvaient non loin de là dans le salon et l’un d’eux pouvait débarquer d’un moment à l’autre. Bien loin de réprimer mon envie cependant, cette pensée ne fit que l’augmenter. Perdue dans cette pensée, je n’entendis pas Thibault ouvrir sa braguette pour laisser sortir son engin, ce ne fut que lorsqu’il posa son gland à la porte de mon vagin que je réalisais. Avant que je puisse dire quoi que ce soit, il poussa la porte de mes lèvres et pénétra en moi. La situation m’avait tellement excitée que j’étais complètement lubrifiée, mon vagin dégoulinait de cyprine et en recouvrait son sexe. Un petit gémissement de plaisir s’échappa alors de ma bouche. Thibault, toujours sans rien me dire dû prendre ça pour une invitation à continuer puisqu’il agrippa de nouveau mes hanches, pressant le latex et ma peau ensembles, il enfonça directement l’intégralité de son engin en moi tout en me collant contre le plan de travail. Ce qui eut pour résultat de me faire gémir bien plus fort malgré l’apparente ouverture de ma chatte. C’était une surprise à laquelle je ne m’attendais pas. Il avait bien la fougue d’un jeune étalon. Alors que je me forçais à ne plus pousser de cris, de peur de faire venir les mecs, Thibault entrepris de me besogner sauvagement contre ma cuisine, lâchant alors mes hanches pour remplir ses mains de mes seins, aguicheurs au possible sous ce body. Sans discontinuer, il me culbuta dans cette même position pendant plusieurs minutes, le lointain bruit de la télé était entrecoupé ici de mes gémissements et surtout de ses râles de plaisir. Pour éviter que je ne trahisse ce qui était en train de se passer il mit sa main sur ma bouche et redressa mon visage en tendant mon corps, il se servit de cette position pour aller le loin possible en moi, quand soudain, une voix parvint !
— Alors Mathilde tu fous quoi bordel, on attend nos bières depuis une éternité là ?! cria Éric depuis le salon.Sans s’arrêter de me pénétrer, le jeune novice de mon mari relâcha sa prise sur ma bouche pour me laisser répondre. — Désolé...hum...j’arrive tout de suite mon chéri...
Je dis alors à Thibault: "Plus fort, défonce-moi bordel !". Avant même d’avoir fini ma phrase, Thibault me musela de nouveau de sa main avant de repartir à l’assaut. Cette phrase eut l’effet escompté, il fallait qu’il finisse au plus vite. Ce dernier dessaisit son étreinte pour m’étaler sur le plan de travail afin de me défoncer en bonne et due forme. Je le sentais venir. Alors que je pensais qu’il allait faire ça dehors, commençant à le repousser, ce salaud déchargea au fond de mon vagin, dans un dernier râle de plaisir tout en me tirant les cheveux. Puis il se retira et referma la fermeture éclair. Sans un mot j’enfilais alors rapidement ma chemise et remettait ma jupe en place, Thibault était parti s’asseoir sur une chaise, un peu avachi. Je pris un pack de bières dans le frigo et je décidais d’aller dans le salon sans plus tarder...
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