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Un père admirable

Chapitre 6

Inceste
Chapitre 7Adam seul dans sa chambre.J’étais allongé sur mon lit. Je fixais le plafond en repensant au merveilleux moment que je venais de passer avec ma fille de 17ans, Jessica.
Je fermais les yeux et revoyais son corps de rêve dans sa petite lingerie transparente. Je sentais encore sa peau si douce frissonner sous mes lèvres. J’ai été très surpris de la voir mouiller autant et j’ai adoré respirer son odeur intime. Celle-ci me désirait tellement, c’était trop beau pour être vrai. Elle m’avait serré si fort contre son corps. J’avais bien ressenti que ma fille me voulait en elle.J’ai été ravi de l’entendre gémir. Mon excitation étant à son comble, j’ai bien manqué de jouir lorsqu’elle a pressé mes fesses dans sa main, enfonçant mon sexe dans sa hanche.
Je passais une main sur l’intéressé tendu à bloc, tandis que de l’autre je dénouai le lacet de mon pantalon. Je passais mes deux mains à l’intérieur du vêtement. Je caressais doucement ma verge douce et bien veinée en me massant délicatement les testicules.
J’imaginai les mains délicates de ma fille sur mon torse, caressant mes pectoraux et mes abdos pendant que je l’embrasserais. J’avais trouvé ses lèvres, que j’ai tant souhaité embrasser, si douces contre les miennes. Je regrettais de ne pas avoir prolongé son baiser. J’ai eu peur d’être trop brutal, je la désirai si ardemment.
J’attrapais le shorty blanc rehaussé d’une ceinture en dentelle rose de Jessica, que j’avais posé sur ma table de chevet. Je le lui avais emprunté à son insu le matin-même. Il était très doux. Je le portais machinalement à mon visage. Je reconnus la merveilleuse odeur intime de ma fille. Elle avait mouillé dedans, le tissu sentait bon l’envie. Je revoyais son petit coquillage grand ouvert à quelques centimètres de mes lèvres. Son joli clito, que j’avais tant envie de lécher, était tout gonflé. Son vagin encore vierge, que j’imaginai tout serré, laissait s’écouler de longs filets de jus contre le fin tissu trempé.
Je me débarrassais en hâte de mon pantalon et enfilais ma verge dans le shorty de ma fille. Je m’en couvrais les testicules avec une partie et enroulais le reste autour de mon sexe. C’était doux et sensuel sur ma peau fraichement épilée. J’admirai mon gland bien dessiné sous la transparence du tissu. Cela me donna envie de glisser mon sexe sous la lingerie très fine que ma fille portait, lorsque je l’ai quittée. Juste pour le plaisir de le voir contre sa peau sous ce tissu si doux. J’aurai caressé son coquillage tout mouillé avec mon gland en me branlant en même temps. J’imaginais ses flots de mouille inondant mon sexe et mes mains. Je voulais frotter ma verge toute entière contre son abricot jusqu’à la sentir jouir dessus.
J’avais serré ma main autour de mon sexe, l’entreprenant va-et-vient rapide dans la douce lingerie. Je pouvais voir mon gland, qui jutait abondamment, tremper le tissu. Si ma fille me voyait faire… Oh ! Mais j’en avais envie. Je voulais que celle-ci voie comme je la désirais.
La belle devait sûrement être en train de faire la même chose de son côté. Je l’imaginais se caresser sensuellement les seins. Je les trouvais si beaux, si parfaits, si ronds, si fermes, si doux. Elle devait être en train de les masser en les serrant l’un contre l’autre et de faire rouler ses petits tétons tout rose bien dressés entre ses doigts. J’avais envie que ma fille les présente à mes lèvres pour que je les lèche et les tète délicatement.
Je l’imaginais confortablement assise sur mon sexe en elle, pendant que la belle se caresserait les seins en gémissant et en me regardant dans les yeux. Je voulais la serrer dans mes bras. La déflorer délicatement comme on cueille une fleur au printemps. Je souhaitais sentir son corps vibrer de plaisir contre le mien. Tandis que je l’embrasserais pour cueillir ses gémissements sur ses lèvres.
Je sentis mon sexe grossir entre mes mains tandis que mon plaisir explosait, m’arrachant des cris de plaisir. L’orgasme secouait mon corps de spasmes. Mes va-et-vient se firent plus lents jusqu’à n’être qu’une tendre caresse. Je pressai mon gland pour en extraire la dernière goutte qui en perlait. Je retirai la douce lingerie de mon sexe. Je l’avais inondée. Je me nettoyais avec la partie dont je m’étais servi pour caresser mes testicules.
C’était la première fois que je m’étais donné du plaisir en pensant à ma fille et j’avais trouvé cela merveilleux. Aussi bon que le premier baiser que nous avons échangé, aussi court fut-il.Je déposais la lingerie de ma fille souillée de mon sperme sur ma table de chevet et m’endormis paisiblement.


Jessica, seule dans son lit, au milieu de la nuit :
J’étais toute excitée lorsque mon père avait quitté ma chambre, me laissant, seule, sur ma faim. J’avais ressenti le besoin urgent de me caresser. Penser à toutes les sensations nouvelles qu’il avait fait naître en moi avait suffi à me faire atteindre l’orgasme en quelques minutes. Un plaisir si court que je n’avais pas eu le temps de l’apprécier. Je me réveillai en pleine nuit avec un désir inassouvi.
Ma peau se mit à frissonner lorsque je repensais aux baisers que mon père avait déposés sur mon corps. J’avais adoré le contact de ses lèvres et de sa langue sur mon ventre et dans mon cou. C’était si doux et sensuel. Exactement comme je l’avais imaginé. Mon corps tout entier s’était éveillé à l’érotisme au contact du sien. Je voulais encore sentir sa peau si douce contre la mienne. J’aimerai tant pouvoir caresser et embrasser son corps parfait comme il me l’avait fait. Je voulais qu’il m’apprenne à faire l’amour et à lui donner du plaisir.
Je me caressais en pensant à tout cela. Mon doigt s’activait sur mon bouton pendant que je me caressais les seins. Mon vagin gourmand mouillait abondamment. Je sentais que le drap était trempé sous mes fesses. J’insérai un doigt dans mon intimité qui l’avala entièrement. J’étais chaude, douce et toute dégoulinante. Je faisais de lents va-et-vient. Mon plaisir augmentait me faisant gémir.
Je repensais aux va-et-vient rapides que mon petit ami, Nicolas, avait faits sur son sexe lorsqu’il s’était caressé devant moi. Je fus tentée de tester cette même intensité afin d’en découvrir les sensations. Je fus surprise en sentant mon plaisir s’accroître considérablement. Les va-et-vient que je m’infligeais étaient longs, profonds et rapides. Je pouvais entendre les clapotis que provoquait ce mouvement. Mes gémissements étaient plus audibles. Je décidai de caresser mon bouton en même temps. Le plaisir me submergeait m’arrachant de petits cris. Mais mon envie amplifiait aussi.
Après plusieurs minutes, l’orgasme ne venait toujours pas et mon corps était toujours en demande. Plus je pensais à mon père plus je le voulais. C’était la première fois que je n’arrivais pas à jouir. Je trouvais cela encore plus frustrant.
Je pensais à mon père, seul dans son lit, dans la pièce voisine. Je mourrais d’envie d’aller le rejoindre. Je trouvai une excuse pour cela et quittai ma chambre sur la pointe des pieds. Mon cœur battait fort dans ma poitrine faisant un vacarme phénoménal en comparaison du silence qui régnait autour de moi. J’ouvris nerveusement la porte de la chambre de mon père. Celle-ci n’émit aucun son ni aucune résistance. Je fis quelques pas. Il faisait noir, mais je connaissais la disposition des meubles.
« Tu n’as pas le droit de faire ça, me dicta ma conscience, retourne dans ta chambre ! » Je m’arrêtai. En effet, je pouvais retourner dans mon lit et me rendormir en ignorant mon envie. Je m’apprêtai à faire demi-tour lorsque ma cheville émit un craquement dans le silence. Une lampe de chevet s’alluma presqu’aussitôt.
— Quelque chose ne va pas ? demanda mon père d’une voix ensommeillée.Ses cheveux étaient ébouriffés et son regard inquiet me fixait. Son drap le couvrait jusqu’aux hanches. Son torse parfait et attirant me rappela très vite la raison de ma venue. Je baissai les yeux en rougissant. Je découvris son pantalon jeté à terre. L’imaginer nu dans son lit me rendit plus hésitante. Mais je ne pouvais plus reculer surtout après l’avoir réveillé.
— J’ai fait un cauchemar et je n’arrive pas à me rendormir, dis-je timidement.Mon père me sourit.— Viens, proposa-t-il en ouvrant les draps à ses côtés.Je montais à quatre pattes sur le lit et m’installais entre les draps chauds qui sentaient bon son odeur. Il m’accueillit dans ses bras, contre lui. Je déposai ma tête sur son épaule et il embrassa tendrement mon front. Je posai une main sur son ventre. Mon père éteignit la lumière. Quelques instants plus tard, je pouvais entendre sa respiration lente et régulière. J’essayais de m’endormir moi aussi.
Je me sentais bien dans les bras sécurisants de mon père. Je pouvais respirer son odeur. Mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Ma main posée sur son ventre me donnait envie de caresser son corps. Ce qui bien sûr ne m’aidait pas à refouler mon désir aussi puissant que précédemment. Mon entrejambe était toujours aussi humide.
Je commençais à bouger ma main, effleurant la peau douce autour de son nombril. Je suivis la ligne de sa clavicule. J’effleurai la forme de ses pectoraux. Puis, je les caressais à pleine main. Je dessinais des cercles légers autour de ses tétons. Ils étaient doux et je les sentis pointer sous mes doigts. Je déposais de doux baisers sur son épaule. Ma bouche suivait lentement le chemin que mes doigts avaient parcouru. J’embrassais ses pectoraux. Avec ma langue, je fis de petits cercles autour de ses tétons durcis. Je les pris entre mes lèvres pour les taquiner. Je les léchais et les suçais doucement.
Du bout des doigts, je traçais les contours de ses abdos. Je rencontrais son nombril, puis des poils fins qui formaient une ligne vers le bas. Je la suivis, le cœur battant. Elle fit place à une peau très douce et très tendre. Je caressais cette partie du plat de la main. Je rencontrai la naissance de son sexe. J’hésitai un instant. Le désir brûlant de continuer me poussait à aller plus loin. Mon père dormait toujours ne se doutant de rien.
Du bout des doigts, j’effleurai son sexe bouillant, très doux et moelleux sur toute sa longueur et sa largeur. Il n’avait rien d’impressionnant au premier abord. Je le parcourais lentement de la main entière. Je trouvais cela très agréable. Je me sentais mouiller. Je le déplaçai légèrement pour continuer mon exploration. Je caressais ses testicules, très doux, eux aussi. Je les prenais délicatement dans ma main et les massais doucement. Ça me plaisait beaucoup.
Je revins vers son sexe et le pris doucement dans ma main. Il était si moelleux que j’avais peur de le serrer trop fort. Mon pouce faisait de lents va-et-vient, le maintenant contre mes doigts. Je le sentais grossir et durcir progressivement, m’obligeant à ouvrir ma main. Je trouvais cela excitant de le sentir s’animer, si bien que je commençai à me caresser la poitrine de ma main libre. Je frottais mes seins contre la peau de mon père et l’effleurais avec mes tétons bien durs.
Je pouvais sentir des veines gonfler sous mes doigts, au fur et à mesure que son érection se développait. Je caressais son gland et le trouvai agréablement doux. J’en appréciais la forme. Je passais lentement mon pouce sur son urètre, celle-ci ne mouillait pas encore, mais s’ouvrit sous la caresse. Je masturbais lentement le sexe de mon père. Il était maintenant bien dur dans ma main. Dans le noir, il me paraissait un peu plus gros et plus long que celui de Nicolas. Bien qu’il était aplatit tandis que celui de mon père avait une circonférence parfaitement circulaire. Je lui avais donné une si grosse envie que j’en mouillais abondamment.
Je fis descendre doucement ma main libre de mes seins à ma minette. Je la caressais doucement par-dessus le tulle rouge de mon shorty. Elle était toute trempée. Je passais la main à l’intérieur et caressais tendrement mes lèvres si douces. Je me servais de mon index pour faire des petits cercles autour de mon bouton. Il était bien dur et tout gonflé comme le sexe de mon père que je caressais plus fort de mon autre main. J’introduis délicatement un doigt entièrement dans mon vagin, en soupirant de plaisir. Je fis des va-et-vient profonds et rapides. C’était bon.
La tête posée sur l’épaule de mon père, j’embrassais sa peau tout en nous donnant du plaisir. Mes mains faisaient des va-et-vient au même rythme sur son sexe et dans le mien. Je trouvais cela super excitant. Je relevais ma jambe droite et la plaçais entre les siennes. Les membres inférieurs ainsi écartés, j’introduisis un deuxième doigt dans mon vagin. Je le sentis s’ouvrir à ce contact. Je les enfonçais profondément. Cela me procurait beaucoup de plaisir. Je faisais des va-et-vient longs, profonds et rapides comme j’adorais. Mon vagin dégoulinant de mouille émettait des clapotis bruyant. Je sentais que le sexe de mon père commençait à mouiller aussi.
Le faire pointer ainsi vers le ciel me donnait envie de m’asseoir dessus pour le sentir au plus profond de mon corps. Je gémissais faiblement de plaisir tandis que mon bassin effectuait des mouvements accompagnant mes caresses. Mon vagin très dilaté aspirait mes doigts. J’avais envie que mon père se réveille et me pénètre immédiatement.
Je retirai les doigts de mon intimité et caressais mon bouton très dur. Je laissais le sexe de mon père le temps de passer ma main sur mon vagin trempé pour l’humidifier plus encore. Sa verge glissait encore mieux entres mes doigts. Je faisais des va-et-vient plus rapides en gémissant contre sa peau. Quelques secondes plus tard, un violent orgasme traversait mon corps de spasmes. J’émis un petit cri de plaisir en sentant la main de mon père me serrer contre lui.
Il se tourna vers moi, son gland caressant ma peau tandis que je continuais de le masturber aussi rapidement. Je sentais son sexe grossir encore entre mes doigts. Tandis que mon père pressait mon sein dans sa main en gémissant fortement contre mon front. Je sentis de longues giclées de sperme bien chaud arroser mon ventre et mes seins. Son corps tremblait de plaisir tout contre le mien.
Celui-ci embrassa mon front. Son cœur cognait contre ma joue. Sa main rejoignit la mienne sur son sexe. Il serra son gland très fort entre nos doigts si bien que j’eus peur qu’il se fasse mal. Je sentis une goutte de sperme s’en écouler doucement. Puis, mon père prit ma main pleine de semence dans la sienne.
— Tu penses que tu vas arriver à t’endormir maintenant ? demanda-t-il.— Oui, murmurai-je. Tu m’en veux ?— Non… c’était super. Tu peux aller prendre une douche si tu veux, sinon tu vas être toute collante.— Je peux revenir après ? demandai-je timidement.— Seulement si tu es sage, sourit-il.

********************Chapitre 8
Adam dans sa chambre, au petit matin :
Lorsque j’ouvris les yeux, je découvrais le doux visage de Jessica, ma fille de 17 ans, qui me souriait. Je me perdis dans l’océan de bonheur de ses yeux. Elle était dans mes bras, je sentais ses doigts qui caressaient sensuellement mon torse. C’était doux et très agréable.
Je me souvins de la surprise que j’ai eu de me réveiller en érection dans sa main. Mais elle m’a donné tellement de plaisir que je n’ai pas eu la force de lui demander d’arrêter. Puis, l’entendre se caresser, mouiller, gémir et jouir dans mes bras était bien trop excitant.
— Je suis désolé de t’avoir joui dessus cette nuit, lançai-je. J’espère que je n’ai pas été trop brutal.— Non, j’ai adoré, sourit-elle, tout était parfait.Elle embrassa doucement mon téton. Ma peau se hérissa au contact de ses lèvres et de sa langue. Je la serrai un peu plus contre moi. J’avais très envie de l’embrasser.— Ça a l’air très joli ce que tu portes, murmurai-je.Ma fille me laissa la découvrir. Elle était vêtue d’un ensemble top noir en dentelle lacé dans le dos par un ruban en satin rose vif, le boxer assorti était lacé entièrement de chaque côté. Ses petits tétons roses pointaient au travers et ses lèvres bien moulées étaient très attirantes. J’avais envie d’ouvrir ses jambes pour passer ma langue sur le tissu.— C’est super sexy, dis-je en humectant mes lèvres et en caressant sa cuisse.
Ma fille m’attira à elle. Ses lèvres embrassèrent les miennes. Un baiser doux et tendre que je lui rendis. Ses yeux mi-clos fixaient les miens. Ils se fermèrent lorsque sa bouche s’entrouvrit. Je la laissais me guider dans ce jeu sensuel dont elle seule détenait les règles. J’accueillis sa langue si douce qui s’insérait prudemment dans ma bouche. Je la laissai caresser la mienne, s’enrouler autour, la titiller. Elle me caressait la tête. Ses doigts pénétraient dans mes cheveux.
— Attends j’aimerai qu’on fasse un pacte ensemble, lançai-je sérieusement.— Lequel ?— J’aimerai que tu m’arrêtes si je te fais quelque chose qui ne te plaît pas ou si tu n’as pas envie. Je veux que tu saches que je ne te forcerai jamais à faire quelque chose contre ta volonté.— Promis.
Je remontai lentement ma main le long de son ventre plat. Ses abdominaux se contractèrent au passage. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle prit une profonde inspiration. J’effleurai le contour de son sein. Ma fille soupira faiblement de plaisir. Elle posa une main sur ma hanche. Je frôlais ses seins du bout des doigts et de la paume sans toucher ses tétons. Je les pris en coupe dans mes mains afin de les caresser. Jessica avait les yeux mi-clos. Je voyais le plaisir la troubler. Sa langue passait régulièrement sur ses lèvres. Celles-ci entrouvertes émirent un gémissement. Rougissante, elle ouvrit grand les yeux de surprise. — Ça a l’air de beaucoup te plaire.— Humm oui, j’adore, murmura-t-elle.
Je la trouvais incroyablement sexy. J’enlevais lentement son top en caressant et embrassant sa peau. Je passais mes pouces entre ses seins et leur fit faire de lents va-et-vient. J’imaginai mon sexe y glissant à leur place. Je le sentis s’allonger et gonfler contre elle.— Tu as de très beaux seins et la peau vraiment très douce.— Humm merci, gémit-elle. Tu les caresses super bien.Je lui souris et entrepris de lui masser ses belles pommes. C’était un vrai plaisir de la regarder soupirer. Elle gémit lorsque, enfin, je caressais tendrement ses tétons dressés. Ses douces mains caressaient mes pectoraux et mes abdos. Ma peau s’hérissait sous ses doigts. Je faisais rouler ses petits bouts roses, semblable à des framboises, entre mes doigts et sous mes paumes. Ses lèvres tentaient de retenir de petits cris. Je voyais le plaisir l’enflammer.
— Non, ne ferme pas les yeux… Tu es si belle.Elle les ouvrit et je plongeais littéralement dans ce bleu lagon. Ses lèvres se déposèrent délicatement sur les miennes. Nos langues reprirent leur danse sensuelle. Elle embrassait merveilleusement bien. Je quittai ses lèvres dans un doux baiser. Je lui embrassais la joue. Je déposais des baisers aussi légers que des pétales de rose dans son cou, sur son épaule. Ma bouche continuait sa course lente jusqu’à la naissance de ses seins. Je glissais ma langue entre eux en faisant de lents et très légers va-et-vient.
Ma fille se laissait maintenant aller et gémissait de plaisir. Je pris ses seins en coupe et les embrassais délicatement. Je les caressais du bout des lèvres et de la langue. Je lui léchai lentement les mamelons en décrivant des petits cercles autour de ses tétons. Je les pris enfin entre mes lèvres et les titillai du bout de la langue. Ma fille poussait désormais de petits cris incontrôlés. Elle pressait mon visage contre ses seins. Et cria plus fort encore lorsque je lui tétais délicatement les tétons. Ils étaient durs à couper du verre.
Je faisais glisser lentement ma langue effleurant sa peau, si douce, entre ses seins, dans son cou et jusqu’à sa bouche. Je l’y introduis délicatement. Ma fille gémit de plaisir et pressa son jeune corps contre le mien. Elle ouvrit ses lèvres pour accueillir ma langue. La sienne vint la caresser, s’enrouler autour, la téter, la sucer. Ses mains caressaient mes fesses nues et les pressaient contre elle. Son corps se frottait sur mon érection. Je crus mourir de désir lorsque sa langue fit des va-et-vient plus ou moins profonds dans ma bouche.
— Je veux te regarder te caresser, murmurai-je contre ses lèvres.Je sentis sa main passer entre nous. Je la regardai caresser le tissu du bout des doigts. Je m’agenouillai entre ses jambes en gardant précautionneusement le drap sur mon sexe. Je ne me sentais pas encore prêt à me montrer entièrement nu devant elle. Ma fille passa sa main à l’intérieur de son boxer et commença à caresser délicatement son clito. La dentelle était tout trempée. Je passais mes doigts à l’intérieur de ses cuisses. J’exerçais une petite pression sur sa peau qui bordait son vagin afin d’ouvrir son coquillage sans le toucher. J’avais une meilleure vue sur son intimité ouverte et accueillante. Je caressais cet endroit doucement en décrivant des cercles avec mes pouces. Ma fille gémissait de désir.
J’avais envie de passer ma langue sur son coquillage. Je voulais prendre ses petites lèvres dans ma bouche pour lécher son clito jusqu’à la faire jouir. Je souhaitais introduire ma langue dans son intimité afin de boire sa liqueur qui coulait à flot.
Mon sexe bien raide s’agitait d’envie et mouillait contre le drap. J’avais très envie de le passer sous la dentelle, le sentir à l’étroit contre la minette de ma fille. Elle introduit un doigt dans son vagin.— Oh ! Non… Je veux te regarder mouiller.Elle le retira et se caressa plutôt les seins pour mon plus grand plaisir. Ma fille gémissait en se léchant régulièrement les lèvres. Elle me lançait des regards brûlant de désir vraiment très excitants. J’étais très heureux de voir son corps parfait prendre autant de plaisir. La belle criait de plus en plus fort tandis que l’orgasme la transportait laissant son corps vibrant et transpirant.
Je me baissais sur son coquillage et léchais sa dentelle toute trempée. J’aspirais sa mouille qui dégoulinait à l’entrée de son vagin. Elle me regardait faire en gémissant et tremblant de plaisir.— Que veux-tu maintenant ?— Je veux que tu me caresses, réclama-t-elle.— Tu viens de jouir...— Caresse-moi, s’il te plaît. Je veux sentir tes doigts.Je la trouvais coquine, gourmande et attirante. Je décidai de l’entraîner dans un jeu érotique dont je détiendrai les règles à mon tour.— Je t’ai appris à demander mieux que ça, dis-je d’une voix plus ferme que je ne l’aurai souhaité.Un sourire espiègle étira ses lèvres et son regard s’enflamma.— J’ai très envie que tu me caresses, s’il te plaît.— Il faudra faire mieux que ça, chuchotai-je.— Caresse-moi, s’il te plaît, Papa, demanda-t-elle d’un ton capricieux.Je fis non de la tête.— Oh ! Papa, je t’en prie, caresse-moi ! s’écria-t-elle.— Tu n’es pas assez convaincante.Pourtant, j’en mourrai d’envie. Mais je voulais l’entendre me désirer.— S’il te plaît, Papa, caresse-moi ! Je veux que tu me fasses jouir ! Je t’en prie, supplia-t-elle.J’en demandais pas tant, sa requête et son ton impérieux m’excitèrent énormément. Le regard enflammé de ma fille guettait une réaction. J’enlevais doucement son boxer en caressant son pubis, ses fesses et ses jambes et en embrassant son ventre.
Mes doigts partirent à la découverte de ce paradis inexploré. Je caressai d’abord le dos de ses lèvres si douces. Puis, mon index se fit un passage entre elles jusqu’à son clito. Un flot de mouille inonda mes doigts. Sans la quitter des yeux, j’en introduis un délicatement dans son vagin doux, humide et très serré. Ma fille gémit de plaisir. Je le retirai et entrepris de caresser son clito. Il glissait entre mes doigts habiles. Je faisais de petits cercles autour plus ou moins rapides. Mon doigt faisait des va-et-vient de son bouton à l’entrée de son vagin. La belle remuait ses hanches se frottant dessus. Je fis des mouvements plus intenses, ne faisant que frôler son clito. Cela ne faisait qu’augmenter son désir. Ma fille mouillait abondamment sur mes doigts. Elle se laissait à gémir et crier aussi fort que son plaisir lui permettait.
— J’arrête là, affirmai-je en faisant mine de retirer ma main.— Oh ! Non ! C’est trop bon, t’arrêtes pas ! Je t’en supplie Papa, fais-moi jouir ! m’implora-t-elle ses yeux dans les miens.Ses supplications m’excitaient. Je me sentais fort et désiré. J’avais très envie d’elle. Je voulais m’insérer dans son intimité encore vierge et serrée. La sentir mouiller et jouir sur mon membre bien dur. Il me faisait mal tant je la désirais.
Je caressais son clito tout gonflé et tout dur. Je faisais de petits cercles autour, le frottais et le pinçais doucement entre mes doigts. La belle gémissait, criait et couinait en mordant et serrant l’oreiller dans ses mains. Son plaisir s’intensifiait progressivement. Un long cri s’échappa de ses lèvres rougies lorsqu’elle atteignît l’orgasme.— Ouvre les yeux ! Regarde-moi quand tu jouis ! ordonnai-je.Elle s’exécuta aussitôt. J’assistai à un merveilleux spectacle. Je la trouvais encore plus belle… Magique.
La main toujours entre ses jambes, je lui caressais doucement le clito. Mon autre vint rejoindre la première. J’insérai délicatement un doigt dans son vagin. Elle gémit aussitôt.Quel bonheur de la sentir mouiller ! J’intensifiais les va-et-vient dans son vagin. Les faisant plus rapides et plus profonds. Je le sentais se dilater sous la caresse. J’insérais délicatement un deuxième doigt. Celui-ci entra en contact avec la membrane souple de son hymen, m’empêchant de le rentrer entièrement. Je m’y résolus et lui doigtais tendrement l’entrée de son vagin.
Les cris de ma fille étaient plus intenses comme son plaisir. Je trouvais son point G et entreprit de le caresser doucement du bout des doigts. De l’autre main, je continuais de lui titiller le clito.— Je vais te faire jouir si fort que tu m’en demanderas encore ! lançai-je d’une voix suave.Ce qui suffit à la faire décoller, lui arrachant un cri qui venait de ses tripes. Ses doigts agrippaient violement l’oreiller tandis que son visage bouleversé de plaisir était tendu vers moi.
J’observais mes doigts inondés de mouille et les portai à ma bouche.— Humm tu es délicieuse, murmurai-je après les avoir méticuleusement sucés.Ma fille me sourit. Je caressais doucement ses cuisses.
— Pourquoi mon shorty est sur ta table de nuit ? demanda-t-elle après un cours silence. Je croyais que tu l’avais mis à laver hier matin.J’hésitai sur la réponse que je devais fournir. Mais la veille au soir, j’avais eu très envie qu’elle me découvre en train de me donner du plaisir avec et là sa dentelle me faisait vraiment envie.— Tu veux que je te montre ? demandai-je malicieusement.— Oui, répondit-elle d’une voix suave en me lançant un regard brûlant.
Je pris son boxer en dentelle et le glissais entre le drap et moi. J’enfilais mon sexe gonflé et dur à l’intérieur. Je plaçais l’entrejambe encore trempé sur mon gland. Je l’enroulai autour de mon sexe en laissant pendre un pan pour cacher mes testicules. La caresse de la dentelle était très agréable sur ma peau. Je pris mon sexe dans la main. J’abaissai le drap. Ma fille regarda mon membre camouflé avec envie.
— Je peux pas le voir ? demanda-t-elle déçue.— Non, pas encore…Comme ma fille ne le quittait pas des yeux je commençais à me caresser doucement en massant mes testicules. Elle se lécha les lèvres et je pouvais voir dans son regard que le spectacle lui plaisait. Je variais l’intensité de mon plaisir en faisant des va-et-vient plus ou moins rapides et plus ou moins longs. Ma sève s’écoulait lentement humidifiant la dentelle. J’étais tout excité de me caresser devant le corps nu et parfait de ma fille, étendu devant moi, les jambes écartées et le sexe offert.
La belle me regarda faire patiemment pendant quelques minutes. Puis à genoux, elle me tourna autour en effleurant mon visage, mon torse, mes épaules, ma nuque, mon dos et mes fesses. Elle caressa ses dernières de façon plus appuyées, les prenant à pleine main, effleurant leur contour. Je soupirai de plaisir. Je sentis ses lèvres effleurer ma nuque, l’embrasser sensuellement. Elles se déplaçaient lentement sur mes trapèzes, mes omoplates et mes épaules. Tandis que ses mains caressaient lentement mes pectoraux, mes abdos et mon pubis. Elle câlinait ma peau en l’effleurant du bout des doigts et des ongles, puis à pleine main. Ses cheveux et ses seins me frôlaient aussi, me faisant frissonner.
Tous mes sens étaient en éveil. Ma fille me faisait l’amour sans le savoir et participait activement à mon plaisir et à mon excitation. Elle vint se placer devant moi en gardant le contact de ses mains sur ma peau. La belle déposa un baiser sur le coin de mes lèvres, les effleura avec sa langue, les lécha, les suça légèrement puis les embrassa enfin. J’introduisis ma langue dans sa bouche, elle l’aspira doucement et la suça. Je me branlais contre son ventre en soupirant de plaisir.
La belle m’embrassait sensuellement dans le cou, léchait et tétait les lobes de mes oreilles. Je sentais tous les poils de mon corps se hérisser. Ses lèvres et sa langue suivirent mes clavicules, passèrent entre mes pectoraux. Elle embrassa mes mamelons faisant dresser mes tétons entre ses lèvres. La belle mangea mes abdos tout aussi sensuellement.
— C’est super agréable ce que tu fais, dis-je d’une voix rauque. Tu ne peux pas imaginer le plaisir que tu me donnes.— Tu m’apprendras à te faire l’amour ? demanda-t-elle en embrassant mon pubis.— Oooh ! Oui… gémis-je.Mes doigts pénétrèrent sa longue chevelure blonde. C’était super excitant d’avoir ses lèvres si près de mon sexe que je caressais intensément. Mon plaisir était à son comble et l’orgasme montait en moi.Je pris le visage de ma fille dans ma main qui massait mes testicules et le levais vers moi. Elle suivit mon geste en se redressant.— Je veux que tu t’allonges et que tu te caresses les seins pour moi, réclamai-je.La belle s’étendit sur mon lit, les jambes ouvertes de chaque côté de mes cuisses. Elle prit ses magnifiques pommes en coupe, les caressant et les massant sensuellement. Ma fille leur faisait faire des ronds en les frottant l’un contre l’autre. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts. Je la trouvais si belle et si désirable.
Ma fille me donna le coup de grâce lorsqu’elle pressa ses seins vers sa bouche pour lécher et sucer ses tétons, en me regardant droit dans les yeux. L’orgasme me submergea me faisant crier et trembler de plaisir. Mon sperme inondait sa lingerie. Elle regardait le liquide s’écouler lentement entre les fines mailles de la dentelle.
Je m’allongeai tout près d’elle encore tremblant. La belle m’embrassa avec gourmandise.— Je t’aime Papa, murmura-t-elle contre mes lèvres.
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