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Un père admirable

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain matin, Adam est seul dans la cuisine.
Je préparais le petit-déjeuner en repensant à la conversation que j’avais eue la veille avec Luc, mon meilleur ami. Ce dernier m’avait conseillé de regarder ma fille Jessica, âgée de 17 ans, comme une femme.Selon lui, il fallait que je me rende compte qu’elle n’était plus la petite fille que je faisais sauter sur mes genoux et qu’il était naturel qu’elle découvre son corps.Je dois vous confier que c’est difficile pour un père de surprendre sa fille se donner du plaisir.Oh… Et il fallait aussi que je découvre quelle bêtise elle avait bien pu faire, qui l’aurait poussée à se cacher derrière une porte. Je réfléchissais à la tournure de ma question en sirotant mon café lorsque ma fille entra dans la cuisine.– Bonjour, Papa ! s’exclama-t-elle joyeusement.Je m’étouffai avec une gorgée de café en découvrant la belle jeune femme qui me souriait.– Est-ce que ça va ? s’écria-t-elle en accourant pour me porter secours.
Elle me tendit un essuie-tout qu’elle avait attrapé au passage et me prit délicatement la tasse des mains pour éviter que du café soit renversé sur le sol.Je m’essuyai la bouche en observant attentivement ma fille s’affairer. Ses longs cheveux blonds détachés tombaient en cascade sur ses épaules ; ils étaient volumineux et éclatants de beauté. J’avais envie d’y passer la main pour les caresser et respirer leur odeur. Jessica avait souligné de noir ses magnifiques yeux bleus, qui tiraient sur le vert aujourd’hui à cause du soleil. Ses lèvres pulpeuses étaient maquillées d’un brillant rose clair, qui les faisait ressembler à un bonbon que j’avais envie de lécher et de sucer.Je remarquai aussi les courbes féminines de ce jeune corps élancé, ces seins bien ronds qui paraissaient déjà si fermes et bien trop à l’étroit dans ce petit chemisier rose pâle..."Quand est-ce qu’ils sont arrivés là, ceux-là ? me demandai-je soudainement. Ils sont déjà assez gros pour tenir dans mes mains..."
Lorsqu’elle me tourna le dos pour remplir son bol de lait, mes yeux tombèrent sur ses petites fesses bien arrondies, moulées par son jean. J’eus une brusque envie de les claquer et de les serrer dans mes mains. Ses hanches épanouies m’attiraient. Je désirais m’y arrimer, sentir son corps si sensuel vibrer de plaisir contre le mien.La vue de nos deux corps nus ne manqua pas de me tendre le sexe. Je m’en mordis la langue de surprise.– Papa… Est-ce que ça va ? demanda ma fille, inquiète en m’entendant gémir de douleur.– Quand est-ce que tu es devenue une femme ? demandai-je tout penaud.Je me sentis ridicule d’avoir posé cette question, mais aussi d’avoir désiré si fort ma fille. Elle parut d’abord surprise, puis me sourit en disant d’un ton détaché :– Papa, j’étais chez toi quand j’ai eu mes règles. Mon corps a juste continué de se développer.– Tu as un petit ami ?– Si j’en avais un, tu serais le premier au courant, sourit Jessica.– Alors pourquoi est-ce que tu t’habilles aussi... euh... sexy ? demandai-je, gêné.– C’est à la mode, répondit-elle en haussant les épaules. Tu me trouves vraiment sexy ?

Ma fille me fixait droit dans les yeux d’un air interrogateur. Tout comme sa mère l’avait fait dans le passé, avec la même expression dans le regard. Comme à chaque fois, je me sentis pris au piège et incapable de mentir.– Oui, et je suis sûr que tes camarades aussi, répondis-je franchement. Et j’imagine que des garçons t’ont déjà demandé de sortir avec eux.– Certains, oui ; mais ils m’intéressent pas.– Tu préfères les filles ? demandai-je, surpris.– Non plus ! rit-elle.– Très bien. Alors, est-ce que – juste pour me rassurer – tu voudrais bien mettre quelque chose sous ton chemisier ? J’ai bien peur que le premier bouton ne tienne pas longtemps.Jessica jeta un coup d’œil dans son décolleté, là où je rêvais d’y mettre les mains et, pourquoi pas, y glisser ma langue.– Oh ! D’accord. Tu as vu le débardeur noir que j’ai mis à laver ?
Je me voyais prendre ses oranges dans les mains pour les caresser, les masser, les embrasser jusqu’à ce que ses tétons durcissent. Et seulement à ce moment-là, j’entreprendrais de les lécher et les tâter tendrement.
– Papa ? Hé, Papa… Tu m’entends ?Je relevai brusquement les yeux de ses seins.– Oui ? prononçai-je, surpris de l’avoir entendue m’appeler.Une lueur malicieuse passa dans ses yeux.– Tu as vu le débardeur noir que j’ai mis à laver ? répéta-t-elle.– Regarde dans le linge que je viens de sortir du sèche-linge, dis-je en lui indiquant les vêtements encore chauds qui attendaient d’être repassés.– Merci.
Jessica fouillait dans le linge pendant que je nettoyais ma tasse. J’en profitai pour m’assurer qu’elle ne pourrait pas voir mon érection.Je suis éducateur pour enfants en difficulté et je prends soin de ma présentation : toujours tiré à quatre épingles, costume-cravate et rasé de près chaque jour.J’étais donc ravi de constater que ma veste cachait la bosse qui tendait mon pantalon et qui devint sensible lorsque je passai furtivement la main dessus.
– Ah ! Trouvé ! s’écria-t-elle joyeusement.Je me retournai et découvris qu’elle déboutonnait soigneusement son chemisier. Cela libéra sa magnifique poitrine, retenue par un soutien-gorge noir orné de dentelle et de petits nœuds très sexy. Bien sûr, je l’avais déjà passé de nombreuses fois dans le lave-linge, mais je ne l’avais encore jamais vu en situation.Mon regard fut attiré par ses abdominaux qui se contractèrent lorsque Jessica passa son débardeur par-dessus sa tête. J’eus subitement envie d’embrasser son ventre et de suivre chaque muscle du bout de la langue jusqu’à son nombril, et même de descendre encore plus bas. Un voile noir cacha subitement son ventre, mettant fin à mes fantasmes. Je relevai la tête et la regardai fermer son chemisier d’un air sérieux.
Je me rappelai soudainement la question que je devais lui poser :– Tu as fait une bêtise, hier ?– Une bêtise ? Non… répondit-elle en me regardant franchement.– Pourquoi t’étais-tu cachée derrière la porte, alors ?Elle détourna le regard, gênée.– On s’est toujours tout dit, la rassurai-je d’une voix douce. J’aimerais bien que ça continue.Elle hocha la tête et avala péniblement sa salive.– Je te regardais t’entraîner.– Se cacher pour me regarder ? C’est plutôt de l’espionnage, ça ; ou du voyeurisme, souris-je. Pourquoi n’es-tu pas entrée dans le dojo ?– Je ne voulais pas te déranger.– Tu es déjà venue t’asseoir plusieurs fois près de moi pour me regarder m’entraîner. Et tu ne m’as jamais dérangé, répliquai-je.– J’ai grandi, depuis… sourit-elle.– Oui, c’est vrai.
Soudain, je me souvins d’une promesse que je lui avais faite.– Tu as raison. Tu es maintenant assez grande pour que je puisse t’apprendre l’Aïkido et t’entraîner avec moi.Jessica fut d’abord surprise, puis un large sourire étira ses lèvres gourmandes.– Oh ! Je t’aime, Papa, dit-elle en se jetant brusquement à mon cou.Ses cheveux fouettèrent mon visage. Je glissai mes doigts dans leur douceur pour me dégager. J’en profitai pour respirer son odeur de femme. Je découvris qu’elle portait le parfum que je lui avais offert à Noël.À ma grande surprise, elle me serra plus fort dans ses bras. Sa poitrine vint se blottir contre mes pectoraux. J’avais innocemment posé ma main au creux de son dos. Je la déplaçai sur ses reins pour la rapprocher encore. Je retenais l’envie de presser son joli cul dans mon autre main ; aussi je la posai simplement sur sa hanche. Je m’y accrochais comme j’en avais eu le désir plus tôt.L’envie pressante qui se fit sentir dans mon sexe bien tendu me ramena à la réalité. Je me rappelai mon érection et je me décrochai subitement de ma fille, de peur qu’elle ne la sente.– On va être en retard ! m’écriai-je en regardant l’horloge. Je te dépose au lycée !– OK, dit-elle en partant chercher ses affaires.J’admirais ses longues jambes, galbées par ce jean très moulant, et allongées par de jolies bottes noires à talons qui lui montaient jusqu’aux genoux, et que je trouvais très excitantes.– Super, tes bottes ! lançai-je en lui tenant la porte à son retour.– Merci, sourit-elle.
Sur le trajet, ma fille posa sa main sur la mienne alors que je passais une vitesse. Je pris ses petits doigts aux ongles soignés et vernis dans ma main. Ce geste tout à fait innocent devint érotique lorsque je ramenai nos mains liées sur le haut de ma cuisse. Je ne voulais pas poser ma main sur sa propre cuisse : cela aurait-été déplacé. Cependant, j’estimai que mon sexe, encore en érection, placé de l’autre côté, était beaucoup trop proche de sa main. Aussi, pour ne pas montrer mon trouble et afin de ne pas y penser, j’engageai la conversation sur ses cours du jour. Ma tension redescendit progressivement.
Arrivés devant le lycée, je pris son visage dans une main et déposai un baiser sur sa joue.– Tu es très belle... Aussi belle que ta mère quand je l’ai rencontrée.– Arrête ! s’écria-t-elle. Tu sais bien que je la déteste ! Je ne veux pas lui ressembler !
Jessica sortit de la voiture en claquant la portière de colère. J’étais déçu qu’elle ait mal pris mon compliment. Je la regardai s’éloigner en admirant le joli déhanchement de sa démarche.
– Il faut vraiment que je me trouve une femme, moi, me dis-je à haute voix.
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