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Un père enchanté sous chantage

Chapitre 6

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Chapitre 6
Il fait les dernières vérifications sous l’œil du commissaire. Autour de la maison, la police ne laisse que deux policiers de faction. Chris en profite pour faire sortir Isabelle de la cave. Avec l’aide de Désirée partie en reconnaissance, il guide Isabelle dans une ferme abandonnée. Avec l’esclave de Monsieur Weeson, ils attachent Isabelle sur un matelas avec de quoi boire et manger. Sur ses yeux, on pose un bandeau. Loin de là, un petit avion à hélice décolle et se dirige vers les Pyrénées.

Dans le bureau, Chris reprend son souffle, Désirée vaque à ses occupations de chaque jour. Le commissaire débarque sans sonner, ni même frapper, comme s’il était chez lui. Devant lui, Désirée, à quatre pattes, sa robe de servante relevée sur ses reins, cul nu, lave le sol d’une éponge toute simple. Le commissaire toussote pour faire connaitre sa présence. 

« Maître Chris est dans le bureau, il ne quitte plus le téléphone. »

« Merci,  mais pour l’amour de.... »

« Pas ce nom ici, Monsieur, Monsieur Weeson serait d’une humeur massacrante s’il était cité. Si ma tenue ne vous plait pas, sachez, pour votre information que je ne fais qu’obéir aux ordres de Maître Weeson. »

Le commissaire a un mouvement d’humeur de la main et file dans le bureau. Il découvre un Chris tendu, se rongeant ses ongles. 

« Dans une heure, il balancera la rançon, on le suit au radar. Donc pas de souci. »

Chris ne lève même pas la tête, dans son rôle jusqu’au bout. Le téléphone sonne, la station radar à perdu l’avion de ses écrans, monsieur Weeson volerait trop bas. Le commissaire en rage en bouclant la communication. Une heure passe, puis une autre quand le téléphone sonne encore. Le commissaire regarde Chris qui se lève et décroche en tremblant. 

« Oui, allo ? »

« C’est toi mon amour, c’est Isabelle, j’ai réussi à m’évader, je suis près à la station-service, sur la national. Viens vite me chercher »« Je...oui...ok...j’arrive mon cœur, j’arrive. »

Sautant de joie, il fonce vers sa voiture, embraque Désirée au passage. Il roule si vite que la police peine à le suivre sur cette petite route étroite qu’il connait par cœur. Devant la station, Chris enfonce la pédale de frein, sort de la voiture comme un diable de sa boite. Il embarque Isabelle, fait demi-tour avant que la police n’arrive. Il prend un petit chemin, sort, embarque Isabelle, la couche, l’aime tendrement. Pendant que la police les cherche, eux font l’amour sous le regard de Désirée qui guette aussi.

Enfin, le couple laisse leur corps s’exprimer librement. Mais on ne perd pas de temps. On remonte en voiture, Chris roule cette fois normalement. Devant la demeure, il vient ouvrir la porte devant un commissaire hors de lui. Chris lui sourit. 

« Il le fallait, un jour sans elle c’est un supplice, cinq, c’est mourir un peu chaque heure qui passe. »

Isabelle semble ne pas être trop fatiguée, si, un peu, pour avoir pris son pied dans l’herbe, il y a une petite heure. Le temps qu’elle se lave avec l’aide dévouée de Désirée, Chris doit expliquer pourquoi il n’était pas revenu plus vite. 

« Simplement parce que Mademoiselle avait que Monsieur Chris lui fasse l’amour, amour qu’il fait très bien du reste. Fallait voir Mademoiselle exploser de bonheur, monsieur le commissaire."

Nouveau téléphone, l’avion est sur le retour. Isabelle arrive, la mine encore fatiguée, sur ses poignets la trace des cordes qui les enserrait avec ses chevilles. Tout naturellement, Chris la prend tendrement dans ses bras. Ils sortent dans le parc. Laissant un commissaire sur sa fin. Il les regarde s’embrasser tendrement. Désirée se pose à côté du commissaire.

« Ils forment un beau couple, eux, rien ni personne n’arrivera à les séparer. »

Le commissaire bougonne dans sa barbe de trois jours. Isabelle vient prendre place derrière le bureau de son père et commence le récit de son enlèvement, celui qu’elle a appris par-cœur. Elle force sur certains détails, n’hésitant pas à montrer son dos encore zébré par un martinet, ou sa poitrine, pas tout, encore rougie des coups de cravache. Enfin, sans gêne, elle montre son fessier, dégageant sa culotte. Le commissaire voudrait tenir le salaud qui a fait ça entre ses mains. Un homme rentre ventre à terre, Isabelle se lève, se précipite dans les bras de son père. 

« Chris et Désirée, ils sont venu me chercher. Je suis si heureuse de ne pas être morte. Ils mon si souvent fouettée pour m’empêcher de dormir. J’avais juste de quoi boire quand ils ne me pissaient pas dessus. Ils voulaient me violer, mais leur chef le leur a interdit. Il m’a semblé qu’il te connaissait bien. Il savait tes prénoms, les trois, même celui que ne donne jamais. Et puis, il y avait une femme avec eux. Une salope de la pire espèce, c’est elle qui me battait la plus part du temps. Désirée peut te dire comment est mon corps. »

« Chris, je te la confie, faut que je téléphone. »

« Oui monsieur. »

« Charles, Charles, Chris. Plus de vous entre nous, tu fais partie de la famille désormais. »

Chris emmène Isabelle dans sa chambre. Il est obligé de calmer sa douce, excitée que tout se soit si bien passé. À peine la porte fermée, délicatement, il la couche, enfonce sa tête entre les cuisses de sa belle amie. Les mains d’Isabelle appuient davantage, forçant Chris à donne le meilleur de lui. Dans la maison, très vite, les hurlements de bonheur d’Isabelle envahissent tout, de la cave au grenier. Ce qui a l’art d’agacer le commissaire et tous les autres policiers encore présent.

Devant la maison, les journalistes, encadrés pas la police cherchent à faire une photo du jeune couple. Bien obligé de se rendre sur le perron, Chris fait d’Isabelle une princesse en lui choisissant sa toilette avec un soin très particulier. Dehors, Isabelle répond aux questions. Quand elle ne sait pas, ou fait mine de ne pas savoir, c’est le policier responsable des communications qui répond ou suggère une réponse plus appropriée. Isabelle déclare avoir été quotidiennement battue à coup de martinet et de cravache. Trop tard, le policier n’a pas réussi à l’arrêter à temps. Dès l’information en main, seules les télévisions restent. Isabelle donne des signes de fatigue encore plus grands qu’à son arrivée. Quand son père arrive, Isabelle lui saute au cou. Charles adresse un clin d’œil complice à Chris. On les filme un moment avant que le trio ne rentre, il est l’heure de se restaurer. Cette fois, ils sont quatre autour de la table et pas trace de la police. Même Désirée se joint au trio sur ordre de Chris. On ne parle pas de l’enlèvement, de la rançon et de ce cirque fait autour. On parle avenir, mariage même.Cette fois, Isabelle baille aux corneilles. Chris l’emporte dans ses bras. Avant de monter, le commissaire l’intercepte. 

« Alors, on est content de la petite farce ? »

« Vous et vos suspicions, vous me faites... »

« J’ai vu la cave ! »

« Quel cave ? »

« Celle de l’aile est, le lit à colonne, les cordes, tout quoi ! »

« Et alors, si monsieur Weeson veut jouer au prisonnier avec sa servante, il est libre, il me semble. Quel con vous faites, décidément. »

Là, il vient de clouer le bec de ce flic soupçonneux en improvisant complètement. Dans la chambre, il retire les vêtements de sa douce, la borde en se couchant près d’elle, déjà endormie. 

La police est partie, sauf un homme, le commissaire qui peine à croire. Il insiste, renouvelant ses accusations envers Chris. Cette fois, c’est Charles qui vient, cravache et martinet en main et tirant Désirée, menottée, le dos nu et zébré par le martinet de son Maître. 

« Commissaire, je viens de calmer mes nerfs sur mon esclave. Si vous persistez... »

« Ça va, j’ai compris. Mais un jour ou l’autre, tout se sera. Bonne journée. »

On ne le raccompagne pas, on ne le salue pas, ils savent qu’ils sont passé à un cheveu de la catastrophe. On suit son départ depuis le bureau. Chris aide Désirée à remettre sa robe en place, embrassant son dos, agrémenté d’un doux merci. La voiture du policier quitte la propriété et Désirée s’insurge sur le foutoir laissé par ces policiers. Elle pestifère, insulte la police. Charles et Chris éclatent de rire.

Désirée arrive avec un plateau remplit d’un déjeuner pantagruélique. À trois, ils peinent à tout finir, laissant de quoi manger à Isabelle qui arrive en s’étirant encore. Sans honte, elle se met à genou près de Chris, pose son visage sur la cuisse de son amant et désormais Maître. 

« Si on m’avait dit que ma fille serait amoureuse d’un ferrailleur, je lui aurais ri au nez. Mais de là à devenir sa soumise, respect total. Désirée, donne une chaise à Isabelle, je t’en prie. »

« Bien Maître »

« Cesse donc, ma petite salope, cesse avec tes Maîtres à tout bout de champ. Plus la peine de nous cacher, les flics sont parti. »

Désirée sourit, vient embrasser son amant. Chris est même surpris. Charles lui explique que Désirée est bien sa soumise, mais le temps d’un jeu. 

« Du reste, faire l’amour avec toi, te masser, enfin tout ce que vous avez fait ensemble, elle pouvait le faire, elle me racontait tout après. C’est aussi pour ça que ma fille, entre tes mains, je sais qu’elle ne risque pas d’être malheureuse. Heu, si vous prenez ma voiture, là, vous voyez ce point sur cette carte, vous devriez y trouver de quoi vivre heureux un bon bout de temps. Maintenant, dégagez de ma maison et allez baiser chez vous, j’ai une petite salope à débaucher. Allez, filez, c’est l’heure. La clef est au contact. »

« Charles, jamais je pourrais vous remercier comme il se doit. »

« Si en rendant ma fille heureuse, en lui faisant vivre ses fantasmes comme je fais avec cette petite salope de Désirée. Et n’oubliez pas de m’écrire souvent. »

Dans la puissante anglaise, Chris a déjà sa main sur la cuisse d’Isabelle, ils roulent vers leur avenir. 

Fin, enfin, qui sait ? Peut-être pas après tout !

P.S. : Dès que j’ai su mon erreur avec Madame, j’ai pondu ça d’un trait. En gros depuis 7 heures ce dimanche 17 mai à jusqu’à 18 heures environ et envoyé sur le site. À tout bientôt.
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