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Père fille...et moi

Chapitre 2

Inceste
J’étais à cran, proche de gicler moi aussi, et j’envisageais de pénétrer Sylvie à mon tour pour profiter de sa chaleur et mélanger nos fluides, mais un bruit nous surprit. Nous nous figeâmes, tous les trois. Pas le temps de se donner une contenance, encore moins de se rhabiller, la mère de Sylvie était rentrée discrètement à la maison et en quelques minutes elle venait de nous surprendre dans la chambre !
J’avais subitement débandé. Vincent se tenait à poil, la queue pendante mais bien luisante du jus de Sylvie mélangé à son sperme. C’était vraiment « un, deux, trois, soleil ! », la situation figée, les positions de chacun ne laissant guère d’équivoque ! Pourtant le visage de la mère de Sylvie ne paru ni courroucé, ni outragé, ni même autrement surpris ! Moins que Sylvie et moi en tout cas.En s’adressant à moi, elle dit :
— Ah je vois ! Il s’en passe des choses en mon absence ! Et des pas banales ! Je suppose que vous êtes Louis, l’ami dont Sylvie nous parle tout le temps, n’est-ce pas ! Eh bien Louis, vous devez certainement vous demander où êtes-vous tombé! Une singulière famille de débauchés, n’est-ce pas ?Et toi, Vincent, tu as finalement réussi je vois ! T’es parvenu à tes fins, enfin ! Réaliser ton vieux fantasme : sauter ta propre fille ! Depuis le temps que tu en rêvais, hein. Tu m’en avait parlé plus d’une fois, tu te rappelles. T’as vraiment eu de la chance qu’elle ait cédé, c’était plutôt improbable… et surtout qu’elle ait un amant très, très complaisant qui ne s’offusque pas et te laisse aller à tes fins !Bonjour ma chérie, dit-elle en se tournant vers Sylvie, ça va ? Je dois t’avouer que tu as une mine resplendissante ! Dois-je comprendre que ça te réussi ? J’ai l’impression que tu n’as pas été trop contrainte par un père autoritaire, ni soumise à un amant complaisant, hein. Mais je reste persuadée que c’est Vincent qui vous a débauché tous les deux. Je me trompe ? Bon, il ne semble pas avoir eu trop de résistance. Ça lui trottait dans la tête depuis si longtemps. Quoique peut-être y avais-tu pensé toi aussi, Sylvie, non ?
Devant un tableau incroyable, impensable, elle n’avait vraiment pas l’air choqué, ni en colère, comme si elle assistait à une situation inévitable, ou envisagée, voire prévue, probablement fantasmée de longue date ; comme si finalement sa sortie n’avait été peut-être, en fait, qu’un aspect d’un stratagème monté en complicité avec son mari. Vincent n’avait l’air ni surpris, ni penaud, ni contrarié, ni morfondu non plus. Un léger sourire imperceptible lui donnait même l’air d’assumer plutôt aisément.
Odile, que je n’avais vu qu’en photo jusque là, était une assez belle femme. Sylvie lui ressemblait d’ailleurs, en un peu moins ronde. Elle n’était pas très grande, mais très bien proportionnée. Ses talons mi-hauts lui soulignaient la parfaite courbe des mollets : de jolies jambes fines. Sa jupe grise un peu ample et juste au dessus des genoux les mettait bien en valeur. Ses seins semblaient moins volumineux que ceux de sa fille. Malgré la saison chaude, elle portait un collant ou des bas légèrement noir. Elle avait un corsage assez fin blanc avec un motif en noir d’étoile qui faisait comme des zébrures. Elle était habillée avec goût, plutôt jeune, plutôt sexy. Ça tranchait sur nous trois à poil, Vincent et Sylvie sur le lit, moi debout à coté ! Mais pas un de nous n’avait esquissé un geste pour se couvrir.
— Oui ! Vous avez l’air d’avoir vraiment pris du bon temps, j’ai l’impression… Mais Louis, n’ayez pas cet air coincé ! Je conçois que vous soyez désarçonné. J’ai l’air désinvolte… mais, croyez-moi, j’en ai vu d’autres, même si je ne suis pas blasée ! Vincent et moi ne sommes pas des innocents, lopin de là. Sylvie le sait et vous l’a même probablement dit. Et elle semble avoir réussi à vous convaincre…A ce que je vois Sylvie, Louis est vraiment très obligeant… et partageur : te laisser te faire sauter… c’est assez rare chez un jeune amoureux… et par ton propre père! Probablement très voyeur aussi, à ce que je vois. Vous avez même fait le reportage photo ! C’est vous…enfin toi, Louis, qui a eu l’idée ? Je suis tombée sur un tournage de film X, en quelque sorte ! Mais quel était donc le scénario ? Improvisé, je parie. Quel dommage ! Verriez-vous une objection à ce que je fasse l’assistante… pour que Louis puisse aussi faire l’acteur ? Non ? Une photo de ma fille chérie encadrée par deux hommes, son père et son petit ami, se serait super érotique ça, non ? Mais mon pauvre Vincent, j’ai l’impression qu’il te faut reprendre quelques forces ! Je crois que ta fille t’a vidé, au propre comme au figuré, ma parole ! Je me trompe ?
Ce disant, elle avait saisi l’appareil photo que j’avais posé sur la commode. Elle ordonna :-Allez, Louis, allez les rejoindre. Approchez-vous de Sylvie. Et toi chéri, tu peux te remettre où tu étais avant que j’arrive ! Même si t’avais fini…fait comme si… Je ne me trompe pas, n’est-ce pas ? Ah Louis, si vous voulez que Sylvie vous fasse une fellation… une pipe quoi… il va falloir bander un peu plus que ça !
J’étais décontenancé ; la situation était surréaliste ! Ma petite amie se remet en appui sur ses bras, tendant son bas du dos pour permettre à son père de la reprendre en levrette, et sa mère m’ordonne de me joindre à ce jeu ! C’est en même temps extrêmement excitant. En m’approchant de Sylvie, je lui passe la main dans les cheveux. Elle n’a pas dit un mot mais se montre plus qu’obéissante. En la voyant ainsi et en regardant sa mère qui me mate, je rebande vite…-Oh, jolie queue, Louis! Allez Sylvie, prends-la dans ta bouche ! Et toi Vincent tu rebandes ? Non ? Dommage, tu aurais pu enfiler la moule de ta fille de nouveau, ça ferait de super photos. Je suis sûre que vous en étiez là avant que j’arrive…je me trompe ?
Alors que nous nous exécutons et qu’elle nous mitraille de photos, elle questionne son mari :-Alors Vincent ? T’es allé jusqu’au bout ? Je crois que oui ! Tu as joui dans ta fille ? C’était bon ? C’est comme tu en rêvais, la chatte de ta fille ? Tu y as pensé tellement souvent dans nos délires, hein ! Et vous Louis ? Ne restez pas passif ! Allez, insistez, enfoncez bien votre queue, que Sylvie la pompe ! encouragez-la…Tu aimes bien sa queue, hein Sylvie ? En tout cas, tu en donnes vraiment l’impression. Hum, très excitante cette scène…très, très excitante… ça donne des idées… que dis-je, plus que des idées, des envies… Je crois bien que je ne vais pas pouvoir rester simple voyeuse longtemps. Avec Vincent, je vous l’annonce Louis, nous avons toujours été acteurs jusqu’à présent, n’est-ce pas chéri ? Bien sûr nous avons fait des petits films avec des amis, mais nous étions plus souvent devant la caméra. Sylvie doit bien le savoir, j’en suis sûre. Je sais qu’elle nous a parfois espionnés lorsque nous recevions ces amis… Si ça se trouve, elle a vu certaines des K7 ! Alors, peut-être que je pourrai me joindre à vous ? Qu’en dites-vous ? non ?Vincent ajouta, malicieux :-Tu demandes notre autorisation ? Vraiment ? Ça ne te ressemble pas.

Odile avait posé l’appareil photo. Elle déboutonna prestement son corsage mettant en évidence un soutien-gorge presque transparent qui laissait saillir des tétons bien durs, gros comme des noisettes.— Aurais-tu imaginé, demanda Vincent, « jouer » un jour avec ta fille et son amant, ma chérie ? Tu sais, je suis convaincu que pour Sylvie et Louis c’est leur première « partouze ». En tout cas une telle situation. N’est-ce pas, les amoureux? Mais s’ils sont d’accord, bien entendu. Et si j’en juge par leur attitude, je ne crois pas qu’ils aient d’objection. N’est-ce pas ?
Ni Sylvie ni moi ne décrochâmes un mot. C’était du plein délire. J’étais médusé et un peu somnambule. J’assistais à une partie entre Sylvie et ses parents… et moi, j’étais associé à ce jeu incestueux ! Je regardais, fasciné, Odile enlever sa culotte d’un geste que je trouvais d’une grâce excitante après avoir fait prestement glisser sa jupe. Elle n’avait pas de porte-jarretelles mais elle garda ses bas noirs. Pourquoi les avait-elle mis, puisqu’elle était visiblement adepte du bronzing intégral ? Elle détacha le soutien gorge, libérant ses deux seins pas très gros mais aux tétons très arrogants. Plus tard, je me dirai que sa tenue ne devait rien au hasard. J’admirais désormais son beau corps de femme mûre, sa toison pubienne légère et parfaitement taillée qui laissait deviner sa fente et ses seins biens ronds aux aréoles bien brunes. Elle s’approcha de moi, resté debout au bord du lit : -Pardon Sylvie, tu permets que je goûte Louis? Je ne voudrais pas que tu t’empoisonnes ! dit-elle avec un grand sourire.S’asseyant alors sur le bord du lit, elle saisit ma verge d’une main et l’engloutit immédiatement dans sa bouche. Vincent, sans doute à la vue de sa femme s’occupant de moi, avait retrouvé quelque vigueur et semblait avoir retrouvé le chemin du fourreau de Sylvie. Il s’agitait dans un mouvement de va et vient lent qu’elle accompagnait doucement. Odile suçait en experte, et son regard avait une façon de fixer le mien qui m’excitait au plus haut point ! Je sentais sa langue titiller mon gland, puis elle m’absorbait profond dan sa gorge et elle me re dégageait. Elle s’était volontairement mise en position de profil, que Vincent la voit bien engloutir et ressortir ma queue de sa bouche.C’est là que j’entendis Vincent dire d’une voix un peu rauque et voilée: - Regarde ta mère sucer ton petit copain, Sylvie ! Tu l’as déjà vue sucer des bites, hein ? Mais oui, je parie, quand tu nous espionnais à certaines de nos soirées, n’est-ce pas ? Tu as pu voir qu’elle aimait ça ! Et ceux à qui elle le faisait en redemandaient ! Tu n’as pas peur qu’elle suce mieux que toi, et que Louis ne pense plus qu’à ça ?C’était vrai qu’elle suçait d’une façon terriblement excitante. La bouche d’Odile était experte. Tout en continuant à pilonner doucement sa fille, il ajouta :— Tu ne me croiras pas : Quand on s’est connus, ta mère ne le faisait pas, elle s’y refusait même. La fellation semblait la repousser. Puis je lui ai fait découvrir, à ma demande insistante. La première fois qu’elle me l’a fait, c’était pour me faire plaisir, pour m’exciter. Ça a marché, tu parles ! Je n’ai pas tenu longtemps. Je l’ai prévenue que j’allais jouir, mais elle m’a gardé. J’ai giclé et abondamment. Elle m’a gardé en bouche, a avalé mon sperme et elle s’est aperçue qu’elle aimait ça, vraiment ! Et quand on a vu des amis elle a réalisé qu’elle adorait sentir les hommes se raidir et gicler dans sa bouche, se vider en râlant. En même temps elle aime les regarder jouir ainsi… et que je la regarde ! Elle dit qu’elle adore sentir le sperme envahir sa bouche. Un jour d’une super partie, t’imagines pas, elle a vidé quatre hommes, pratiquement à la suite ! Et a presque tout avalé ! Je te jure qu’il n’y avait pas beaucoup de sperme à coté ! Et les mecs se branlait pour rebander et y retourner, tellement ils avaient aimé!
Le visage de Sylvie était presque à la hauteur de celui de sa mère, il était rouge d’excitation et bougeait en cadence. Elle regardait de près Odile faire entrer et sortir ma bite de sa bouche. Elle avait les seins qui ballottaient au rythme des coups de reins de son père. Alors sa mère lui en saisit un et commença à le malaxer en douceur. -T’as de beaux seins ma fille, plus gros que les miens. T’es vraiment une belle nana excitante… dit-elle en libérant ma verge. Puis la guidant d’une main, elle murmura à l’adresse de Sylvie : -A toi ma chérie! Suce-le ma douce. Je veux te voir faire…pompe la queue de ton amant… de Louis…Puis soudain, alors que Sylvie me prenait bien en bouche, elle m’interrogea :-Et vous, enfin toi, Louis, tu lui bouffes la chatte ? J’imagine que oui, n’est-ce pas ? Elle est bonne ?... Tu aimes ça ? … Ses questions fusaient et n’attendaient pas les réponses :— Et la mienne, dis moi ? T’aurais pas envie de la brouter ?... Moi j’aimerais bien essayer, j’adore ça. D’accord ?
Ce disant, elle s’allongea sur le dos, se glissant sous Sylvie en se faufilant et présentant ses cuisses bien écartées, les jambes pliées au rebord du lit. Ainsi positionnée, elle devait avoir son visage dans l’entre cuisses de Sylvie, sous la verge de Vincent qui pistonnait sa fille. Elle m’exhibait sa superbe chatte sous le visage de Sylvie. L’excitation avait fait son œuvre, les grandes lèvres étaient bien ouvertes.Sans hésiter, je dégageais ma verge de la bouche de Sylvie, ce qui me permit de reprendre le contrôle, car j’étais à cran, sur le point d’éjaculer.Je m’agenouillais pour brouter cette excitante vulve béante et visiblement bien humide. Elle avait de jolies petites lèvres aux bords dentelés un peu brun. Un coup de langue me suffit pour finir de dégager son clitoris de la taille d’une myrtille rose pâle, un peu plus saillant que celui de Sylvie. Je ne pus pas résister à enfiler deux doigts dans son ruisseau rose mouillé et je tétais avec délectation le joli bouton, le faisant rouler sous ma langue. Mes doigts furent rapidement trempés. Je les faisais aller et venir sur la partie légèrement rugueuse de son vagin tout en aspirant ce que je pouvais de son clitoris et je l’entendis dire :— Ooooh… Elle est bien servie ta fille, Vincent… je ne parle pas de toi…mais son petit copain lèche super bien. On sent… qu’il aime ça ! Hein, Sylvie ! C’est bon ! Et je dois reconnaître : c’est super excitant d’être broutée et de te voir baiser Sylvie ! Sa jeune chatte aspire bien ta queue, hein Vincent ! Je peux… toucher ?Nous étions silencieux, Sylvie, Vincent et moi, trop concentrés à nos « ouvrages » et excités par les paroles de Odile. Elle continuait :- Ooohhh…. Je pense que je…. vais…. prendre du… plaisir ! Continue Louis, conti…nue…oui bouffe-moi …la chatte comme ça…oui, tes doigts comme ça … Et toi Vincent… fourre pro…fond… et fort… ta fille…ça me…ça me…
Je sentis alors son corps se cabrer, ses reins redressant sa vulve que j’absorbais plus goulûment, puis se tétaniser. Ses muscles vaginaux serraient très fort mes doigts. Elle échappa un râle rauque puissant, mais intelligible :— AAHHOUUUIII…OUIIIIII !J’avais arrêté de lécher. Je gardais ma bouche ouverte appliquée sur sa chatte, et je sentais sur ma langue le goût de sa liqueur qui paraissait plus abondante et inondait mes doigts et même le dessus de lit. Sentant qu’elle « redescendait », j’enlevais précautionneusement mes doigts de sa chatte, qui restait épanouie. Mais moi, je n’y tenais plus. Les jambes un peu pliées, je présentais prestement mon gland bouffi devant son fourreau trempé. Je n’eus pas à appuyer bien fort pour enfoncer toute ma bite en elle. Ses muscles m’enserraient tant qu’elle semblait aussi étroite qu’une vierge. Déconcertant pour une femme qui semblait avoir une vie très « expérimentée ». Cette étreinte bouillante était voluptueusement excitante.
Sylvie, les yeux effarés, fixait de près mon bâton raide, gonflé à exploser, empalant l’intimité de sa mère. Je prenais du plaisir à la laisser me regarder de près limer ce vagin maternel, puis je tentais de redresser son visage, une main sur chaque joue, pour l’embrasser. Je l’imaginais docile mais elle résista, hypnotisée par mon mandrin pilonnant la moule d’Odile et toujours agitée en syncopes sous les poussées désormais bien vigoureuses de Vincent. Je voulais fourrer ma langue dans sa bouche pour lui faire partager le goût de la liqueur intime d’Odile que j’avais gardée. Mais la situation fantasmatique et l’orgasme si violent d’Odile nous avaient conduits tous trois au paroxysme ! Ce n’était plus qu’une question de secondes.
Presque simultanément notre plaisir explosa, violent et assez bruyant ! Alors que je répandais mon sperme en puissantes saccades jubilatoires et libératoires au fond du ventre d’Odile, en grognant à chaque poussée, Vincent faisait visiblement de même dans la moule de sa fille. Sylvie, également à l’acmé, probablement augmentée par les doigts ou la langue de sa mère, leva les yeux vers moi, se raidit, hoqueta ou plutôt « feula » bruyamment, le corps parcouru de frissons.Nous restâmes u, instant figés, puis tous trois, sans un mot, en pamoison, nous retombâmes en planant comme des animaux fourbus.
Le lit paraissait maintenant bien étroit pour accueillir quatre corps non enchevêtrés ! Je me répandais en tendresse et en gestes câlins envers Sylvie qui me les rendait, alors que Vincent échangeait de même son épouse. Nos corps repus étaient effondrés, vidés, pendant un instant.
Odile, ayant récupéré avant nous, annonça :— C’est pas tout ça, mais ça donne faim ce genre d’activité. Je vais faire un brin de toilette, ça s’impose, n’est-ce pas Louis, et préparer un thé et des gâteaux !Elle se redressa gracieusement et partit dans la salle de bain. Je me penchais vers Sylvie et lui demandais bêtement : Ça va, chérie ?Et sa réponse fut : hou, la, la ! houuuu !
Vincent enchaîna :— Merci les enfants pour cet agréable après-midi. Vous avez été superbes tous les deux. Vraiment ! Alors Louis ? Sylvie ne t’avait peut-être pas dit qu’elle avait des parents très…disons libertins ? Odile et moi savions qu’elle avait surpris plus d’une fois nos jeux, mais nous avions feints de ne pas nous en être aperçus. Plus d’une fois j’avais été tenté de l’associer, mais Odile était contre. Il n’était pas question de l’entrainer dans notre… débauche. Et puis l’inceste est toujours un sérieux tabou, n’est-ce pas ?— Ben…heu…aujourd’hui…me risquai-je…— Ben aujourd’hui, enchaîna Vincent, je crois que tu y es venue volontiers. Hein Sylvie ?D’une voie enrouée et basse Sylvie répondit :— Je vous avais vus à l’œuvre, si on peut dire. C’est vrai, ça m’avait donné des envies…et dans mon imaginaire, tu as été plutôt une référence, Papa. Mais là, faut dire aussi que tu as su nous entraîner. Hein Louis ? En fait, dis-nous la vérité. Ça a tout l’air d’un coup monté par toi et maman, non ?
Odile sortit de la salle d’eau, complètement nue et un sourire complice et se dirigea vers la cuisine.-Non, pas vraiment, continua Vincent. Avec ta mère, j’avais souvent déliré en t’imaginant associée nos jeux. Elle me chambrait, on délirait, mais ça n’allait pas plus loin.— Bon, moi aussi je dois faire un saut à la salle de bain, dit Sylvie en se levant, car j’ai l’impression que tu as été particulièrement généreux, papa, et plus d’une fois !Je restais donc seul avec Vincent.— Tu te demandes dans quelle famille débauchée tu es tombé, hein Louis ? Vous êtes jeunes, c’est vrai, et vous n’avez probablement pas déjà les fantasmes des plus anciens. Je me trompe ? Ou en tout cas vous n’avez pas du en parler. Si ? Lesquels ? Allez, raconte Louis. Tu en as trop dit ou pas assez !Encouragé, libéré par l’expérience fantastique que je venais de vivre, je m’élançais, commençant l’anecdote du bois…
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