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Périple dans les cyclades

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Après un transfert vers le port, nous nous retrouvons, Anne et moi, vers 23h00 au milieu d’une cohue indescriptible, avec un millier d’autres personnes attendant d’embarquer dans un ferry pour la première île à visiter.Nous étions serrés l’un contre l’autre, tassés avec nos bagages comme un jour d’exode, ce qui était un peu le cas puisque les grecs partaient aussi en vacances à ce moment.Il fallut attendre que les arrivants se frayent un passage parmi les partants pour entrer à notre tour.Nous entrons enfin dans le bateau et allons vers le steward pour demander notre cabine (pour deux). Il nous amène dans une cabine quatre places, où se trouve un autre couple de la quarantaine. Nous apprendrons plus tard qu’ils sont nouveaux mariés et que c’est leur voyage de noces. Malgré nos récriminations, il est impossible de changer de cabine pour avoir notre intimité. Vu l’heure tardive nous nous résignons à passer la nuit ainsi. L’autre couple nous demande si cela nous gêne qu’ils dorment ensemble dans la même couchette. Nous leur répondons que non et que nous en ferons aussi de même.Après nous être désaltérés au bar, nous nous couchons en face de l’autre couple. Le bateau sort du port. Il est presque deux heures du matin.Vu l’étroitesse de la couchette, la lumière éteinte, Anne se met le dos contre moi qui suis contre la coque.Rapidement, le choc des vagues se joint au bruit des machines, pour nous jouer une symphonie qui au lieu de nous bercer, avec la fatigue, nous empêche de dormir. Ce n’est pas le cas du couple d’à côté puisque nous entendons un léger ronflement à certains moments.Je tiens Anne par la taille et mon bras droit est sous son cou.Je rappelle qu’elle était partie sans culotte, et sans soutien-gorge puisque la robe en faisait office.Afin d’être moins serrée, elle me demanda de lui ouvrir la fermeture éclair car la robe l’oppressait couchée. Ce que je fis.Petit à petit, je ne pus m’empêcher, de lui caresser les seins. Cette caresse innocente sous le drap ne lui déplaisait pas puisqu’elle laissait faire.Ma main gauche descendit pour trouver ses fesses nues puisque la robe très courte était bien remontée. Elle ne réagit pas.Je lui glissai la main entre les cuisses pour prendre sa motte. Elle se retourna et me souffla: — Arrête, c’est pas possible ici, les gens sont à un mètre de nous et en plus depuis l’aéroport j’ai la chatte pleine et les cuisses avec du sperme séché.Je continuai malgré tout.Mon sexe commençait à gonfler et je le sortis le plus discrètement possible du short pour le mettre au contact du cul d’Anne.Elle se retourna sur le dos pour me chuchoter :— Tu ne vas quand même pas me sauter à côté de ces gens, dans des WC publics c’est une chose, mais là, imagine qu’ils allument et nous voient, nous sommes tête bêche par rapport à eux, ils pourraient avoir pleine vue sur mon cul !.Sans mot dire, je lui baissai la robe jusqu’au nombril avec le drap.— continue, tu me mets les seins à l’air maintenant ! Si ils sont réveillés, qu’ils allument, on donnera un beau spectacle !.Je continuai pour toute réponse à descendre sa robe et prendre sa chatte avec ma main gauche tout en lui caressant les bouts que je sais très sensibles avec la droite.Elle était maintenant complètement à poil.-Tes caresses font du bruit avec ce que tu m’as mis tout à l’heure, je suis encore pleine de sperme !-Tu n’as qu’à écarter les cuisses on entendra moins.Elle s’exécuta mais me chuchota à nouveau :— maintenant si ils allument, j’aurais les cuisses écartées et ta main dans ma foune toute ouverte, merci pour la réputation !— Tiens, prends le au moins çà t’occupera dis-je en lui mettant mon sexe dans la main gauche.Elle commença à me masturber doucement et mon sexe devint très dur.Ses caresses et mon sexe dans sa main firent qu’elle commença malgré tout à bouger son minou contre ma main en soufflant. Ses bouts étaient durs et sensibles à mes caresses.— il faut arrêter çà nous nous mènera à rien, on peut pas ici j’ai envie et çà fait du bruit.Sans un mot, je finis de lui enlever sa robe chiffonnée et baissai mon short complètement.— Non pas çà ici, si ils allument, j’aurais l’air d’une trainée, ils auraient pleine vue sur mon cul, en train de me faire mettre.Je me glissai sur elle et lui glissai à l’oreille : tu voulais être ma pute, vas-y. Après une hésitation, elle écarta les cuisses, mit elle-même ma bite dans son con tout ouvert, enserra mon torse avec ses cuisses et je commençai le plus doucement possible mon va-et-vient dans son ventre.Son souffle s’accéléra, elle se tendit et dans un chuchotement à peine perceptible, elle me dit :— Remplis moi, j’ai envie d’être pleine, vite !Je m’exécutais volontiers.
Après quelques instants, le plus discrètement possible elle se rhabilla et moi aussi.Comprenant que la nuit était presque finie, je descendis de la couchette pour laisser dormir ma chérie et je sortis pour aller sur le pont prendre un premier café. En ouvrant la porte de la cabine, un rai de lumière entra depuis le couloir et j’aperçus le couple couché comme nous sur le côté. Le mari dormait à poings fermés mais la femme les yeux grands ouverts m’observait, un peu comme si j’étais un martien. Je pense que nos galipettes n’avaient dû lui échapper !
Suite au chapitre 3 : visite d’une île volcanique bien connue.
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