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Périple dans les cyclades

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
Le bus nous pose presque devant l’hôtel. Nous entrons.Notre réceptionniste voyeur est toujours à son poste. Je m’approche du comptoir pour me renseigner afin de savoir si le voyagiste a déposé un message pour la suite de notre séjour.Anne, à côté de moi, a les joues rouges. Je sais qu’elle a honte de s’être offerte au regard de ce libidineux, cet après-midi (chap. 3), de s’être laissée voir en train de se faire pénétrer, en train de se masturber, devant cet inconnu.L’homme regarde alternativement son ordinateur et Anne. — Tu as vu comme il me mate ? Je pense qu’il me voit comme une pute, j’aurais pas dû me laisser voir comme ça, je suis honteuse de ce que j’ai fait !— Je crois qu’il se doute de ta gêne et il en joue pour te mater sans vergogne. Je suis sûr qu’il ne serait pas contre un pourboire.— De quoi tu parles ?— Je pense qu’il ne demande qu’à voir ton anatomie de près.— Tu es fou ! ; Il me mate avec son air vicieux, si tu n’étais pas là, je crois qu’il me violerait. Et puis on est dans un hall à la vue de n’importe qui.— Sauf qu’il est deux heures du matin que tout est calme et que l’on voit le parking d’ici.— Non, je n’ai jamais fait ça et il me fait peur.— Bon, tant pis.Je fais semblant de ne plus m’intéresser à la question, et me plonge dans la lecture du descriptif des excursions. Anne me tient le bras, la tête contre mon épaule. Le vicelard continue de la mater tout en surveillant l’écran d’ordinateur.Anne lève les yeux vers moi.— Ca te ferait plaisir que je me laisse mater par ce cochon ?— Oui.— Demande le moi alors chéri, je le fais pour toi. — Vas-y, exhibe toi devant lui pour moi.Anne s’appuie avec son ventre contre le comptoir. Elle est rouge. Elle attrape le lacet et tire dessus, puis, délicatement, tire sur le tissu et l’écarte. La robe glisse de ses épaules et les seins apparaissent. Elle a le torse nu.Elle a décidément une belle poitrine, un 95c avec une régularité et un galbe magnifiques malgré ses grossesses.
Anne tourne la tête vers moi. Elle ne veut pas voir le réceptionniste saliver sur ses mamelles.Celui-ci regarde Anne et moi alternativement. Il me voit consentant et elle, soumise.Il avance sa main pour toucher. Il me regarde à nouveau pour voir si je réagis. Je veux voir jusqu’où Anne sera capable d’aller. D’un hochement de menton j’approuve.Il prend le sein droit d’Anne, par le dessous. Elle tressaille.
— Tu veux que je me laisse toucher ?— Dis que tu as envie pour moi.— J’ai envie si ça te fait plaisir, mais j’ai les tétons douloureux, ils ont été sollicités aujourd’hui.
Le type caresse les bouts. Ils sont tendus.Anne se laisse faire les yeux fermés.Il lui attrape les seins à pleines mains pour les pétrir.Je prends l’appareil photo pour filmer Anne en train de se faire branler les nichons par ce vieux.— Non, s’il te plait, pas ça j’ai honte de ce que je fais, ne m’humilie pas en me filmant comme ça.— Si tu le fais c’est que ça te plait, non ?— C’est compliqué. Je sais que ce n’est pas bien pour une femme de se montrer comme ça et encore moins de se laisser tripoter, par ce type visiblement vicieux. Mais le fait de me conduire comme une traînée, devant toi, en plus, me fait chaud au ventre. J’aime la sensation que ça provoque entre mes cuisses. Mais j’ai peur de me revoir après, dans cet état.Je fais semblant de ne pas avoir entendu.Le type prend Anne par un bras, l’amène au bout du comptoir et l’appuie contre. Il lui pose les coudes sur le comptoir, pour faire ressortir son torse. La robe ne tient que sur ses avant-bras. Il lui caresse le ventre, puis fait glisser sa robe des bras.Elle l’attrape par devant pour ne pas la laisser tomber complètement. Elle est nue jusqu’à la taille.— il va me voir le cul ! J’ai pas de slip et je suis encore pleine de jus !Il passe ses mains le long de ses cuisses en lui montrant qu’il fallait qu’elle remonte sa robe pour qu’il voie son entrejambe. Il cherche à lui baisser la culotte. Il ne la trouve pas. Il la regarde et brutalement lui remonte le peu qui cache son sexe.— putana !, porca !Il lui met la main à la chatte et la ressort gluante. Il l’essuie sur son ventre. Il a compris qu’elle vient de se faire sauter à la sauvette, qu’elle n’a même pas pris la peine de se reculotter, quelle s’est promenée presque à poil, le vagin rempli de sperme.Il enlève la robe des mains d’Anne et la laisse tomber. Ma femme est nue sous le regard vicieux de cet homme.Il lui écarte les cuisses et commence à la branler. Elle se laisse faire. Je m’approche pour la voir ainsi. Elle me regarde et me dit :— Je fais ça pour toi, par amour, je sais que tu avais envie que je me laisse tripoter. Filme-moi pendant que je me prostitue pour toi. Une main dans son con, une autre sur son sein, le type continue sans vergogne.— Il me tripote le vagin avec ses sales mains. Je pense ressentir le même dégoût que ces filles au bord des routes. Parce que là je suis en train de faire une passe pour toi !L’homme prend Anne par les épaules et la retourne. Il lui fait mettre les mains et la tête sur le comptoir, ce qui l’oblige à se baisser et à faire sortir son cul. Il lui fait écarter les cuisses, puis se met de côté.D’une main, il masturbe son sein, de l’autre, il prend son con à pleine main puis la pénètre sans douceur. Anne ferme les yeux et souffle alors qu’elle subit les mains de ce vicelard.— Tu as l’air de sentir du plaisir, je me trompe ?— C’est vrai, mais je ne veux pas, il me dégoûte et je me dégoûte aussi de ressentir du plaisir avec cette main dans mon vagin et l’autre qui essaie de me traire comme une grosse vache.— J’ai envie que tu te laisses aller. Je suis sûr que tu as envie de te laisser baiser.
Anne me regarde les yeux mi-clos, son sein libre ballotte. Elle est en nage.— Je veux que tu me le demandes.— Fais-le !— D’accord chéri, je vais faire le tapin pour toi, et même plus, je vais me laisser branler et jouir par ce mec devant toi puisque tu aimes.L’homme se met derrière Anne, dégrafe son pantalon, ouvre sa chemise et sort sa bite. Elle est grosse, encore un peu molle, violacée, avec de grosses couilles poilues.Il veut la baiser. Je lui fais signe que non : ni dans la chatte, ni dans la bouche car nous n’avons pas de capote. Il semble déçu. Il demande à Anne de le branler. Avec dégoût, Anne prend sa verge en main et commence ses va-et-vient. Elle passe sa langue sur ses lèvres.— J’ai soif, donne moi ma petite bouteille d’eau dans le sac.— Tiens, désaltère-toi. Dis-je en la lui tendant.— Merci. — Elle boit et au moment de me rendre la bouteille, se la fait prendre par son branleur.Il la tient par le goulot et la dirige vers l’entrée du vagin d’Anne.— Il veut pas me la mettre !, quand même, je veux pas, pas ça ! Il va m’éclater la chatte si il fait ça.— - Je ne pense pas, je t’ai mis ma bitte, à peine moins grosse il y a deux heures. De plus, ton trou est dilaté depuis tes accouchements et tu es, pour le moins, très lubrifiée. J’ai envie que tu jouisses comme ça !
Vaincue, Anne aide la pénétration en écartant sa vulve avec ses doigts.Le type fait rentrer doucement la bouteille jusqu’à ce qu’Anne crie.— Il me l’a fourrée jusqu’à l’utérus, je suis complètement dilatée.
De trois quarts, je filme l’homme en train de baiser Anne avec la bouteille qu’il ne peut plus tenir que par le goulot tellement elle est rentrée. De son autre main, il continue à lui masturber le sein gauche, tandis qu’Anne le branle.Elle a le souffle court. Elle est secouée par ce qu’elle se prend dans le con.-Dis- moi ce que ça te fait.— J’ai mal mais en même temps du plaisir : je sens mes nichons enflés, mes bouts tout durs, regarde ! Il me baise avec une bouteille annelée qui me ramone comme jamais et en plus dès qu’il peut, il tape mon clitoris que je sens dur. Je sens que je vais jouir !Le type a senti qu’Anne était très chaude. Il accélère le mouvement.Anne fait des mouvements de bassin pour s’empaler sur la bouteille.-Allez, oui, oui défonce mon con, plus vite, allez, c’est fou ce truc dans ma chatte ! Anne me regarde trempée de sueur, les cheveux collés.— Oui, oui ça te plait quand je suis comme ça ?. Regarde comme je me fais baiser devant toi !— Allez, jouis, je te filme.— Oui, filme-moi en train de me faire troncher, à poil, par n’importe qui, au milieu d’un hôtel. Ouiiiiihhh ;ouiiiiiiihh, aaaaahhhhhhhh !!!!!!.
Je vois Anne jouir sous mes yeux : des spasmes secouent son ventre. La bouteille a presque disparu dans vagin. Ses cuisses s’ouvrent et se ferment. Elle se cambre, les yeux mi clos, sa bouche ouverte laisse s’exprimer son plaisir. Le type lui palpe le cul et la moule sans douceur. Elle a l’air d’aimer ainsi.Progressivement, elle se calme.Elle semble dévastée par son orgasme, je la vois se relâcher. Je continue de la filmer. Elle a le regard vide, les yeux cernés par ce que je lui ai fait faire cet après-midi et cette nuit. Elle a abandonné toute pudeur. La bouteille est restée dans son trou complètement ouvert. Les grandes lèvres sont comme troussées.
Le type la redresse, la remet de face. Il l’empêche d’enlever son gode improvisé et l’oblige à fermer ses cuisses. Puis il lui prend les deux mains qu’il pose sur son sexe tendu maintenant. Il lui a fait mettre les doigts autour de sa verge pour faire comme un vagin improvisé dans lequel il coulisse. Il lui a pris les seins à pleine main. Je sens qu’Anne a mal mais se laisse faire pour qu’il en finisse.Il la fait mettre à genoux ; Anne dit :— Non ! Je ne veux pas le sucer. Il n’y a que toi que je veux dans ma bouche.— Je m ‘apprête à intervenir mais il prend à nouveau les mamelles d’Anne et se caresse dessus.— -Qu’est-ce qu’il veut ?— Une branlette espagnole : prends tes nichons et branle-le avec.Elle s’exécute.Brusquement, il éjacule sur ses seins à gros jets. Le sperme coule sur son ventre. Elle se relève, souillée.— Je suis pleine de foutre de ce porc, constate-elle, les mains en arrière appuyées sur le comptoir, vaincue. — Je suis devenue une traînée pour toi. Si ma mère me voyait comme ça, à poil, maculée de sperme, une bouteille dans le con ! Car je ne peux plus appeler ça mon sexe ce soir, c’est un trou et je l’ai offert à n’importe qui.
Elle laisse le type étaler sa semence sur son ventre. Celui-ci la fait se retourner, puis il essuie sa queue sur ses fesses, ramasse sa robe et finit de s’essuyer dessus.Il lui claque une fesse et se rhabille. Puis il lui montre la direction de notre chambre et lui dit dans sa langue un truc que l‘on pourrait traduire probablement par : « dégage maintenant putain ». Anne s’en va sans réaction. Elle enlève la bouteille. Je la suis. En passant, le type me remercie. Je prends le bras d’Anne, nue encore. Elle ne veut plus se rhabiller, sa robe est poisseuse, elle encore plus. Nous rejoignons notre chambre sans rencontrer quiconque.Anne va se doucher, moi ensuite, puis nous nous couchons dans les bras l’un de l’autre sans mot dire.
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