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Pervers Noël

Chapitre 1

Hétéro
Tous les gamins apprennent un jour ou l’autre, par leurs parents ou leurs camarades de classe et avec plus ou moins d’émotion d’ailleurs, que le père noël n’existe pas. Et si tout ce petit monde avait tort ? Et si Coca-cola, qui en a inventé la version moderne, s’était inspiré d’un personnage existant ? Vous imaginez le délire ? Bon par contre il y a fort à parier qu’il ne soit pas forcement le type de personnage qu’on imagine.
Vingt-cinq décembre, quelque part en France l’aube se lève. Partout, dans chaque foyer, les enfants se sont levés pour déballer leurs cadeaux. Sortant d’une ruelle sombre, un homme, barbe blanche, habillé de rouge et de blanc et une silhouette assez forte se dirige vers un des rares bars ouvert en ce jour de noël. Ce bar, le gérant l’ouvre pour offrir un verre aux nécessiteux du quartier. Cet homme en habit de père noël entre et se dirige vers le comptoir.
— Oh salut Nico ! Alors cette tournée ça a été ? demande le barman avec un air moqueur.— Crevante comme chaque année. Sert moi un calva. J’ai besoin d’un coup de fouet. J’ai une longue route pour rentrer.— Tiens, voilà ton verre …. C’est vrai que t’as des petits yeux.— Plus de vingt heures d’affilé à distribuer des paquets à des mioches braillards et exigeants, ce n’est pas facile mais, cette fois, j’ai quand même eu une bonne surprise.— Tu m’en diras tant.— Figure toi que j’ai tiré un coup hier soir.— Non C’est vrai ?— Ouais, c’était au début de ma tournée. J’étais au-dessus d’une bourgade de campagne au States pour aller dans la maison d’un gamin, le genre petit con de service gros, con, gueulard et prétentieux. L’année dernière, c’était un vrai chieur de première mais, je ne sais pas pourquoi, cette année il a radicalement changé.— Ah ouais ?— Dans sa lettre il avait écrit un truc du genre « Cher père noël, cette année je ne veux pas de jouet, garde les pour les plus pauvres ».— Sympas le gosse.— Attend, le mieux c’est la suite. Il a enchaîné par « Je vis seul avec ma maman depuis que papa est parti donc si tu pouvais lui offrir un petit quelque chose pour lui redonner le sourire ce serait sympas ».— Il est adorable ce môme.— Devant tant de gentillesse et pour les efforts qu’il avait fait je me suis pointé en personne chez lui, et c’est quand je mettais les cadeaux sous le sapin que je me suis fait surprendre par sa mère, armé d’un manche à balai, qui m’a prise pour un cambrioleur.— Merde ! et du coup t’as fait quoi ?— Bah en fait sa mère était en robe de chambre qui laissait deviner ses formes. Putin elle était bandante. Je lui ai pris son manche à balai et elle m’excitait tellement que ….. Bah je l’ai foutu à poil.— Et alors ?— Bah elle s’est senti désarmée et m’a presque supplié de ne pas lui faire de mal. Moi je ne voulais pas lui faire de mal alors, voyant qu’elle se laissait caresser …. je me la suis faite.— Elle s’est laissé faire ?— Au début non pas trop. Elle faisait un peu la gueule, mais quand j’ai commencé à lui lécher le bigorneau et à lui ploter ses gros nibards, j’ai bien senti qu’elle se laissait aller. Elle était visiblement en manque de sexe et, se faire tringler par Papa Noel, ça avait l’air d’être un de ses fantasmes— Et ensuite ?
— J’ai enlevé mes fringues et on a fait ça sur le canapé. Elle suçait bien la salope et puis quand j’ai commencé à la limer elle s’est mise à couiner ….— Au moins t’as passé une bonne soirée. Elle s’appelle comment ?— Ça j’en sais foutre rien et je m’en branle. — Tu ne lui as pas demandé ?— Non et je m’en bats les couilles avec des portes fenêtres. Par contre, elle, elle m’a demandé le mien et elle m’a presque remercié de lui avoir fait du bien. Par contre, elle a été sur le cul quand je lui ai dit que c’était son gamin qui m’avait demandé de la tringler.— Ah oui « un petit quelque chose pour lui redonner le sourire ».— Oui. Ça et aussi le petit PS en bas de page. Tiens lis la lettre.— Alors voyons ça …. « Cher paire noell » … ok déjà il est mauvais en orthographe …. « Jeu vi seul avec ma maman donc si tu pouvai lui ophrir un petit quelque chause pour lui redoner le sourire se cerai jenti » … bon ça tu me l’as dis ….. « P.S : » … Quoi ? attend je lis bien ? « jemerais bien un peu tit fraire »… Non tu te fous de moi là ?— Non. Sauf que moi je l’ai plus fait histoire de me vider les baloches. Bon Aller santé ! — Mais dit moi c’est quoi cette odeur et cette trace marron sur la feuille ? POUAAh mais c’est de la merde ?— Ouais je me suis arrêter en Angleterre pour chier et j’avais plus de papier alors j’ai fait avec les moyens du bord. Bon … tiens pour le calva, garde la monnaie … Salut la compagnie !
Une fois parti, le barman se répétait en s’essuyant les mains « Bon sang quel phénomène ce gars ! ». Un sans-abri qui était au comptoir et qui avait tout entendu s’adressa alors au patron.
— Dis Gégé c’était qui ce mec ?— Nico ? Oh c’est rien. Un pauv’type qui se prend pour le père noël. Il passe tous les ans après sa « tournée imaginaire ». Il n’est pas méchant, juste un peu susceptible parce que tout le monde le prend pour un illuminé. Alors moi je le laisse dans son délire.
Dehors, le fameux Nico, retournait dans la ruelle sombre d’où il était sorti. Après avoir regardé si personne ne l’observait, il sorti une télécommande et, en appuyant sur un bouton, il se retrouva téléporté en haut d’un immeuble où l’attendait un véhicule Hi Tech motorisé de la taille d’un utilitaire, profilé comme une torpille avec un renne peint sur le côté. D’une autre pression sur un bouton la porte s’ouvrit, il se mit sur le siège du conducteur et referma la porte avant que le véhicule ne décolle silencieusement pour partir comme une fusée. Bah quoi vous ne pensiez tout de même pas qu’il se baladait encore avec un traineau tiré part des rennes ? Lui aussi il s’est modernisé.
Dans l’habitacle du véhicule, une voix se fit entendre.
— Bon retour Père noël.— Ouais c’est ça …. Zephyr, sors moi mon casse dalle plutôt et commence le trajet de retour en pilotage automatique et en mode furtif.— Bien Père noël.
Soudain la boite à gants s’ouvrit pour laisser sortir une bouteille de gros rouge, un bon calendos coulant qui sentait très fort et un gros sandwich au pâté de cerf (comme ça on sait où est passé son attelage). Ce type n’avait aucune manière. Il s’en foutait partout, il rotait en fin de repas, pétait sur son fauteuil et s’endormi sur son siège, dossier incliné en ronflant comme un sanglier avec une tache de pinard sur ses fringues et des bouts de pâté partout dans sa barbe. Le véhicule continua sa route jusqu’au pôle nord où il finit par s’engouffrer dans une crevasse naturelle et entrer dans un bâtiment creuser dans la roche.
— Vous êtes arrivé.— MMmmh …. C’est pas trop tôt. T’as fait ce qu’il fallait pour ma réservation ?— Tout est en ordre— Parfait, je pars chercher mes valises et direction mes vacances en Thaïlande.
Un peu plus tard, après avoir fait un brin de toilette, il réapparaissait, ressemblant à la caricature du touriste bavarois en short, tong, lunettes de soleil et chemise à fleur manches courtes portant deux grosses valises et une sacoche en Bandoulière. L’arrière de son véhicule, qui servait de remorque s’était détaché, il plaça ses valises sur le siège passager avant de s’assoir au volant.
— Bon aller go vacances au soleil ! Zéphyr, direction Bangkok.— A vos ordres.
Le véhicule décolla comme une fusée, traversant le pacifique puis bifurqua sur la Thaïlande, à Bangkok, pour se poser un peu à l’écart de l’aéroport. Il descendit de voiture et donna ses instructions.
— Bon, tu retournes à la maison et tu ne reviens me chercher que la veille de mon départ. Tu resteras en mode furtif pour pas qu’on te voit.— Bien Père noël.
Une fois seul, celui qui se fait appeler par tous Père Noel, Santa Klaus ou encore Saint Nicolas (D’où le Nico du barman), parti avec ses valises vers les taxis qui attendaient les voyageurs. Il monta dans l’un d’eux et indiqua au chauffeur « hôtel impérial » d’un ton sec. Et une fois arrivé lui laissa un gros pourboire pour la course rapide. C’est ensuite qu’il se présenta à l’accueil de ce palace où il se rendait tous les ans depuis une bonne décennie.
— Ah bonjour monsieur Klaus, nous vous attendions.— Fallait pas.— Conformément à votre réservation, vous avez la suite impériale. Vous disposez d’une piscine, d’une terrasse, d’un jacuzzi ainsi que d’un Equipement Hi Tech dernier cri.— Parfait, et …. Ma commande spéciale ?— C’est prévu. Si vous avez une petite faim, une corbeille de fruits frais vous attend déjà dans votre suite.— Sympas, ça. Bon je monte … vous m’aidez pour mes bagages ?
Le réceptionniste appela quelqu’un pour porter les bagages et ils partirent pour le dernier étage de l’hôtel. Une fois entré, il donna un gros pourboire à celui qui lui avait porté ses valises et se mis à l’aise. C’est ensuite en inspectant la salle de bain qu’il entendit une voix féminine dire « Room service » au travers de la porte. Il lança alors un « Entrez » sec et autoritaire et vit apparaitre devant lui trois blondes sublimes, très court vêtue aux seins siliconés. L’une d’elle s’avança.
— Monsieur Klaus, nous somme votre commande spéciale. Nous sommes là pour obéir à vos ordres.— Parfait ! Bon, bah que la fête commence. Allez les filles, à poil.
Les trois jeunes filles se retrouvèrent très vite nues et pendant que la première s’approcha de son flanc gauche pour lui rouler une pelle, la deuxième s’approcha du côté droit de ce client un peu spécial et commença à lui retirer sa chemise et lui caresser son torse velu et musclé (Et oui Papa noël entretient son physique). La troisième s’avança, se mis à genou devant lui, baissa son short et commença à lui tailler une pipe.
— Oh ! mais on dirait qu’on en a une pressée de passer à la casserole. T’en fais pas ça va venir. Tu vas y passer, d’ailleurs vous allez toutes y passer.— On attend que ça monsieur Klaus dirent-elle à l’unisson (sauf celle qui avec la bouche occupée et qui resta muette car sa maman lui a toujours dit de ne pas parler la bouche pleine)— Chaque matin je choisirai celle qui partagera mon plumard. Elle passera sa journée avec moi et les autres seront à notre service. Ça vous va ?— OUIII !— Pour ce soir, je prendrai celle qui fait preuve de dextérité sur ma queue. On commencera notre petit jeu demain.— Comme vous voudrez ! Dites-moi que comptez-vous faire durant la soirée ?— On va faire connaissance …. Se faire un bon gueuleton …. Bref passer une bonne soirée. Faut pas oublier que j’ai aussi plusieurs heures de décalage horaire dans la tronche moi et je vais me coucher tôt.— D’accord ! Pendant que votre nouvelle amie termine ce qu’elle a commencé, moi je vais m’occuper de commander le repas et on va s’occuper de ranger vos bagages.— C’est ça faites donc ça ….. Euh non pas celle-là, pas la sacoche. Rangez plutôt les valises. La sacoche je m’en chargerai elle contient des affaires …. Personnelles.
Pendant que les deux filles commandaient le repas, rangeaient ses affaires et préparaient la table comme de parfaites domestiques. Celui qu’elles appelaient M Klaus s’était assis sur le canapé alors que la troisième demoiselle terminait de lui pomper le dard. La suite dans laquelle ils étaient, disposait d’une grande chambre et de deux plus petites, chacune disposant d’une salle de bain. Ainsi chacune pourra loger sur place, l’une dans le lit du client et les autres dans leur chambre, et être à sa disposition au besoin.
Après s’être bien vider les burnes au fond de la gorge de la demoiselle, M Klaus pris une douche. Durant sa toilette, ses trois nouvelles amies discutèrent. Elles étaient surprises de voir un homme de son âge aussi bien portant et musclé. Ce type était massif mais elles ont bien vu que ce n’était pas de la graisse. Elles étaient aussi étonnées du bien être qu’elles ressentaient toutes en sa présence. Elles restaient excitées dès qu’elles le voyaient. Ce qu’elles ignoraient c’est que, en plus d’être immortel (c’est le père noël tout de même), il semblerait qu’il affole la gente féminine dès qu’il entre dans une pièce. Une histoire de phéromone ou quelque chose du style. C’était pour ça que la maman du gamin à qui il avait rendu visite s’était aussi facilement laissé faire.
Quand il ressorti de la douche, à poil avec une serviette autour du cou, elles lui demandèrent si il faisait du sport. De suite il jeta sa serviette et se mis à faire des pompes sur un bras sans difficultés apparente en alternant un bras après l’autre. Elles étaient admiratives de le voir faire des pompes …. Ça leur donnait envie de se mettre dessous.
Il remit sa chemise et son short quand le Room service toqua à la porte.
— Bonsoir monsieur, voilà le repas que vous avez commandé. Un repas pour ….. quatre ….. bien fourni. Annonça le petit jeune qui aperçut une des filles à poil traverser la pièce pour récupérer ses affaires et celles de ses copines.— Tiens mon gars, c’est pour toi ….. Bah quoi t’as jamais vu une fille à poil ?— Si mais …— Elle est bien foutue, hein ?— C’est peu de le dire PFFFF !— Ouais mais c’est chasse gardée, gamin. Aller, je ne te retiens pas t’as surement d’autres trucs à faire.
Après avoir foutu le petit jeune à la porte, pas forcement de la manière la plus polie qui soit, Il se dirigea vers la table où le contenu du chariot avait déjà été placé sur la table par les filles, toujours à poils. Tous s’installèrent à table et les filles s’efforcèrent de donner la béquée à leur client. Ainsi M Klaus, disposait d’une fille de chaque côté et d’une troisième qui lui massait les épaules.
Il était comme un Pacha se faire dorloter par ces filles. Après un repas où tous avaient bien mangé et un bon film sur une chaine câblée, Père noël se dirigea vers sa chambre, entrainant sa compagne de la nuit alors que les autres rangeaient la table et ensuite partaient se coucher.
Alors que les deux filles étaient chacune dans leurs chambres respectives, elles entendaient les ébats de leur collègue et de leur client. Il y en a eu des « Oh oui encore, plus fort, plus vite ». Il faut dire que l’engin de Papa noël, même au repos était de bonne taille. Etant donné son corps et sa musculature, elles imaginaient bien qu’il devait être performant au lit. Ce qui était, pour elles, la promesse de bons moments en perspective.
Le lendemain, les filles s’étant rhabillées, elles commandèrent un petit déjeuner copieux pour elles et leur client. Curieusement, le garçon d’étage qui arriva avec son chariot plein pour reprendre celui qui avait été laissé là la veille sembla déçu. Il avait entendu parler par son collègue de filles à poil dans la suite impériale. Malheureusement pour lui, il arrivait après la fête car tout le monde était habillé. Une fois rassasié par le petit dej’, M Klaus réuni ses nouvelles amies et leur énonça la suite.
— Bon, les filles, voilà le programme. Pour choisir celle qui me tiendra compagnie, je vais organiser un jeu. Je vais aller dans le jacuzzi et vous allez me sucer sous l’eau l’une après l’autre. Si vous remontez respirer vous avez perdu et vous laisser votre place à la suivante. La gagnante est celle qui me fera lâcher la sauce. Elle devra ensuite le prouver à tout le monde en sortant de l’eau et en le montrant bouche ouverte.— D’accord monsieur. …. On doit avaler après ? demanda l’une des filles.— Tu fais ce que tu veux ma jolie. Donc ce sera notre petit jeu du matin, la gagnante passera la journée avec moi et couchera avec moi le soir alors que les deux autres nous serviront. On est d’accord ? — OUI ! répondirent-elles toutes à l’unisson.— Bon …. Bah allons-y alors. Je vous laisse décider de l’ordre de passage.
Pendant qu’elles se décidaient pour savoir qui allait commencer, M Klaus se dirigea vers le Jacuzzi, jeta ses fringues au sol et pris place à l’intérieur.
— Bon alors les filles, Vous vous décidez ?— Oui, oui, voilà. On arrive. C’est moi qui commence.— Ah, j’espère que tu seras aussi gourmande que cette nuit.— J’espère aussi …. C’est parti.
Visiblement la jeune fille, avait encore de l’appétit et avait apprécié sa nuit avec son client. Les deux autres, qui avaient perdu à Pierre – Feuille – Ciseaux, étaient dégoûtées. Si jamais elle réussissait, elles allaient encore devoir attendre, sachant pertinemment que leur rémunération dépendait de leurs performances individuelles. Elles étaient toutes deux curieuses de savoir comment cet homme avait pu faire autant crier leur collègue. Heureusement pour elle, celle qui était à l’œuvre n’avait pas assez de souffle pour réussir.
— Pouahh ! Oh merde, j’ai raté.— Désolé ce sera pour une prochaine fois. Allez dégage de là. Ta copine est prête à prendre le relais.
La deuxième arriva, se mit en position et commença.
— Oh mais c’est qu’elle a un sacré coup de langue la garce ….. Je sens que ça monte. Elle est douée c’est indéniable …. Il se pourrait bien qu’on ait trouvé notre gagnante….. PFFF ! quelle dextérité, quelle fougue ! Si c’est elle qui gagne je sens que je vais bien m’amuser cette nuit …. Ah non, on dirait qu’elle s’arrête.— PFFF ! …. J’en peux plus …. Je n’ai pas assez de souffle.— C’est raté pour toi t’y était presque, dommage. Pourtant avec tes gros poumons on aurait pu croire …. Enfin bref. Du coup la dernière n’a plus grand-chose à faire. Allez ouste, laisse lui la place.
La troisième se mit en, place parti à l’assaut.
— Ouuuh ! mais elle est aussi douée que les deux autres ….. elle sait comment me titiller le gland …..Ah je sens que je vais venir …. Ça vient, ça vient ……Ahhh ! C’est venu …. Je sans qu’avec vous les filles je vais passer de super vacances.— Merci monsieur répondit une des perdantes.
C’est alors que la gagnante se releva et ouvrit la bouche dans laquelle on voyait la semence de celui qu’elle venait de sucer, elle tira la langue avant de refermer la bouche et de tout avaler.
— Ah ouais ? carrément ? …. Ok …. Bon, ce n’est pas tout ça mais cette après-midi, on part se balader. Les filles vous commandez un repas pour midi. Moi, je vais à la salle de sport de l’hôtel. Toi la gagnante tu m’accompagnes. Tu vas me montrer si t’es en forme.
Après une séance de sport durant laquelle la fille s’est montrée des plus souples (parfait pour certaines positions du Kâma-Sûtra) et un repas de Midi vite expédié, M Klaus et son accompagnatrice partirent visiter un quartier populaire de la ville presque en amoureux. Tout se passa bien jusqu’à ce que M Klaus se fasse aborder par un gamin d’environ dix ans dans la rue alors que le couple se baladait tranquillement
— Bonjour monsieur. Si toi me donner argent moi faire sexe avec toi.— Pardon ?— Si toi me donner argent moi faire sexe avec toi.— Oui ça j’avais compris mais non ça ne m’intéresse pas. Les enfants je les aime bien mais pas comme ça …. même si ils deviennent de plus en plus casse bonbon et exigeant avec le temps …. — Toi pouvoir mettre quequette ou tu veux.— Putin mais j’ai dit non. Faut te le dire comment ? t’es un garçon de dix ans ….— Onze— Oui dix, onze c’est pareil. Moi les enfants je les aime de sexe féminin, âgés de plus de dix-huit ans et prêts à s’amuser avec moi dans un lit. Tu percutes ?— ……— Bon allez fait pas cette gueule. Tiens prend cet argent et va plutôt t’acheter un truc à bouffer.— Merci monsieur.— De rien maintenant laisse-moi.
Après quelques mètres, son accompagnatrice lui adressa quelques mots.
— Tu sais que tu m’as surpris ?— Pourquoi ça ? Je n’allais tout de même pas me taper un gosse. Je sais que chui un chaud lapin mais quand même. Je ne suis pas pervers à ce point-là.— Non bien sûr mais c’était pour ta générosité. Lui donner de l’argent comme ça ….— En fait je l’ai surtout fait pour qu’il se casse. Il était collant je ne voulais plus l’avoir dans les pâtes.— OK … n’empêche que c’était déjà bien et puis …. Oh merde mais il est con ce gosse, ce n’est pas possible ? s’exclama t’elle en ayant tourné la tête.— Quoi ? il a perdu le pognon ?— Retourne-toi.— Quoi ? il a fait quoi comme connerie ? ….. Ah ouais quand même …. Bah désolé mais là j’y peux rien de plus.
Le couple venait de voir que le gamin qu’ils venaient de quitter, après avoir empoché le pognon de M Klaus, partir aborder un autre touriste occidental, gros, moche, puant, d’un certain âge et avec un sourire carnassier. Cet homme le tenait par la main et tous les deux sont entrés dans un hôtel de passe.
— Oh non …. Le pauvre.— C’est la misère humaine que veux-tu. Moi c’est le vingt-cinq décembre que j’ai ce qu’il faut pour faire plaisir aux enfants et dans le bon sens du terme. Là c’est passé j’y peux plus rien.— Mais on ne peut vraiment rien faire ?— Tout le monde le sait ce qu’il se passe ici. Malheureusement y aura toujours des connards pour profiter des gens. Bon assez chialer. Viens on va se changer les idées …..
Même si ce spectacle avait un peu gâché la journée, ils continuèrent leur balade jusqu’au soir où après une bonne bouffe, dans la chambre, la gagnante du matin pu enfin faire ce pour quoi elle était payée : coucher avec cet homme riche, un peu rustre mais physiquement à l’aise.
A peine arrivé dans la chambre, M Klaus la mit à genou en disant « Viens gouter le sucre d’orge du père noël ». Évidemment, elle ne s’en priva pas et dégusta sa tige comme si c’était une délicieuse friandise. Ensuite, il la releva, la porta sur le lit façon jeune mariée, positionna son entrejambe sur le bord du lit et, une fois à genou, il commença à lui rendre la pareille tout en lui massant ces deux globes bien ronds.
La fille était en trance tellement c’était bon. Elle ne mouillait pas au point d’une femme fontaine bien sûr mais c’était bien parti. La sentant prête, M Klaus se releva, toujours au garde à vous, commença à entrer son engin dans l’orifice tant convoité. Après les premiers coups de rein, la fille ne pouvait se contenir et laissa partir les premiers « Oh Oui encore ». Ne voulant pas que ça s’arrête, elle lui bloqua le bassin avec ses jambes, en les croisant au niveau du postérieur.
Père noël, en appuis sur ses bras voyait le visage de celle qu’il était en train de limer avec un large sourire béat sur le visage. La voyant satisfaite, ça le motivait pour lui en mettre encore plus. Il desserra les jambes de la demoiselle pour se retirer, la retourner sur le ventre et s’introduire dans son anus en lui disant « par devant, par derrière : comme ça pas de jaloux ». Ce n’est qu’après un court début douloureux qu’elle recommença à vociférer des « je t’en prie t’arrêtes pas, démonte moi comme un jeu de construction » (en tout cas quelque chose d’approchant). Cette fille subissait avec le sourire le pilonnage annale du Père Noël avec un plaisir intense. Ce n’est que quand il finit par jouir dans son Rectum et qu’il partit prendre sa douche qu’elle s’aperçu que cette sensation de bien-être que toutes ressentait en sa présence disparaissait. Cette excitation quelle avait ressentie alors qu’il était présent dans la pièce semblait s’évanouir en fonction de l’éloignement et du temps passé.
Sous la douche, alors qu’il chantait du Pavarotti, M Klaus avait pleinement conscience de cette sensation que toutes ses partenaires féminines ressentaient en sa présence. Au cours des siècles, il en était parvenu à penser que c’était une évolution naturelle de la sensation de fascination que les enfants ont pour lui. Bien évidemment, elle devait surement évoluer à la puberté. Il n’en avait aucune certitude et en avait pris conscience il y a quelques décennies. Depuis un soir durant une tournée, peu de temps après la seconde guerre mondiale, une veuve était tombée sous son charme alors qu’elle était seule depuis que son mari soit mort en 1940, ce fut la première fois qu’il réalisa pleinement cet état de fait. Depuis, il essai d’en profiter au maximum. Il a de la chance car il n’a pas grand-chose à faire, juste rester proche d’une femme durant un temps plus ou moins long, différent selon les femmes.
Quand il sorti de la douche, sa partenaire dormait. En lui caressant ses courbes de ses mains, il pensait « Oui c’est ça, dors bien. J’aurais probablement envie de remettre ça durant la nuit.
Le lendemain, les deux filles restantes commandèrent un petit déjeuner. Pas de bol, c’est au moment où le room service arriva qu’elles ont commencé à entendre des cris de jouissance venant de la chambre du client. La jeune femme de chambre qui était là esquissa un sourire moqueur avant de partir avec un bon pourboire.
Hormis quelques rares différences au niveau des sorties de l’après-midi, C’est grosso modo comme ça que se déroulèrent chaque journées de ce séjour en Thaïlande. Le père noël s’était offert des vacances plus que mouvementées : quinze jours de sexe et de détente. Avec quel argent me direz-vous ? Et bien il gagne déjà pas mal de fric sur de nombreux partenariat avec certaines entreprises et puis des compagnies de jouet pour lesquelles il cède son image dont il a déposé le nom Il y a des décennies. Il dispose également d’une mine d’or qu’il exploite lui-même. Ainsi en cas de coup dur, il dispose de fond plus que considérable en lingots d’or. Et il en a besoin pour faire fonctionner son usine.
Au matin de sa dernière soirée, les trois filles et leur client s’éveillèrent dans la même chambre. Comme pour un bouquet final, il a tenu à les avoir toutes les trois pour un dernier baroud d’honneur. A différents moment de la soirée elles y sont toutes passées. Bien sûr, n’étant pas un sur homme, il s’est fait aider par des petites pilules bleues. Après avoir pris un dernier petit dej’, M Klaus les réuni.
— Bon je dois dire que vous avez été super.— Merci monsieur.— Franchement vous m’avez vidé. Avec vous j’ai pris un pied monumental. C’est pourquoi je vous donne ceci. Dit-il en leur envoyant à chacune une bourse en cuir.— Qu’est-ce que c’est ? …. On dirait des pièces d’or avec votre tète dessus.— C’est le cas. Y en a une pour chaque jour. Je me suis installé à proximité d’une mine d’or alors je fonds moi-même mes pièces et mes lingots. Vous avez été tellement super que vous méritez un petit quelque chose.— Bah merci. ….. Vous êtes marié ?— Je te vois venir cocotte. N’espère rien de plus venant de moi que cette bourse et quelques coup de queue bien placés.— Tant pis j’aurais essayé.— Bon aller je vous laisse partir moi je …. Ah bah v’la le garçon d’étage pour mes bagages. Bon aller au revoir les filles !
C’est ainsi que se termina le séjour du père noël en Thaïlande. Après avoir payé son séjour et pris un taxi pour l’aéroport, il retrouva son véhicule qui l’attendait un peu à l’écart pour repartir chez lui et recommencer une nouvelle année. Il remonta dans son véhicule mis sa ceinture de sécurité et s’écria « Bon bah c’est pas tout ça mais maintenant faut gagner sa croûte ».
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