"Sur la tête de ta mère! Quelle audace! Tu imagines la tête de ta mère, si en ce moment elle m’entendait lui dire:_Votre fille est assise sur le canapé du salon, jupe relevée, jambes écartées, le sexe à l’air!... Et vous savez, belle maman, votre petite Claire a une chatte extrêmement velue. Quelle toison! Quelle touffe! Du pubis à l’anus, j’aperçois de longs poils noirs, qui contrastent d’ailleurs joliment avec la blancheur de ses cuisses...Oui, si ta mère entendait ça! Elle, si sévère, si prude!Allez, garde les yeux fermés, ma chérie et surtout, ne bouge pas, je vais maintenant t’ouvrir la moule... Doucement...voilà... Oh! qu’elle est belle! Rose vif...toute brûlante...toute luisante..., car tu mouilles, petite garce ! Et pas qu’un peu! Tu le sens, ça te coule entre les fesses, dans la raie du cul..., ta petite rondelle en est toute humide... Tu aimes ça, hein? Être exhibée ainsi. Sale vicieuse... Ma femme est une vicieuse!"Durant cette petite scène, j’ai parlé haut et fort. D’où elle se trouve, ma belle mère n’a pas dû en perdre un mot. Mais soudain, j’ai un doute... Tout de même, cette absence de réaction de sa part m’intrigue. Et si notre petite comédie se jouait sans elle? Quelle déception!Je m’avance prudemment vers la terrasse. Et m’arrête très vite..., car ma belle mère est bien là! De dos, dans un fauteuil en rotin, elle semble regarder rêveusement devant elle. Mais à la façon dont ses doigts pianotent l’accoudoir, j’en déduis que la pauvre femme doit être dans un état de tension nerveuse extrême...Claire n’a pas bougé. Toujours assise, la tête renversée en arrière, les yeux clos, un sourire quasi extatique aux lèvres, l’indécente jouvencelle a trouvé un nouveau jeu: elle referme lentement les cuisses, puis les rouvre tout aussi lentement, les referme, les rouvre... Elle continue ce mouvement très lascif, devinant que cette posture impudique va énormément m’exciter.C’est le cas. Je bande fort et ne peux m’empêcher de me caresser la bite. Mais je m’abstiens de m’approcher de ma femme, car, comme prévu et annoncé, arrive à présent la phase des "questions indiscrètes", à laquelle je tiens particulièrement et qui risque: si je m’y prends bien, de finir, de perturber cruellement ma belle mère. L’hallali... Tout en me masturbant, j’apostrophe ma femme d’une voix grave, presque solennelle:"Madame Claire Belle Motte, à présent l’interrogatoire intime! Je vous rappelle que vous avez juré sur la tête de votre mère d’y répondre très sincèrement. Toujours d’accord ?"Mon épouse a interrompu son petit jeu si sensuel et me répond avec assurance:"Absolument. Je vais tout avouer."Très surpris, je ne sais trop comment interpréter cette phrase un peu ambiguë, d’autant que Claire, l’air tout à coup bien sérieux, poursuit:"Mais j’espère, Monsieur, que vous ne serez pas trop contrarié par mes révélations..."Mon envie de me branler a disparu, les propos de ma femme me semblant soudain bien étranges...
