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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 3

Erotique
L’occasion d’aller plus loin avec Sophie, la mère de mon copain Laurent, allait peut être avoir lieu lors de la petite fête qui était prévue pour l’anniversaire de Laurent.Ses parents avaient prévu d’organiser une soirée pour fêter ses 18 ans. Ils avaient invité de la famille mais aussi des amis de Laurent, dont je faisais partie.Je suis arrivé chez Laurent en fin d’après midi. J’ai salué les personnes déjà arrivées, et j’ai embrassé Sophie, en profitant pour poser une main sur l’une de ses hanches. Elle n’a eu aucune réaction à se soustraire à ce geste. Cela m’a mis en confiance pour la suite des événements.Elle était habillée avec beaucoup de classe. Elle portait un joli chemisier de couleur crème, qui laissait deviner un soutien gorge noir. Elle avait passé un jupe plissée grise qui lui arrivait à bien au dessus du genou et qui dévoilait de jolies jambes gainées de noir. Elle portait également des escarpins noir à talons.Un buffet avait été dressé dans le salon, où les meubles avaient été repoussés pour permettre de faire une piste de danse. Différents styles de musique étaient passés pour faire plaisir à toutes les générations présentes. Je dansais avec les femmes qui voulaient bien, des amies de lycée, la sœur de Sophie, la tante de mon copain Laurent. Je désirais pouvoir danser également avec Sophie, mais elle était souvent accaparée par son mari, Henri, ou par son fils Laurent.Puis soudain j’ai vu qu’elle était seule, alors je l’ai invitée pour un slow. Elle a accepté avec un grand sourire. Je l’ai prise dans mes bras, me collant à elle. Je sentais sa poitrine contre la mienne, ce qui me fit bander sans tarder. Tout en dansant langoureusement, j’ai plaqué mon bassin contre le sien pour lui faire sentir l’effet qu’elle me faisait. Mes mains étaient dans son dos et je pouvais sentir le fermoir de son soutien gorge.Profitant que nous dansions dans un coin de la pièce, j’ai fait glisser mes mains vers ses reins, puis vers ses fesses. C’est alors qu’elle me murmura à l’oreille :
« Non ! Sois gentil, on pourrait nous voir. »
L’ambiance aidant, et peut être un petit peu d’alcool, je lui répondis alors dans le creux de l’oreille :
« Vous êtes tellement sexy. Vous me faites tellement envie. »
« Sois sage et raisonnable, je suis la mère de ton meilleur copain quand même. » me répondit-elle à l’oreille.
Le slow se termina sur cette parole, et nous nous sommes séparés.Je retournais au buffet pour manger quelque chose et reprendre un verre de champagne.Alors que je discutais avec une amie de lycée, j’ai vu Sophie s’éclipser dans la cuisine. Écourtant la conversation, j’ai prétexté de porter des verres sales à la cuisine pour me rendre auprès de Sophie. J’ai déposé les verres dans l’évier où elle était en train de laver un peu de vaisselle. Une fois les mains libres je me suis placé dans son dos, j’ai passé délicatement mes bras autour d’elle et j’ai saisi ses seins des deux mains à travers le tissus de son chemisier.Elle n’a pas semblé surprise, mais m’a simplement dit que quelqu’un pourrait nous surprendre.Sans tenir compte de sa remarque j’ai continué à malaxer sa poitrine ferme, puis j’ai fait descendre ma main droite le long de son ventre tout en maintenant l’autre sur son sein gauche. J’entendais sa respiration s’accélérer.
« Tu es complètement fou. » me lança-t-elle entre deux respirations. « Arrête, quelqu’un peu arrivé à tout moment. »Sans tenir compte de sa remarque, j’ai continué à caresser son ventre en descendant de plus en plus vers son pubis.Elle ne se soustrayait pas à mes caresses, ce qui m’encourageait à aller plus loin.Je relevais doucement le devant de sa jupe pour caresser ses jambes gainées. Que c’était agréable la sensation du nylon sous mes doigts.J’ai remonté ma main le long de l’intérieur de sa cuisse en direction de son entrejambe.Voulant se soustraire à cette caresse, elle se reculait, plaquant ses fesses contre mon membre bandé à fond cette situation tant désirée. Elle pouvait ainsi sentir mon désir.Je suis arrivé à l’endroit tant convoité depuis si longtemps. J’ai plaqué ma main sur son entrejambe pour sentir le souple buisson de ses poils pubiens et la douce humidité de son désir naissant.
Ma main a commencé un lent mouvement de va-et-vient entre ses jambes, qu’elle écarta légèrement en signe de plaisir.
Mais une voix est venue du salon pour réclamer des verres propres. J’ai immédiatement libéré l’entrejambe et le sein de Sophie. Elle a rabaissé sa jupe et repris une attitude normale devant l’évier en reprenant la vaisselle qu’elle avait délaissé le temps de mes caresses.Pour ma part je suis allé vers le placard mural pour faire illusion que je cherchais des verres dedans.C’est à cet instant c’est Henri, le mari de Sophie, qui est entré dans la cuisine. Il venait m’aider à ramener des verres dans le salon.Je lui confiait plusieurs verres, et pendant qu’il s’en retournait au salon, j’ai regardé Sophie, en portant ma main à mon nez pour humer sa douce odeur de femme. Elle a rougi et a repris la suite de sa vaisselle. J’ai regagné le salon avec les autres verres et j’ai continuer la fête.
La fête s’est terminée tard, sans que j’ai eu une autre occasion de danser avec Sophie ou d’être seul avec elle. Je suis parti dans les dernier.A mon départ, j’ai salué les personnes restantes, dit au revoir à mon copain Laurent et à son père Henri. Sophie, la mère de mon copain, m’a accompagné jusqu’au dehors de la maison. Alors que j’allais l’embrasser amicalement sur les joues, profitant de la pénombre de la nuit elle posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassa avec fougue.Bien que surpris par son audace, j’ai répondu à son baiser, et j’en ai profité pour passer à nouveau ma main sous sa jupe pour lui caresser une dernière fois son entrejambe et emporter avec moi l’odeur de sa féminité.Se séparant de ma bouche, elle me glissa à l’oreille : « A bientôt. »Puis elle fit demi tour et rentra dans la maison rejoindre sa famille.Je savais que j’avais gagné la partie et que de beaux jours se présentaient pour l’avenir.Tout au long du chemin de retour je n’ai pas cessé de porter ma main à mon nez pour respirer cette odeur de femme qu’avait laisser les caresses intimes faites à Sophie.A partir de ce moment toutes mes nuits furent peuplées de fantasmes de tout ce que je pourrais faire avec Sophie.
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