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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 4

Erotique
Un jour, Laurent est arrivé au lycée avec sa tête des mauvais jours. C’était une semaine avant une coupure des cours d’une quinzaine de jours pour nous permettre d’effectuer un stage en entreprise.Son père lui avait trouvé un stage en province, dans l’entreprise de son oncle.Pour ma part j’avais trouvé un stage près de chez moi.Tout de suite j’ai été très heureux de cette information. Le champs serait pratiquement libre pour que je puisse rencontrer Sophie, sa mère, si toutefois elle ne l’accompagnait pas.Il fallait que je trouve un moyen de le savoir. J’y réfléchissais toute la journée. Puis en fin d’après midi j’ai eu une idée. Je devais emprunter quelque chose à Laurent pour avoir un prétexte pour entrer chez lui et peut être surprendre une conversation, voire incidemment poser une question.Je prétextais donc vouloir emprunter une BD à Laurent. Nous sommes donc rentrés ensemble.
Arrivés chez lui, j’ai trouvé Sophie dans le salon qui était au téléphone avec son mari. Elle lui demandait de ne pas tarder à rentrer, car il devait prendre la route le lendemain matin de bonne heure. Et c’est à ce moment là que j’ai eu l’information que j’attendais. Elle ne les accompagnerait pas. Mon cœur c’est alors emballé et j’avais du mal à retenir ma joie lorsque Laurent est redescendu avec la BD que je lui avais demandé.Je suis reparti chez moi, tout en pensant à ce que je pourrais faire le lendemain. Le prétexte de ramener la BD serait un bon moyen de revenir voir Sophie.Ma nuit fut agitée, peuplée de fantasmes avec Sophie, la mère de mon copain Laurent.
Je me levais tôt le lendemain. Mes parents ont été surpris de me voir levé de si bonne heure. Je leur ai dit que je devais aller aider Laurent pour son stage, et que je devais lui rendre sa BD avant son départ.Un café vite avalé, je suis parti pour chez Laurent. Mais arrivé à proximité du pavillon j’ai fait un peu le tour du quartier pour vérifier que la voiture de son père ne s’y trouvait pas. Ne la voyant pas, je pouvais en déduire que Laurent et son père étaient partis en province. Puis je me suis approché de l’arrière du pavillon pour observer le salon par la grande baie vitrée, caché derrière la haie du jardin.Soudain j’ai aperçu Sophie qui traversait le salon en direction de la cuisine. Elle semblait ne pas être encore habillée. Je devinais qu’elle était en robe de chambre.J’ai alors pris mon courage à deux mains, et je me suis dirigé vers la porte d’entrée pour sonner.Sophie m’a ouvert, avec un air très étonné et gêné à la fois.
« Que viens-tu faire à cette heure ? » me demanda-t-elle.
« Je viens ramener la BD que j’ai emprunté hier à Laurent. Je l’avais déjà lu. » lui répondis-je, « Est-il possible de j’en reprenne une autre à la place ? » ai-je demandé, pour trouver un prétexte pour rentrer dans la maison.
« Bien sûr ! » me répondit-elle en m’invitant à entrer, « Tu sais où elles se trouvent. Je te laisse monter dans sa chambre. » continua-t-elle.
J’entrais et montais à l’étage dans la chambre de Laurent pour y déposer la DB et en choisir une nouvelle, car il fallait donner le change.
En redescendant, Sophie m’a demandé si j’avais trouvé mon bonheur et si je voulais prendre un café avec elle. Je lui ai répondu oui, à la fois pour la DB et pour l’invitation.J’ai posé la BD sur la table du salon et je l’ai rejointe dans la cuisine. Je me suis alors remémoré ce qui s’était passé le jour de l’anniversaire de Laurent, son fils, et j’ai commencé à bander.Elle était assise à la table de la cuisine, me tournant le dos.Je n’ai pas pu résister, et en passant derrière elle j’ai posé mes mains sur ses épaules et je les ai fait glisser vers sa poitrine pour empoigner ses seins.
« Non, s’il te plaît. Restons sages. » me dit-elle entre deux soupirs.
« Vous me plaisez tellement. Rappelez-vous la fête d’anniversaire de Laurent. » lui ai-je répondu en bandant comme un âne.
Plus je lui malaxais, plus sa respiration s’accélérait, et je pouvais également sentir les pointes de ses seins s’ériger et durcir sous mes caresses.Je continuais mes caresses tout en lui appliquant de doux baisers dans le cou. Je lui murmurais à l’oreille : « Venez, nous serons plus à l’aise dans le salon. »
Elle s’est levée, et la prenant par la main je l’ai entraînée au salon, vers le canapé.Avant de nous asseoir, je lui ai fait retirer sa robe de chambre. Elle était maintenant devant moi, dans sa nuisette qui lui arrivait à mi cuisses, au travers de laquelle je pouvais entrapercevoir qu’elle portait une petite culotte en coton blanche ou claire.Je l’ai fait s’asseoir dans le canapé, puis je me suis assis à côté d’elle. Je l’ai enlacée dans mes bras et j’ai déposé sur ses lèvres une succession de petits baisers.Après une multitude de ces baisers, elle a posé sa main sur l’arrière de ma tête pour maintenir mes lèvres collées contre les siennes. Sa bouche s’est entrouverte comme pour inviter ma langue à venir à la rencontre de la sienne.Nos langues se sont entremêlées et ce langoureux baiser m’a paru durée une éternité.
Ma main droite ne perdait pas son temps, elle continuait à caresser alternativement ses seins l’un après l’autre au travers du fin tissus de sa nuisette.Puis j’ai fait glisser ma main sur son ventre, où je me suis attardé quelques instants pour le caresser délicatement au niveau de son nombril. J’ai continué à la caresser tout en descendant ma main vers son entrejambe et l’endroit tant convoité. Mais ma main a continué sur sa cuisse jusqu’à la limite de la nuisette. J’ai enfin senti sa peau douce, entre le bas de la nuisette et son genou.Je suis resté là quelques instants, tout en ne relâchant pas notre baiser. Puis ma main a pris le chemin inverse pour remonter, mais en passant sous le tissu de la nuisette, et en s’infiltrant entre ses cuisses. Elle resserra brusquement les cuisses, brisa le baiser, et attrapa ma main pour l’empêcher d’aller plus loin.
« Arrête. Ce n’est pas bien, je suis mariée et la mère de ton copain Laurent. » me dit-elle.
Je lui pris la main, la plaça sur la braguette de mon pantalon, pour qu’elle sente la bosse que faisait mon sexe tendu dans mon boxer.
« Mais vous voyez bien l’effet que vous me faites. » lui ai-je répondu.
Je me suis remis à malaxer ses seins, mais elle a gardé sa mains sur mon sexe, le caressant doucement à travers le tissus de mon pantalon.J’ai alors débouclé ma ceinture et j’ai baissé mon pantalon. J’ai repris sa main pour la poser sur mon boxer. Elle a repris alors sa caresse sur mon sexe bandé à fond.Avant de reprendre mes caresses sur son corps, je me suis levé et je me suis débarrassé de mon pantalon, de ma chemise et de mon tee-shirt. J’étais maintenant là, assis à côté de Sophie, la mère de mon copain Laurent, en boxer et chaussettes, en train de lui rouler une pelle, pendant qu’elle me caressait le sexe à travers le tissu de mon boxer, et que je lui caressais les seins au travers de sa nuisette.N’y tenant plus je décidais de retirer mon boxer et mes chaussettes. Ma colonne de chair lui est apparue. J’ai vu ses yeux se river dessus, avec étonnement. Elle semblait hypnotisée.
Elle murmura : « Mon Dieu ! Qu’elle est imposante. »
En effet, la nature m’avait plutôt gâté. J’ai un sexe assez long et épais. Les filles que j’avais rencontré jusqu’alors en avaient parfois un peu peur.Je lui ai pris à nouveau la main pour la poser dessus. Après un instant d’hésitation, elle posa sa main sur ma hampe. Puis enfin elle l’empoigna.Elle commença de timides va-et-vient, comme pouvaient le faire des filles que j’avais connues, et qui n’avaient aucune expérience. J’étais surpris de cette réaction de la part d’une femme mariée et mère de famille de surcroît.
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