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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 7

Erotique
La semaine s’est passée tranquillement, j’étais occupé par mon stage en entreprise dans la journée, et mes soirées et mes nuits étaient peuplées de mes souvenirs de ce week-end où j’ai enfin pu baiser la mère de mon copain Laurent.Le samedi suivant j’étais impatient de savoir si Sophie était seule pour que je puisse recommencer. Mais en allant rôder du côté de leur domicile, j’ai vu que la voiture d’Henri, son mari, était là. J’ai compris que ce week-end je ne pourrais pas baiser Sophie.Lundi j’ai reçu un appel de mon copain Laurent, tout enthousiaste de son stage. Il était dans un service avec que des femmes, et l’une d’entre elle était un peu couguar et lui avait fait du gringue depuis le premier jour. Elle avait 45 ans, mariée sans enfants, mais son mari étant souvent absent, elle collectionnait les aventures. Et ce week-end il est arrivé ce qui devait arrivé. Il avait passé le week-end chez elle. Il m’a décrit rapidement tout ce qu’il avait fait et découvert, et aussi qu’elle avait une magnifique collection de lingerie coquine, qu’elle avait mis pour leur ébats. Que c’était très surprenant de voir une chatte épilée, et qu’elle lui avait appris plein de choses dont il me parlerait plus en détail à son retour. Il m’apprenait également que c’était son père qui allait le récupérer. Il viendrait le chercher le samedi suivant et qu’ils rentreraient dans la soirée.Il ne savait pas qu’il venait de me livrer une information qui allait égayer ma semaine, et que j’allais attendre avec impatience ce samedi.
Le samedi matin je suis parti de bonne heure de chez moi pour rendre visite à Sophie, la mère de mon copain Laurent. Arrivé chez elle j’ai vu que la voiture de son mari n’était plus là. Il était donc bien parti pour chercher Laurent chez son oncle, la voie était libre.J’ai sonné à la porte d’entrée. Je n’ai pas attendu très longtemps avant que la porte ne s’ouvre sur une Sophie rayonnante. Elle était encore en robe de chambre. Elle me proposa de prendre un café, que je ne refusais pas. Pendant que j’allais m’installer au salon, elle se dirigea vers la cuisine. Dans le salon j’ai pu constater que les voilages de la baie vitrée étaient fermés, cela augurait une suite favorable.Elle est revenue en apportant les cafés, les a posé sur la table basse devant nous et s’est assise à côté de moi. Sans attendre elle est venue m’embrasser avec fougue et sa langue a pris l’initiative de pénétrer ma bouche. Après un long baiser, elle me dit que je lui avait tellement manqué.Nous avons bu nos cafés, tout en discutant et en évoquant la dernière fois, où je l’ai obligée à garder tout le sperme que j’avais déversé en elle. Elle a également évoqué l’épisode de la jupe tachée au fast-food, et m’a dit que son mari avait gobé l’histoire de la chaise sale.Une fois nos cafés finis, elle s’est levée pour emmener les tasses à la cuisine puis est revenue dans le salon. Là, elle s’est plantée devant moi et a ouvert sa robe de chambre. Elle était totalement nue en dessous. Elle se présentait à moi impudiquement comme elle ne devait pas le faire avec son mari.Immédiatement elle s’est aperçue de la bosse que faisait mon sexe dans mon pantalon et elle me déclara :
« Alors petit coquin ! Ça te plaît ce que tu vois là. Tu en as envie. »
Tout en la contemplant ainsi en tenue d’Ève, je me remémorais ce que m’avait dit mon copain Laurent au sujet de sa couguar, et des tenues sexy qu’elle portait. Je m’imaginais Sophie avec de telles tenues.Elle est venue me rejoindre sur le canapé et a entrepris de me déshabiller. Une fois nus tous les deux et s’est levée, m’a pris par la main et m’a entraîné à l’étage dans la chambre conjugale. Elle m’a poussé vers le lit sur lequel je me suis allongé.Elle est ensuite venue à califourchon et s’est immédiatement empalée sur mon pieux dressé pour elle. J’étais enfin sûr qu’elle devenait accro à mon gros sexe, qu’elle aimait le sentir la remplir.C’est elle qui a conduit la danse, et tout en malaxant ses seins et étirant ses tétons érigés, j’ai pu voir le plaisir monter sur son visage.J’ai essayé de durer le maximum de temps, mais elle s’y prenait tellement bien, avec son vagin trempé et les contractions qui attisaient mon sexe emprisonné en elle, j’ai éclaté en envoyant plusieurs jets de sperme au fond de son utérus. Sentant ma semence l’envahir, elle a elle-même ressenti un orgasme foudroyant, émettant un cri de jouissance. Elle avait été en manque de mon sexe depuis deux semaines.Elle s’est écroulée sur moi, me gardant en elle comme pour continuer l’extase qu’elle venait de connaître.
« Elle m’a tellement manqué. » me dit-elle doucement à l’oreille, tout en m’embrassant tendrement dans le cou.
« Vous aussi. » lui ai-je répondu.
Je continuais à la vouvoyer sciemment pour appuyer le sentiment de pêché dans lequel elle était.
« J’ai envie de vous baiser continuellement. Vous peuplez tous mes rêves. » lui ai-je dit pour voir sa réaction. «  Mais j’aimerais tellement vous voir avec des jolis dessous très sexy, comme j’en ai vu dans des films porno. » ai-je continué.
« Comment ça, tu regardes des films porno ? » s’étonna-t-elle.
« Oui, bien sûr, avec Laurent. C’est des copains d’école qui nous passent des DVD. Et puis on regarde aussi parfois sur internet. »
« Comment ça ? Mon fils regarde des pornos ? » s’étrangla-elle.
« Bien sûr. Il n’y a rien de grave à ça. Et ça nous montre plein de choses à faire. » ai-je argumenté.
Puis sur ce, je me suis positionné sur elle. Elle a écarté instinctivement les jambes pour me permettre de me positionner à l’entrée de sa grotte qui ruisselait de ma semence déposée en elle.Je me suis penché sur elle pour lui sucer les tétons, totalement érigés de désir. Je me suis ensuite doucement introduit en elle. Sa respiration s’accélérait pendant que j’allais et venais doucement à l’intérieur de sa chatte détrempée, le sexe enserré dans son fourreau.
« Tu es insatiable. Tu vas me rendre folle. » me susurra-t-elle à l’oreille entre deux soupirs de satisfaction.
J’accélérais le rythme au fur et à mesure que sa respiration s’accélérait et que je sentais monter en elle un nouvel orgasme. Ayant déjà déversé ma semence en elle dans un premier coït, je pouvais durer beaucoup plus longtemps avant de lui offrir une nouvelle décharge. Je remontais légèrement mon bassin pour pouvoir frotter en même temps son bouton clitoridien, comme je l’avais vu faire dans certains films porno.Un nouvel orgasme intense éclata à nouveau en elle, et elle libéra un cri de plaisir en soulevant son bassin pour faire pénétré mon sexe encore plus en elle. Elle retomba ensuite, calmée. Mais je continuais doucement à la buriner pour entretenir son plaisir.Je sentais qu’elle allait repartir dans un nouvel orgasme consécutif, j’ai accéléré mes va-et-vient et augmenté la puissance de mes coups dans sa chatte, heurtant durement son utérus.Un nouvel orgasme éclata en elle alors que je déversais une nouvelle fois ma semence dans son antre. Nous nous sommes écroulés tous les deux, repus de tant de débauche. Je suis resté en elle jusqu’à ce que mon sexe débandant sorte de lui même de sa chatte ruisselante, puis je me suis allongé à côté d’elle, ma main caressant son ventre et ses seins.
« Je suis folle. » me dit-elle. « Mais tu es tellement merveilleux. Malgré que je sois mariée, je n’ai jamais connu ça auparavant. » m’avoua-t-elle.
« Je vous remercie. » ai-je répondu. « J’aimerais pouvoir faire encore plus de choses avec vous aussi. » lui ai-je dit, avec des petites idées derrière la tête. Je voulais tellement disposé de tout son corps, comme je l’avais vu faire dans les films.
« Tu aimerais quoi ? » me demanda-t-elle. « Je ne sais pas si je serais à la hauteur de tes attentes. »
« Pourquoi pas une fellation. Je vous ai bien sucé le clitoris et vous avez beaucoup apprécié. » ai-je répondu, histoire de la provoquer un peu.
« Tu as vu ça dans les pornos. Mais je n’ai jamais fait ça. Je ne sais pas si j’en serais capable. »
« Pourquoi ne pas essayer aujourd’hui ? Maintenant ? » lui ai-je répondu.
« Je veux bien essayer, mais elle est toute sale. » lâcha-t-elle, à mon grand étonnement.
« Pas de problème, je peux aller la laver. » ai-je répondu, en pensant en moi même "bientôt tu la prendras comme ça, et même tu la réclameras."
J’allais à la salle de bain pour me laver le sexe, mais sans savon, il ne faut pas trop dénaturer le goût quand même. Puis je suis revenu dans la chambre. Elle était là, allongée sur le lit conjugal, les jambes écartée, montrant sa chatte encore mouillée de ses sécrétions et de mon sperme. Ses poils étaient tout collés à son pubis.Je me suis approché d’elle. Elle s’est tournée sur son côté, et je me suis placé à hauteur de sa tête. L’idée qu’elle me suce pour la première fois me faisait rebander de nouveau. J’ai appuyé mes genoux sur le rebord du lit pour approcher mon gland de ses lèvres. J’ai pris sa tête entre mes mains et je l’ai guidée vers mon sexe.Avec hésitation elle a ouvert la bouche et j’ai pu commencer à y introduire le bout de mon sexe.J’ai laissé mon gland juste entre ses lèvres quelques instants, pour qu’elle s’habitue à cette pénétration, qu’elle disait n’avoir jamais connu.Je lui demandais de passer sa langue tout autour de la fraise que je lui présentais. J’ai senti alors la délicieuse sensation de sa langue faisant le tour de mon gland. Puis d’elle même elle fit passer le bout de sa langue sur mon méat, ce que provoqua une décharge électrique qui me traversa la hampe jusqu’aux couilles.M’enhardissant, tout en maintenant sa tête entre mes mains, j’augmentais la pression de mon sexe sur ses lèvres pour pénétrer plus à l’intérieur de sa bouche. Je passais la barrière de ses lèvres et introduisais mon sexe jusqu’à la moitié de la hampe.Je restais un moment immobile et je pouvais sentir un début de succion hésitant autour de mon sexe. Je la laissais faire un moment avant d’avancer plus avant mon sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais je ne voulais pas l’affoler pour une première fois avec une gorge profonde.Quand je jugeais qu’elle était en état, j’exécutais de petits va-et-vient entre ses lèvres et je sentais sa langue frotter le long de mon champ-frein. Mais pour cette première fois j’allais me retenir pour ne pas déverser ma semence dans sa bouche. Mais elle y aurait le droit dans un avenir proche.Sentant que j’allais exploser à nouveau, je me retirais de sa bouche et déversais tout mon foutre en direction de sa poitrine sur ses seins.Ensuite je me suis allongé près d’elle sur le lit. J’ai alors caressé ses seins pour étaler tout le sperme que j’avais déversé dessus. Elle a gémi sous mes caresses. Puis épuisés de jouissance, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre.
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